Production de médicaments en Algérie : des boîtes vides commercialisées

Comment (5)

    saxo
    10 décembre 2018 - 2 h 54 min

    Il y a la phytothérapie pour parer à cette situation. C’est devenu courant de se soigner avec les plantes et vous ne risquez aucun effet secondaire, à condition bien sûr de savoir s’en servir.

    elbiour
    7 décembre 2018 - 23 h 11 min

    c pas etonnant .rien qu’a voir les milliers de soit disant labos qui.mettent en boite des pillules blanches qui n’ont aucun element ou principe actif pour attaquer une infection quelconque.de grace messieurs de la sante puplique algerienne arretez cette mascarade du medicament fermez tout ces foutus merdiers de labos peut etre clandestins et laissez travailler uniquement SAIDAL d’antan la seul qui pourrait suffire aux malades algeriens et favoriser son extension et la formation meme a l’etranger de son personnel.20 comprimes de paracetamol algerien ne calmerait pas la douleur d »un simple mal de tete.Ne jouons pas avec la sante des etres humains et donnez un grand coup de pouce a la vente et a la production de VRAIS MEDICAMENTS ACTIFS.Quelle misere endure le pauvre miserable malade algerien qui peut mourrir sans le savoir a cause d »1 medicament inerte ou « meme périmé ou contrefait….

      Anonyme
      8 décembre 2018 - 10 h 18 min

      C’est exact, les médicaments génériques algériens ne contiennent pour la plupart aucun principe actif; ce qui est terrible lorsqu’on ne peut pas être soulagé d’un mal de tête, d’une angine infectée ou d’une pneumonie, de douleurs rhumatismales dont on attend un effet immédiat…qui ne vient pas. Que dire aussi lorsqu’il s’agit de traiter une hypertension. Le paracétamol en particulier même sous marque ( locale), c’est de la poudre de perlimpinpin à tous les coups. Et en plus ils coutent plus cher que s’ils étaient importés.
      Et on prétend vendre des  » médicaments  » à l’étranger. Tout le monde le sait mais on en parle pas dans les journaux, allez savoir pourquoi.

    Iwen
    7 décembre 2018 - 9 h 21 min

    à la limite, mieux vaux ça que des boites contaminés, un peu à l’image de ce lait LACTALIS et CANDIA en Europe, plus précisément en France !

    Qu’est ce qu’on devrait dire alors !

      Anonyme
      10 décembre 2018 - 19 h 33 min

      On se console comme on peut! On va voir , comme toujours chez le voisin, pour se dédouaner. On s’en fiche de ce qui se passe chez fafa, ce n’est pas nos affaires.
      N’empêche, si tu achètes des médicaments et que les sachets des boîtes sont vides, il y a quand même un problème qui n’a rien à voir avec Natalis ou Perlinpinpin qui ne sont pas des médicaments! Imagine que ces boîtes de médicaments soient exportés…quelle sera la crédibilité de nos laboratoires pharmaceutiques?

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