Conseil des ministres : Bouteflika appelle à améliorer le niveau de développement humain

développement, Peuple en marche

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé mercredi, lors de la réunion du Conseil des ministres, à améliorer le niveau de développement humain de la population, «surtout que celle-ci connaît une progression de plus d’un million d’habitants par année». «L’Algérie doit se mobiliser davantage dès à présent pour maintenir et améliorer le niveau de développement humain de la population, surtout que celle-ci connaît une progression de plus d’un million d’habitants par année, et l’Algérie dispose des moyens de réussir ce pari», a déclaré le président Bouteflika.

Le développement humain de la population bénéficie, selon le projet de Loi de finances 2019, d’une dotation budgétaire d’appui de 625 milliards de DA. Pour atteindre cet objectif, le chef de l’Etat a souligné qu’il était impératif d’«approfondir les réformes déjà engagées dans tous les secteurs», observant qu’elles garantiront, d’abord, «une justice sociale toujours intense, mais aussi plus transparente, plus efficace et plus équitable». Afin que ces réformes soient perçues de manière plus concrète, elles devront garantir, aussi, «un service public davantage allégé des lourdeurs bureaucratiques» et «promouvoir, enfin, une décentralisation plus effective, permettant d’améliorer l’écoute, le dialogue et les solutions de la part des pouvoirs publics face aux attentes des citoyens», a ajouté le président de la République.

Le Conseil des ministres, réuni mercredi à Alger sous la présidence du président Abdelaziz Bouteflika, a examiné et approuvé le projet de loi de Finances pour 2019 qui «confirme dans son volet relatif au budget d’équipement la poursuite de l’engagement de l’Etat en faveur du développement économique et social», indique le communiqué rendu public à l’issue de la réunion. Outre une dotation de 625 milliards DA pour l’appui au développement humain, les crédits budgétisés couvriront, en matière de transferts sociaux, notamment, plus de 445 milliards DA destinés au soutien aux familles, près de 336 milliards DA pour la politique publique de santé et plus de 350 milliards DA pour la politique publique de l’habitat (auxquels s’ajouteront près de 300 milliards DA mobilisés pour le même secteur par le Fonds national d’investissement).

R. E.

Comment (29)

    lhadi
    27 septembre 2018 - 16 h 25 min

    N’en déplaise aux nombreuses résistances ; celles d’abord de certains hauts dirigeants; celles ensuite d’une large partie des responsables et des cadres qui craignent de voir réduits leurs privilèges et leurs prérogatives; et puis celles aussi d’une partie des travailleurs, qui ont trouvé des formes d’accommodement avec le système actuel et qui donc, comme dit le proverbe populaire, « savent ce qu’ils vont perdre, mais non ce qu’ils vont gagner », il importe de mettre en oeuvre des reformes qui élargissent le secteur privé, de donner plus d’importance aux mécanismes de marché et de laisser agir plus largement le stimulant de l’intérêt individuel.

    En ce sens, pour plus de transparence, de rigueur, d’efficacité et de justice sociale, il est impérative d’ouvrir le capital des sociétés publiques aux citoyennes algériennes et aux citoyens algériens.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    bedraham
    27 septembre 2018 - 14 h 15 min

    Fakhamatouhou se reveille d’une hibernation qui a duree plus de vingt ans et il s’apercoit enfin que c’est maintenant qu’il faut ameliorer le developpement de …l’etre humain, c’est quoi cette fumisterie, ca prouve que les « decideurs » qu’ils se cachent derriere Boutef et que tirent les ficelles sont completement hors temps.

    LOUCIF
    27 septembre 2018 - 13 h 28 min

    Ya sidna Bouteflika, avec notre respect, on peut vous signaler que pour l’instant les citoyens algériens ne cherchent pas le « développement humain ». D’ailleurs, Il ne sait pas trop ce que signifie ce concept ! Pour l’instant, il cherche surtout à ce que son pays, ses rues, ses quartiers soient propre, que les ordures ménagères soit bien collectées et que l’hygiène soit respecté, surtout dans nos hôpitaux !

    A propos, ya sidna Bouteflka pourquoi vous n’avez pas décidé lors de ce Conseil des Ministres par exemple d’un plan Marshall pour lutter contre la saleté, le déversement des eaux usées et des produits chimiques dans nos rivières, nos fleuves et notre littoral ??? Hein, bizarre tout çà malgré l’épidémie de choléra toute récente ?? Vous aurez pu au moins décider de diminuer un peu le quota de devises destiné à l’importation de kits de voitures de tourisme, fumisterie économique et qui n’est pas une urgence, pour l’affecter par exemple à l’importation de bennes à ordures, d’engins motorisés de nettoyage de nos rues, de camions citerne pour le nettoyage des rues et places publiques, des poubelles à ordure adaptées au système de levage automatique des bennes etc etc.. Pourquoi allez-vous chercher l’amélioration du « développement humain » pour les algériens alors qu’ils n’ont même pas ce minima d’hygiène et de salubrité publique !

      Lghoul
      27 septembre 2018 - 14 h 02 min

      @Loucif – La liste de vos doléances ne s’applique qu’aux pays ou tout marche normalement ou les budgets son clairs et transparents. Si les vautours vont dépenser pour acheter ce que vous leur demandez, il ne resterait plus pour la charité a faire pour les tubes digestifs ambulants (les couffins du ramadan, de l’aid, des manchots, des orphelins , les ansej -tranche 1,2, 3, les nouveaux moudjaidines nés après 1980, 1988, 1990, la hausse des salaires des députés, des sous députés, etc.); et tout cela pourquoi ? Car le 5ie approche a grands pas.

      Anonyme
      28 septembre 2018 - 3 h 26 min

      Ou mieux encore, les produire chez nous.

    barrani
    27 septembre 2018 - 13 h 18 min

    On n’appelle pas à…, on exige que…, lorsque l’on est Président.
    TOUT est possible même l’émergence en Algérie, si l’on ramène des travailleurs étrangers doué de conscience professionelle.
    Et encore, si le petit chef parachuté inculte et corrompu les laisse travailler.

    Anonyme
    27 septembre 2018 - 11 h 00 min

    Le miserabilisme du regime arabe a produit l’ unique croissance, celle des bouches a’ nourrir. Bouffer pour le siecle a’ venir, ils sont hante’ par la famine malgre’ ce qu’ ils ont devore’ ils doublent en voracite’, a’ la sante ‘ des moins que rien.

    Slam
    27 septembre 2018 - 10 h 47 min

    Ah bon il a dit tout ça ?? Quelqu’un l’a entendu faire ce discours stratégique ? car d’après les images de la tv, il peut à peine tourner 2 pages de son dossier vide. Continuez à nous enfumer…

    Lghoul
    27 septembre 2018 - 10 h 02 min

    Selon fakhamatouhou: «surtout que celle-ci (la population) connaît une progression de plus d’un million d’habitants par année».
    Alors qui pourra arrêter la surpopulation précurseur de misère et de mal vie ? Le planning familal ? Haram car on n’interfère pas dans les décisions de Dieu . Avec des documentaires éducatifs /informations a la TV, a la radio et dans les journaux pour expliquer, informer, passer le message a la population que plus on augmente le nombre de bouches a nourir, plus on devient pauvre ? C’est Haram car si Dieu a fait naitre une âme, elle sera automatiquement nourrie par la grâce de Dieu. Donc comment avec une densité de mosquées la plus élevée au monde et des millions de fonctionnaires appelés « imams », criant 24H/24H que la pillule est haram que, ne pas avoir 10 enfants au minimum par foyer est haram et qu’en gros tout est haram pourrions nous réduire ou freiner un tout petit chouiya la démographie ? Impossible. Alors nous devons accépter avec joie de devenir un deuxième Bangladesh en population et en richesses en voyant notre PIB par habitant chuter dans quelques decennies même avec les fontaines de pétrole. Alors persistons dans des programmes spirituels de type belahmar et des lectures sur la vie des gens du temps de quoreish et je suis sûr qu’on résoudra tous nos problèmes inchallah.

    Anonyme
    27 septembre 2018 - 8 h 35 min

    Cest pas bouteflika qui demande et decide mais les hommes de l’ombre !

    Anonyme
    27 septembre 2018 - 7 h 54 min

    Le PIB par habitant, l’espérance de vie à la naissance et le niveau d’éducation des enfants de 15 ans et plus, voilà les critères de l’indice de développement humain (autre notion bidon que l’ONU et ses chercheurs ont inventée pour mieux diriger la « globalisation » des activités humaines et surtout des Etats – pour les priver de leur souveraineté. Quant on sait que l’espérance de vie est liée aux conditions économiques, sanitaires et sociales …, que le PIB est un indicateur économique, il aurait mieux valu que le Président nous dise comment il compte booster notre économie ! Mais bon, il n’est pas économiste, me dira-t-on. Il est quoi exactement, donc ? S’appuyer sur les chercheurs de l’OCDE et des officines de l’ONU ne résoudra rien …

    Zaatar
    27 septembre 2018 - 7 h 54 min

    Encore une preuve que l’on s’en remet qu’au pétrole et au prix du baril. Il a suffit qu’il y ait une annonce prévisionnelle sur l’atteinte des 100 dollars du prix du baril que l’on s’empresse dans cette LF de « soit disant » prévoir un volume aux aux démunis. On ne peut planifier et élaborer des prévisions que sur la base du prix du baril…malheureux et désolant.

      Vector
      27 septembre 2018 - 9 h 32 min

      « On ne peut planifier et élaborer des prévisions que sur la base du prix du baril »
      Sur quoi la baser alors ?
      Allez vous créer quelque chose en remplacement des hydrocarbures ? Apple, Samsung ou BMW ? Non ! Pourquoi ?
      Parce que la critique est facile, la création difficile…

        Zaatar
        27 septembre 2018 - 10 h 44 min

        La critique est facile et la création difficile je vous le concède. Il n y a pas plus juste. Simplement la justesse du propos est universel, et la création est difficile est aussi l’objet de mon post à l’égard de notre gouvernement et de son élaboration de sa LF. Il est très facile de s’en remettre aux hydrocarbures comme à l’accoutumée, que de développer (a t’on déjà essayé et pour quelles raisons on a échoué, c’est une autre question) d’autres sources de richesses. Tel est l’objectif de mon post.
        Aussi, il est évident que l’on ne peut élaborer le budget et les prévisions pour ce qui nous concerne que sur la base du prix du baril…en attendant mieux. Reste que la question alors est posée à tous, du moins à tous ceux qui réfléchissent un tant soit peu, et des idées nouvelles seront certainement les bienvenues et pas de trop.

          Vector
          27 septembre 2018 - 11 h 17 min

          Les hydrocarbures ne sont pas un choix mais l’unique possibilité !
          Vous et Moi n’avons aucune idée d’une production algérienne rentable sur le marché nationale et/ou mondiale
          Un plan clair, net et précis et non les lapalissades « sortir des hydrocarbures » ou « construire des usines »
          Cordialement

          Zaatar
          27 septembre 2018 - 11 h 41 min

          Cher ami vous aurez noté dans mon post précédent ce que j’ai soulevé entre parenthèses; j’ai écris  » A t’on déjà essayé et pour quelles raisons on a échoué. Ce qui dénote que l’on absolument aucune idée effectivement. Mais maintenant que vous posez la question vivement, d’après vous serait il si difficile que cela que de monter une industrie mécanique par exemple? et de vendre le produit à l’international? Pour être plus concret est il si difficile de concevoir par exemple la fabrication de vilebrequins, de corps de moteurs, de pistons, de bielles, de manetons, de coussinets, d’arbres à cames, de soupapes, de culasses…etc. très honnêtement je ne vois pas la difficulté, il suffit de mettre de l’argent, mais le problème est très certainement ailleurs vous vous en doutez…aussi on revient alors à ma première assertion, assimilé par vous à la critique plus facile que la création. Pour notre gouvernement c’est effectivement le cas puisqu’on s’en remet au prix du baril au lieu de fabriquer des moteurs à combustion.

          Anonyme
          27 septembre 2018 - 12 h 06 min

          @Zaatar
          « serait il si difficile que cela que de monter une industrie mécanique par exemple ? »
          Pire que difficile, c’est une mission impossible !!!
          Le but n’est pas de fabriquer pour fabriquer mais de vendre et d’être rentable sur le marché mondial !!!
          Il vous faut donc une taille critique donc investir beaucoup dés le départ puis créer un réseau de distribution et de la publicité !
          Si cela ne fonctionne pas, vous crierez à l’incompétence pour les milliards perdus !!!
          Cordialement

          Zaatar
          27 septembre 2018 - 12 h 31 min

          Là nos avis divergent l’ami. Mission impossible? alons donc, cela sous entend qu’on ne créera jamais d’industrie et que nous sommes à ce point incapables? qu’on ne pourra jamais concurrencer les autres? qu’on ne pourra jamais s’imposer dans le marché international? on vend bien un peu de deglet nour non? notre selecto fait quelques pas même aux états unis? je vais vous faire une confidence. Vous n’avez peut être pas entendu de la société AMIMER ENERGIE, elle conçoit et monte des centrales Diesel en Afrique (elle vient de commencer à le faire, elle en a construite dans le sud de l’Algérie), vous savez ce qui lui manque que de fabriquer des moteurs diesel, le reste elle sait presque tout faire, et elle concurrence même des spécialistes en la matière telles ENERIA, CMI, et d’autres. En ce moment elle monte une centrale en mauritanie je crois (ça a fait l’objet d’une annonce par notre ministre de l’énergie de l’époque Mr Boutarfa). ET je vais vous faire une seconde confidence, fabriquer un moteur thermique c’est trois fois rien, fabriquons le alors pour nos besoins, ça économisera au moins quelques dollars pour nos usines de montage, et on allégera un peu ou on arrangera un peu mieux la loi de finance 2019, en ne s’articulant pas uniquement que sur les hydrocarbures.

          Vector
          27 septembre 2018 - 13 h 59 min

          @ Zaatar
          Je n’ai jamais dit que les algériens étaient des incapables mais que la structure de production des pays développés ont tellement d’avance sur nous !
          Votre exemple AMIMER ENERGIE conforte ma position !
          Un entrepreneur génial a créé cette belle entreprise donc l’État n’empêche pas la création d’entreprises performantes donc le problème en Algérie, c’est le déficit d’entrepreneurs et non un problème de corruption !
          Le sous-développement créé la corruption et non l’inverse !

          Zaatar
          27 septembre 2018 - 14 h 58 min

          @Vector, Salut l’ami,

          L’exemple d’AMIMER ENERGIE conforte votre position oui certainement, mais pas CEVITAL alors, pourtant un groupe avec autant de possibilités de créations de richesses à l’identité nationale devrait avoir toutes les facilités possibles. Ce qui semble loin d’être le cas, d’autant plus que le cas Rebrab est très significatif dans la « sphère corruption ». Et hop on remet sur la table le problème de la corruption. On passe sur les scandales que tout le monde connait. En finalité on pourrait alors se résumer à:si tu crée de la richesse et que tu ne fais pas de politique tout en t’ayant à l’oeil ça passe, encore que tu dois graisser les pattes comme cela a été démontré dans le cas de l’affaire de la cocaïne, sinon tu verras ton empire ou ton entreprise s’écrouler. Et bien entendu il y a un entre les deux cas même beaucoup. Enfin le sous développement crée effectivement la corruption, mais la corruption peut ralentir le développement, néanmoins, ce n’est pas également parce qu’on sera développé qu’il n y aura pas de corruption.

          awrassi
          28 septembre 2018 - 8 h 35 min

          Je vais te dire ce qu’il faut faire. Nous avons en réalité deux choix :
          1) perdre notre souveraineté et accepter que l’Occident (Russie, Chine comprises) vienne nous aider dans le cadre de sa globalisation prédatrice.
          2) recréer des entreprises nationales dans tous les secteurs selon les directives d’un « ministère du Plan », sous le contrôle des ministères concernés, eux-même supervisés par des « inspecteurs politiques ».
          Le baril est à 80 dollars. Nous pourrions faire des choses énormes. Avec un baril à seulement 20 dollars, Feu Boumédiene, malgré toutes les erreurs de son époque, avait plus construit que tous nos présidents (Lamine Zéroual excepté, qui dut combattre le terrorisme étranger) …
          Aucun investisseur étranger ne viendra sans garanties (appelées « conditionnalités » par les Occidentaux dans leurs « aides »). Personne ne veut notre bien, surtout que nous sommes les seuls à avoir combattu et vaincu leur impérialisme. Et il n’existe aucun algérien capable de sortir des liquidités de son chapeau …

        Lghoul
        27 septembre 2018 - 10 h 51 min

        « Allez vous créer quelque chose en remplacement des hydrocarbures ? Apple, Samsung ou BMW ? Non ! Pourquoi ? » Parce que les adeptes de l’attente, de l’effet pavlov et les créateurs de l’ansej et du couffin du ramadan n’en veulent pas. Ils ont horreur de la création et de l’innovation en Algérie parce que ca leur coupe les dessous de table des importations (bedjaoui et compagnie nous suffisent comme exemple). Alors pourquoi Rebrab, même s’il n’est pas un Apple ou un Samsung est bloqué et saboté ? Est ce que quelqu’un ou disons un « think tank » pourra simuler un « scénario économique » d’une Algérie sans pétrole ? Un pays qui vit sur un seul fil, celui du pétrole, est en danger. Mais certainement pas un danger pour les détenteurs de comptes au panama. Le peuple est en train de payer les erreurs de ceux qui ont ruiné le pays et il continuera a payer l’après pétrole.

          Vector
          27 septembre 2018 - 11 h 28 min

          Vos propos sont absurde, les hommes d’affaires algériens sont des importateurs car il est plus rentable d’importer que de produire en Algérie !
          Si produire en Algérie était rentable, ils investiraient leurs capitaux en Algérie pour gagner plus d’argent pour ensuite les transférer au Panama !
          Si demain vous proposez a un importateur de TV une TV révolutionnaire à fabriquer, pourquoi refuserait-il de vous financer ? Il gagnerait encore plus de devises en l’exportant ! Mais vous ne savez pas fabriquer de TV révolutionnaire donc la question ne pose pas !!!

        Anonyme
        27 septembre 2018 - 15 h 59 min

        @ Zaatar
        Cevital, c’est le BIG BUSINESS !
        En Occident, pour faire du « Big Business », en plus de talent, il faut un « parrain » appelé « Banque d’Affaire » (JPMorgan, Lazard, Morgan Stanley ou Goldman Sachs) qui réclame sa commission !!!
        En Chine, c’est le PCC
        Au Japon, c’est Nomura ou Daiwa
        En Algérie, c’est le FLN/RND !!!
        Quel Différence dans le Fond ?

          Zaatar
          27 septembre 2018 - 17 h 48 min

          La différence c’est que CEVITAL a envoyé paître le FLN et le RND et peut être tous les autres. C’est pour cette raison qu’il connait des tas de problèmes et il s’y attendait. Maintenant tout le monde sait que Rebrab pour démarrer avait été épaulé, bien évidemment, un pays comme le notre sans un militaire gradé tu ne fais pas fortune. Tu apportes le Fric avec l’aide du militaire à la banque, le militaire te ramène les marchés, et à chaque contrat il prend sa part. ça marche comme ça. Et rebrab a commencé de la sorte probablement. Maintenant il n’en a plus besoin, et il investit son argent dans l’économie du pays, il fait travailler des Algériens, il ramène des technologies outre mer et il produit Algérien. En parallèle, le système n’a pas changé de fonctionnement, et de part la notoriété de Rebrab, ce dernier fait de l’ombre à tout le monde au risque de se voir politiquement un adversaire de tout le monde. Ce qui ne plait évidemment pas tant au FLN qu’au RND.

          Vector
          27 septembre 2018 - 18 h 40 min

          @ Zaatar
          (Anonyme 15h59 c’était moi Vector)
          Je suis peut être cynique mais la corruption huile les rouages qu’on le veuille ou non, et cela existe dans le monde entier sous différentes formes !!!
          Les conférences ou les postes d’administrateurs à 200 000 euros des politiciens occidentaux ne sont que de la corruption déguisé !

          Zaatar
          27 septembre 2018 - 19 h 26 min

          Je te le concède totalement cher Vector. Il y a pleins de variantes. Reconnaissons juste, Et au moins ça, que chez nous et parmi « les grandes entreprises  » seule Cevital apporte quelque-chose de significatif au pays.

    Anonyme
    27 septembre 2018 - 7 h 33 min

    monsieur le président avec tout le respect que je vous doit ,a qui le demandez vous ?? et a quoi ça sert de demander vu que le financements des projets sont en grande partie imputé pour des profits personnels a tout les membres hiérarchiques de chaque cadre chef de projet et/ou ( remplacer le manque de ciment en rajoutant du sable) ou négocier la surfacturation sur les produits importés,,, grosso modo ,,,,le but est comment (joindre) rapidement panama

    Zaatar
    27 septembre 2018 - 5 h 46 min

    Cette LF adoptée dénote du biais entre la réflexion de nos responsables et les fluctuations économiques mondiales. Ce qui peut paraître positif. Néanmoins tout le monde sait que nos responsables ont les yeux rivés sur les fluctuations du prix du baril. Aussi et cette projection sur 2019 donnant l’impression d’une amélioration attendue du niveau de vie des citoyens de part ces augmentations des allocations d’aides aux plus démunis provient simplement de l’hypothèse du baril à 100 dollars en fin d’année à cause de la mise en application des sanctions américaines contre l’Iran. Cependant un baril à 100 dollars dechainerait certainement les producteurs de schiste américains et autres dont la rentabilité tourne autour de 60 à 70 dollars…aussi les prévisions peuvent être totalement aléatoires. A force de trop d’optimisme on peut facilement se retrouver là tête dans le sable.

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