Ces grands moudjahidine que l’Algérie indépendante a abandonnés

Comment (6)

    Anonyme
    19 mars 2018 - 11 h 58 min

    À son âge il aurait était plus raisonnable de trouver une solution qui n’ ambarasse pas sa loyauté envers la patrie, à moins que son amour pour la France a pris le dessus

    awrassi
    17 mars 2018 - 12 h 33 min

    Il fallait, dès le 5 juillet 1962, établir un ministère des Anciens combattants, qui aurait pris en charge les orphelins, les veuves et les invalidés. Uniquement ceux-là. Comme il se fait dans tous les pays du monde. Les Algériens ne demandaient rien, mais le FLN du 19 mars a jugé bon de créer une secte avec laquelle il a gagné toutes les élections. Dans ma famille, il y a des « moudjahidat » dont le seul exploit de guerre fut de préparer de la « kasra » aux combattants. Elles gagnent mieux leur vie que mon épouse qui éduque chaque jour nos jeunes pousses. Sans compter la préséance au hadj, aux omras, etc. Allez comprendre !

    088
    16 mars 2018 - 23 h 38 min

    Les veuves et les enfants de chouhada sont excluent des logements sociaux malgré l’ancienneté de leurs demandes.
    Il y a une entente et des cosignes non écrites pour les humilier au maximum par les descendants des traitres et les nouveaux Algériens leurs alliés naturalisés qui occupent des postes dans les hautes sphères de l’administration.

    nacer
    16 mars 2018 - 21 h 11 min

    Quand on parle sous l’effet de la colère, on dit n’importe quoi.

      Moh
      16 mars 2018 - 23 h 44 min

      Celui là c’est un vrai moudjahed pas comme les vôtres comme Ould Abbas qui rien qu’au Club des Pins il possède deux logement sous prétexte qu’il a deux femmes.

    UMERI
    16 mars 2018 - 17 h 26 min

    Personne, aucun algérien digne de ce nom n’est surpris que l’Etat algérien ai abandonné, les vrais maquisards de la première heure, pour la simple raison, que se sont les faux moudjahid, nombreux, infiltrés au sein des institutions algériennes qui décident, a travers l’étude des dossiers, qui est ou n’est pas moudjahid. Alors, les vrais, n’ont que les yeux pour pleurer, mais de là a demander pardon a celui qui responsable de l’amputation de vos deux jambes, c’est un suicide, un reniement de votre sacrifice, qui doit rester intact.

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