Pourquoi la Russie a-t-elle retourné la pomme de terre à l’Algérie ?

Comment (16)

    Anonyme
    4 juin 2018 - 5 h 37 min

    La Russie a passe une grande commande de pommes de terre a l Egypte ou les controleurs sanitaires sont tres severes.Les produits Egyptiens se vendent bien en Europe,ils sont tres biens conditionnes et ont une tres bonne reputation tant que le NIL coule encore en Egypte,malheureusement l immense Barrage Ethiopien Ennahdha sur le Nil va changer la donne et certainement presenter un grand danger certain sur l avenir de l agriculture en Egypte…..l Idee du barrage en Ethiopie a ete une decision strategique emanant des ennemis du peuple Egyptiens et encouragee avec la division du Soudan en deux Etats….les nuages d un conflit se dessinent .une question de vie ou de mort…..

    Lotfi
    3 juin 2018 - 12 h 04 min

    Il faut combattre et réprimer tous les agriculteurs qui font ça. C’est inadmissible !!!

    pomme
    2 juin 2018 - 23 h 47 min

    Quand les produits agricoles sont trop beaux et trop gros, c’est qu’il y a un loup, ils ne peuvent pas être biologiques ; le pays ne doit pas s’embarquer dans le productivisme insensé en déversant des tonnes de poison, néfaste pour la terre nourricière et facteurs de maladie chez les consommateurs.
    Ne pourrissons pas la terre avec les pesticides.
    Allez voir les régions où l’on cultive la vigne : du poison dans la terre, dans l’air, dans l’eau.Une inconscience terrifiante et la santé des citoyens gravement menacée.Il y a urgence!

    benchikh
    2 juin 2018 - 21 h 30 min

    Les choses ont changé ,le monde revient aux recommandations du créateur ,la terre est un être vivant ,les substances chimiques sont inconvenables pour la terre.Si on doit traiter, qu’on diminue la dose (côté finance,santé,protection de la couche vivante de la terre) et on doit changer d’habitude côté engrais en le remplaçant, petit à petit, par le fumier .Notre rendement sera aussi important et plus propre et on aura moins d’insectes et de maladies.

    BEKADDOUR MOHAMMED
    2 juin 2018 - 21 h 01 min

    J’ai prêté attention à la vidéo, et quiconque fréquente le monde agricole sait que c’est grave, grave ! Les Russes nous auront aidé par leur refus d’admettre du poison chez eux, ils sont plus audibles en Algérie que le citoyen algérien lambda qui ne peut que subir ces pesticides et herbicides, lesquelles tuent les abeilles, empoisonnent et tuent les citoyens, normalement l’alerte devrait être généralisée, il faut avoir vu sur le terrain l’emploi que font les agriculteurs de ces produits maintenant décriés chez ceux là même qui les ont inventés.

    HOUMTY
    2 juin 2018 - 12 h 09 min

    SALAM L’KHAWA…Comme disent les jeunes ( mort de rire ) , ca me rappel l’époque ou les russes nous on livré des Mig 29 reconditionné.. VIVE L’ALGERIE ou saha ftorkoum

    Anonyme
    2 juin 2018 - 6 h 59 min

    Nous n avons pas de controleurs sanitaires qui inspectent les produits agricoles mis sur le marche ou exportes,dans tous les pays grands producteurs et exportateurs de produits agricoles il existe au port des laboratoires de controle qui delivrent un certificat de conformite aux normes sanitaires qui donne le feu vert a l exportation ou a la consommation des produits sans danger pour les consommateurs.
    Il faut enseigner aux producteurs et agriculteurs que les controleurs et inspecteurs et analyses de laboratoires peuvent refuser la consommation de leurs produits ce qui leur causent des pertes enormes et des poursuites judiciaires……..un agriculteur averti en vaut 2…

    Anonyme
    1 juin 2018 - 23 h 01 min

    donc on nous empoisonne. nous n’avons ni controle ni institution pour nous proteger des rapaces hasbounallah

    Selecto
    1 juin 2018 - 12 h 40 min

    Nos escrocs exportateurs comptent tromper les étrangers sur les produits avec une étiquette  » biologiques » comme le font avec nous, les étrangers contrôlent leurs marchandisent avant de payer et ils sont raison.

    timour
    1 juin 2018 - 8 h 11 min

    C’est comme cela qu’on se crée une mauvaise réputation qui risque de perdurer. D’autant plus que ce n’est pas la première fois que cela arrive. Un refus identique concernant une vente de pomme de terres à des Pays du Golfe a eu lieu l’an dernier je crois.
    Les conséquences sont doubles: suspicions sur toutes exportations de produits agricoles made in bladi d’une part et la mise en difficulté des producteurs qui œuvrent pour la qualité et le respect des normes alimentaires et qui visent l’exportation d’autre part.
    Si l’on veut exporter des produits agricoles, il faudrait commencer par imposer des règles phytosanitaires strictes pour la consommation intérieure dans un premier temps car ce que nos grands amis russes n’ont pas voulu manger, nous, nous le mangeons tous les jours. Ce qui sous-tend que les techniques culturales soient parfaitement maîtrisées, que des accompagnements en subventions si nécessaires soient prodigués et des conseils/formations soient institués. Et qu’on mette en place un contrôle efficace. Une filière exportation ne s’improvise pas.

    Bien que le taux de croissance de la production agricole ait été de 6,3% entre 2010 et 2016, il est évident que la politique agricole de notre pays reste largement déficitaire. Si par ci, par là on trouve des réalisations probantes, il n’en demeure pas moins que nous sommes loin de nos capacités réelles et de notre demande intérieure prévisible. N’oublions pas que chaque année, 1 millions de naissance sont à comptabiliser en plus ; que, d’après certains experts, jusques 2030, le problème de l’eau semble (?) garanti mais après c’est l’inconnu ; que le désert du Sahara s’est élargi de 10% en un siècle et que cette désertification risque de s’accentuer du fait du réchauffement climatique…
    Bref, si l’on se réfère aux conclusions des Assises nationales de l’Agriculture du 23 avril 2018 nous ne pouvons que constater qu’il reste énormément à faire dans ce domaine et surtout définir rapidement une politique agricole cohérente et volontariste qui s’inscrit dans le long terme et surtout la qualité.
    Ceux qui nous gouvernent et les agriculteurs concernés en sont-ils capables ?
    Cet épisode russe doit servir de leçon.

    Dur dur.
    1 juin 2018 - 2 h 24 min

    Dur dur,très dur d’exporter,surtout ce qui est alimentaire!! Faut respecter les normes,le calibre,l’apparence….et aussi de la régularité.

    Anonyme
    31 mai 2018 - 21 h 06 min

    les russes acceptent bien la merde qui leur vient d’europe de l’ouest mais venant de chez nous ils font la fine bouche alors que leur population mange et dort comme au siecle passe , ils font les coqs envers nous (…) eux ils ont bien essaye a plusieurs reprises de nous fourguer du mauvais materiel et ce n’etait pas au prix de la pomme de terre ….
    nous aussi on doit leur renvoyer leur foutue ferraille que l’ANP dans sa folie ne fait qu’acheter

      Moh
      1 juin 2018 - 13 h 44 min

      L’ANP t’e… espèce de naturalisé !

    tablati
    31 mai 2018 - 21 h 00 min

    envoyez les russes au diable …bientot en armement ils n’auront qu un seul client >>>>l’algerie …….car l’inde leur echappe et ne veut plus la ferraille russe mais bien UN VRAI TRANSFERT de technologie chose que les russes leur refusent alors l’inde met le cap ailleurs chine usa etc …que leur restera t il sinon le pays des123 l’algerie qui n efait qu’acheter au lieu de chercehr a produire en creant des centres scientifiques on cree l’illusion au bled

    batata
    31 mai 2018 - 20 h 45 min

    Dans les salons expo on voit les fruits et légumes d’Algérie, et nos incultes mettent en avant des spécimens d’une grosseur à faire douter les plus ignorants…croyant bien faire !
    Je savais que les Algériens s’empoisonnaient à moyen et long terme.
    En avant les pesticides, les engrais, le profit avant tout bihhawli allah bismilleh alhhamdouleh…les traitres!
    On gruge nos blédarts pour amasser l’argent au plus vite, mais hélas cela ne marche point avec les autres pays, bien fait !
    Ils ont des labos, ils protègent la santé de leurs citoyens.
    Le plus honteux c’est que nos services ont permis cette exportation! on est mal !
    L’autosuffisance alimentaire oui, mais pas à n’importe quel prix!
    « C’est vrai que les familles chanceuses qui vivent à l’étranger mangent bio ! « 

    DYHIA-DZ
    31 mai 2018 - 20 h 03 min

    L’Algérie ne veut pas comprendre qu’il ya des normes alimentaires à respecter.
    Arrêtez d’arroser avec des fertilisants chimiques et des pesticides.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.