Début à Alger des travaux de la rencontre walis d’Algérie et préfets français

Bedoui walis
Noureddine Bedoui, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales. New Press

Les travaux de la rencontre walis d’Algérie et leurs homologues préfets français ont débuté, jeudi, à Alger sous la coprésidence du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui et le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur français, Gérard Collomb.

La rencontre, qui s’inscrit dans le cadre des échanges et de la coopération décentralisée entre les départements de l’Intérieur de l’Algérie et de la France, constitue une opportunité d’enrichir et de consolider les échanges d’intérêt commun entre les deux départements en matière de gouvernance locale, notamment dans les domaines de l’attractivité et le développement économique du territoire, la gestion des grands centres urbains et du management des situations de crises et des risques majeurs.

La coopération décentralisée entre les deux pays s’est progressivement intensifiée, induisant des projets catalyseurs caractérisés par une approche de partenariat et d`intérêt partagé, avait indiqué Bedoui lors des 3es rencontres algéro-françaises des maires et responsables des collectivités territoriales, organisées à Alger en 2016. Depuis plus de 30 ans, les accords de coopération décentralisée entre les collectivités des deux pays s’étaient multipliés, passant de 7 accords en 1989 à 13 en 1999, alors que plus de 50 conventions de coopération décentralisée et de jumelage ont été conclues entre les collectivités territoriales algériennes et françaises, tous échelons institutionnels confondus, sur des thématiques très variées comme la gestion urbaine, la protection de l`environnement, la gouvernance locale, les échanges culturels et la jeunesse.

Cette coopération décentralisée s’est concrétisée notamment par des accords entre la wilaya d’Annaba et la communauté urbaine de Dunkerque, la wilaya de Sétif et la métropole de Lyon, la wilaya d’Adrar et le conseil général de la Gironde, la wilaya d’Alger et la mairie de Paris ainsi que la commune d’Oran et la mairie de Bordeaux.

R. N.

Comment (9)

    POURQUOI?
    16 mars 2018 - 12 h 29 min

    POURQUOI VOULOIR TOUJOURS S’ACCROCHER A CEUX QUI ONT MASSACRÉ PLUS D UN MILLION DES NÔTRES
    NOS MORTS NE LE PARDONNERONT JAMAIS

    Anonymaoui
    16 mars 2018 - 12 h 17 min

    En France les préfets ont des pouvoirs restreints ce sont les Conseils Régionaux élus qui se chargent des affaires en relation avec les citoyens. Alors que nos wali ont des pouvoirs exorbitants. Ce sont des petits seigneurs locaux. Donc cette rencontre n’a pas lieu d’être puisque à la base les deux systèmes de gouvernance sont incompatibles.

    Ali8
    16 mars 2018 - 7 h 40 min

    Après les ministres et les chefs des partis,c’est le tour des Walis et prochainement les chefs de Daïras,de faire connaissance avec leurs tuteurs dans le cas où sa tourne aux vinaigre ils trouveront refuges,on critique les pingouins du golfe mais les nôtres ont dépassés tout les records,felicitaion à nos héros,ex chakib,saidani,ghoul,ould abbes,haddad,sellal,bouchouereb,sidhoum Saïd,louh,bedjaoui,ould kadour,ould Ali,et les autres

    elhadj
    15 mars 2018 - 19 h 23 min

    l initiative et la gestion devra revenir en premier lieu aux maires avec la participation de la société civile dans un cadre réglementaire auquel les Walis devront seulement veiller a la régularité des décisions prises pour le développement de la commune .En principe toutes les activités qui touchent au bon fonctionnement de la commune devront être du ressort du maire élu et l on voit mal un wali s occuper de l éclairage public, de l assainissement ,de l attribution des logements etc

      PREDATOR
      16 mars 2018 - 12 h 33 min

      ya si elhadj il n’y a ni maire ni société civile chez nous
      Tkhaltete bekraa kelb

    anonyme
    15 mars 2018 - 14 h 42 min

    fafa cherie ……fafa cherie .
    decidement la france restera a jamais notre tutrice a cause de ces … au pouvoir

    Anonyme
    15 mars 2018 - 13 h 44 min

    Une occasion pour nos walou pour tisser des relation assurant une retraite chez FAFA.
    Nos walou ne servent à rien. Ils ne savent même pas comment assurer la salubrité d’un quartier.
    Des rues/routes sans feu vert ni feu rouge, c’est ça nos wali. Des personnes ambulante sans code, TABA3 BARK.

    Chibl
    15 mars 2018 - 13 h 16 min

    Combien d’appartements a un wali dans chaque wilaya, combien d’appartements a un préfet?
    Je pense que les préfets ont beaucoup de choses a apprendre de nos chers wali ou walou c’est selon.

    PREDATOR
    15 mars 2018 - 12 h 57 min

    Ils sont là rien que pour faire de l’Algérie un bouclier contre les haraguas, c’est la seule raison, ensuite ils nous poignardent en disant que ces haraguas sont maltraités chez nous
    Alors que c’est eux qui attisent le feu au Maghreb et au sahel pour s’approprier des ressources de ces pays
    Mais pourquoi toujours ce profil bas chez nos « zaims »?
    Il est bien loin le temps de Houari Boumediene paix à son âme

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