Présidentielle : trois hypothèses avant la tenue de la conférence nationale

alliance
Les chefs de file des partis de l'alliance présidentielle. PPAgency

Par R. Mahmoudi Le silence entretenu par les partis de l’alliance présidentielle sur les bruits qui circulent avec instance depuis quelques jours sur l’existence d’un accord tacite pour l’organisation d’«une conférence nationale», devant regrouper l’ensemble de la classe politique et différents acteurs de la société civile, continuent à alimenter les suspicions les plus saugrenues sur les enjeux et les visées d’une telle initiative.

Selon plusieurs sources, les organisateurs auraient même fixé une date pour la tenue de cette conférence : le 10 janvier prochain. Le choix de cette date semble être justifié par le souci d’anticiper les événements et d’essayer de peser dans la décision qui serait annoncée le 18 janvier, c’est-à-dire une semaine plus tard, par le président de la République lorsqu’il devrait convoquer le corps électoral pour la présidentielle.

Il s’agit, selon certaines analyses, de faire pression pour amener le chef de l’Etat à assumer son choix de briguer un autre mandat ou, à défaut, de maintenir la tenue du scrutin à la date prévue. Cette conférence pourrait également servir de tremplin pour faire aboutir deux autres options qui se rejoignent : celle, suggérée par le chef de TAJ, Amar Ghoul, appelant à une prolongation du mandat actuel du Président, jusqu’à ce que les différentes composantes du pouvoir s’accordent sur «un candidat de consensus», et celle, défendue bec et ongles par le MSP, réclamant le report du scrutin pour une période d’une année, adossé à des réformes politiques et économiques et à une révision constitutionnelle.

Entre autres suggestions «fuitées» par la presse, on note celle de l’introduction d’un nouveau texte dans la Loi fondamentale, prévoyant la création d’un poste de «vice-président de la République» qui servirait de garde-fou durant une éventuelle période de transition.

R. M.  

Comment (37)

    Anonyme
    19 décembre 2018 - 23 h 21 min

    Moi, la question que je me pose est celle-là: est-ce que les Hmida éventuels qui remplaceraient les Hmida actuels ne risquent pas de faire pareil ou pire. Vu la composante de la soi disant élite + le nombre de harki intellectuels et analphabètes + les perroquets + les traîtres + les Templiers, je ne pense pas que tout changement soit bon pour l’Algérie, il faut bien mettre le pouvoir entre de bonnes mains sinon ce n’est pas la peine d’effectuer des changements de vitrines qui risquent de nous mener encore plus vers la dérive et l’instabilité. Dans ce monde cruel on cherche toujours le moins mauvais.

    BENHADJI
    19 décembre 2018 - 12 h 54 min

    bonjour,
    c’est bien d’organiser une conférence nationale avant les élections , qui regroupera l’opposition et l’alliance du khorti, pour le bien du pays.
    il ya urgence de rechercher une personne consensuelle qui assurera une transition mais sans toucher au calendrier électif.
    je vois d’un bon œil MOULOUD HAMROUCHE pour cette période de 05 ans .
    c’est juste un avis d’un patriote mais au dela, faites ce que vous voulez.
    nous sommes toujours les éternels oubliés du processus.
    AMICALEMENT

    ripper
    19 décembre 2018 - 0 h 29 min

    L’alliance présidentielle ressemble à une eau stagnante, non aérée et sans oxygène, donnant lieu à la formation des algues néfastes pour toute forme de vie.
    C’est à se demander qu’est ce qui fait courir les Ouyaya, Ghoul, Benyounes et la chère Naïma, missionnée pour créer la zizanie et pousser vers le modèle Hutu-Tutsis ?
    Pourtant, on n’a jamais vu un chargement d’argent, bijoux et autres biens suivre un corbillard vers le cimetière.

    Khazzat, la truffe continue
    18 décembre 2018 - 19 h 26 min

    Il n y a qu’une seule et unique hypothèse: celle de la truffe qui continue depuis 62. Ils vont faire des acrobaties bureaucratiques comme dans leur tradition puis ils vont nommer un énième gratte papier

    Mohand
    18 décembre 2018 - 19 h 13 min

    le pays part en vrille , conférence nationale ou pas

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 19 h 05 min

    L institution la plus importante actuellement c est le Conseil constitutionnel qui est l’organe juridictionnel suprême de la République algérienne. Il est composé de 12 membres désignés pour un mandat unique de huit ans. quatre désignés par le Président de la République dont le Président du Conseil constitutionnel et son vice-président, deux élus par l’Assemblée populaire nationale, deux élus par le Conseil de la nation, deux élus par la Cour Suprême, et deux élus par le Conseil d’État. Mr.Mourad Medelci, président du Conseil constitutionnel a ete designe par Abdelaziz Bouteflika.
    Le Conseil constitutionnel veille au respect de la Constitution et il est aussi juge des élections législatives et présidentielles et de la surveillance des référendums.
    Mourad Medelci doit par devoir de respect a la fonction qu il occupe a la tete du conseil constitutionnel doit s’auto-saisir de l’article 102 (destitution du président pour incapacité… ) comme la loi dite fondamentale de 1996 l’exige. Le Conseil constitutionnel ne veille t-il pas au respect de la Constitution.??..qui semble etre pietinee comme une serpillere…

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 18 h 55 min

    moi je suis archisur que la quatrieme hypothe qui est la bonne une veritable surprise pour toute la classe politique!!!

    Felfel Har
    18 décembre 2018 - 14 h 09 min

    Ils sont venus, ils sont tous là, tous les serviteurs zélés du pouvoir, debout, les pieds dans la vase, le torse bombé, prosternés, soumis. Ils sont prêts à subir toutes les humiliations, à se couvrir d’opprobre pour s’associer au viol du texte fondamental qui vaut contrat social, pour faire la place belle à un régime décadent en sursis. Crime par association!
    Ces gens-là qui, quand cela les arrange, nous abreuvent de discours sur la légalité, sur la force de la loi, sur le respect de la justice, sont prêts à tordre le cou à ce texte sacré que le président, himself, a fait écrire sous sa dictée, et imposer à toute la nation.
    Alors que dans les autres pays du monde, les politiciens insistent sur le respect de la Constitution, chez nous, on appelle à son énième viol pour satisfaire des égos démesurés et des ambitions qui défient la logique et le bon sens. Ah! Si Sénèque était encore de ce monde, il s’écrierait, outré, « Ôtez le respect de la justice et la bonne foi: nul gouvernement n’est durable. »
    Je suis persuadé que tous ces caciques, en apparence fidèles, seront les premiers à faire allégeance à celui qui succédera à la magistrature suprême. Diogène cherche encore un homme dans le sérail algérien, il n’ en a trouvé aucun.

    Souk-Ahras
    18 décembre 2018 - 12 h 15 min

    Avis : ce qui suit est une réflexion personnelle sur notre situation interne proprement algéro-algérienne à laquelle on ne peut greffer une quelconque intention de déformation de faits réels et existants.

    Demandons à l’inénarrable Ghoul de nous montrer son oreille droite ; il va, sans hésiter, faire le tour de son crâne de sa main gauche pour nous la montrer. On lui reconnaîtra là son sens développé de « l’orientation » dirons-nous. Ceci pour imager l’actualité de l’idée exprimée, plutôt récitée par lui par procuration, d’une « conférence nationale » du dernier recours (c’est mon opinion).

    Il y a incontestablement confusion et débandade au Saint-Siège, parce que dans toutes ses strates, il est connu qu’en RADP (grossière et fausse façade), il n’y a ni politique, ni politiciens, ni (surtout) constitution digne de ce nom. D’où cette agitation frénétique autour de la tenue d’une « conférence nationale », qui n’est, selon moi, qu’un aveu public du Système pour se diriger vers une « transition » arrangée qui assurera le protectorat à l’ensemble dit « alliance présidentielle ». Ce qui sous-entend qu’il y a beaucoup de monde, « hautement et stratégiquement placé » à prendre en considération et en charge.
    La politique d’une société obéit à une Constitution qui définit sa structure et son fonctionnement. Cette Constitution devant faire l’objet d’un référendum préalable. En théorie. Normalement.
    Constitutionnellement, notre pays est un cas particulier dans le sens où deux textes faisant office de loi fondamentale existent et se superposent : la Charte Nationale de 1986 et la Constitution de 1996 décidée et établie sans demander son avis au peuple.
    Il faut se rappeler :
    En 1976, Boumédiène avait « fabriqué » sa Charte Nationale qui abrogeait d’office la Constitution de 1963 et la remplaçait. Elle fut soumise, rappelons-nous, à un référendum qui la plébiscita comme attendu par les autorités du Politburo de l’époque. Cette Charte constitua notre loi fondamentale jusqu’en 1986.
    En 1986, une deuxième Charte Nationale fut promulguée en reprenant l’essentiel de la précédente qui fut remisée pour la circonstance.
    Comme la Charte de 1976, celle de 1986 fut conçue comme une déclaration « générale » de principes, un « mode d’emploi », plutôt que comme un texte établissant des droits et obligations détaillés. De longs développements y sont consacrés aux seuls fondements historiques de notre société, puis aux références idéologiques en cours. Cette Charte, aux champs d’actions très limités, fait office de ce qu’on a martelé mensongèrement, depuis cette date (1986) à travers tous les discours et slogans officiels à consonance démocratique, comme étant la Constitution Algérienne jusqu’en 1996.

    Le dysfonctionnement catastrophique de la gouvernance dans notre pays indique vraisemblablement que ce dernier est régi par la juxtaposition de deux textes dits fondamentaux :
    / La Constitution officielle dite de 1996, modifiée par Bouteflika en 2002, 2008 et 2016, établie pour répondre à une « mise en conformité » constitutionnelle de notre pays à la Charte des Nations Unies, qui sert l’image démocratique développée à l’usage exclusif des chancelleries occidentales.
    / La Charte Nationale de 1986 jamais abolie qui, comme noté plus haut, n’est qu’une déclaration « générale » de principes de fonctionnement de la RADP.
    Pour s’en convaincre, il suffit de poser la question de savoir pourquoi l’adhésion, paraphée, de l’Algérie à tous les principes des droits fondamentaux de l’homme est bafouée sur le terrain, pourquoi le Conseil Constitutionnel de Mourad Médelci le très proche sujet de fakhamatouhou, ne s’auto-saisit pas de l’article 102 (destitution du président pour incapacité… ) comme la loi dite fondamentale de 1996 l’exige, pourquoi l’ensemble des institutions, à l’exception de celle de l’Armée, sont livrées au bon vouloir des seigneurs régnants rentiers locaux, et enfin, pour qui la justice de notre pays « travaille » ? Si le conseil constitutionnel et les Institutions officielles n’obéissent pas aux commandement de la loi fondamentale de 1996, nous sommes en droit de penser qu’ils obéissent à une loi parallèle dans laquelle l’article 102, entre-autres, ne trouve pas sa place.
    L’éviction forcée de Bouhadja, réalisée dans un cadre anticonstitutionnel, en est une preuve supplémentaire.

      L'Oeil de CaÏn
      18 décembre 2018 - 14 h 31 min

      Sur le fil, serré serré presque jusqu’au bout. Mais patatras : « aux commandement de la loi fondamentale » . Il ne fume pas que du « H » les « esses » aussi y passsent!

        Souk-Ahras
        18 décembre 2018 - 17 h 08 min

        Heureusement que vous êtes là pour contrôler les esses ! Votre apport nous aide grandement à cerner le sujet du fil courant.
        Mais, desquels s’agit-il ? De la lettre s manquante ? Des crochets de boucherie ? Des pièces métalliques qu’on voit dans les vieux murs en pierres ? Des chevilles métalliques de la mécanique automobile ?
        Mais bien sûr ! Vous êtes la créature Éon (qui ne voit plus clair entre masculin et féminin) qui me demande d’écrire « mon humble contribution » en lieu et place de « ma humble contribution ».
        Bof ! Merci quand même.

          l'Oeil de CaÏn
          18 décembre 2018 - 17 h 27 min

          Avions-nous offenser Sa Rigueur académique à qui les fautes des autres sont remarquables et pas les siennes ?

          Ou Sa Rigueur, aurait-elle un droit de licence particulier ?

          Souk-Ahras
          18 décembre 2018 - 19 h 07 min

          @L’Oeil De CaÏn
          18 décembre 2018 – 17 h 27 min

          « …Avions-nous offenser… » Aïe aïe aïe aïe ! Ce que vous fumez dégage beaucoup de fumée mon ami.
          Que craignez-vous donc ? Découvrez-vous sous votre pseudo usuel sur ce site. Si vous me laissez le soin de le faire, ça serait d’une grande Hchouma pour vous.

          Anonyme
          19 décembre 2018 - 8 h 20 min

          A l’oeil perçant: avions nous offensé. la même remarque peut donc vous être faite de la même façon. sans façon aucune.

          Souk-Ahras
          19 décembre 2018 - 10 h 57 min

          @Anonyme 19 décembre 2018 – 8 h 20 min
          Bonjour ami intervenant, vous perfectionnez gentiment l’éducation de L’Oeil De Caïn mais croyez-moi, il ne saura vous montrer aucune gratitude.
          Je l’ai cité entre guillemets en n’apportant aucune correction dans le but de le laisser mijoter dans sa relation aux règles grammaticales de l’accord.

          Anonyme
          19 décembre 2018 - 11 h 21 min

          Bonjour ami Souk Ahras,

          En fait je n’aime pas l’arrogance. Ce fût tout simplement instinctif, sans réfléchir. Bonne journée;

      Algerien Pur Et Dur
      18 décembre 2018 - 16 h 33 min

      Au sujet de l’oreille droite, c’est peut etre la raison pour laquelle cette autoghoul est si tortueuse qu’elle ressemble a un chemin de campagne.

    icialG
    18 décembre 2018 - 12 h 13 min

    skuzé cet intrusion :sur A1,,pour les élus : LES CONSTITUENT LA PLUS GRANDE COMMUNAUTÉ ÉTRANGÈRE
    Les Algériens représentent 12,8% des immigrés en France
    POURTANT l Algérie n est pas/plus soumise a une immigration économique et laisser la place de ce qui en ont vraiment besoin ,,,a moins que,, c est sociau-politique ,,AH ouiii le tiroir caisse ,bien sûr
    Dommage ça aurait pu être 13% de touristes !!

    MELLO
    18 décembre 2018 - 12 h 08 min

    Tous ces individus , de l’alliance présidentielle, se placent ils au dessus des vrais décideurs ? Pourtant ils savent qui fait et defait les presidents. Cette conférence nationale en interne leur permettra de nous balancer un consensus à leur manière. Toutes ces hypothèses n’existent que dans la tête de tous ceux qui sont à l’extérieur du cercle de décision , nous tous entre autre. Le sort de ces élections est bien ficelé et si élection il y a , le candidat est bel et bien choisi par ce cercle de décideurs . Oui nous autres , nous avons , tout de meme, ce droit de supputer et donner des avis , sans plus, car de tout temps le petit peuple n’a jamais été informé, encore moins associé aux différentes décisions, on les subit .

    icialG
    18 décembre 2018 - 11 h 49 min

    SI ça continu c est ghoul qui va être élu et on aura plein d autoroute avec des milliers de nids de poule et des dos d âne ,,des fois sans dos et des poules avec des dents ,, c est vrai

    Kamal
    18 décembre 2018 - 11 h 07 min

    La SEULE hypothese est l’application de la constitution ! Y a rien d’autre dans une situation pareille.

    Zaatar
    18 décembre 2018 - 10 h 51 min

    République de H’mida. Errachem c’est H’mida et Ellaab c’est aussi H’mida. La salle de jeux appartient également à H’mida. Les paris se font tous chez H’mida, et les régles du jeu se font tous par H’mida. Les lois qui régissent les salles de jeux sont toutes établies par H’mida. Même les tickets restos et les tickets de bus sont distribués par H’mida….arrêtez donc de nous importuner avec ces consensus machins, ces hypothèses ou ces conférences….

      djazairi hor
      18 décembre 2018 - 11 h 39 min

      Ya Si zaatar, ces gens là puisent leur force dans notre faiblesse qui n’est elle-même que notre silence et notre immobilisme; agissons, barrons-leur la route, sinon ces sans pudeur ne reculeront jamais.

        Zaatar
        18 décembre 2018 - 18 h 26 min

        Ah ben oui, moi je veux bien, j’ai meme deja essaye et je me suis mordu les doigts. J’ai deja paye, et donc je ne voudrais pas payer une seconde fois…c’est legitime non? Alors donc, a vous l’honneur… c’est le plus difficile a faire je parle en connaissance de cause mais c’est le passage oblige.

    Lghoul
    18 décembre 2018 - 10 h 47 min

    Incroyable ! Quand ça les arrange, il « déclanchent » des mandats en série a leur manière, sans même se soucier de l’opposition ou du peuple car le chemin des éléctions n’a une seule direction. Maintenan qu’ils ne peuvent plus cacher le feu et la honte qui les entourent avec le pan de leurs djellabahs, ils essayent de trouver un échappatoire pour ENCORE prolonger leur rente privée et sans limites. Quel est alors le role de l’armée si la constitution n’est pas appliquée ? A quoi sert cette constitution ? Pourquoi et pour quelle raison fut elle écrite ? Qui la protège et veille a l’applicaion de cette constitution ? C’est en tout cas sous le feu vert de l’armée que fakahmatouhou est arrivée au pouvoir alors il est logiquement du devoir de l’armée de faire appliquer cette constitution si des brigands de grands chemins tentent de la violer … encore pour une nieme fois, avec cette fois un VIOL trop FLAGRANT, qui dépasse les limites de l’acceptable. Pour l’espoir et l’avenir de l’Algérie, il nous faudrait un governement de transition d’union nationale avec des NOUVEAUX VISAGES jeunes et intelligent – pas des délinquants corrompus, ignorants et improvisateurs – car ceux que l’on voit depuis 20 ans ne sont que des escrocs pour la plupart. Voila la voix de ceux qui veulent du bien pour leur pays. Quand on arrive a nous importer des ordures pour camouffler leurs détournements, la comédie doit cesser une bonne fois pour toute.

    Adam
    18 décembre 2018 - 9 h 49 min

    …on note celle de l’introduction d’un nouveau texte dans la Loi fondamentale, prévoyant la création d’un poste de «vice-président de la République»….Voila la réponse, c’est clair comme de l’eau de roche.

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 9 h 48 min

    Pas de révision constitutionnelle avant les elections presidentielles…la constitution Algerienne est claire et sans ambiguite ..elle doit etre respectee et appliquee….point barre…..

    Abou Stroff
    18 décembre 2018 - 9 h 44 min

    je ne comprends pas tous ces questionnements sur un problème d’une simplicité flagrante!
    je parie que notre bienaimé fakhamatouhou restera notre fakhamatouhou tant qu’il ne se mettra pas à grignoter les pissenlits par la racine.
    PS: n’est il pas temps pour notre bienaimé fakhamatouhou national de décréter la transformation de la ripou-blik algérienne en monarchie pour nous éviter de penser à des élections qui n’ont jamais fait, dans les faits, avancer d’un iota le Schmilblick?

    BabElOuedAchouhadas
    18 décembre 2018 - 9 h 16 min

    Pauvre Constitution que les Prédateurs veulent violer une seconde fois après l’avoir violé une première fois en 2008 et fait reculer l’Algérie dans sa construction de la DEMOCRATIE de 50 ans.
    Haram alikoum d’avoir fait tant de Mal au pays du Million et demi de MARTYRS.

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 8 h 53 min

    La constitution est claire que je sache.
    Ou bien le président est frappé par un empêchement et il doit se retirer et ensuite veiller à mettre en application les dispositions prévues par la constitution . ( Election démocratique dans les délais légaux d’un nouveau président)..
    Ou bien il peut postuler à un autre mandat.
    Toute autre solution sera une violation de la constitution et sera un moyen illégal, un putsch déguisé visant à faire perdurer un système pourri.

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 8 h 48 min

    Ras le bol de ces malfaiteurs ingrats qui se servent au lieu de servir le pays.Qu ils deguerpissent et quittent le pays …ou qu ils appliquent et respectent la constitution de notre Patrie.Elle est des plus claires et le deroulement des prochaines presidentielles doit avoir lieu au mois d avril 2019 et rien d autre.

    le Terroir
    18 décembre 2018 - 8 h 47 min

    Prolongations des intérêts. Ils terminent ce qui reste dans les nappes de pétrole, du gaz, des minerais, du trésor et puis bye, bye et merci. Le scenario classique continue. Le spectacle continue. La recherche d’un nouveau poulain ou canasson qui sait obéir et partager continue. Que dire d’autres ?

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 8 h 41 min

    Nous avons une constitution dont les termes sont clairs et nets,il faut tout simplement la respecter et l appliquer Il n y a pas lieu de chercher a la derniere minute de proceder a des revisions constitutionnelles 6 mois avant les elections .Ceci peut etre possible apres les elections de Avril 2019 avec la nouvelle assemblee et le nouveau gouvernement d apres les elections de 2019.Aujourd hui il n est plus question d un 5 eme mandat,car la constitution est claire,l article 102.42 de la constitution confirme l empechement (maladie grave et durable du Président …) mais aussi l’article 52. 16 (…les partis politiques ne peuvent être fondés sur une base religieuse, linguistique, raciale, de sexe, corporatiste ou régionale….).
    Le peuple Algerien n acceptera ni les decisions de vos conferences ,ni la prolongation du mandat,ni 5 eme mandat,ni la revision de la constitution avant les elections de 2019,ni le report du scrutin pour une période d’une année…..Nous citoyens Algeriens nous tenons a l application ferme et stricte de la constitution Algerienne dans tous ses termes.Nous Algeriens dans la majorite ecrasante du peuple appelons le président de la République Abdelaziz Bouteflika a convoquer et dans les meilleurs delais le corps électoral pour la présidentielle de 2019.L Urgence,la stabilite et la securite de notre Patrie l exigent.Point barre.
    Tahya Al JAZAIER,la Patrie des 1,5 millions de CHOUHADAS. QASSAMAN…

    Lghoul
    18 décembre 2018 - 8 h 39 min

    Dans quel pays au monde, a 3 mois de l’expiration d’un mandat présidentiel, personne ne sait ce qui se passe ni ce que fait le président, pusiqu’il est invisible aux yeux du peuple depuis des années et ni quelle direction le pays prendra. La seule chose que le peuple « sent » et comprend parfaitement est la grande magouille traditionelle qui charactérise le mode opératoire d’un clan dont le seul travail est de se maintenir au pouvoir eternellement avec tous les avantanges inquantifiables qui y vont avec. Que l’Algérie et son peuple souffrent, que les yeux ébahis du monde entier se pointent avec horreur sur nous, que cela engendre une instabilité économique et politique pour le pays, tout cela est leur dernier soucis. Pourront ils partir un jour après un fiasco sans nom qu’ils ont engendré et cela malgré une longue période de 20 ans soutenue par plus de 1000 milliards de dollars ? Aujourd’hui, ils osent encore montrer leurs faces devant le peuple, toute honte bue ! Incroyable mais vrai !

    Anonyme
    18 décembre 2018 - 8 h 38 min

    Nous avons une constitution dont les termes sont clairs et nets,il faut tout simplement la respecter et l appliquer Il n y a pas lieu de chercher a la derniere minute de proceder a des revisions constitutionnelles 6 mois avant les elections .Ceci peut etre possible apres les elections de Avril 2019 avec la nouvelle assemblee et le nouveau gouvernement d apres les elections de 2019.Aujourd hui il n est plus question d un 5 eme mandat,car la constitution est claire,l article 102.42 de la constitution confirme l empechement (maladie grave et durable du Président …) mais aussi l’article 52. 16 (…les partis politiques ne peuvent être fondés sur une base religieuse, linguistique, raciale, de sexe, corporatiste ou régionale….).
    Le peuple Algerien n acceptera ni les decisions de vos conferences ,ni la prolongation du mandat,ni 5 eme mandat,ni la revision de la constitution avant les elections de 2019,ni le report du scrutin pour une période d’une année…..Nous citoyens Algeriens nous tenons a l application ferme et stricte de la constitution Algerienne dans tous ses termes.Nous Algeriens dans la majorite ecrasante du peuple appelons le président de la République Abdelaziz Bouteflika a convoquer et dans les meilleurs delais le corps électoral pour la présidentielle de 2019.L Urgence,la stabilite et la securite de notre Patrie l exigent.Point barre.
    Tahya Al JAZAIER,la Patrie des 1,5 millions de CHOUHADAS. QASSAMAN.

    Djazairi hor
    18 décembre 2018 - 8 h 25 min

    La constitution algérienne est-elle devenue à ce point une serpillière où on se nettoie les chaussures quand on veut? Assez de vos agissements l’Algérie et ses institutions ne sont pas une propriété privée, appartenant à GHOUL & Co, ayez un peu de respect pour ce peuple, pour les martyrs, n’en faites pas une chaussure à votre pied, laissez les choses aller normalement, vous êtes la honte de ce pays; arrêtez de nager à contre courant, sachez que l’histoire retiendra de vous tous que vous n’étiez que des prédateurs, des charognards, des opportunistes, vous avez rempli vos poches et affamé ce peuple; pour l’amour de dieu dégagez et laissez-nous en paix, vous savez où réside la solution à la crise que traverse notre pays?: dans votre départ.

    Moi-News
    18 décembre 2018 - 8 h 09 min

    Pas besoin d’être un génie pour comprendre les magouilles d’un clan de traître et de corrompus, impossible qu’ils lâchent le pouvoir et pour plusieurs raisons,1)par peur d’être jugé est condamnée par les nouveaux chefs,2) tant que le sol Algérien contient des richesses les voleurs. et hors la loi,ne partiront jamais comme un chien sur un os,3) toutes les personnes intègre et intelligent sont exilés à l’étranger,ceux qu’ils restent de la Mauvaise graines des lâches,des soumis, opportunistes, cireurs de babouches, que faire avec, donner le pouvoir a Mokri, Ouyahia, haddad,Ghoul,benflis et les autres c’est de l’inconscience

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