L’entrain de l’ambassadeur de Russie en Algérie inquiète les Américains ?

Beliaev Russie
L'ambassadeur de Russie Igor Beliaev avec le ministre de l'Industrie, Youcef Yousfi. D. R.

Par Karim B. – Pays pivot d’Afrique et du Maghreb, l’Algérie, qui a réussi à maintenir sa stabilité malgré l’ouragan du «printemps arabe» qui a soufflé sur la région, redevient un centre d’intérêt pour les deux superpuissances mondiales. Amie de longue date, la Russie, qui a quelque peu été absente ces dernières années en raison d’une certaine léthargie de son ancien ambassadeur à Alger, a décidé de passer à l’offensive pour retrouver la place naturelle qui est la sienne dans un pays qu’elle considère comme l’allié stratégique par excellence. La désignation du nouvel ambassadeur participe de cette approche.

Face au pragmatisme d’Igor Beliaev, qui a entamé une série de rencontres dès sa prise de fonctions à Alger, l’ambassade des Etats-Unis a dû revoir sa copie, en privilégiant le contact direct avec les responsables politiques du pays en joignant à sa liste des institutions officielles et des partis politiques au pouvoir. D’habitude, l’ambassade des Etats-Unis se concentre sur les partis de l’opposition – islamistes notamment – et de la société civile qu’elle entretient à travers ses différentes officines à travers des «stages» – entendre une formation à la subversion sous couvert de militantisme pour la démocratie – que ce soit aux Etats-Unis ou dans d’autres pays occidentaux ou arabes.

«Mon but est de transmettre la vraie image de l’Algérie», a déclaré l’ambassadeur des Etats-Unis à Alger, à l’issue de sa rencontre avec le président de l’APN. Mais quelle image John P. Desrocher compte-t-il dessiner à ses supérieurs à Washington ? Celle de l’Etat prospère avec lequel les Etats-Unis doivent compter ou celle d’un pays instable où la fronde sociale prend de l’ampleur ? On se souvient que dans les années 1990, au summum de la crise sécuritaire qu’a connue l’Algérie, le «conseiller politique» de l’époque – actuellement ambassadeur en Syrie –, Robert Ford, avait transformé son bureau en «salle de réunions» pour les théoriciens de l’AIS et du GIA, ces deux groupes terroristes nés de la matrice du FIS dissous qui jouissait du soutien plein et entier de l’administration américaine.

Le retour en force de la Russie en Algérie et le retour graduel au niveau des relations traditionnelles qui lient les deux pays inquiètent les Etats-Unis. Voilà la seule explication de l’activisme soudain de John P. Desrocher et le semblant de changement de cap dans le choix de ses interlocuteurs.

K. B.

Interview – L’ambassadeur de Russie à Alger : «Nos relations avec l’Algérie sont toujours aussi solides»

 

Comment (22)

    Logiciel v18.1
    29 janvier 2018 - 21 h 23 min

    Salem tout le monde,
    après ces amères guerres immorales fondées sur le mensonge, la vulgarité et l’arrogance, en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Libye, au Soudan, au Yémen et partout dans le monde, les paroles de Georges Orwell m’illuminent, m’éduquent et m’apaisent, car, selon lui :
    .
    « Une société qui se présente comme “la moins mauvaise possible” tend logiquement à fonder l’essentiel de sa propagande sur l’idée qu’elle est là pour nous protéger de maux infiniment pires. »
    .
    L’ennemi peut tout à fait être fabriqué de toutes pièces, pour le combattre, il suffit de lui coller un nom : les Fellagas, les Bougnoules,…etc, à l’instar des alliances et ruptures cryptiques entre les trois puissances dominantes du monde de « 1984 », où l’essentiel est que la guerre à la fois constante mais aussi largement absente du quotidien :
    .
    « il ne s’agit pas de savoir si la guerre est réelle ou non. La victoire n’est pas possible. Il ne s’agit pas de gagner la guerre mais de la prolonger indéfiniment. Une société hiérarchisée repose sur la pauvreté et l’ignorance. Leur version devient vérité historique. Et rien d’autre ne peut avoir existé. Le but de la guerre est de maintenir la société au bord de la famine. La guerre est menée par l’élite contre ses propres sujets. Son objectif n’est pas de vaincre en Eurasie, en Asie, mais de garder sa structure sociale intacte.»
    .
    « il y a partout la même structure pyramidale, le même culte d’un chef semi-divin, le même système économique existant par et pour une guerre continuelle.
    La guerre, c’est la paix. La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance, c’est la force.»

    .
    pour le Sujet de ce poste, je termine par cette phrase qui peut résumer tout le sense :
    .
    « Elle ressemble aux batailles entre certains ruminants dont les cornes sont plantées à un angle tel qu’ils sont incapables de se blesser l’un l’autre. »
    .
    Réf. : « La Guerre pour pacifier. »

    Dead Zone
    27 janvier 2018 - 15 h 22 min

    l’Algérie a toujours été l’amie
    de longue date de la Russie, et son alliée stratégique. Une coopération
    avec Poutine dans certains secteurs stratégiques est essentielle, et économiquement parlant,la Chine, présentement leader mondial,serait aussi un partenaire idéal pour notre pays. Vivement donc à une adhésion au groupe Russe,Chine,Inde Brésil (BRIC),pour tenir rapaces, hyènes et coyotes à distance.
    Quant aux relations avec les USA, l’Algérie ,en tant que pays souverain, a toujours opté pour la sagesse et l’habileté diplomatique. Vu la complexité dans laquelle l’ordre mondial avance,il vaut mieux
    avoir les USA de notre côté,que contre nous. C’est ainsi que le monde avance,et pas autrement.

      Chaoui
      27 janvier 2018 - 17 h 40 min

      Nous n’avons JAMAIS eu les USA de « nôtre côté ». Jamais. Mis à part le soutien de JFK pour notre Indépendance, les gouvernements US successifs (dirigés par les sionistes) ne nous ont jamais eu en odeur de sainteté. Mieux, ils ont concouru directement à notre décennie noire – ce premier « printemps » – par le soutien (et encouragement) au terrorisme via les islamistes qui avaient pignon sur rue dans leurs administrations…Depuis, leurs tentatives de mettre la main sur notre pays pour qu’on soit à leurs bottes » ayant essuyé de continus échec, ils tentent tout ce qui est possible pour nous déstabiliser…(bases au Maroc, bases en Tunisie, Bases au Niger et Mali…). S’ils avaient pu agir contre nous comme ils l’ont fait en Syrie et Libye, ils l’auraient déjà fait…

        TARZAN
        28 janvier 2018 - 1 h 20 min

        tu sais que c’est w. bush qui a levé l’embargo sur les ventes d’armes à l’algérie après les attentats de new york. w. bush a découverte la manipulation franco marocaine pour isoler l’algérie sur la scène internationale avec le « qui tue qui ». c’est grace à bush que l’armée algérienne a pu acquérir les appareils de visions nocturnes après un embargo décidé par paris alorsq ue l’ONU n’avait pas voté d’embargo sur notre pays.
        « Depuis les attentats de 2001, Algériens et Américains n’ont cessé de diversifier leurs axes de coopération, multipliant les opérations militaires conjointes en Méditerranée et dans le Sahel, élargissant leurs investissements économiques respectifs et intensifiant leurs échanges politiques. 2006 restera sans doute une année exemplaire, marquée par une suractivité diplomatique à dominante militaire : visites à Alger au premier trimestre du directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI), Robert Mueller, de l’ex-secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, et du secrétaire d’État-adjoint chargé des Affaires du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord, séjour au mois d’avril du chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), le général Ahmed Gaïd Salah, à Washington. L’année écoulée est par ailleurs marquée par un renforcement des relations économiques, avec la signature d’importants contrats entre la Sonatrach et des firmes pétrochimiques américaines de premier plan. Ces manifestations de la convergence algéro-américaine corroborent les données statistiques : avec plus de 11 milliards de dollars d’investissements et d’achats en 2005, les États-Unis sont devenus le premier partenaire économique de l’Algérie en 2005-2006, la France étant renvoyée en deuxième position. »

    Anonyme
    27 janvier 2018 - 14 h 19 min

    Pour renforcer, et bétonner les relations algéro-russes, dans l’avenir,
    l’Algérie a grandement besoin des industries, et des technologies russes, (formations de qualité & transferts de technologies)
    Et surtout apprendre la culture, et la langue russes très riches, (plus riches que la culture, et la langue françaises colonialistes) Dans tout les domaines, d’un peuple russe indépendant, puissant, intelligent, et civilisé
    L’Algérie devrait réformer son système d’enseignements tourné vers trop de théoriques-abstraits, et trop d’académiques
    A la française (en grande perte de vitesse, en Europe, face à l’allemand, revenant, en grande puissance)
    L’Algérie devrait équilibrer son système d’enseignement-formations, vers les collèges, et les lycées d’ensenseignement
    Et de formations professionnelles, vers les métiers d’avenir, au lieu de former une armée de fonctionnaires-bureaucrates
    Et d’administrateurs nombreux non rentables,peu productifs, et peu rentables, pour la création de nouvelles richesses
    A l’économie algérienne en crise structurelle profonde (déséquilibrée, par manques de richesses diversifiées, en dehors du pétrole)
    L’alliance de coopérations stratégiques algéro-russe = Formations+recherches+transferts de technologies russes à l’Algérie

    Les collèges, et les lycées d’enseignement, et de formations professionnelles algériens à réhabiliter sont l’avenir, et
    Les pépinières des Petites, et Moyennes Entreprises Industrielles (P.M.E) Algériennes dans l’avenir

    Anonyme
    27 janvier 2018 - 13 h 30 min

    La présence russe en syrie a totalement faussé les plans occidentalo-sionistes aprés la soit disant révolution du printemps c’est la raison pour laquelle les USA se méfient de cette présence Russe en Algérie et qui dérange l’hégémonie de la France dans la région dans plusieurs dossiers.

    Anonyme
    27 janvier 2018 - 13 h 23 min

    La solution c est donnant/donnant etre a la meme distance du point de vue politique mais defendre le principe cher aux Algeriens celui de la defence des libertes et de l autodetermination des peuples vivants sous occupations etrangeres.L Algerie considere la non ingerence dans les affaires internes des pays comme principe fondamental de notre diplomatie.

    Chibl
    27 janvier 2018 - 13 h 21 min

    Les gens oublient que les USA étaient les 1er à reconnaître l’indépendance de l’Algérie, JFK est un ami de l’Algérie, la ville d’El Kader est la seule aux USA à avoir un nom arabe, nous avons intérêt à avoir de bonnes relations avec les USA et avec la Russie, en fait nous avons intérêt à avoir de bonnes relations avec tout le monde, nous ne sommes pas la Syrie qui a perdue une très grande partie de son indépendance avec la présence Russe.

      Genséric
      27 janvier 2018 - 16 h 26 min

      Chibl
      Excuse moi mon frère, mais l’Algérie n’a pas une souveraineté totale !
      Il n’y a pas que la Syrie, qui soit dans cette situation, même si là-bas les choses sont plus visibles.
      Jfk soutenait l’indépendance de l’Algérie pas parce qu’il aimait notre pays, il y avait comme il y a toujours eu, c’est encore le cas aujourd’hui uniquement des motivations géostratégiques.
      A l’époque les usa avaient intérêt à affaiblir, achever les empires coloniaux français et britanniques.
      L’Algérie a intérêt à renforcer ses alliances historiques avec la Russie et la Chine, surtout que désormais il n’y a plus l’idéologie communiste pour tout parasiter.

      Les États-Unis sont aux mains des sionistes, ils ne pourront jamais sans défaire, cela signifierait leur fin !

      Tu crois vraiment que les États-Unis n’ont pas le pouvoir de régler le problème sahraouie !!!???
      Ils ne veulent pas.
      Ils pourraient l’imposer au Maroc et à la france sans problème.

      Mais ils (sionistes !) ont intérêt que se maintiennent un abcès de fixation contre l’Algérie.

    Algerientoutcourt
    27 janvier 2018 - 12 h 53 min

    Les relations Algérie-usa seront toujours considéré par les Algeriens comme contre-nature. Les seules et vraies relations fiables et crédibles que l Algérie doit avoir ç est Algérie-Russie car il a toujours été notre allié, partenaire, et fournisseur dans plusieurs domaines dans le passé comme au présent. Je suggère même à aller au delà des accords stratégiques en implantant une base russe (avec durée renouvelable ou non) dans le Sud Algerien qui comme tout le sait l’Algerie est considéré comme la prochaine cible…C est à l Algérie d avancer ses pions avec de vrais accords Algero-Russe et ne pas attendre pour subir ce qu’ on subit Irak-Syrie-Lybie…

    TARZAN
    27 janvier 2018 - 12 h 20 min

    l’algérie intéresse les grandes puissances Russie et les USA car elles savent qu’avoir l’algérie comme allié dans la région est absolument vital pour ces deux pays, tout ce fait avec l’accord de l’algérie et rien ne se fait sans l’algérie. mais connaissant l’algérie, qui ne veut être ni le caniche de l’un, ni de l’autre, constituera à très court terme le trait d’union entre les deux puissances et principal acteur pour la paix dans le monde. l’algérie jouit d’une neutralité appréciable et un pays qui demeure toujours farouche défenseur des droits des peuples dans le monde et contre les injustices en les dénonçant sans peur et avec courage, et ce qui donne à l’algérie ce respect internationalement reconnu, et une diplomatie du coup très efficace.

    Rani Zaafane
    27 janvier 2018 - 12 h 08 min

    La Russie comme les Etats Unis d’Amérique sont des pays hégémonique qui ne cherchent qu’à asseoir leur suprématie. Seul leur intérêt compte. L’Algérie n’est pas condamné à être un pays satellitaire qui doit nécessairement être le protégé ou la zone d’influence de l’un de ces deux pays où d’un autre pays aussi puissant soit- il.

    LE NUMIDE
    27 janvier 2018 - 11 h 57 min

    l’Algérie en tant que nation souveraine doit avoir des relations avec la Russie et avec l’Amérique sans problèmes ; tout en veillant à ses intérêts nationaux de puissance et à son mot à dire en toute circonstance .. Quelque soit les relations qu’on doit avoir avec tout le monde , pour la recherche de la paix universelle et la coopération , on doit veiller surtout aux deux principaux piliers de notre survie, de notre indépendance et de notre existence en tant que peuple et en tant que nation ….LES DEUX PRINCIPES ET CONCEPTS VITAUX : l’Etat national et l’Armée nationale .. Sans ces deux piliers nous ne sommes rien et Tout s’écroulera sur nos têtes … si l’Algérie en 1830 avait un état national et une armée nationale jamais la France n’aurait pu nous coloniser … Pareil dans l’antiquité et durant toute notre histoire , avec les empires carthaginois , romain , arabe et ottoman , si nos ancêtres avait un état national et une armée nationale jamais ils n’auraient été conquis par personne .. il faut toujours garder le LECON qu’il faut impérativement l’apprendre à nos enfants depuis le primaire : l’Etat national et l’Armée nationale …. Sans ces deux concepts autour desquels doivent se conglomérer toutes les ressources et toutes les énergies du peuple , il n’ y a aucun salut et nous serons des refugiés , des esclaves ou des indigènes ….Les algériens doivent regarder le monde autour d’eux , pour comprendre cette Leçon historique et agir selon ces Principes vitaux … Nous répétons : L’ETAT NATIONAL ET L’ARMEE NATIONALE

    Bicause
    27 janvier 2018 - 11 h 26 min

    Aux chiottes les yankees et toutes leur coalition génocidaire.
    Les Russes sont nos alliés tant qu’ils ne seront pas les ennemis des vrais musulmans et de l’islam.

    didouche
    27 janvier 2018 - 10 h 44 min

    Depuis le 1er mandat de Bendjedid, hizb frança s’est mis à l’œuvre de s’éloigner de l’URSS puis de la Russie pour se rapprocher de FaFa et des usa et d’écarter du pouvoir tout responsable suspecté de patriotisme à commencer par Mohamed seddik Benyahia dont la mort reste à élucider et kasdi Merbah écarté comme chef du gouvernement puis assassiné.

      Didouche
      27 janvier 2018 - 12 h 26 min

      il faut rappeler que Mr Benyahia a été la cible de 2 attentats.le 1er au Mali dont il est sorti survivant par miracle et le 2eme à la frontière entre l’Irak et l’Iran par un missile irakien.la thèse d’une erreur n’est pas crédible car son action de bon offices pour mettre un terme à la guerre dérange les intérêts occidentaux,sionistes et des pays du golf.

    Chaoui
    27 janvier 2018 - 10 h 31 min

    L’Algérie bien qu’un pays jeune n’oublie ni son Histoire, ni ses véritables amis. Elle SAIT que le vent souffle toujours de…l’Est….
    En tant qu’Algérien, je clame : vive l’Algérie et vive la Russie !
    Et aussi vive la Chine !

      Anonyme.dz
      27 janvier 2018 - 11 h 55 min

      Vous avez la mémoire courte , souvenez vous de la position de John Kennedy sur la question de l’indépendance de l’Algérie!

        Felfel Har
        27 janvier 2018 - 13 h 17 min

        Entièrement vrai! Il se trouve que les présidents US qui lui ont succédé n’ont pas porté l’Algérie dans leur coeur. Pourquoi? Alors qu’il se trouvait à NY pour assister à une session des Nations Unies, Ben Bella a snobé JFK et a décidé de se rendre à Cuba plutôt que de le rencontrer, sans doute sur conseil de son éminence grise, Fathi Dib , le barbouze en chef de Nasser. Celà a suffit pour nous classer comme pays communiste. Salutations!

        Chaoui
        27 janvier 2018 - 15 h 14 min

        A « Anonyme.Dz » :
        Il n’ait d’Algérien qui n’ait de « mémoire courte » ou qui n’a oublié le soutien de JFK.
        Mais entre la position de ce dernier (assassiné parce qu’il ne se soumettait pas aux dirigeants de l’Etat profond de son pays) et la politique impérialiste menée depuis, à commencer par…la destruction de l’Irak jusqu’à celle de la Libye en passant par celle de la Syrie, nôtre choix est d’autant fait qu’il n’ôte rien au mérite qu’on continue d’avoir pour JFK et y compris au respect dû à sa fille caroline.

    Logiciel v18.1
    27 janvier 2018 - 10 h 26 min

    « Il y a deux sortes de chefs d’orchestre : ceux qui ont la partition dans la tête et ceux qui ont la tête dans la partition. »
    Dixit Georges Orwell.

    Anonyme
    27 janvier 2018 - 9 h 50 min

    En Analysant la politique etrangere de la Russie et celle des USA,le resultat est indiscutable,la cooperation avec la Russie de Poutin nous inspire beaucoup plus de confiance.Notre relation doivent s affermir et devenir strategique avec la Russie dans tous les domaine.Les USA sont dirigees par des lobbys imprevisibles dont celui des armes ,du petrole et le fameux AIPAC.(American Israel Public Affairs Committee est un lobby créé en 1951 aux États-Unis visant à soutenir Israël,Il est considéré comme un des lobbys les plus puissants des États-Unis.L’AIPAC soutient fortement la droite israélienne, et est réputé proche du Likoud. L’AIPAC s’appuie sur un réseau de plus de soixante-dix organisations juives qui lui sont affiliées.).Ceci est une des raisons de nous mefier considerablement des paroles et promesses des dirigents des USA,qui sont pratiquement tres soumis et fideles a ces Lobbys.

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