Peau basanée, masque néocolonial (1)

Daoud
Une réalité que certains veulent occulter. D. R.

Par Kaddour Naïmi − Je viens de lire les deux contributions de Youcef Benzatat et, bien entendu, les commentaires de lecteurs au sujet de l’article de Kamel Daoud publié sur le New York Times, le 15 octobre 2018(1). Un des lecteurs que j’estime exprima le souhait de lire une sereine argumentation à ce sujet. C’est le but de cette contribution. Précisons deux choses. Ce n’est pas la personnalité de Kamel Daoud qui sera examinée ici, mais uniquement les idées contenues dans son article ; en outre, la présente contribution s’adresse prioritairement aux lecteurs et lectrices (et non aux trolls) qui, de bonne foi, croient que certaines idées de K. Daoud sont bénéfiques au peuple algérien.

De la guerre

Certains lecteurs ont reproché à Youcet Benzatat son «obsession» et son «acharnement» concernant Kamel Daoud. Pourquoi ne s’agirait-il pas, au contraire, de l’obsession et de l’acharnement de ce dernier à évoquer le thème de la guerre de libération nationale ? Son article sur le NYT ne s’intitule-t-il pas : «Ma guerre avec la guerre d’Algérie» ? Et pourquoi le choix de ce jeu de mots ? N’est-ce pas un banal procédé sophiste, qui fait bien «sonner» les mots pour impressionner ? Ne serait-il pas plus pertinent, plus raisonnable de dire plutôt : paix avec la guerre d’Algérie ? En effet, K. Daoud déclare dans son article : «Tout ce que j’entendis alors a créé en moi, comme dans l’esprit de beaucoup de personnes de mon âge, une saturation qui provoqua le rejet.» Dès lors, ces deux résultats sont-ils surmontables par la «guerre» à la guerre, ou, au contraire, par la paix ? Autrement dit, par la résilience ?

Des idées qui dérangent, mais qui ?

D’autres lecteurs ont exprimé leur admiration pour K. Daoud parce qu’il «dérange» les idées officielles étatiques. Est-il certain que la critique de la version étatique suffit pour considérer un auteur utile à la clarification des idées et des conceptions ? En effet, on peut critiquer la propagande officielle étatique dans deux buts différents : le premier est pour défendre les intérêts du peuple, dominé et exploité par les dirigeants de l’État en question. Est-ce le cas chez K. Daoud ?

Dans son article, il déclare : «Mes engagements en Algérie se préoccupent plus des libertés individuelles, d’un régime incapable de transition et de la montée de l’islamisme.» Certes, ces problèmes existent et exigent des solutions. Mais l’Algérie n’a-t-elle pas, également, d’autres problèmes ? Le peuple n’est-il pas exploité et dominé par une oligarchie, en partie étatique, en partie privée, aux intérêts convergents ? Les associations citoyennes collectives, notamment les syndicats, ne sont-ils pas empêchés dans l’exercice de leurs droits légitimes ? Ceci à l’intérieur. Et, concernant l’extérieur, n’y a-t-il pas une triple menace néocoloniale française-impérialiste américaine-sioniste israélienne ? Et, cela, parce que les dirigeants étatiques algériens, bien que antidémocratiques à l’intérieur, manifestent cependant une indépendance nationale tout à l’opposé des régimes arabes soumis aux puissances néocoloniales (anglaise et française), impérialiste étatsunienne et sioniste israélienne ?

Dès lors, se limiter à évoquer les «libertés individuelles», le «régime incapable de transition» et la «montée de l’islamisme», est-ce suffisant pour décrire les problèmes qui affligent l’Algérie ? Ces arguments, bien que pertinents, ne sont-ils pas des arbres qui cachent la forêt ? En effet, les thèmes évoqués par K. Daoud ne sont-ils pas ceux habituels de la propagande néocoloniale-impérialiste-sioniste ? N’est-ce pas par celle-ci que furent et demeurent justifiées les agressions militaires contre l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Syrie, l’Iran ? Dès lors, le contenu des «engagements» formulé par K. Daoud, qui dérange-t-il ? Seulement le «régime» algérien et «l’islamisme» ? Plus loin, nous examinerons la pertinence des trois aspects des «engagements» de K. Daoud.

Reconnaissance

Considérons ce que certains commentaires (trolls ?) définissent comme «réussite» professionnelle et «reconnaissance du monde» envers K. Daoud. Ce «monde», c’est qui concrètement ? Est-ce celui des personnes et des associations citoyennes (algériennes ou étrangères) qui combattent réellement pour un monde sans agressions étrangères, sans dictatures internes, un monde où liberté et solidarité humaines se conjuguent et se complètent ? Le New York Times est-il le journal qui exprime et défend ces combats ? N’est-il pas, au contraire, la propriété de membres de l’oligarchie étatsunienne et, par conséquent, justifie et défend son comportement de gendarme de la planète, pour conserver l’hégémonie impériale sur ses ressources et ses peuples, condition indispensable pour garantir les richesses et le pouvoir de cette oligarchie ? Alors, comment expliquer la publication de l’article de K. Daoud dans ce journal si réellement ses «engagements» remettaient en question cette hégémonie impériale ?

Encore de la guerre, mais laquelle ?

Notons le titre de l’article de K. Daoud dans le NYT : «Ma guerre à la guerre d’Algérie». De par le monde, y compris l’Algérie, les personnes soucieuses de précision ne parlent pas de «guerre» (d’Algérie, de Vietnam, de Chine, etc.), mais de guerres de libération nationales. Seuls les auteurs écrivant dans les médias de propagande impérialiste préfèrent les expressions «guerre du Vietnam», «guerre de Chine» ou «guerre d’Algérie».

En effet, ce genre d’expression, en se référant uniquement au terme indiquant le pays, occulte ce qui caractérisa ces guerres : une résistance populaire pour libérer la patrie d’une oppression militaire étrangère. Ainsi, l’on constate que les mots et les expressions ne sont pas innocents, ni le fruit du hasard. Soit l’auteur est un ignorant, et dans ce cas est-il un journaliste et un écrivain dignes de ces qualificatifs ? Soit il sait de quoi il parle, et, alors, son vocabulaire appartient à la propagande impérialiste, et donc manipule et conditionne les lecteurs pour servir les intérêts impérialistes.

Une expérience éclaire davantage ces observations. Sur le moteur de recherche de Google, j’ai écris d’abord en français : «guerre d’indépendance américaine» ; j’ai obtenu beaucoup de liens. Ensuite, j’ai écris : «guerre d’Amérique» : aucun ne concernait la guerre d’indépendance des Etats-Unis. Puis, en anglais, j’ai écrit : «independence american war» : j’ai obtenu beaucoup de liens ; en écrivant : «America war» : le premier lien correspondait à ces deux mots, par contre le second fut «America war of independence» (les deux derniers mots en gras). Donc le moteur de recherche Google, dont les propriétaires font partie de l’oligarchie étatsunienne, sait très bien distinguer entre «guerre d’indépendance» des Etats-Unis et «guerre américaine»(2). Quant à l’encyclopédie en ligne Wikipédia, elle parle de «American Revolutionary War (1775–1783), also known as the American War of Independence».

Par contre, les membres de l’oligarchie française commencèrent par parler d’«événements» d’Algérie, ensuite certains ont fini par prononcer «guerre d’Algérie». Mais aucun n’a dit, jusqu’à ce jour, pas même le président Macron, «guerre de libération algérienne» ni «guerre d’indépendance algérienne». Dès lors, quand K. Daoud parle de «guerre d’Algérie» dans le NYT, son discours et sa conception reflètent quelle vision, et donc position idéologico-politique, autrement dit servent quels intérêts ? Ceux du peuple algérien ?

L’emploi de l’expression «guerre d’Algérie» par K. Daoud, soit elle a été bien réfléchie par un journaliste et écrivain qui sait employer son cerveau correctement et, alors, elle n’exprime que la formulation impérialiste de ce fait historique ; soit il s’agit d’une expression pas suffisamment méditée par l’auteur et, donc, qu’en est-il de l’effort de clarification historico-sociale qui devrait caractériser tout journaliste et écrivain digne de ces attributions ?

A ce sujet, examinons l’article. K. Daoud déclare : «Je n’ai pas connu la guerre, mais elle a été présente dans mon imaginaire. Par la voie de mes parents et proches et de leurs discussions, et par la voie de l’Etat : l’école, la télévision, les fêtes officielles et les discours politiques.» K. Daoud n’a-t-il donc pas, comme d’autres personnes de son âge, connu ou entendu parler d’aucun authentique combattant (et combattante) de la guerre de libération ? Et n’a-t-il pas lu des témoignages publiés par certains d’autres eux ? K. Daoud ajoute : «Quand j’étais enfant, l’une des façons de faire rire autour de soi était de moquer les vétérans de guerre et leur propension à exagérer ou inventer leurs faits d’armes passés pour bénéficier de privilèges au présent. On sentait dès l’école qu’il y avait mensonge. Cette intuition était confortée par nos parents qui nous parlaient de faux moudjahidine — de faux anciens combattants — de plus en plus nombreux à réclamer des droits, et aussi par le spectacle des injustices induites par ces droits : accès privilégié au logement et à l’emploi, détaxes, protections sociales spéciales et autre.»

Décidément, l’enfant K. Daoud n’a entendu parler, de la part de ses «parents» que d’une catégorie de «vétérans de guerre» qui faisaient «rire» par leur «propension à exagérer ou inventer» ou à avoir un «accès privilégié». Quant aux combattants de la Guerre de libération qui ont courageusement affronté les tortures ou la mort et qui, après l’indépendance, ont simplement considéré avoir accompli leur devoir de citoyen désirant sa propre dignité, selon ses dires, K. Daoud n’en a jamais entendu parler de la part de ses parents. Que penser, alors, de ce genre de parents qui, eux, au contraire de leur enfant Kamel, ont connu la Guerre de Libération nationale ?

Présenter la Guerre de Libération nationale algérienne en l’appelant «guerre d’Algérie» et en la réduisant à des «vétérans» risibles, imposteurs et profiteurs, est-ce acceptable de la part d’une personne définie comme journaliste et romancier (laissons de côté le fait qu’il soit Algérien) ? Considérons à présent le journal NYT. Publierait-il l’article d’un auteur qui se baserait uniquement sur des racontars de parents et de proches ainsi que sur la propagande étatique pour définir la guerre étatsunienne d’indépendance anticoloniale seulement comme «guerre d’Amérique», avec principalement un ramassis de «vétérans» risibles, imposteurs et profiteurs, parce que l’auteur de l’article n’a connu que ce que ses parents, ses proches et une propagande étatique lui ont dit sur ce fait historique ?

Et K. Daoud conclut : «Je fais donc partie de cette génération pour qui la mémoire de la guerre d’Algérie − et selon les manuels scolaires, son million et de demi de martyrs algériens − est marquée par la méfiance. Nous avons grandi convaincus qu’il s’agissait désormais d’une rente et non plus d’une épopée.» Lire ces mots de la part d’un jeune Algérien manquant de culture, d’instruction et de connaissances historiques peut être compréhensible. Mais est-ce le cas quand il s’agit d’une personne qui écrit dans des journaux algériens et new-yorkais, sans parler de la publication de deux romans ? Sa «méfiance » − légitime − pourquoi ne l’a-t-elle pas porté à connaître l’histoire réelle pour distinguer et séparer le vrai du faux, savoir où est la «rente» et où est l’«épopée» ? Où sont les faux et les vrais combattants de la Guerre de Libération nationale ? Où est la propagande étatique et la vérité historique ? De la part d’un journaliste et écrivain digne de ce nom, ce genre d’étude, de recherche et de discernement ne sont-ils pas une obligation absolue ? Par conséquent, ne voir qu’un aspect de la Guerre de Libération, à savoir ses représentants «risibles », imposteurs et profiteurs, autorise-t-il à ignorer et à rejeter l’aspect positif d’épopée que fut la guerre de libération algérienne, comme toute autre guerre de libération nationale, en dépit de ses errements et de ses carences ? Dès lors, de la part d’un intellectuel, occulter l’aspect positif d’un fait historique, comment le caractériser ? Ignorance ?… Mais, alors, est-on un intellectuel digne de ce nom ?

L’autre hypothèse serait de connaître la vérité mais l’occulter. Qui en serait, alors, le bénéficiaire ?… Est-ce le peuple algérien ? Sont-ce les lecteurs de l’article de K. Daoud ? Ou, plutôt, tous ceux qui veulent ternir, salir, stigmatiser, ridiculiser et s’esclaffer de rire en évoquant la «guerre d’Algérie» (ou toute autre guerre de libération nationale) en la réduisant à des individus imposteurs et profiteurs, parce que, voyez-vous, c’est ce que mes «parents» et mes «proches» m’ont dit ! Est-ce ainsi qu’un article doit décrire l’histoire réelle d’un fait historique ?… Il est vrai que le NYT est un journal «prestigieux», pour ceux qui ignorent qu’il est la propriété des membres de l’oligarchie impériale étatsunienne.

(A suivre)

K. N. ([email protected])

(1) Il est utile d’en lire le contenu ici .

(2) Le lecteur peut compléter la recherche en inscrivant au lieu de «Amérique» ou «America» respectivement «Etats-Unis» ou United-States».

Comment (73)

    Anonyme
    27 novembre 2018 - 8 h 01 min

    @ anonyme 26nov 23 h18
    KEMCHA NHEL KHIR MEN CHOUARI DEBEN ( DARIJA TA3NA RAHA HNA )
    حاصر حصارك لا مفر واضرب عدوك لا مفر
    سقط القناع عن القناع سقطالقناع.
    Wel fosha ta3na raha hna.
    SigneZORO. …Z……

    anonyme
    26 novembre 2018 - 12 h 52 min

    Signe d’affection ? Que nenni !
    Abou Langi alias Karamazov n’a d’affection que pour sa « belle » personne.
    La lettre Q sert à renvoyer l’auteur à son arabité voire à son « arabo-baathisme ». C’est une forme de mépris ni plus ni moins.

      Abou Langi
      26 novembre 2018 - 13 h 10 min

      Encore un dégât collatéral !

      Je crois que cette hécatombe sera encore plus belle que celle du marché de Brive-la-Gaillarde.

        Zaatar
        26 novembre 2018 - 20 h 16 min

        A propos de bottes d’oignons, quelques douzaines de gaillardes se crepaient un jour le chignon. A pieds a cheval, en voiture, les gendarmes mal inspires vinrent pour tenter l’aventure, d’interrompre l’echauffouree. Or sous tous les cieux sans vergogne, c’est un usage bien etabli, des qu’il s’agit de rosser les cognes, tout le monde se reconcilie, ces furies perdant toute mesure, se ruerent sur les guignols et donnerent je l’assure un spectacle assez croquignol.

          Krimo
          27 novembre 2018 - 14 h 33 min

          Zaatar,

          Lui c’est un phare pour les âmes en détresse. Essaie plutôt ce méconnu qui lui aussi avait tout jeté dans les poubelles : Jehan Jonas.

      Abou Langi
      26 novembre 2018 - 13 h 17 min

      Yakhi je vous ai dit que ce n’est pas à ça que vous mordez !

    MOHAMMED BEKADDOUR
    26 novembre 2018 - 5 h 03 min

    Une piste : Pourquoi Le Caméléon existe, continue à exister alors que les disparitions se multiplient… Pourquoi Un Tel a conclu que « La nature est un livre ouvert » ? El Jazaïr a ses deux facettes, une, interne, l’autre, externe. Je ne défendrai ni Youcef ni Kamel, je vis l’interne et personne ne m’y défend, j’ai vécu l’externe qui n’était vivable qu’en Caméléon, mais notre temps là en 2018 a mis à nu tout ce qui survivait par le déguisement, le port des masques. L’impalpable foi est le seul habit restant, et La Providence fait manger tout le monde ! Hasta La Vista, Compatriotes…

    ZORO
    25 novembre 2018 - 21 h 25 min

    FAUX ET USAGE DE FAUX
    Dois je m etonner de voir KARAMAZOV user du faux pour ecrire QEDDOUR au lieu de KADDOUR quand il s agit de NAIMI. (commentaire du 24nov 18h26),et prendre soin de citer KAMEL au lieu de QEMAL par respect aux normes de la tribu.
    SIGNEZORO…Z…

      Zaatar
      26 novembre 2018 - 8 h 02 min

      Don Diego, Karamazov peut bien écrire comme il veut… Le chanteur Fodil, écrit son nom Faudel et alors? Il y en a qui écrivent Sheryfa au lieu de Cherifa… il est ou le probléme? Karamazov écrit Qeddour ou lieu de Kaddour et alors? Moi j’écris Kemal au lieu de Kamel…c’est quoi qui dérange? Karamazov préfére le Q au K ça te dérange à ce point?

        ZORO
        26 novembre 2018 - 11 h 06 min

        Felicitation Zaatar,je vois que le mentor QARAMAZOV de la tribu viens de te designer son porte parole
        .Que ton mentor prefere le Q au k comme tu le dis , rien d etonnant on en a deja discuter sur ce site , ferraouja,hamma, taous sont venus a la rescousse de khalti fatna l oranienne que ton mentor se rapelle avoir visite il y a cinquante ans a la rue l aqueduc.Ces braves femmes venues de toutes les regions du pays ont rappele a ce sado maso que c etait la misere de la FRANCE et du colon qui les poussait a etre perpateticiennes a travers tout le pays et non seulement a l ouest comme le pretend ce boulangi gardien de four et de bucher pour y mettre la chair de nos cheres concitoyennes rotir devant ses yeux. Et pourtant ce mentor ne cesse de repeter que ca fait caranta qu il est fel kharedj tout pres du port d AMSTERSAM son lieu de predilection ne trouve t il pas des nonnes a son gout et aucun nom de star a nous communiquer.
        KHALTI FATNA DE LA RUE L AQUEDUC TE SALUE QARAMAZOV

          Zaatar
          26 novembre 2018 - 12 h 40 min

          Sans commentaires… je me bidonne et ça relaxe… mais qu’est ce que ça peut donner ma parole…

        Abou Langi
        26 novembre 2018 - 12 h 06 min

        @ Zaatar

        « Koulchi hseb » répondit le puceau à sa fiancée qui lui a dit c’est pas là le jour de sa nuit de noce parce qu’il avait tapé un tantinet plus haut, ou plus bas, selon vos propres configurations à vous autres.

        Rien n’est fortuit chez Karamazov.

        D’abord , Qeddour chez Karamazov est un signe d’affection. Et la particule « Si » c’est pour lui signifier tout l’honneur qu’il lui doit.

        Ensuite « Qeddour » rend mieux la phonétique zarabe comme il dit lui.

          ZORO
          26 novembre 2018 - 14 h 13 min

          @ QOMRAD QARAMAZOV :
          TU utilises l arabe pour dire » KOULCHI HSEB ». A travers ma sublime langue je te repond; » KOULCHI FIH FAKART OU HADA MA DERT HSABOU » Tu as pense a tout sauf a la replique de ZORO. Comment Qeddour peut il etre un signe d affection alors que ce prenom ne se trouve pas dans le lexique kabyle d apres les dires d un des votres sur site?
          Twiwess pour taoues ,Hmimed pour ahmed ou Hsissen pour hassan ca peut passer QEDDOUR pour KADDOUR Cest du faux et usage de faux intentionnel.

          Anonyme
          26 novembre 2018 - 23 h 38 min

          Khouya ZORO Rak 3ajabni Bezzaf…! Bravo!

    Un Lecteur Lambda
    25 novembre 2018 - 20 h 32 min

    @Abou Langi
    “Si l’on ouvre toute grande la gueule à un âne, et qu’on lui dise : « Maintenant, toi aussi tu as droit à la parole » , que peut faire le pauvre animal, sinon braire ?”

      Abou Langi
      25 novembre 2018 - 21 h 11 min

      Les mouches bleues ne s’attrapent pas au vinaigre.

      Chassez le nature !

      C’est trop facile de vous sortir de vos terriers !

      Encore un dégât collatéral !

      Comme il a dit le lion à Mhend uchen: awi a Mhend atsmedhledh. Il est mort, maintenant enterrez-le!

    Un Lecteur Lambda
    25 novembre 2018 - 19 h 23 min

    @Zaatar
    Votre allusion à propos d’opportunités est pour le moins grotesque. Parlez pour vous-même. Vous croyez que nous sommes tous à vendre !
    Journaliste, je l’ai été quand votre Kd usait son chort sur les bans de l’école.
    Un peu de retenue, s’il vous plaît, cher Monsieur.

      Anonyme
      25 novembre 2018 - 20 h 14 min

      En Algérie,réussir dans son métier est plus pire que l’apostasie .Si vous aviez le pouvoir vous auriez crucifié K.Daoud sur la place publique pour décourager tout écart de la pensée unique,rigide,fossilisante et stérile.

      Zaatar
      25 novembre 2018 - 20 h 21 min

      Ahkiha elbebete, vous pensez ne pas avoir les memes genes mais vous ne l’avez jamais verifie. La replique en tant que telle que vous faites le laisse largement suppiser. Ce qui pouvait s’ecrire en theorie s’affirme en pratique. Rien n’est donc nouveau. Ce n’est qu’une continuite des choses et vous nous en faites une parfaite demonstration.

        ZORO
        25 novembre 2018 - 22 h 58 min

        Ma reponse au ZAATAR se trouve dans la chanson kahwa wel latey mchaou rahou mda3yine 3ande el kadi chaou sbah……….etc…..
        WAK INTIYA LA HCHICHA MASBOUGHA KI NILA!!!!
        SIGNE ZORO. ..Z…

      Anonyme
      25 novembre 2018 - 21 h 02 min

      Vous n’êtes pas à vendre juste parce que vous n’avez pas trouvé preneur .

    Un Lecteur Lambda
    25 novembre 2018 - 19 h 10 min

    @ Zaatar
    Qu’il soit vaniteux et sans scrupules, ceci me paraît être plus qu’une évidence. Et j’assume ce que je dis.
    Cependant, je n’ai à aucun moment nié le droit de s’exprimer à qui que ce soit. Je dénonce ses propos et cela me paraît être de mon droit de le faire. S’exprimer pour un homme ayant « acquis » le statut qui est le sien suppose un minimum de déontologie et de respect.
    Quel paradoxe, quand un « bourreau » passe pour une victime !

      Abou Langi
      25 novembre 2018 - 19 h 56 min

      Victime? Meskine !

      Hgarnakoum waqila.

      Vous pourriez même ajouter votre nom à ceux des nouveaux anciens faux combattants pour demander une pension de planqué de guerre.

      Continuez vous allez réussir à nous apitoyer sur votre pôvre sort.

        Zaatar
        25 novembre 2018 - 20 h 33 min

        Tab djenanhoum? Deja? Ca va vite… puree

      Anonyme
      29 novembre 2018 - 23 h 44 min

      Lorsqu’on pèse les mots de Un Lecteur Lambda et ceux des Zaatar et Abou Langi, on note qu’il y a une très grande différence. Je ne les connais pas tous les trois, mais lorsqu’on lit Un Lecteur Lambda, on peut deviner le niveau, la bonne éducation, la sagesse, le sérieux, le savoir et tout le reste….! Tout à fait normal, puisque les espèces ne se ressemblent pas toutes, il y a celles qui vivent dans l’eau douce et d’autres dans les eaux troubles.

    Un Lecteur Lambda
    25 novembre 2018 - 16 h 33 min

    Personne n’a refusé ou nié à qui que ce soit le droit à la différence. Qui sommes-nous pour décider de ce que Kd doit dire où écrire ? Là n’est donc pas le propos et il est vain de tenter de noyer le poisson !
    La Vérité au sens profane n’existe pas, ce que nous croyons être la vérité n’est qu’une quête de l’absolu du pauvre humain que nous sommes ! Notre lecture de la vie n’est que représentation. La liberté. Vous défendez ce droit à Kd et dans le même temps vous le niez à tous ceux qui réfutent sa vision fabriquée des choses. Pourtant, personne ne vous refuse le droit de défendre ses idées combien même elles ne sont qu’élucubrations.
    Dénoncer des contre-vérités, exprimer de façon claire son refus du mensonge est éminemment moral (à vous lire l’on vient à se demander si la morale existe encore dans notre pays…) Non, nous ne vivons pas dans une autarcie intellectuelle. L’ouverture d’esprit ne rime pas avec l’acceptation de l’innommable.
    Cher Monsieur, je préfère encore être traité de « national-populiste » que de vendre mon âme pour quelque misérable notoriété.

      Souk-Ahras
      25 novembre 2018 - 17 h 11 min

      « … Personne n’a refusé ou nié à qui que ce soit le droit à la différence. »
      Quelle mauvaise foi !

      « … Vous défendez ce droit à Kd et dans le même temps vous le niez à tous ceux qui réfutent sa vision fabriquée des choses. »
      Mauvaise foi encore ! Qui donc, d’entre nous deux, cherche à noyer le poisson ?
      Je vous mets au défi de trouver dans mes commentaires quelque chose, serait-ce une bribe, qui ressemble, même de loin, à une négation du droit à la différence des contributeurs y compris vous-même.
      Vous avez vos arguments, je fais en sorte de les déconstruire dans le respect strict de la personne à qui je m’adresse.

      Abou Langi
      25 novembre 2018 - 17 h 40 min

      Peuchère ! On compatirait presque si ce n’était affligeant ! Le débat était autour du bannissement KD du SILA et d’Algérie pour ses écrits parce qu’ YB et KN en avait décidé ainsi et non parce qu’il aurait commis un crime qui tomberait sous le coup de la loi.

      Les réponses furent diverses et variées et parmi ceux qui le soutenaient ils y avaient ceux qui ne l’avaient même pas lu ? Il ne s’agit point de littérature mais de posture vis à vis de toutes les idéologies.

      Quant à la liberté de s’exprimer ou non, on ne vous a pas attendu. KD continue à tailler dans le vif du sujet et nous autres nous apportons au débat ce qu’on veut .

      Nous ne revendiquons aucun droit à la différence, nous l’appliquons!

      Zaatar
      25 novembre 2018 - 18 h 28 min

      Ahh ya sidi!!! Ya Un lecteur Lambda, n’est ce pas vous qui avez ecrit le 24 novembre a 23h32,  » cette derniere contribution vient parachever ce que Benzatat a entame avec beaucoup d’honnetete, c’est a dire la demystification sans fioriture de ce personnage singulierement vaniteux et sans scrupules ». Donc Daoud pour vous est un vulgaire pretentieux qui n’a tout simplement pas le droit d’ecrire. Il est sans scrupules, et donc ne recule devant rien, il est pret a tout… bref il est a bannir… n’est ce pas. Et maintenant vous nous balancer comme ca, « qui sommes nous pour decider de ce que KD doit dire ou ecrire? » Moi je vous l’ai deja ecrit. Si YB et KN avaient eu les memes opportunites que KD, peut etre seriez vous aussi ici a leur balancer les memes propos que ceux que vous balancez sur KD. Chez nous c’est dur d’etre en accord avec soi meme finalement…

    ZORO
    25 novembre 2018 - 16 h 25 min

    REPONSE de ZORO a ABOULANGI ALIAS KARAMAZOV 24 NOV 18h 37
    Emballé et pesé dites vous?? Oh que non komrad Nous n avons pas les memes nornes de pesage et nous mangeons pas le meme pain YA EL BOULANGI .
    SigneZORO. …Z……

      Zaatar
      25 novembre 2018 - 18 h 47 min

      C’est de la chirurgie apparemment… et ca va vite, tres vite. Et c’est toujours dans le 10…chapeau le faiseur de pains.

        Abou Langi
        25 novembre 2018 - 19 h 25 min

        Non, lui ce n’est qu’un dégât collatéral qui ne prête pas à conséquence.

        ZORO
        25 novembre 2018 - 22 h 33 min

        VOILA ZAATAR HCHICHA TALBA M3ICHA qui retrouve
        la parole.
        SIGNE ZORO…Z…

    lhadi
    25 novembre 2018 - 15 h 02 min

     » Nous faisons de la parole précise le témoignage le plus sûr de la pensée juste ; une parole vraie, conforme à la loi et à la justice, est l’image d’une âme saine et loyale  »
    (Isocrate – Echange 255 Nicoclès 7)

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Abou Langi
      25 novembre 2018 - 15 h 14 min

      Oui , mais l’habite ne fait pas le moine!

        IMAZIREN
        25 novembre 2018 - 20 h 20 min

        Il faut l’avoir sous le bras, afin qu’elle ne traine pas par terre à travers l’habit.

    Karamazov
    25 novembre 2018 - 13 h 53 min

    Sommes nous dans un colloque réservé aux initiés ?

    Encore une fois , dans ce forum ou plutôt cette foire , d’empoigne, il n’y a aucune figure imposée. Ce n’est pas l’orchestre national ou le chef même la cadence.

    Vous ne pouvez pas venir dans ce forum prêcher au tout venant et par la suite imposer des règles de rhétorique dans lesquelles vous auriez aimé enfermer KD.

    Quand Boudjedra a été piégé par la télé, il s’est renié sous prétexte qu’on voulait sa mort. Et là on livre KD à la vindicte, non seulement on fait son procès, mais aussi celui des témoins à décharge, en les sommant de se battre avec les armes que l’adversaire savent mieux maîtriser.

    Hé non ! ce débat ne se place pas sur le plan de la littérature. Ce qui est reproché à KD ce n’est pas son genre littéraire, ou son style : mais ses OPINIONS.

    Une bonne partie des intervenants n’ont ps lu KD. Je ne le connaissais pas non plus avant ses livres et je ne l’aurais pas non plus lu si ce n’était les remous qu’il a soulevés. Et même ainsi ce n’était que par curiosité pour savoir de quoi il en retournait que je le lis..

    Ceux qui n’ont pas lu KD se sont sentis le devoir de se solidariser avec lui rien qu’en lisant ses détracteurs qui croyant épater leur monde leur ont donné la nausée.

    Et moi j’affirme ici que si le même procès était fait au diable je l’aurais adoré.

    Je pourrais moi aussi écumer le web pour en extraire les plus grand procès de l’histoire les plus brillantes analyses littéraires les plus beau textes , les remanier un peu puis y insérer le nom de KD pour le descendre ou les noms d’YB et de KN pour les ridiculiser. Cela s’appelle de l’intertextualité pour employer un euphémisme ou un plagia pour dire vrai.

    Céline qui lui était collabo, anarchiste de droite, antisémite avait essuyé le même procès de la part des plus éminents intellectuels de son temps. Je vous recommande sa réponse à à l’immense J.P Sartre : « l’Agité du bocal » disponible sur le web . Et je vous livre une autre réponse, qui le traitaient de mauvais écrivain et d’avoir transférer la polémique dans l’égout, et qui sied bien à notre sujet :

    « Le monde est plein de gens qui se disent des raffinés et puis qui ne sont pas, je
    l’affirme, raffinés pour un sou. Moi, votre serviteur, je crois bien que moi, je suis un
    raffiné ! Tel quel ! Authentiquement raffiné. Jusqu’à ces derniers temps j’avais peine à
    l’admettre… Je résistais… Et puis un jour je me rendis… Tant pis !… Je suis tout de
    même un peu gêné par mon raffinement… Que va-t-on dire ? Prétendre ?…
    Insinuer ?…

    Un raffiné valable, raffiné de droit, de coutume, officiel, d’habitude doit écrire au
    moins comme M. Gide, M. Vanderem, M. Benda, M. Duhamel, Mme Colette, Mme
    Fémina, Mme Valéry, les « Théâtres Français »… pâmer sur la nuance… Mallarmé,
    Bergson, Alain… troufignoliser l’adjectif… goncourtiser… merde ! enculagailler la
    moumouche, frénétiser l’Insignifiance, babiller ténu dans la pompe, plastroniser,
    cocoriquer dans les micros… Révéler mes « disques favoris » … mes projets de
    conférences…

    Je pourrais, je pourrais bien devenir aussi moi, un styliste véritable, un académique
    « pertinent ». C’est une affaire de travail, une application de mois… peut-être d’années…
    On arrive à tout… comme dit le proverbe espagnol : « Beaucoup de vaseline, encore
    plus de patience, Eléphant encugule fourmi. »

    Mais puisque nous sommes là pour exprimer des O.P.I.N.I.O.N.S. Des sentiments à froid, nous ne nous embarrassons pas de formalités.

    Car s’il ne s’agissait que de littérature ou de comparer KD à ses détracteurs, la chose est mondialement jugée.

      Felfel Har
      25 novembre 2018 - 20 h 31 min

      @Karamazov
      Je me limiterai au paragraphe: « Je pourrais moi aussi écumer le web….. ou un plagiat pour dire vrai. » pour exprimer l’idée que consulter des ouvrages ou des sites de référence (Google, Wikipedia ou autres) n’est pas interdit, ni inapproprié. Personnellement, je n’ai jamais eu la prétention d’être une encyclopédie vivante. Au faîte de sa gloire, Socrate affirmait « Je ne sais qu’une chose, c’est que je ne sais rien. » (Je jure que je l’ai cité de mémoire). On m’a toujours appris à présenter mes arguments de façon claire et limpide et de les étoffer, à l’occasion, par des citations pertinentes, en prenant le soin de révéler leur véritable auteur. Autrement, ce serait effectivement du plagiat, car on s’attribuerait des écrits qui ne sont pas les nôtres.
      L’intertextualité, quant à elle, permet de s’inspirer du texte d’un auteur pour apprécier/critiquer les écrits d’un autre. Dans un souci de démonstration, on opposerait les arguments des uns et des autres pour en tirer des conclusions, sans risque d’être cloué au pilori pour avoir osé la comparaison afin de contraster les positions des uns et des autres.
      Au final, je m’interdis de jeter la pierre à ceux qui choisissent leur propre style d’écriture et leur technique d’argumentation tant qu’ils respectent les canons de la composition écrite et n’ont pas recours à l’anathème, l’injure ou l’insulte. Je ne leur ferais pas le reproche « d’écumer le web » pour trouver les informations dont ils ont besoin pour argumenter et débattre et ensuite me permettre d’étaler des tartines puisées dans les mêmes sites de référence. Je critiquerais leurs arguments en leur opposant les miens, mais je m’abstiendrais de leur faire le reproche d’avoir choisi un style qui ne m’agrée pas ou qui n’a pas l’heur de me plaire.
      Le débat doit rester sain et productif, sinon ce serait une foire d’empoigne. Salutations!

    Souk-Ahras
    25 novembre 2018 - 12 h 25 min

    L’autarcie intellectuelle ne peut s’accommoder de la lumière du jour. Elle en serait éblouie à devenir aveugle.
    C’est une véritable « Croissade » qui est entreprise afin de libérer KD de ses démons anti-musulman, anti-nationaliste, anti-patriotique, anti-tabous. C’est une guerre des raisons.

    Iqra ! dit Dieu à son dernier messager analphabète. Ordre et autorisation furent ainsi intimés, de partir à la recherche et l’établissement de la vérité (savoir) quelle qu’elle soit et où qu’elle soit ou fût. Sans limites. Dût-elle toucher à l’existence ou l’inexistence de l’ordonnateur lui-même.

    Le droit naturel à la différence doit-il nous faire craindre l’Autre, ce différent qui nous ressemble, nous interpelle, dit ce que nous refusons lâchement de penser ou de concevoir ? Cette bouffée d’air frais dans une atmosphère viciée d’une multitude d’impuretés mensongères, hypocrites ?

    Notre sens de la déduction et celui du raisonnement ne nous interpellent-ils pas continuellement sur le respect de la différence ? Ne nous informent-ils pas, par le biais des actes de l’individu ou du groupe d’individus, que la différence est toujours en même temps une séparation et un lien ?
    Car sans l’intervalle qui sépare les choses il n’y aurait pas de liaison possible.
    Et sans le principe de différenciation il n’y aurait pas de monde possible mais seulement un chaos polyvalent, indifférencié.

    Ne pensez-vous pas que l’acte de différenciation passe par une séparation préalable des éléments entremêlés ? Je nomme le discernement.
    Vous arrive-t-il de penser que cet acte représente aussi la condition de possibilité pour l’établissement d’un lien futur ? Je nomme la vision.
    D’ailleurs, la vie humaine elle-même, passe originellement par la différenciation du bébé d’avec la mère à travers la coupure du lien que représente le cordon ombilical. N’est-ce-pas là le signe premier de l’universalité et de la variété humaine ?
    Sinon, seule l’existence d’un être humain sans nombril nous obligerait à remettre en question une telle logique ! Logique de rejet formulée par le national-populiste primaire consciencieux, œuvrant à l’impératif moral, catégorique, en tant qu’il est inconditionnel aux besoins existentiels de la tribu.

    Existe-t-il une vérité absolue, des valeurs morales ou esthétiques absolues ?
    L’absolu n’est-il qu’une exigence de la raison, un idéal irréalisable dans les faits ?
    Voilà, Mrs Naïmi et Benzetat, exposées, les questions auxquelles vous devriez plutôt répondre pour clore le chapitre KD dont le combat pour son droit à la différence demeure légitime et respectable.

    Tout comme votre confrère Benzatat, vous mixez Mr Naïmi, vous mélangez, vous amalgamez, vous ne verticalisez pas la pensée de l’homme KD, vous l’horizontalisez en l’aplatissant, en lui conférant une sonorité aventuriste droit sortie de votre seule déduction.
    L’interprétation n’obéit à aucune norme définie, elle contient à la fois sa thèse et son contraire ; elle est strictement d’ordre personnel et ne peut logiquement transgresser ce périmètre sans s’aventurer dans l’extrapolation. C’est bien ce qui transpire de cet article. Hélas !

    Guerre d’Algérie, guerre d’indépendance… Nous l’avons acquise, notre indépendance, en 1962. Ce fait a-t-il pour autant désaxé notre planète ou inversé ses pôles ? Les occidentaux ont-ils besoin d’écouter KD pour savoir que nous sommes, en Algérie, dans une situation infamante, par la grâce de l’illégitimité qui, dans une quête éperdue de leur (occidentaux) bienveillance, empêche la vérité de jaillir.
    KD n’est pas anti-tout ce qui a été dit de lui, c’est juste un makhlouq doté de raison qui prend le temps de réfléchir.

    Zaatar
    25 novembre 2018 - 10 h 31 min

    J’ai commencé à lire, puis j’ai arrêté car j’ai tout de suite compris. Il y a beaucoup de problèmes dans beaucoup de cervelles… on le fait exprès d’ignorer, je n’en sais rien. Mais de vous à moi Monsieur Kaddour Naimi, croyez vous sincérement en un monde de paix, d’égalité, d’amour de son prochain et tout les tutti quanti que l’on absorbe et que l’on observe un peu partout par hypocrisie? Pensez vous sérieusement que la plupart pensent pouvoir se sacrifier pour voir leur prochain s’élever plus haut que le reste? Avez vous examiné minitieusement l’état de notre planète, les reflexions et les agissements de tous les pays qui la composent? Il y a un proverbe de chez nous qui dit que celui qui n’arrive pas à attraper la grappe de raisin dira à la fin qu’elle est (la grappe) acidulée…n’est ce pas? Ce monde est ainsi fait l’ami, et chacun voudrait tirer son épingle du jeu, et c’est de plus en plus difficile et compliqué avec le temps qui passe… je ne mettrais pas ma main au feu, mais je suis convaincu que si YB, et peut être même vous aviez pu tirer profit de circonstances telles qu’elles se sont offertes à KD vous n’auriez jamais craché dessus… vous seriez peut être même allé plus loin. Comme quoi, l’hypocrisie a toujours été l’arme fatale de l’être et ce depuis la nuit des temps… et en venez pas me chanter le contraire comme avec cette parodie que vous venez d’exposer à l’encontre de Daoud.

    MOHAMMED BEKADDOUR
    25 novembre 2018 - 3 h 36 min

    Additif
    Si YB avait été « imam », il aurait émis une fatwa qui condamne KD à la mort ! Heureusement que ni l’un ni l’autre ne sont dans le clan des dégénérés. Je reproche juste « une chose » à cette histoire : Nous sommes chacun portés à la violence, au rejet non lucide, sommes-nous tous rien que des hypocrites, et des êtres voués à s’entre éliminer, fut-ce par le verbe ??? Je n’ai pas besoin d’avoir tout lu de Kamel Daoud, ni d’avoir lu chaque compatriote, d’abord c’est impossible, ou alors pour ce faire il faut avoir statut financier et toute une structure, je constate cette vérité : Nous formons un troupeau sans berger, nous sommes dispersés, chacun de nous est une île isolée, nous n’avons ni chef vrai ni un but collectif vrai, du moins c’est à ce stade que nous sommes, nous sommes malheureux, une chose est sûre, Youcef est aussi malheureux que Kamel, nous sommes une collectivité qui ignore ce qu’est être heureux, ignore comment l’être, nous sommes en fuite, et pourtant il nous suffirait d’un Grand Timonier, d’Un Grand Chef qui nous assemble, qui embrasse la totalité de NOTRE trame algérienne spécifique, Un « Musicien » qui connaît l’orchestre mis à sa disposition et sait placer chacun à sa place exacte, là nous sommes en cacophonie : Stérile ! Voilà pourquoi j’ai écrit ; Mer « sans fin »…

      Anonyme
      25 novembre 2018 - 14 h 59 min

      Le mot Imam est inaproprié ! vous n’avez qu’a lire l’opinion de Youcef Benzatat sur la religion, Kamel Daoud parait un bigot devant les positions courageuses de Y.B à l’égard de l’Islam et de la religion en général.
      Il aurait fallu dire plutôt, si les Algériens étaient organisés à lutter contre la tentation néocoloniale avec abnégation et courage, comme leurs ainés pendant la guerre de libération nationale, un néo harki, à l’image de Kamel Daoud serait condamné à mort comme l’étaient les harkis pendant la Révolution.

        Anonyme
        25 novembre 2018 - 18 h 22 min

        Si K.Daoud est un harki je le suis et beaucoup d’autres le sont aussi.Combien d’algériens vous faudra t-il égorger pour purifier l’Algérie selon vos critères de purification ? Le FIS,l’AIS ,le GIA ont essayé mais nous sommes toujours là en travers de vos gorges .

    Felfel Har
    25 novembre 2018 - 0 h 52 min

    Il y a longtemps que je ne prête plus attention aux éructations de KD sur sa patrie et sur son peuple. Pour se faire un nom, pour satisfaire d’une minable gloriole, il tente de surenchérir par rapport à BHL et Zemmour dans l’anti-algériannisme, en se faisant plus virulent; il a même adopté leur style de provocateur et leur posture d’érudit dont les paroles/les écrits seraient des paroles de Thora/d’Évangile. Il correspond parfaitement au l’inommable traître dont Albert Memmi (un intellectuel franco-tunisien) a dressé le portrait dans son oeuvre Portrait du Colonisé précédé du Portrait du Colonisateur (1957). Ils les qualifie de « gribouille à courte-vue de la politique coloniale » et dénonce la mystification de ce qu’il appelle « l’indéfectible attachement des indigènes à la France ». Il dira aussi que « l’usurpateur… s’efforce de falsifier l’histoire, il fait réécrire les textes, ils éteindraient les mémoires ».
    J’ajouterais qu’il dresse des serpents pour continuer à répandre son venin. Il est dommage que KD mette tout son talent à achever le sale boulot des nombreux mercenaires qui croient encore en la grandeur de la France pendant son occupation de l’Algérie. Il n’y a que les traîtres qui glorifient leurs maîtres!

    Un Lecteur Lambda
    24 novembre 2018 - 23 h 32 min

    Cette dernière contribution vient parachever ce que M. Benzatat a entamé avec beaucoup d’honnêteté, c’est-à-dire la démystification sans éclat ni fioriture de ce personnage singulièrement vaniteux et sans scrupules.

      Zaatar
      25 novembre 2018 - 12 h 34 min

      Moi j’aurais mis « Hypocrisie » à la place d’honnêteté. Mais bon, chacun a sa vision de la chose. On se retrouve toujours là où on se sent le plus à l’aise. Après il faut faire un peu de statistique et d’histoire, car personne ne détient la vérité absolue.

    Anonyme
    24 novembre 2018 - 20 h 42 min

    Depuis que j’ai commencé à lire ,j’avais toujours rejeté les livres d’auteurs arabes d’expression française considérant qu’ils ne reflétaient que la pensée islamo-arabe rigide et stérile avec la langue de Molière. Et c’est K.Daoud qui m’a prouvé que j’avais tord. K.Daoud a coulé dans le moule verbale nos émotions et nos sensations enfouit au plus profond de nos être .C’est pour cela que je le considère comme l’écrivain le plus talentueux que l’Algérie a enfanté .

      Anonyme
      25 novembre 2018 - 14 h 31 min

      J’ai lu des extraits de KD: j’ai rien pigé, rien émotionné, trop intello pour moi; impossible de vibrer à quelqu’un qui fait des phrases, le péché mignon des écrivains algériens. Quand j’ai lu qu’une cochonseté comme ( je cite de mémoire, impossible de retrouver l’extrait sur Google)  » le ciel déféqua » confinait au génie pour le journaliste français qui avait précisément choisi cet extrait, j’ai compris à quoi j’avais affaire.

      Le problème des écrivains algériens, c’est qu’ils écrivent pour les salons parisiens, pas pour leur peuple ni même pour un lecteur moyen. Jamais vous ne trouverez chez eux un livre aussi simplement écrit que  » Les raisins de la colère » ou  » Le Grand Meaulnes  » qui ont bouleversé des générations de lecteurs; rien à faire, ils sortent des mots de leur plume comme les chanteurs arabes sortent des sons de leur gorge ou les chanteurs de rap sortent des éructations: aucune ligne mélodique.
      Ben les auteurs algériens c’est pareil: ils ne racontent pas d’histoire, il n’y a pas de suspense qui fait que l’on vibre, que l’on feuillette impatiemment le livre pour connaitre la fin d’une histoire bien écrite – s’agit pas d’écrire des romans de gare- et qui résonnera dans notre cœur longtemps encore après le livre refermé. Ce sont juste des mots qui s’alignent sur l’éternel et commode thème de l’identité et qui nous ennuient à mourir.

      Et quand nos écrivains couronnés par des prix littéraires se mettent à faire les beaux devant les Européens pour avoir leur susucre, l’Algérie en prend pour son grade parce que c’est ce que nos ennemis invétérés attendent d’eux.
      Dans l’industrie musicale les chanteurs signent un pacte avec le diable en bonne et due forme, K.Daoud et le marocain Sansal eux vont à la soupe comme tout le monde, personne n’échappe aux fourches caudines du hit parade.

        Souk-Ahras
        25 novembre 2018 - 17 h 44 min

        « … Le problème des écrivains algériens, c’est qu’ils écrivent pour les salons parisiens, pas pour leur peuple ni même pour un lecteur moyen. Jamais vous ne trouverez chez eux un livre aussi simplement écrit que » Les raisins de la colère » ou » Le Grand Meaulnes » qui ont bouleversé des générations de lecteurs; rien à faire, ils sortent des mots de leur plume comme les chanteurs arabes sortent des sons de leur gorge ou les chanteurs de rap sortent des éructations: aucune ligne mélodique. »
        Ça c’est de la littérature ! Mieux, c’est de la poésie!

        Anonyme
        25 novembre 2018 - 19 h 02 min

        « Le problème des écrivains algériens, c’est qu’ils écrivent pour les salons parisiens, pas pour leur peuple  » Vous avez les hadiths,la khotba du djoumou3a,les 3oulama al ajila qui parlent et écrivent pour le peuple qu’est ce qu’il vous faut de plus ?

    Ch'ha
    24 novembre 2018 - 20 h 28 min

    Excellent article et analyse. Merci.
    @Moh commentaire plus que pertinent.

      Anonyme
      25 novembre 2018 - 4 h 21 min

      Tu es le Ould Abbas de A.P.

    MELLO
    24 novembre 2018 - 20 h 06 min

    Kamel Daoud, et non KD – par respect à sa notoriété – reste l’une des plumes les plus brillantes que notre pays arabise’ ait pu avoir. Lorsqu’on arrive à saisir et a comprendre son message, on saura que son âme n’est pas vendu au diable. La guerre d’Algérie n’appartient ni à Kamel Daoud, ni à vous, ni à moi , ni à quiconque pour en faire une propriété privee; cette révolution est la propriété de tout le peuple Algérien et chacun est libre d’en user selon ses repères. Comment alors expliquer que feu Hocine Ait Ahmed , qui avait dédié sa vie à la liberté des femmes et des hommes de ce pays fut , de son vivant, traité de tout , y compris de harki , par ces détenteurs des constantes nationales ? Ceux là mêmes qui ne cessent de chercher leur légitimité auprès de ces occidentaux qui sponsorisent les organisations terroristes ,decapitent les souverainetés nationales et au nom de la mondialisation pillent les richesses des peuples, en entretenant scrupuleusement les dictatures arabes. Les tares et le déclin de l’intelligence que les imbéciles heureux prêtent aux Algériens sont toutes dans l’âme de cet occident. De toute évidence, à lire les chroniques de kamel Daoud sur notre Quotidien d’Oran, on comprendra qu’il est mu par une seule préoccupation : s’opposer aux usurpateurs de cette guerre de libération , aux usurpateurs ( les mêmes) du pouvoir et aux usurpateurs de l’ islam. De cette observation, on peut dire, sans se tromper, que Kamel Daoud est de ceux que la solitude decrepit. Or ,l’Algérie d’aujourd’hui est comme ce désert inerte où aucun écho ne vous revient. Un néant national qui pousse tout un chacun à aller chercher une écoute, y compris celle des poissons de la Méditerranée. Un drame qui nous enchaîne et nous pousse à tirer sur ces éveillés. Quant à nous …

      anonyme
      24 novembre 2018 - 20 h 38 min

      KD , est un diminutif, c’est juste affectueux .

    Almaz
    24 novembre 2018 - 19 h 02 min

    Depuis l’assassinat de son frère par les fréros à qui, lui-même avait vendu son âme au départ avant de se re-tracter, en veux à l’Algérie toute entière. Maintenant qu’il est bien pris en main par la bien pensante juiverie de France, il crache dans la soupe comme son collègue Sansal « sang sale »…le jour ou leur bougie s’éteindra en France, ils ne seront que buvard à jeter dans poubelle.

    Karamazov
    24 novembre 2018 - 18 h 26 min

    Ce que le troll vous aurait dit si c’eut été recevable….

    On aurait pu croire qu’ Y.B avait fini de nous savonner KD et qu’ après non pas deux mais trois contributions avortées il n’y ait plus rien à redire. On aurait pu.

    YB avait pourtant encaissé, et rendu tout les coups qu’il pouvait rendre y compris aux « trolls » auquel, lui, a répondu en se préservant de tous ses bigots qui sont venus, croyant le défendre, témoigner à charge contre lui.

    Mais Si Qeddour , qui n’en est pas à sa première judaïade , rappelez-vous comment après une idylle langoureuse avec le professeur Merdaci ça a fini. Mais il ne m’appartient pas de protéger YB de ses faux amis.

    Au contraire ça devrait me réjouir que Si Qeddour vienne ici le corriger et lui apprendre à contribuer. Ça m’eût réjoui en effet si j’étais Sadique comme si Qeddour et maso aussi.

    Mais, non, car avec tout ce qu’il s’est pris, nous en avions fini avec YB . Et puis nous autres nous étions ses contradicteurs qui n’étions pas d’accord avec ce qu’il écrivait sans lui faire la leçon sur la façon dont il l’écrivait.

    C’est oublier ceux qui comme les rapaces planent sur les champs de bataille guettant le moindre combattant à achever.

    Je me sentirais presque obligé de défendre YB , si comme Si Qeddour ; je pensais non pas qu’il n’a pas était juste avec KD, mais que dans sa diatribe il été mauvais.

    Ce qui est d’autant plus attristant , c’est que si Qeddour, en voulant nous faire oublier la prestation d’ YB, qui selon cette longue et in-finie contribution , a été médiocre limite lamentable, nous l’a fait oublier tellement la sienne est mesquine est misisérable.

      Anonyme
      25 novembre 2018 - 0 h 09 min

      Au lieu de nous noyer dans les méandres des mots pour en fin de compte ne rien dire, apportez vos arguments comme sieurs Benzatat et Naïmi qui ont fait l’effort et ont eu le courage d’étaler leurs opinions aux lecteurs sous leurs vrais noms.
      KD est un vendu point barre, on lui a appris la danse du ventre, ce qu’il sait très bien faire maintenant comme la plupart des Harkis intellectuels soit pour la notoriété, soit pour l’argent soit pour les deux en même temps! Quels débiles. En plus, au fond, les occidentaux abhorrent les individus qui renient leurs origines, leurs principes, …etc..Ils n’ont aucun respect pour eux, quand ils s’en servent… j’ai bien aimé la phrase de Almaz: « le jour ou leur bougie s’éteindra en France, ils ne seront que buvard à jeter dans la poubelle. »

        Zaatar
        25 novembre 2018 - 11 h 03 min

        Le seul argument à faire valoir est que tout le monde est hypocrite. Et chacun cherche à tirer son épingle du jeu et chacun le fait à sa manière. Comme si YB et KN ont un amour infini pour la patrie…Toz, s’ils avaient pu faire comme KD ils n’auraient pas hésité un instant…et c’est tout à fait naturel et légitime, c’est une vérité qui existe depuis la nuit des temps… et ce n’est pas maintenant que cela changera…

          Anonyme
          26 novembre 2018 - 0 h 02 min

          Pourtant c’est facile de faire KD, il suffit de se mettre à plat ventre et le tour est joué !

    Djaider
    24 novembre 2018 - 18 h 07 min

    Prendre la couverture d’un travail de très grande qualité jamais réalisé en Algerie et ailleurs sur le Trauma Colonial par une éminente psychanalyste Algérienne pour présenter une analyse du livre de Monsieur Daoud relève de la malhonnêteté.
    Je suis lectrice de votre site et je me rends compte que vos contributeurs viennent noircir vos pages sans aucunes étique.
    Bien à vous

    ZORO
    24 novembre 2018 - 17 h 48 min

    Aujourd hui le tete de file de la horde des pseudo intello qui sert sur ce site de trompette a KD a brille par son arrogance au point de sortir du cadre de la critique d oeuvre litterraire pour verser dans l invective et le manque de respect aux dignes contributeurs.A la lecture de son commentaire furtif ,jai pris mesure de
    L ampleur du degat intellectuel et moral que subit l esprit de la tribu par sa haine de l arabe du musulman,et de la guerre d Algerie. Devant ces attaques emanant des falsificateurs et fornicateurs de l histoire il est de mon devoir d Algerien ayant vecu son enfance sous le joug de la france et connu la souffrance qu endurait le peuple, de remercier et encourager Messieurs Benzaatat et Naimi pour leurs efforts a contrecarrer ces trolls dans leur vile role assigné par nos plus pires ennemis.
    SIGNEZORO. ..Z…..

      Abou Langi
      24 novembre 2018 - 18 h 37 min

      Furtif, mais il a atteint sa cible, apparemment !

      Abou Langi
      24 novembre 2018 - 18 h 46 min

      Furtif,mais chirurgical !

      Emballez maintenant, c’est pesé !

    Anonyme
    24 novembre 2018 - 17 h 44 min

    « Les élites du Sud peuvent-elles sortir du postcolonial ? La question m’obsède, me partage aussi. La colonisation a été une réalité, une blessure, et elle devient une cicatrice, mais sur un corps insensible au présent.[…]On peut parler de la blessure coloniale, mais pas de la responsabilité dans les échecs de nos indépendances, nos asservissements aux castes des décolonisateurs devenus prédateurs. On parlera du devoir d’accueil du migrant en Occident, mais on ne fait pas, avec le même tintamarre, le procès de l’Arabie saoudite ou des monarchies du Golfe, qui accueillent si peu et qui le peuvent tant. On ne parle pas des racismes locaux, horizontaux, entre soi, envers les siens. La conscience postcoloniale est le jeu d’un miroir éclaté où l’on ne voit que le passé, pas ses propres reflets impuissants. » K.Daoud.

    Anonyme
    24 novembre 2018 - 17 h 29 min

    « Je hais violemment l’héroïsme sur ordre, la violence gratuite et le nationalisme débile. » A.Einstein.

      MOHAMMED BEKADDOUR
      25 novembre 2018 - 17 h 47 min

      @Anonyme
      24 novembre 2018 – 17 h 29 min
      « Je hais violemment l’héroïsme sur ordre, la violence gratuite et le nationalisme débile. » A.Einstein.
      ——————————————————————–
      Einstein aurait dit quoi de La Palestine ? Merci pour l’effort de l’exacte réponse !

        Anonyme
        25 novembre 2018 - 20 h 20 min

        C’est un détail insignifiant qui n’entre pas en ligne de compte dans la pensée d’un génie.

    Anonyme
    24 novembre 2018 - 17 h 24 min

    En critiquant K.Daoud certains veulent se faire un nom sur son dos.Mais leurs crachats n’atteindra jamais le ciel limpide mais reviendra sur eux.

    IMAZIREN
    24 novembre 2018 - 15 h 30 min

    L’importance qui lui est donnée est démesurée, ils ont trouvé un écrivaillon en mal de reconnaissance et ils sont entrain de l’exploiter, le jour où il se rendront compte qu’il n’y a pas retour sur investissement il sera lâché et il finira comme les eaux usées, j’avais écouté ses entrevues dans les médias Français elles étaient d’une platitude affligeante.

    MOHAMMED BEKADDOUR
    24 novembre 2018 - 15 h 22 min

    J’ai patiemment lu cette contribution, je ne connais K.D que par la chronique qu’il animait dans le journal Q.O, qu’il m’arrivait de lire, irrégulièrement, je voyais en lui un sportif, et je le vois ainsi : Il a épuisé ce sport là, et conclu qu’il n’y avait pas de port en vue, qu’il était condamné à une mer « sans fin », alors il doit « naviguer » pour éviter de sombrer, il doit composer avec les obstacles, les écueils… Cette laborieuse et patiente contribution aurait-elle vu le jour si K.D s’était noyé ! Si K.D n’existait pas, il faudrait l’inventer. S’agissant de l’épopée de juin 1830 à juillet 1962, elle reste Épopée, malgré TOUT ! La vérité pour s’affirmer doit passer à l’épreuve des contradictions, des blessures, elle a son bateau, et sa patience. Bref, à mon sens, K.D navigue, hélas pour lui comme pour nous, vers un port qui n’est peut-être qu’un… Mirage !

    Anonyme
    24 novembre 2018 - 11 h 20 min

    KD est un charognard au meme titre que tous ceux qui depecent l Algerie. Il ne le fait pas directement, comme le fait l oligarchie algerienne en puisant de ses caisses mais indirectement, en vendant au plus offrant son histoire, sa societe en feneral.
    De ce fait, il est comme tous ceux qui volent l Algerie et les Algeriens, l ennemi de ceux la.
    En tant qu Algerien, autant j aimais lire ses ecrits quand il ecrivait sur le QO, parce qu il faisait partie des gens pour qui il ecrivait, autant je deteste ce qu il ecrit actuellement, parce qu il « vend » ma societe, son histoire a nos ennemis!
    Le terme traitre est bien approprie a ce monsieur!

    Moh
    24 novembre 2018 - 11 h 11 min

    Des écrivains des artistes des politiques de l’opposition comme du pouvoir sont engagés par la France pour minimiser et insulter le sacrifice du peuple algérien pour son indépendance, même le centre culturel algérien de Paris refuse de programmer les films de circonstance lors des dates historiques du premier novembre et le cinq juillet.
    Par exemple les films de Benboulaid, l’opium et le bâton et d’autres films sur la Révolution son censurés et ce n’est pas hasard.
    Bravo et merci pour cet article.

      Bravo
      25 novembre 2018 - 10 h 14 min

      Bravo Mouh pour ces vérités que personne n’ose dire.

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