Le renégat syrien de la chaîne qatarie Al-Jazeera Fayçal Al-Kacim insulte de nouveau l’Algérie

La visite d’Abdelkader Messahel à Damas a eu l’effet d’une claque douloureuse chez les marionnettes d’Al-Jazeera qui ne digèrent pas le lamentable échec de l’Otan et la cuisante défaite de son bras armé, Daech, en Syrie. Après avoir broyé du noir suite à la visite du ministre des Affaires étrangères syrien en Algérie, en mars dernier, le présentateur-clown de la chaîne qatarie a commenté l’initiative diplomatique algérienne avec une hargne et une agressivité qui n’ont d’égal que la servilité et la bassesse de ce traître qui officie aux côtés de ses compères algériens à Doha. «J’avais mis en garde dès la première année de la révolution syrienne contre la réédition du scénario algérien en Syrie. Aujourd’hui, un ministre algérien se rend à Damas pour y exporter l’expérience algérienne fondée sur la fausse réconciliation de Bachar Al-Assad», écrit ce renégat sur sa page Facebook, affligé devant les images d’une armée syrienne avançant à grands pas et triomphalement vers la victoire finale contre les employeurs de cet entremetteur des terroristes islamistes. «Tout le monde sait que la réconciliation en Algérie a anéanti toutes les revendications du peuple algérien et conduit au retour de l’armée et des services secrets au pouvoir avec plus de puissance, après qu’ils eurent massacré des centaines de milliers et détruit le pays durant une décennie», ergote ce propagandiste dont l’émission sur Al-Jazeera consiste à transformer le plateau en ring pour augmenter l’audience d’une chaîne qui agonise et qui s’éteint. «Aujourd’hui, ils veulent exporter cette expérience en Syrie pour que le régime revienne avec une nouvelle légitimité sous des titres aussi pompeux que la "réconciliation" et la "concorde" nationales», s’affole ce membre du mouvement intégriste des Frères musulmans, qui n’a pas encore digéré la déconfiture de sa secte en Egypte qu’il se surprend à avaler de travers le retournement de situation en Syrie en faveur du peuple syrien résistant. Le charlot d’Al-Jazeera lance un cri de détresse avant de succomber à sa profonde blessure morale lorsque la Syrie retrouvera enfin la paix : «Les Syriens ont-ils payé le prix d’un million de martyrs et de millions de déplacés et perdu tous leurs biens pour qu’en retour ils bénéficient de la grâce du bourreau du siècle Bachar Al-Assad ?» rumine-t-il, abattu. La panique est à son comble chez tous ces attiseurs de haine payés en dollars sonnants et trébuchants et confortablement installés dans la capitale qatarie, loin du tumulte de la sale guerre et des horribles massacres. Leur fin est heureusement proche.
Karim Bouali

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