CCIAE : rencontre sur les énergies renouvelables à Murcia

Le Cercle de commerce et d’industrie algéro-espagnol (CCIAE), en partenariat avec l’Institut de Fomento, agence de développement de la communauté autonome de la région de Murcia, a organisé, les 19 et 20 janvier, une mission économique à Murcia, en Espagne, portant sur les énergies renouvelables. Destinée aux opérateurs économiques qui activent ou souhaitent investir dans des projets d’énergies renouvelables, cette mission, composée d’une vingtaine d’entreprises algériennes, est venue en réponse à l’Initiative de développement du secteur des énergies renouvelables lancée par les pouvoirs publics en Algérie.

A cette occasion, a été présenté par Fouzi Benzaïd le programme initié par la Direction des énergies nouvelles et renouvelables du ministère de l’Energie algérien et ont été, par ailleurs, organisées des rencontres d’affaires entre entreprises avec des firmes espagnoles spécialisées dans les énergies renouvelables, notamment celles des photovoltaïques et solaires thermiques.

Interrogé sur le déroulement de la mission, Djamel-Eddine Bouabdallah, président du CCIAE, affirme que sa délégation est «très satisfaite de cette mission». «Nous avons, dira-t-il encore, rencontré des entreprises de réalisation de systèmes photovoltaïques, des constructeurs, nous avons pu visiter certaines installations malgré les intempéries. Et surtout,​ en point d’orgue, nous avons visité la FREMM (Federacion Regional de Empresarios del Metal de Murcia) et son école de formation professionnelle composée de dix-huit ateliers et seize classes avec tous les métiers qui se rapportent aux énergies renouvelables. Enthousiasmés, nous avons décidé d’engager rapidement une réflexion pour monter un centre de formation à l’identique en Algérie, bien entendu, avec la collaboration du FREMM.»

C. P.

Comment (4)

    La Cigale
    21 janvier 2017 - 14 h 46 min

    Pour développer et utiliser
    Pour développer et utiliser les moyens techniques permettant de tirer profit des énergies solaires en illimité et à la portée de tous les dirigeants de tous les ingénieurs de tous les hommes de bonnes volontés.
    Ce n’est pas comme maîtriser l’exploration de l’univers et de l’espace qui la demande des ingénieurs expérimentés dans énormément de domaines.

    LOGIQUE
    21 janvier 2017 - 11 h 59 min

    En éspérent que ca profitera
    En éspérent que ca profitera au peuple d’abort avant de ventre cet énergie ailleur !!!
    Le peuple d’abort !!

    Djamel BELAID
    21 janvier 2017 - 11 h 55 min

    Belle initiative que de de
    Belle initiative que de de développer avec des opérateurs espagnols un centre de formation sur les énergies renouvelables. Il nous faut former des jeunes capables d’installer des panneaux photo-voltaiques sur les terrasses de nos habitations, des chauffe-eau solaires, du bio-gaz, des installations pour la biomasse (quid des branchages de nos forêts?). – 1 – Cela réduira le chômage. – 2 – Cela réduira la facture en énergie des ménages.

    Djamel BELAID
    21 janvier 2017 - 11 h 49 min

    Concernant le solaire, on ne
    Concernant le solaire, on ne peut que se féliciter du réveil tardif des pouvoirs publics. Cependant, comme le Pétrole, le Soleil appartient à TOUS les Algériens. A ce titre, si des centrales solaires sont à développer, les autorités doivent permettre au citoyen bassitt de pouvoir installer des panneaux solaires sur sa terrasse et revendre le trop plein d’électricité à Sonelgaz ou à tout opérateur privé.
    A NOTRE HUMBLE AVIS, le citoyen ne doit pas attendre mais s’organiser en associations afin de se former et de s’équiper en petit équipement solaire. C’est quand même une aberration que dans le Sud du pays, l’énergie électrique vienne du gaz et non pas du solaire.

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