Les médias français se moquent du roi du Maroc

Comment (5)

    France Interr
    29 octobre 2018 - 21 h 07 min

    Chapeau Madame !
    Il en faut du courage pour faire une telle critique sur ce mec en France où trafics et blanchiment financent des médias et décideurs.
    Vacances au Naroc c’est fait pour le petit pigeon, le beauf naïf.
    Pour les « gros » et les fayots des TV c’est dans des riads sécurisés où se passent des choses… Monsieur le Ninistre et Cie.

    Kahina-DZ
    28 octobre 2018 - 14 h 05 min

    C’est la réalité !!
    J’ai beaucoup aimé::  » On voulait faire de lui un William, il est devenu un Elton John  »… C’est le roi des pauvres en une phrase….

    Brahms
    28 octobre 2018 - 13 h 19 min

    Ce baron de la drogue plante des plants de cannabis sur des hectares et des hectares puis la cueillette, le conditionnement, la coupe afin de donner des valises marocaines pleines de haschisch soit 47 000 tonnes par an. Il peut ainsi devenir riche sans même se soucier des conséquences pour les victimes de sa drogue
    Il a donc amassé une fortune de 06 milliards d’euros au fil des années et toutes les petits (voyous de cités) sont enfermés dans des prisons françaises pour trafic de stupéfiants avec une saisie de leurs avoirs bancaires, immobiliers, commerces. Il est donc intouchable car le Maroc est un pays interdépendant (protectorat français) comme la Guadeloupe, les Antilles, la Guyane, il le laisse donc prospérer sachant en plus qu’il est acoquiné aux juifs (voir son drapeau même étoile de David que le drapeau Israélien.

    Amazigh
    25 octobre 2018 - 22 h 52 min

    Il a changé de mec je crois ces derniers temps ? La il vient d’opter pour un champion sportif !!! Sacré Momo6 !!!…Il aime les hommes durs et violents !!

    Brahms
    25 octobre 2018 - 16 h 06 min

    Il vient voir sa sœur qui vit dans un château à Paris puis il repart en Suisse voir ses placements financiers afin de savoir si son magot de (06 milliards d’euros) se porte bien. Après, il fait la tournée des restaurants, magasins pour ses emplettes pendant que les pauvres marocains triment à envoyer des mandats au pays.

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