HIICE : pourquoi Bouteflika refuse nos propositions ?

Par Smaïl Saïdani – En homme averti, Bouteflika a bien perçu le sens des propositions de l’opposition concernant les élections à venir. Il en a mesuré les dangers, sachant que le peuple, s’il fait semblant de ne pas s’intéresser à la chose politique, hait son modèle de gouvernance et tout ce qui va avec (partis, associations, personnalités). Pour perpétuer «sa» postérité, il n’a pas trouvé mieux que de constitutionnaliser la haute commission chargée expressément de valider «la fraude», tout juste le contraire de ce que proposait l’opposition. En effet, à la lecture des recommandations contenues dans la plateforme de l’opposition remise à au directeur du cabinet de la Présidence et chef du RND (Ouyahia), ces recommandations insistaient sur la création d’une instance indépendante «de l’exécutif» et dont l’ensemble des membres y compris son président devrait être élu, chacun par sa corporation (conseil, ordre) et non désigné comme veut l’imposer le Président et ses partis larbins et fraudeurs. L’opposition voulait d’une instance à composante réduite, pour plus d’efficacité (10 à 11 membres), le Président cherche à créer une «galerie» de 410 tubes digestifs. L’opposition voulait d’une instance indépendante, tandis que le Président veut imposer ses hommes à lui.

Ce que propose l’opposition et ce qu’impose le Président

Regroupée pour la première fois depuis l’indépendance sous le même chapiteau à Zéralda, le 10 juin 2015 (partis politiques, société civile, personnalités), l’opposition toutes tendances confondues, après analyse de la situation générale, est arrivée à s’entendre sur une feuille de route de sortie de la crise dont est responsable le pouvoir issu des viols successifs de la Constitution et des fraudes électorales. Cette feuille de route de sortie de la crise de confiance (pouvoir-opposition-citoyen) insistait sur un point fondamental : l’institution d’une «instance indépendante» des élections et référendum.

Instance indépendante par rapport à qui et pourquoi ?

De la bouche même du Président et de ses deux lieutenants que sont Saïdani et Ouyahia, les élections en Algérie n’ont jamais été propres, honnêtes et légales. Il est tout à fait inadmissible que dans un Etat dont la Constitution garantit théoriquement la séparation des trois pouvoirs, un des trois pouvoirs, entendre l’exécutif (intérieur, justice) puisse gérer une opération qui concerne un autre pouvoir (législatif) sans en altérer les résultats au profit de son ou ses partis. Saïdani parle de quotas et Ouyahia de concussion et argent sale, et Bouteflika de fraudes à la Neaglen. C’est pour plus d’équité et de probité que l’opposition dans ses propositions insistera sur un point essentiel. L’ensemble des membres de l’instance devrait être élu et non coopté.

Le Parlement : auguste instance ou sinistre vaguemestre ?

Pour contrer les propositions de l’opposition qui allaient sonner la fin de la gabegie politique, le pouvoir occulte se mettra à l’œuvre. Préparer dans ses chambres noires tout un arsenal juridique anticonstitutionnel et antinational. Il accouchera primo d’un texte éliminatoire des partis dûment agréés par la force de la Constitution en imposant un seuil même aux partis nouvellement créés, allant à l’encontre du principe universel de non-rétroactivité de la loi et secundo, en instituant une «haute commission, non pas de contrôle, mais plutôt de couverture légale de la fraude, bien évidement au seul profit des partis-appareils (FLN/RND), dont le premier confisque un des attributs essentiels de la Révolution, propriété du peuple, et le second né et maintenu par la fraude.

Pourquoi le Président ne tient-il pas ses engagements ?

Tous les Algériens se souviennent de son discours, celui prononcé le 8 mai 2012 à Sétif, à la veille des législatives. Ce jour-là et publiquement, il avait reconnu «la fraude» électorale. Les élections à la Neaglen, c’est fini, avait-il dit tout haut. Lui emboîtant le pas, ses deux porte-voix (Ouyahia et Saïdani) confirmeront les dires de leur maître. Pour le fils du sable, auto-expatrié à Neuilly, les sièges à l’APN répondaient au critère des quotas en fonction du degré d’allégeance et/ou servilité. Et au directeur du cabinet du Président d’enfoncer le clou. Publiquement, il accusera son alter ego, le FLN, d’avoir usé de l’argent sale, de la chkara, allant jusqu’à déterminer le montant des concussions. Entre 7 et 10 milliards. Ce ne sont pas les paroles d’une coiffeuse (?), mais d’un VIP. Qu’a fait la justice ? S’est-elle autosaisie ? Des accusations d’une telle importance ne devraient pas passer inaperçues. Hélas !
Les deux textes sont déposés au Parlement, ce vaguemestre de la République dont la mission n’est plus de contrôler l’action du gouvernement, mais bien d’y apposer le sceau de la démocratie sur des textes qu’il n’a le droit ni de discuter encore moins amender ou refuser. Les pseudo-représentants du peuple, tout heureux, n’ont plus qu’un seul rôle, se remplir la panse (restaurant) et lever haut les mains.

Une haute commission de contrôle composée de 410 membres

C’est quoi ce cheptel ? 410 tubes digestifs à prendre en charge par ce temps de vaches maigres ? 410 gros bébés pour remplir une autre crèche pour adultes avec pour mission de «légitimer la fraude». Qui contrôlerait-elle ? L’administration (pouvoir exécutif) source de tous les dépassements avant, pendant et après les scrutins ? Elle en est un appendice. Se sentant de plus en plus lâché par l’extérieur sur lequel il a basé sa stratégie d’abuser du pouvoir et par la population qui ne croit plus au messie, le pouvoir absolutiste cherche plutôt à verrouiller par des moyens peu orthodoxes le champ politique à son seul profit et au profit de sa clientèle. Alors, pour contrer l’opposition qui voudrait des élections propres, honnêtes et crédibles, proposer une haute commission. Une véritable soupape de sécurité dont la mission est empêcher toutes formes de fraude électorale, ce qui redonnera peu à peu au citoyen l’envie de renouer avec l’acte civique et participer indirectement à la construction de la grande maison Algérie sur des bases de probité, de loyauté et d’équité.

J’incarne le peuple, je fais ce que bon me semble

Le Président a un penchant formidable pour la cooptation. Il ne s’en prive pas, chaque fois qu’il en éprouve le besoin. La famille, les amis, les copains… Peu importe les qualités morales et intellectuelles. Peu importe la probité, la compétence. Seuls critères, l’allégeance, la servilité. Pour preuve, le Conseil constitutionnel, le Parlement où se retrouve Amar Ghoul, un homme qui personnifie la faillite. Il n’en est pas le seul. D’autres qui ont saboté, qui l’éducation, qui l’agriculture, qui la santé, qui le sport, ont eux aussi été remerciés pour… faillite. Le Sénat est devenu un lieu, un centre de repos de tous les faillis du système.
Pour parer à tous les imprévus, lors des joutes à venir, le Président et son entourage ont décidé de tout verrouiller. Seuls les bons serviteurs seront récompensés et feront partie de l’aréopage devant meubler la future haute commission chargée d’organiser la fraude électorale, avant par l’accréditation des listes, pendant la campagne en fermant les yeux sur l’usage de l’argent sale et toutes autres formes de dépassements et enfin par la répartition des sièges selon le degré d’allégeance et de larbinage. Selon le texte en cours de validation, la composante de celle-ci sera constituée pour moitié de magistrats et pour moitié de compétences nationales.

Qui sont-ils ? Quel rôle joueront-ils ?

Par magistrats (205), il faut entendre ceux qui ont déjà fait preuve de «bonne» conduite lors des élections législatives de 2012 et des présidentielles de 2014. C’est juste la forme qui change. Qui ne doute pas de la probité de ces magistrats désignés ? Les partis politiques ? La presse indépendante ? Le citoyen lambda ? Comment ne pas douter de l’alignement de ces magistrats «désignés» compte tenu du passif que véhicule la commission des juges (2012-2014), qui avait cautionné de bout en bout les différentes étapes de ces élections. Tout le monde a vu les fraudes et dépassements sauf la commission des juges qui n’a rien vu, rien entendu, rien constaté. Pour elle, tout était nickel, contrairement au rapport de la commission politique (partis) et celui établi par les observateurs de l’Union européenne qui avaient remis à la Présidence un rapport énumérant pas moins de 39 cas de dépassements et fraudes lors des législatives.

Et puisque le pouvoir ne voulait pas prendre en considération ces remarques, l’UE avait décliné l’invitation qui lui avait été faite pour les présidentielles, pour ne pas faire dans le «faux témoignage». Les raisons qui ont emmené l’opposition à réclamer une instance indépendante sont la conséquence logique qu’en Algérie, il n’existe qu’un seul pouvoir. Omniprésent et omnipotent, celui-ci domine et le pouvoir législatif transformé en chambre d’enregistrement et le pouvoir judiciaire chargé de l’homologation des décisions prises par le cabinet exécutif. Cette soumission et allégeance à l’exécutif, les Algériens l’ont bien entendu. Lors du traitement du scandale du siècle, séance tenante, le juge qui présidait les débats avait dit reconnu être incapable de convoquer pour comparution un ministre. Qu’il n’était qu’un petit juge. La non-autosaisine dans les affaires d’enrichissement illicite, les blanchiments d’argent, les trafics de change suivis d’exportations frauduleuses, l’enrichissement illicite… toutes ces affaires n’ont pas fait bouger la machine judiciaire. Par contre, dans des affaires commerciales licites, faites au-devant d’un officier public du rang de magistrat (notaire) conformément au code commercial, c’est toute la machine qui s’est mise en branle.

Evidemment, si Nessprod faisait partie du FCE et versait la dîme, l’opération aurait été plutôt la bienvenue. Nous aurions bien applaudi si la machine judiciaire qui devrait être égale pour tous s’autosaisissait contre ces pseudo-officiels en poste cités directement ou par descendance pour certains dans des acquisitions de biens immobiliers à l’étranger avec ouverture de comptes illicites dans les paradis fiscaux. Ne sont-ils pas coupables vis-à-vis du fisc pour dissimulation de richesse, blanchiment d’argent, trafic de change et exportations frauduleuses Benchicou, alors qu’il transportait son propre argent vers l’Algérie (Paris-Alger) avait été inculpé et condamné à deux longues et douloureuses années dans les geôles de Zerhouni qui l’avait averti. «Tu paieras ton livre.» Rebrab, parce qu’il refuse de se soumettre au diktat des nouveaux nababs, risque sans état d’âme de connaître le même sort. On lui a déjà fait perdre quelque 400 milliards. Les Chakib, Bouchouareb, Saïdani, Ghoul, et tout le reste du clan, peuvent disposer comme bon leur semble des biens du peuple, en jouir et y jouir, qui à Paris, qui à Londres, Washington et ailleurs, sans aucun souci. Les partis de l’opposition sont confortés plus que jamais qu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs. Que l’abus s’est généralisé. Qui n’est pas avec lui est contre. Il faut l’abattre. Telle semble être sa devise.

Comment ne pas en prendre compte, lorsque des hommes de loi (50 avocats), soutenus par le premier représentant de «Son Excellence», Ksentini pour ne pas le nommer, déclarent publiquement que le pouvoir judiciaire est soumis aux ordres et injonctions du pouvoir exécutif. Que nous reste-t-il, nous partis politiques opposants, à attendre de magistrats désignés. Par panel de compétences (205), représentant la société civile, désignées par le Cnes, ce sont en fait des représentants des organisations budgétivores du pouvoir que sont l’UGTA, l’UNPA, l’UNFA, les fonctionnaires, etc., des flagorneurs, courtisans et larbins du roi et/ou du prince, dont le seul sport qu’ils savent pratiquer est celui de faire plaisir au maître des lieux. Et puis depuis quand ce «machin», le Cnes, est-il devenu si compétent ? En dehors des rencontres cycliques avec le gouvernement dans des opérations «photo souvenirs», peut-on nous énumérer au moins une seule bonne action qu’il a faite. Du vent dans les filets.

Nos propositions et celles du pouvoir

La distance qui sépare les deux propositions est énorme. Nous voulions d’un organe totalement indépendant de l’exécutif (présidence- intérieur-justice), avec une composante souple, mais efficace, et dont l’ensemble des membres devrait être élu chacun par l’organisation de laquelle il relève – HCM,Ordre des avocats, Cnes (enseignement supérieur), Ordres des experts. Le pouvoir, lui, cherche à désigner «ses» hommes de main. Son président, nous le voulions élu par les membres de l’instance. Le Président veut choisir «son homme», une marionnette comme le furent Béjaoui et Teguia…), des faire-valoir, des authentificateurs de la fraude. L’exemple le plus ridicule est personnifié par le Conseil constitutionnel. L’opposition le voulait restreint. Le Président veut en faire une galerie (souk de gros). Nous estimons qu’il devrait compter entre huit à dix membres, tous élus et remplissant des critères d’éligibilité rigoureux. Le Président veut avoir un cheptel de 410, tous pris en charge par le budget de l’Etat au moment où le pays s’enfonce dans la tragédie de l’après-pétrole.

Nous voulons de compétences aux critères rigoureux :
– être électeur;
– être âgé d’au moins 40 ans ;
– jouir des droits civils et politiques ;
– répondre aux critères d’intégrité, d’indépendance et d’impartialité ;
– n’ayant aucun lien organique avec les partis politiques depuis au moins dix années.

Sa composante devrait comporter 10 à 11 membres tels que défini ci-après :
– deux juges élus par le Conseil supérieur de la magistrature ;
– deux avocats élus par l’ordre national des avocats ;
– un professeur d’université spécialisé en droit public élu par le Cnes (enseignement supérieur) ;
– un professeur d’université en droit constitutionnel élu par le Cnes (enseignement supérieur) ;
– un spécialiste en informatique avec une expérience dans le logiciel et dans le domaine des systèmes informatiques et de sécurité d’au moins dix ans d’expérience (suivi du fichier national) ;
– un à deux experts des médias, de la propagande et de la publicité ayant une expérience d’au moins cinq années ;
– un expert-comptable élu par l’Association nationale des experts, ayant une expérience d’au moins dix ans ;
– un professeur en sociologie.
Ces membres se réunissent de plein droit et élisent parmi eux le président, un ou deux vice-présidents et attribuer à chaque membre sa fonction au regard de sa spécialisation. L’instance établira son cahier des charges soumis au vote. L’instance jouit de la personnalité juridique, de l’autonomie financière et administrative.

Mission de l’instance

Sa mission principale consistera à superviser les élections et référendums à venir de telle sorte que ceux-ci devraient se dérouler de manière démocratique, libre, pluraliste, équitable et transparente loin de toutes interférences de l’exécutif (intérieur et Justice). En relation directe avec les services administratifs (ministères et collectivités locales), elle sera chargée de :
– la tenue du registre des électeurs sur une base continue en collaboration avec tous les ministères et institutions publiques ;
– superviser les révisions périodiques des listes électorales pour chaque élection ou référendum ;
– veiller à garantir le droit de vote pour tous les citoyens et les citoyens ;
– assurer l’égalité de traitement entre tous les électeurs, tous les candidats et tous les acteurs lors des opérations de vote ;
– mettre au point des mécanismes de réglementation, de gestion et de contrôle garantissant la transparence et l’intégrité des élections et des référendums ;
– assurer le bon dépouillement des votes et l’annonce des résultats préliminaires et définitifs des élections et des référendums ;
– élaborer un code de bonne conduite garant définissant les principes d’intégrité, de transparence, d’impartialité et du bon emploi des deniers publics et l’absence de conflits d’intérêts ;
– accréditer des représentants des candidats, des observateurs, des journalistes, locaux et étrangers, ainsi que celle des invités et des traducteurs qui travaillent avec eux dans les bureaux de vote à l’étranger ;
– arrêter la composition des superviseurs ;
– définir les programmes de sensibilisation et d’éducation électorale. Une coopération dans ce domaine doit être établie avec toutes les composantes des partis politiques, de la société civile, actives dans le domaine des élections nationales et internationales ;
– définir les règles des campagnes électorales, surveiller et prendre les décisions nécessaires pour imposer le respect de la loi ;
– surveiller le financement public des campagnes électorales et prendre les décisions nécessaires en prenant soin de l’égalité entre tous les candidats ;
– pour le bon développement du système électoral, soumettre chaque fois que cela est utile des propositions aux partis politiques, à faire adopter par le Parlement ;
– d’exprimer une opinion à tous liée aux élections et les référendums des projets de textes ;
– préparer un rapport spécial sur l’état d’avancement de chaque processus électoral ou référendum au plus tard trois mois à compter de la date de l’annonce des résultats définitifs présentés au président de la République et le Parlement pour approbation, et publié au JORADP et sur le site web de l’instance ;
– en matière de transparence, préparer un rapport annuel sur l’activité de l’instance pour l’année écoulée et le programme de travail pour l’année qui va suivre, à présenter au Parlement à l’occasion du vote du budget annuel qui sera impérativement publié au JORADP et sur le site officiel de l’instance.
Telles sont nos propositions qui ne semblent pas arranger les affaires des amateurs en eaux troubles.

Le plus tôt serait le mieux

Telle est la devise de Jil Jadid. Nous sommes prêts à l’aider à trouver la solution idoine lui permettant de partir. Le plus tôt serait le mieux. Il est exclu pour nous de donner à un pouvoir failli une nouvelle légitimité. Il est exclu pour nous de l’accompagner. S’y acoquiner serait une trahison à notre serment. A nos principes. A notre volonté de changement.

Ils ont failli, ils assument

En fait, c’est quoi un failli ? N’est-ce pas un responsable qui après avoir usé et abusé d’un bien commun se dirige tout droit vers les récifs, tel le Titanic. Et que prévoient les lois divines et celles positives à l’égard d’un prodigue ? N’est-ce pas l’interdiction de toutes actions de gestion sur ses propres biens sans compter la perte même de ses droits civiques. C’est qu’un prodigue est assimilé à un fou. Ils le disent bien. Ils assument la faillite dans la gestion du pays. C’est quand même un ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, qui le dit haut et fort qu’ils ont été incapables et qu’ils sont tous responsables de cette situation de faillite, de gabegie.

S. S.
Cadre Jil Jadid

Ndlr : Les idées et opinions exprimées dans cet espace n’engagent que leurs auteurs et n’expriment pas forcément la ligne éditoriale d’Algeriepatriotique.

 

Comment (30)

    alhikma
    30 juillet 2016 - 9 h 03 min

    ce qui manque à l’opposition
    ce qui manque à l’opposition c’est un organe commun, qui relève de toutes les tendances confondues, qui est donc créé et chapeauté collectivement par tous, à la seule condition – précision de taille – que cette OPPOSITION prouve par ses positions, ses actions, ses idées et ses comportements de tous les jours qu’elle est mue uniquement par la recherche et la défense de l’intérêt NATIONAL et qu’elle est exclusivement au SERVICE DU PEUPLE. L’organe dont il s’agit est précisément le moyen qui permettra à cette OPPOSITION, d’être toujours à l’écoute du PEUPLE, à connaître en permanence ce à quoi pense, rêve, aspire, souhaite CE PEUPLE. Donc à sortir de cette véritable ornière qui la maintien dans un oued lorsque LE PEUPLE est dans un autre OUED. CET ORGANE, outil, instance, ou institution (APPELEZ LE COMME VOUS VOULEZ !), lui permettra à l’aide DU SONDAGE, ( qui n’a pas été utilisé pour rien par les vraies démocraties), de connaître les aspirations DU PEUPLE, dans tous les domaines de la vie EN SOCIETE, de manière surtout, à ne pas s’en éloigner et de travailler constamment AU SEIN DU PEUPLE . EN un premier temps et en attendant que le temps apporte des améliorations, les sondages pourraient sans délai être lancés dans une rubrique spéciale par AP , sous la supervision et le contrôle d’une instance relevant de l’OPPOSITION. La première opération, le premier sujet d’importance pourrait être :  » ETES-VOUS POUR RESTER OU SORTIR DE LA LIGUE ARABE ? REPONDEZ PAR OUI OU PAR NON. Et à chaque jour, un sujet. les moyens modernes existent : INTERNET + ALGERIE PATRIOTIQUE = symbiose, coordination, solidarité, union OPPOSITION – PEUPLE. UNIQUE CONDITION DE REUSSITE : CONFIANCE ET FOI EN L’AVENIR DU PAYS. Salam

    alhikma
    30 juillet 2016 - 9 h 03 min

    ce qui manque à l’opposition
    ce qui manque à l’opposition c’est un organe commun, qui relève de toutes les tendances confondues, qui est donc créé et chapeauté collectivement par tous, à la seule condition – précision de taille – que cette OPPOSITION prouve par ses positions, ses actions, ses idées et ses comportements de tous les jours qu’elle est mue uniquement par la recherche et la défense de l’intérêt NATIONAL et qu’elle est exclusivement au SERVICE DU PEUPLE. L’organe dont il s’agit est précisément le moyen qui permettra à cette OPPOSITION, d’être toujours à l’écoute du PEUPLE, à connaître en permanence ce à quoi pense, rêve, aspire, souhaite CE PEUPLE. Donc à sortir de cette véritable ornière qui la maintien dans un oued lorsque LE PEUPLE est dans un autre OUED. CET ORGANE, outil, instance, ou institution (APPELEZ LE COMME VOUS VOULEZ !), lui permettra à l’aide DU SONDAGE, ( qui n’a pas été utilisé pour rien par les vraies démocraties), de connaître les aspirations DU PEUPLE, dans tous les domaines de la vie EN SOCIETE, de manière surtout, à ne pas s’en éloigner et de travailler constamment AU SEIN DU PEUPLE . EN un premier temps et en attendant que le temps apporte des améliorations, les sondages pourraient sans délai être lancés dans une rubrique spéciale par AP , sous la supervision et le contrôle d’une instance relevant de l’OPPOSITION. La première opération, le premier sujet d’importance pourrait être :  » ETES-VOUS POUR RESTER OU SORTIR DE LA LIGUE ARABE ? REPONDEZ PAR OUI OU PAR NON. Et à chaque jour, un sujet. les moyens modernes existent : INTERNET + ALGERIE PATRIOTIQUE = symbiose, coordination, solidarité, union OPPOSITION – PEUPLE. UNIQUE CONDITION DE REUSSITE : CONFIANCE ET FOI EN L’AVENIR DU PAYS. Salam

    Tarik
    26 juillet 2016 - 8 h 44 min

    Bouteflika n’a t-il pas dit
    Bouteflika n’a t-il pas dit lors de son interview a F2 je crois : » je suis le peuple algérien, je suis l’Algérie »….un megalo-egocentrique qui fait en effet ce qu’il veut et à l’evidence il pensait reelement ce qu’il disait. Purée jusqu’à quand ce cauchermar?!!!!

    Tarik
    26 juillet 2016 - 8 h 44 min

    Bouteflika n’a t-il pas dit
    Bouteflika n’a t-il pas dit lors de son interview a F2 je crois : » je suis le peuple algérien, je suis l’Algérie »….un megalo-egocentrique qui fait en effet ce qu’il veut et à l’evidence il pensait reelement ce qu’il disait. Purée jusqu’à quand ce cauchermar?!!!!

    Izak
    25 juillet 2016 - 5 h 52 min

    Tout simplement ce BOUTEF se
    Tout simplement ce BOUTEF se croyait l’éternel ,il incarnait tout les pouvoirs !!..spirituels ,législatifs ,exécutifs ….Il a mis l’Algérie a genoux ,soumise aux prédateurs …

    Izak
    25 juillet 2016 - 5 h 52 min

    Tout simplement ce BOUTEF se
    Tout simplement ce BOUTEF se croyait l’éternel ,il incarnait tout les pouvoirs !!..spirituels ,législatifs ,exécutifs ….Il a mis l’Algérie a genoux ,soumise aux prédateurs …

    Anonymous
    21 juillet 2016 - 12 h 07 min

    IL Y A RIEN A ATTENDRE DE
    IL Y A RIEN A ATTENDRE DE CETTE MAFFIA. Soit l’opposition mobilise la rue, soit elle s’adresse aux instances internationales en leur faisant comprendre que c’est des régimes autistes comme ça qui poussent leurs peuples dans les rangs de daesh ET METTENT LA PLANETE EN DANGER.

    Anonymous
    21 juillet 2016 - 12 h 07 min

    IL Y A RIEN A ATTENDRE DE
    IL Y A RIEN A ATTENDRE DE CETTE MAFFIA. Soit l’opposition mobilise la rue, soit elle s’adresse aux instances internationales en leur faisant comprendre que c’est des régimes autistes comme ça qui poussent leurs peuples dans les rangs de daesh ET METTENT LA PLANETE EN DANGER.

    Cassiopée
    21 juillet 2016 - 11 h 30 min

    L’auteur de l’article est
    L’auteur de l’article est contemporain de la personne qu’ ‘il semble stipendier. Ils ont été aux affaires ensemble sous le règne de Boumediene dont ils furent les collaborateurs. La justesse de ses analyses pertinentes ne le dédouane aucunement du fait qu’il fut acteur de l’Algérie naissante .Et qu’au nom des critères de l’époque, il a, à l’instar de ses pairs adoubé les décisions qui s’imposaient dans le contexte de cette période. Est-il de bon ton de s’exprimer lorsqu’on fut partie prenante de ce qui a été engendré .Ne fut-ce pas judicieux, jadis, de se positionner en quittant le sérail ? Le silence n’est pas une forme d’opposition Il est synonyme d’acquiescement. Il en est qui n’acceptèrent pas le panthéon de la figuration. Leur éloignement et leur silence à ce jour, méritent méditation.

    Cassiopée
    21 juillet 2016 - 11 h 30 min

    L’auteur de l’article est
    L’auteur de l’article est contemporain de la personne qu’ ‘il semble stipendier. Ils ont été aux affaires ensemble sous le règne de Boumediene dont ils furent les collaborateurs. La justesse de ses analyses pertinentes ne le dédouane aucunement du fait qu’il fut acteur de l’Algérie naissante .Et qu’au nom des critères de l’époque, il a, à l’instar de ses pairs adoubé les décisions qui s’imposaient dans le contexte de cette période. Est-il de bon ton de s’exprimer lorsqu’on fut partie prenante de ce qui a été engendré .Ne fut-ce pas judicieux, jadis, de se positionner en quittant le sérail ? Le silence n’est pas une forme d’opposition Il est synonyme d’acquiescement. Il en est qui n’acceptèrent pas le panthéon de la figuration. Leur éloignement et leur silence à ce jour, méritent méditation.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 17 h 59 min

    SKUZ a quoi correspond les
    SKUZ a quoi correspond les initiales HIICE

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 17 h 59 min

    SKUZ a quoi correspond les
    SKUZ a quoi correspond les initiales HIICE

    Aherbebou
    17 juillet 2016 - 23 h 02 min

    Qui connait le conte de « la
    Qui connait le conte de « la vache des orphelins »? l’Algérie est similaire á cette vache pour une catégorie de personnes au pouvoir et leurs larbins.Si le peuple ne fait rien actuellement,Les générations futures vivrons sous le joug de la progéniture des gouvernants actuels et même de géneration en génération et la vache « ALGÉRIE » ne tarira jamais pour eux et même ne mourra jamais.Il n’est pas impossible qu’elle sera vendue á un acquéreur étranger.

    riadh
    17 juillet 2016 - 15 h 31 min

    Bravo a Jil Jadid qui est un
    Bravo a Jil Jadid qui est un faisceau lumineux dans ce pays condamné, par ce régime, a croupir dans les ténèbres éternelles du sous développement économique et social, de l’autoritarisme politique et de la déchéance des valeurs… si rien n’est fait par les patriotes nationalistes. Alors?

    la vérité si je mens
    17 juillet 2016 - 2 h 11 min

    une nation a la dérive elle
    une nation a la dérive elle est dirigée par des chanteurs de rai venant de l’ouest et des joueurs de derbouka venant de l’est;quant aux autres citoyens ils font la danse du canard;un pas en avant deux en arrière;une nation qui pratique le régionalisme n’a jamais reussi;

      d.taibi
      25 juillet 2016 - 20 h 37 min

      et toi tu te situe ou?
      et toi tu te situe ou?

      d.taibi
      25 juillet 2016 - 20 h 37 min

      et toi tu te situe ou?
      et toi tu te situe ou?

    Erdt
    16 juillet 2016 - 22 h 12 min

    Le mieux c supprimer l’apn,le
    Le mieux c supprimer l’apn,le sénat le conseil constitutionnel…tout supprimer,les partis politiques aussi. Laisser faire comme ils veulent jusqu’à ce que le peuple doit mûr,car il ne l’est pas,ne s’intéresse pas aux partis ni à la politique. Chacun se démerde.

    les damnes de la terre
    16 juillet 2016 - 14 h 25 min

    Mr le president n est pas la
    Mr le president n est pas la pr prendre en compte vos propositions parce que tt est calcule et decede a l avamce.et c juste in acte de forme pr prendre a temoin l opinion nationale et imternationale ke tel ou tel texte emane de la volonte populaire representee par les partis politiques la societe civile et les personnalites politiqies

    MELLO
    16 juillet 2016 - 12 h 02 min

    Feu Hocine AIT AHMED , à la
    Feu Hocine AIT AHMED , à la veille d’un anniversaire du 5 juillet 1962:
    -Pour que l’Etat soit de nouveau l’incarnation des rêves d’un peuple et le garant de la défense de ses intérêts… Pour qu’il ne soit plus ce cauchemar qui fait fuir par milliers nos jeunes. Et les moins jeunes… Il est utile, voire vital de préciser certaines choses. Chaque lutte renvoie au contexte historique et à l’environnement international qui sont les siens. Il s’agit d’être clair sur les combats à mener aujourd’hui.

    L’Etat d’aujourd’hui n’est pas à confondre avec l’Etat colonial. Mais il s’agit également d’avoir la lucidité de voir que l’Etat algérien d’aujourd’hui confisqué par une caste prédatrice ne répond plus aux aspirations du peuple et de la société. Aux attentes de tous les Algériens et de toutes les Algériennes dans la diversité de leurs aspirations à la liberté et à la dignité.

    Faire œuvre utile en politique aujourd’hui c’est aussi expliquer en quoi l’Histoire, la nôtre, s’est appuyée sur l’esprit millénaire de résistance qui caractérise cette terre.
    Cette Histoire, pour se faire, s’est également appuyée sur les instruments de la modernité universelle.

    L’Etat moderne est un Etat au service d’un peuple dont il garantit la liberté, le développement et la sécurité et en retour, le peuple est le garant de la pérennité de cet Etat, quand ce dernier repose sur la liberté de la société et des individus qui la composent.
    Au moment de célébrer les espoirs soulevés par les victoires du passé, au moment d’évoquer, comme ce soir, les victoires sur le colonialisme, il ne faut surtout pas, en ces temps si durs pour notre peuple, il ne faut surtout pas oublier qu’avant de triompher du colonialisme, nous avions d’abord triomphé des limites qu’il était parvenu à imposer à notre audace autant qu’à notre action.
    Les enjeux dépassent plus que jamais les considérations de personne, de région ou d’appareil. Nous ne pourrons faire l’économie de révisions déchirantes si nous voulons refonder l’Etat et la nation.

    Loin des fausses solutions, des faux dialogues, des manœuvres de sérail destructrices. Cela passe aussi par le respect des conventions et pactes internationaux signés par l’Algérie, notamment en matière de droits de l’homme et de protection des populations. Qui plus est au moment où le trop-plein de souffrance et d’épreuves provoque partout et sous toutes les formes manifestations et dissidence, signes d’une détermination nouvelle à ne plus accepter l’inacceptable. Le FFS propose une conférence de consensus national qui s’articule autour des axes suivants :

    – L’élaboration d’un contrat politique, Il s’agit d’un engagement public et sans ambiguïté des différents acteurs pour :

    – le respect des libertés fondamentales, individuelles et collectives ;

    – le respect et la promotion des droits de l’homme ;

    – le respect des pluralismes politique, culturel, linguistique et confessionnel ;

    – la non utilisation de la religion à des fins de restriction du champ des libertés ;

    – le rejet de la violence comme moyen d’expression ou comme mode de gestion et de règlement des conflits.
    C’est en effet aux Algériennes et aux Algériens – et à eux seuls – qu’il appartient de reconstruire un Etat en lui donnant des fondements garantissant la séparation et l’équilibre des pouvoirs, l’indépendance de la justice, la non utilisation de la religion à des fins de restriction des libertés, le respect de tous les pluralismes, l’égalité entre hommes et femmes, le respect et la promotion des droits de la personne humaine et un système politico – administratif consacrant la démocratie décentralisatrice et participative.

    Anonymous
    16 juillet 2016 - 10 h 24 min

    Tant qu’on mélange la
    Tant qu’on mélange la révolution, la religion à la politique,y’aura jamais des élections propres.J’entend dire que le présidant prépare sa succession ce qui veut dire que 2019 ne sert à rien.Il est presque l’heure qu’il aille se reposer dans sa pyramide.On verra après.

    lhadi
    16 juillet 2016 - 10 h 23 min

    bien lire : … ou qu’elles
    bien lire : … ou qu’elles soient arrogantes, amorales, sont aveuglées par la cécité mentale :… (merci)

    lhadi
    16 juillet 2016 - 9 h 43 min

    Dans une société soumise à la
    Dans une société soumise à la seule loi de l’argent comme la notre, où la simple rumeur devient vacarme, l’arme la plus redoutable est la vérité ; celle qui ne ment jamais à la vérité, c’est-à-dire celle des faits.
    En vérité, le mal, qui ronge la société algérienne, provient du fait que toutes les têtes pensantes, qu’elles soient sincères, honnêtes, patriotes ou qu’elles soient arrogants amoraux sont aveuglés par la cécité mentale : les unes et les autres n’ont pas su allier la conscience révolutionnaire à l’efficacité du monde moderne.
La réalité, c’est que l’Algérie, d’aujourd’hui, marche à l’envers. Il faut, donc, la remettre à l’endroit.
Ainsi,une idée-force fait de plus en plus son chemin pour dépasser les absurdités de cette politique aux antipodes de l’honnêteté intellectuelle : la solution des problèmes exige une transformation profonde des structures politiques et économiques du pays. Cette évolution s’inscrit dans l’évolution qui caractérise plus généralement le monde entier.
    Ce qui me conduit à la conclusion que nous sommes entrés dans une période de grandes batailles politiques dont le véritable enjeu tient dans des termes simples : Maintien du régime failli ou établissement d’un régime nouveau de démocratie politique et économique ouvrant la voie à la construction d’un Etat fort, d’une république solide, d’une Algérie moderne, apaisée et conquérante face aux enjeux et aux défis qui nous assaillent.
    C’est dans la compréhension du sens de cette analyse que nous devons puiser la volonté et la capacité d’infléchir le cours de cette mauvaise politique qui pénalise toute thérapie et les moyens thérapeutiques pour guérir notre pays, ô combien malade de l’incompétence et l’incohérence : acte de naissance de la médiocrité, et, source d’instabilité et d’un futur de larmes et de sang.
Pour plus d’efficacité et gage de succès, il faut, d’une part, ne pas descendre dans l’arène politique l’arme à la bretelle et d’autre part, s’adresser au peuple et uniquement au peuple, avec les mots qui conviennent afin qu’une insurrection des consciences puisse se mettre en marche vers la seule voie qui vaille ; celle du libre choix que les algériens voudront bien faire de leur avenir.
    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Anonymous
    16 juillet 2016 - 8 h 59 min

    Mais tu veux que tout soit
    Mais tu veux que tout soit clair et qu’ils ne pourraient plus traficoter les listes et les résultats des élections. Tu leur demande beaucoup tu veux que le voleur ne vole plus, le menteur ne ment plus.

    FELLAG
    15 juillet 2016 - 21 h 29 min

    etes-vous sure qu’il existe
    etes-vous sure qu’il existe bien un vrai président élu démocratiquement par une majorité de la population en algérie,mon avis personnel c’est, non;non;plutot un chef de tribu ou de clan;choisi par ces derniers pour pilier et saccagé les richesses de notre pays et partir chez nos pires ennemis;il suffit d’analyser la personnalité des personnes qui nous gouverne et vous comprenez vite,que nous sommes a nouveau colonisé sans se rendre compte ou sont-ils les vrais combattants qui ont libéré la nation;certains marginalisé d’autres emprisonné;une vraie nation doit etre gouverné par ses propres enfants aux pur sang

    Anonymous
    15 juillet 2016 - 21 h 06 min

    votre article donne la nausée
    votre article donne la nausée . Jil Jadid c’est quoi ? le néant .

    Anonymous
    15 juillet 2016 - 19 h 51 min

    entre le president Bouteflika
    entre le president Bouteflika et les complices des frères musulman égyptiens de Mokri et Djabala dans le Jil Jadid , nous choisirons le moindre mal : le gouvernent de Bouteflika … c’est clair .. nous aurions aimé Zeroual ou Nezzar mais on ne peut pas tout avoir dans la vie …Nous attendrons Jughurtha et nous ne laisserons jamais passer dans notre pays les Daeshs et les Nosra

      New kid
      15 juillet 2016 - 21 h 58 min

      T parais comme un « minstrel »
      T parais comme un « minstrel » qui s’est trompé et a mis de la farine sur son visage au lieu de cirage.

    anti-khafafich
    15 juillet 2016 - 18 h 38 min

    ya si S.S. (« cadre » de jil
    ya si S.S. (« cadre » de jil jadid), pouvez vous nous parler davantage des relations de sofiane jilali avec le maroc ?

      New kid
      15 juillet 2016 - 20 h 27 min

      Ta3araf takoul lakhfaf, mais
      Ta3araf takoul lakhfaf, mais tu ne réponds pas aux problèmes soulevés, yal tube digestif!

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.