Le tour de passe-passe ne passe plus

Par Kamel Moulfi – La CAN-2017 était censée, dans l’agenda du pouvoir, procurer une distraction qui occuperait tout le reste de l’année, la population et surtout sa fraction de jeunes sans perspective qui vivotent dans l’informel ou moisissent dans le chômage, et qui n’ont qu’un seul projet, quitter le pays, d’une façon ou d’une autre.

Sans attendre le résultat du match «décisif» de ce soir, il est permis de dire que ce qui est appelé la débâcle des Verts a conduit à l’échec de cette tentative de diversion. Tout l’attirail mis en œuvre pour le «conditionnement» des jeunes n’a servi à rien. C’est le résultat contraire qui est atteint. Pour la première fois, un pan de la population, y compris dans la jeunesse, a basculé dans la désaffection à l’égard de son équipe nationale de football et n’espère plus rien d’elle.

Les préoccupations quotidiennes et pressantes ont repris le dessus. L’impression qui domine chez les jeunes «ciblés» par cette opération est que tout cela n’est qu’un leurre et derrière «il n’y a rien». Le tour de passe-passe coûteux consistant à ramasser ici et là, à l’étranger, des joueurs, sans qu’ils aient tous, forcément, un talent de niveau international, et à les jeter dans l’arène sur fond de commentaires fanatisés et de chants quasiment guerriers, a trompé quasiment tout le monde un moment, mais a fait son temps. Cette démarche était destinée plus à instrumentaliser les Verts pour le compte du pouvoir qu’à servir la promotion du football, et encore moins du sport dans la société algérienne.

La gestion de la médiocrité par des gens médiocres sur fond d’autoritarisme combiné à l’esbroufe, doit être bannie et remplacée par une démarche sérieuse qui fait confiance aux compétences et les laisse travailler. Cette revendication qui monte de la population sera-t-elle entendue et prise en compte ? Les têtes qui tomberont diront si la leçon de la CAN-2017 a été comprise.

Les sportifs ont remarqué l’absence de l’équipe nationale de handball algérien sur la scène internationale, mais discrètement, dans la même discipline, les U17 font leur chemin. Jusqu’où la médiocrité ambiante les laissera-t-elle aller ?

K. M.

Comment (12)

    Bekaddour Mohammed
    28 janvier 2017 - 4 h 45 min

    Pollution sonore…
    L’article et les commentaires sont vifs, riches, oui l’instrumentalisation du sport aucun adulte ne l’ignore, et comme créneau pour l’argent, etc. Je n’ai jamais mis les pieds dans un stade, payé fut-ce une fois pour assister à quelque compétition que ce fut. Opinion d’un profane donc, jamais fan. Il faut élargir la vision, songez par exemple à un vieillard, désormais impotent, qui depuis son lit suit un match de football à la télévision, son plaisir est d’admirer l’humain dans sa santé, sa jeunesse, ses acrobaties, et deux équipes avec un esprit d’équipe, plus ou moins réussi, comment deux groupes arrivent à « Faire ensemble », deux ensembles à l’oeuvre… Il y a l’ensemble « Algérie », et ses sous ensembles, faisons de l’algèbre ! Ils sont interdépendants, et reflets l’un de l’autre… L’ensemble « Algérie » est le produit, à ce stade, (Ha, les stades !), d’une histoire très dure, il n’a pas été un protectorat, couvé par la mère poule France, comme la Tunisie, mais victime d’un crime des plus grands, il a pourtant vécu en tout, pas seulement en sport, un bel élan qu’une erreur politique a brisé, fatalité ? Un ensemble qui tombera dans l’abime, d’où, là, il remonte, encore émietté, le corps rongé par des médiocres, (oui, ce qualificatif est à sa place, l’article l’a bien pointé, Médiocre et Microbe, et un certain autre mot commençant par M… Devinez !)… Le désordre d’un souk procède de la même maladie que le désordre en politique et en sport, bref dans tous les sous ensembles… Viendra le jour où l’ensemble et ses sous ensembles auront chacun son bon chef d’orchestre, pour le moment ce sont des tuyaux d’échappement percés, des producteurs d’une nuisance appelée Bruit, une pollution sonore ! .

    anonyme
    26 janvier 2017 - 18 h 24 min

    Responsable de la débâcle, il

    Responsable de la débâcle, il ose prétendre avoir le soutien de Bouteflika
    L’heure du départ de Raouraoua a sonné

    La seule réussite que Mohamed Raouraoua a engrangée durant sa déjà trop longue présence à la tête de la puissante fédération du sport roi, c’est d’avoir mis tout le monde contre lui.

    Le football algérien était malade, il est désormais agonisant. Après la déconfiture de l’équipe nationale à la Coupe d’Afrique, une de plus après les échecs précédents, tous les regards, ceux des experts autant que ceux des profanes, convergent vers un seul responsable, autant dire un seul coupable, le président de la FAF. La seule réussite que Mohamed Raouraoua a engrangée durant sa déjà trop longue présence à la tête de la puissante fédération du sport roi, c’est d’avoir mis tout le monde contre lui. Seule une flagrante cécité mentale, voire une cécité tout court, ou une attitude de complicité passive induite par le silence, serait à même d’occulter les ravages causés au football en Algérie sous la gestion unilatérale de cet homme connu pour ses méthodes peu avouables. Si d’aucuns s’attardent à fustiger son ascension fulgurante, alors que son mérite, le seul d’ailleurs, réside dans cette nature de self-made-man, sa propension à décider seul a provoqué ce qu’il n’est pas exagéré de qualifier de «catastrophe» quant à la situation du football. Les résultats calamiteux des Verts déclinent devant l’opinion publique médusée, d’autant plus qu’elle tient aux Verts comme à la prunelle de ses yeux, l’immense fossé qui sépare la valeur incontestable des joueurs, de la série de défaites qu’ils arborent, malgré eux.

    En effet, les qualités intrinsèques des Mahrez, Brahimi et autres M’bolhi se sont avérées aussi efficaces que celle de l’arbre de l’illusion qui cache la forêt de la déconfiture. La seule valse des entraîneurs, dont Raouraoua a été le chorégraphe contre vents et marées, montre sa persistance à ne se fier qu’à son propre bon vouloir, n’en déplaise à la logique et au Smig de jugeote et de connaissances en matière de choix des entraîneurs. Qu’on en juge : Leekens une première fois, Saâdane, Benchikha, Halilhodzic, Gourcuff, Rajevac, et re-Leekens. Malgré toutes les mises en garde émises par toutes le compétences que comprend le pays en matière footballistique et les critiques incessantes de la presse sportive, le même Raouraoua a réduit au strict minimum la préparation de la CAN. Même un amateur, ne connaissant strictement rien à la chose de la préparation aux grands rendez-vous sportifs, se serait insurgé contre l’idée même de choisir la Mauritanie comme sparring-partner, avec en plus un match à huis clos. Comment ne pas souscrire, devant un tel exemple de mépris de la raison, à la version plus que plausible que seules des considérations électoralistes, donc personnelles, pour son maintien au sein de la CAF, ont guidé un choix aussi incongru ? Ne se fiant qu’à sa seule pulsion uni-dirigiste qui en fait le véritable sélectionneur national, de par ses ingérences quotidiennes, il a été jusqu’à écarter des joueurs cadres, Medjani et Feghouli en l’occurrence.

    Ce ne sont bien sûr pas leurs prouesses sur le terrain qui leur ont valu cette exclusion inexpliquée, mais leurs déclarations, le premier ayant dit que «nous ne sommes pas un grande équipe, mais une petite», le second ayant parlé d’«erreur de casting» au sujet de l’option Rajevac. Ce dernier est un exemple d’hérésie, parce qu’au-delà de son incompétence avérée comme Leekens, il avait en plus l’obstacle de la langue. Ce ne sont pas les exemples qui manquent pour conforter le dossier qui met à nu la responsabilité de Raouaraoua et lui seul dans la débâcle des Verts et partant, du football algérien. A ce dernier propos, il est de notoriété publique que rien, absolument rien n’a été fait pour la formation et le renforcement du football en Algérie, Raouraoua se comportant comme président de l’Equipe nationale et non pas de la Fédération censée développer ce sport au niveau local. Ce n’est donc pas sans raison, au vu de toutes ces atteintes à la destinée du football en Algérie, qu’une des personnalités les respectées et les plus dignes de foi en Algérie, en l’occurrence Rabah Saadane, a accusé Raouraoua, avec des faits concrets, de «trahison».

    D’autres arguments viennent s’ajouter à ces critères sportifs pour signifier à Raouraoua la nécessité de l’urgence de son départ, à savoir son implication plus que douteuse dans des affaires expliquant la fortune colossale qu’il a amassée, en totale contradiction avec sa carrière de commis de l’Etat. Carburant à la protection de ses propres intérêts et foulant aux pieds, par là même, ceux de la collectivité, il a accumulé les écarts à l’intégrité financière, par le mixage entre sponsoring des Verts et ses intérêts, comme c’est le cas de la tour de Bab-Ezzouar dont une partie des locaux est louée à l’opérateur de téléphonie «Nedjma», bâtiment construit sur un terrain que lui a «débrouillé» Rachid Marif, ex-dirigeant du Mouloudia. Ce dernier pensait ainsi s’associer avec Raouraoua, qui l’a finalement arnaqué, arguant d’un prétendu refus de son fils, au nom duquel les documents ont été notifiés. Ce n’est là qu’un exemple parmi d’autres mic-macs qui éclaboussent la notion même d’élu dans l’instance la plus importante du plus important des sports en Algérie, dans lesquels verse Raouraoua, sous couvert de relations puissantes. Il a même osé se targuer de l’appui de Bouteflika, ce que ni la raison ni le minimum de décence ne saurait tolérer, connaissant l’éloignement du Président de la République de telles pratiques que réprouvent la morale politique et la morale tout court.

    Même s’il multiplie les déclarations sur sa prétendue puissance, Raouaroua doit se rendre à l’évidence que l’heure de l’impunité est révolue. Dans le respect des règles de la FIFA édictant la non-ingérence de l’Etat dans les affaires de l’ONG qu’est la FAF, tous les autres membres de cette dernière, ceux qui ont à cœur le destin du football national se doivent de ne pas rester les bras croisés et lui signifier qu’il est grand temps de se retirer, dans le sillage du départ de Leekens qu’il a lui-même désigné à la tête des Verts… et de leur débâcle.

    anonyme
    24 janvier 2017 - 16 h 00 min

    jamais le pays n’a connu une
    jamais le pays n’a connu une exploitation aussi extreme de l’équipe « nationale » du foot pour des besoins de pouvoir ; on y a depensé sans compter ;on a pratiquement organisé une operation de guerre (oum dourbane )
    MOUHARIBOU ESSAHRA
    les autoproclamés de la faf n’ont pas fait l’objet de phenomene de redressement ;
    on a abruti toute une frange de la population avec l ‘EN
    puis on est arrivé à l’heure de verite
    on a « construit » sur du sable ;
    va t on enfin permettre à ce peuple de designer ses representants qui travailleront pour le pays ,leur seul pays et non pour le pouvoir et ses privileges ?

    KHOUIRA
    24 janvier 2017 - 13 h 54 min

    EL IMAN ESSAHIH
    C’est l’histoire d’un islamiste taleb de la planche  » taleb ellouha  » qui disait à la douzaine de ses élèves : « celui qui croit vraiment en Dieu peut même marcher sur l’eau sans crainte . Et il se trouve qu’ils étaient au bord de la mer. Un des plus jeunes élèves se leva , déposa sa « louha » et se dirige droit sur la mer, à marcher sur l’eau en riant et à s’éloigner du rivage pendant que ses camarades ainsi que le taleb, le regardent, les yeux exorbités . Après avoir ainsi gambadé sur l’eau en riant, l’élève rejoint sa place essouflé. Le taleb lui dit  » tu sais que tu as pris un gros risque; mais dis-moi comment tu as fait pour marcher sur l’eau ?  » le gosse lui répond :  » anâm a sidi c’est toi-même qui as dit que celui qui croit vraiment en DIEU, peut marcher sur l’eau sans crainte !  » Le taleb reste quand même dubitatif, et montre qu’il n’a rien compris. Cependant voulant quand-même faire l’essai mais sans arriver à dissiper sa crainte de couler, il demande à ses élèves de lui apporter une corde, dont il utilise une extrêmité qu’il fixe solidement à sa taille, puis il remet l’autre extrémité aux élèves en leur recommandant vivement de la tenir solidement pour l’empêcher de couler, et enfin compte (un peu seulement!) sur Dieu puis se dirige résolument vers la mer. Evidemment à peine à quelques mètres il s’enfonce et boit la tasse . Ses élèves le sortent difficilement de l’eau en piteux état. Après avoir repris ses esprits , en murmurant quelques prières, il s’adresse à l’élève qui a réussi à marcher sur l’eau :  » vraiment je n’ai toujours rien compris !  » l’élève lui répond : « y a naâm sidi, c’est pourtant très clair , moi j’ai compté sur Dieu mais toi tu as compté sur la corde !  »

    selecto
    23 janvier 2017 - 23 h 31 min

    Raouraoua préfère partir à
    Raouraoua préfère partir à Paris pour des soins payés du trésor publique, le ministre du commerce aussi avant lui Bouteflika, on dirait qu’en Algérie il n’ y a pas de médecins compétents qui se comptes par milliers pourtant.

    L’Année de l’Algérie 2003 en France fut une faste Kermesse pour ses responsables Raouaraoua mais pas seulement, depuis ses filles sont propriétaires de leurs logements à Paris sans compter d’autres biens même en Algérie.
    L’Année de l’Algérie en France a été une catastrophe pour l’Algérie qui a perdu des dizaines de tableaux de valeurs dans un incendie bizarre en France, personne ne savait si avant l’incendie les authentiques avaient été remplacés par des copies..

    Merci Kamel pour cet article tu es toujours à la page et égale à toi même.
    Pauvre jeunesse Algérienne.

      Anonyme
      24 janvier 2017 - 9 h 12 min

      Ce raouraw a copté un
      Ce raouraw a copté un médiocre incompétent beau fils chef de service chirurgie à l’hôpital zmirli, ce pseudo chirurgien ne mérite même pas le statut de médecin tout court et pourtant il décide de l’avenir scientifique de nos enfants toute la corporation d’Alger est au courant de ce fait et ne dit rien voilà pourquoi rawraw part se soigner en France il est le mieux placé pour savoir que même en médecine les bourricots sont parfois chef de service par la magie du rêve Algérien

    said badji
    23 janvier 2017 - 16 h 52 min

    commentaire
    c’est la premiere fois que que je suis totalement d’accord avec votre analyse

      AnonymeS.S.A.
      23 janvier 2017 - 20 h 05 min

      L’opium du peuple ne servira
      L’opium du peuple ne servira plus ce pouvoir infecte et abjecte. La situation est telle qu’ils ne peuvent plus utiliser ces méthodes éculées pour endormir une population confrontée aux aléas de la vie quotidienne. Ces jeunes qu’on essaie de doper avec un foot bal insipide sont, malheureusement, victimes de l’école algérienne qui ne leur à rien appris d’autre que de rêver d’ une suprématie qui n’existe nulle part ailleurs que dans la démagogie qui leur est servie quotidiennement par les pouvoirs publics dans des journaux abrutissants soutenus à coup de milliards au détriment d’une presse objectives qui tente, avec des moyens dérisoires,de mettre à nu ce système pourri.
      Le jour où notre pays sera entre les mains de véritables nationalistes, nous pourrons envisager de de nous réjouir des exploits mêmes secondaires de nos équipes sportives.

    Mergou
    23 janvier 2017 - 15 h 42 min

    Mais la diversion est
    Mais la diversion est présente aussi bien dans la victoire, le peuple chante et danse, que dans la défaite, le peuple critique les joueurs et les dirigeants de la faf et oublie pour un certain temps les responsables son mal-être.

    KHOUIRA
    23 janvier 2017 - 14 h 12 min

    LA MOISSON
    Celui qui sème le vent, récolte du vent . C’est logique, physique et scientifique ! Celui qui sème une mauvaise graine et espère faire une bonne récolte : DHARBOU H’MAR ELLIL. Au mieux il récoltera de la mauvaise graine .AINSI VA LE MONDE . La triche ne mène à rien ! Un mauvais départ arrive à une mauvaise arrivée, etc…. Mieux: qui sème le vent récolte la tempête , c’est à dire un vent mais plus furieux ! Même le vent comprend tout celà et n’aime pas être mené en bateau ! Raison de plus l’être humain , même illettré ! car son illettrisme est compensé par une forte ruse paysane ; Ne dit-on pas : « la nature à horreur du vide  » ? LORSQUE l’on s’attaque aux cerveaux des humains pour les vider, donc les abrutir , le vide ainsi créé dans leurs boîtes cranienne développe automatiquement de la ruse paysane, laquelle est nettement plus difficile à combattre que la ruse des gens moins abrutis : celle là, c’est normal : est une ruse plus civilisée. Moralités : Il ne faut jamais se moquer des autres gens , même pas des animaux . Un papa moineau a rassemblé ses oisillons pour leur donner les ultimes conseils avant leur « lacher » c’est à dire les autoriser à s’envoler ; il leur a dit : « lorsque vous êtes sur une branche et que vous apercevez un humain en train de se baisser, méfiez-vous car il se baisse pour ramasser une pierre pour vous attaquer ; alors le plus jeune de la couvée lui dit :  » moi je préfère m’en méfier même si l’humain ne se baisse pas, car il se peut qu’il porte déjà une pierre dans sa poche. Papa moineau, fier de l’intelligence de son fiston lui dit : « toi, tu peux t’envoler ! ta formation est terminée !  » Ainsi, comme les mauvais pères chez les humains, les dirigeants qui font tout pour abrutir leurs gouvernés , afin de pouvoir les diriger comme des moutons en commençant par sinistrer l’école qui leur enseigne n’importe quoi, sauf le savoir et les sciences , pour en faire des moutons et des chèvres, faciles à diriger, tombent souvent sur des surprises jamais imaginées de la part de cerveaux vidés mais qui ont développé une ruse paysane très pointue . C’est un peu l’autre histoire d’humains cette fois : un gars très malin connait au village, un bonhomme possédant une vaste et très bonne terre mais vraiment dérangé de la cervelle; il lui propose un marché intéressant en pensant qu’il lui sera très facile de le rouler. Il lui propose de le laisser faire tout le travail : labour, semailles, soins, cerclage, récolte, mise en meules et qu’il aura besoin du propriètaire de la terre rien que le jour du partage de la récolte sur la base de moitié-moitié . Le jour du partage, le gars malin fait venir son associé en se frottant les mains car la récolte de blé excellente, à dépassé tous ses espoirs , avec grand sceau; le dérangé lui dit « c’est avec cette mesure que tu veux partager ?  » Non Non et Non, tu veux certainement me rouler , en remplissant mieux ton bidon . Le malin va chercher un sceau plus petit, mais refusé aussi, et encore une mesure plus petite encore refusée, jusqu’à arriver à une petite tasse à café, mais refusée aussi , commençant à deviner une impasse, il dit à l’associé :  » alors propose toi-même comment partager ce blé ; le dérangé lui répond calmement (mais sérieusement) :  » HABBA B’ HABBA ! c’est bien plus équitable !  » = UN GRAIN POUR TOI , UN GRAIN POUR MOI ! Finalement le malin a perdu la raison et a changé de village, l’état du dérangé est resté stable.

    AISSA SEDDIKI
    23 janvier 2017 - 13 h 59 min

    communication
    Salem,

    En ce qui concerne le sport, les arguments qui furent : c’est une équipe qui se cherche, il faut trouver l’entraineur idéal, les pelouses ne sont que trop humides, les salaires décourageants…ne tiennent plus. Souvenez-vous 1958, (je n’existais pas hélas), le Brésil, alors grand vainqueur, comptait de nombreux joueurs handicapés, Garrincha une jambe plus courte que l’autre (6 cm d’écart), Santos une main paralysée, Castilho un doigt en moins et daltonien, Pelé dix-sept ans…
    A chaque fois on parle d’ex-cadres qui font leurs lois, aujourd’hui c’est Bouguerra qui s’essaie à bouger les pantins, demain à qui le tour?
    Quelle stratégie pour quel résultat ?
    Très cordialement…
    SEDDIKI Aïssa

    Khelfane
    23 janvier 2017 - 7 h 49 min

    La berezina
    Du temps des empereurs Romains,et il est presque banal de le rappeler,c’estait la politique du pain et des jeux,panel et
    on peut y ajouter cette boutades tauromachiqu arènes sanglantes ,

    Ou évoquer le tonneau des danaïdes qui ne cesse de se déverser car sans fond.

    Alors il est temps de. Prendre la balle au bond et de. Botter en touche….

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