Lakhdar Brahimi : «Le changement radical doit se faire par le dialogue structuré et organisé»

Brahimi
Lakhdar Brahimi. D. R.

Par Hani Abdi – Lakhdar Brahimi appelle à l’urgence de franchir le pas et d’entamer le dialogue pour aller vers les changements auxquels aspire le peuple algérien. Intervenant sur les ondes de la Chaîne III de la Radio algérienne, ce diplomate chevronné, mondialement connu, assure que rien ne pourrait être fait ou réglé sans le dialogue. «Depuis que je suis là, je n’ai qu’un seul mot dans la bouche, c’est la nécessité du dialogue. Plus tôt on commence à parler, mieux ça vaut», soutient-il, affirmant qu’il n’est mandaté par personne pour parler de la situation de son pays.

«Il n’y a pas une bonne volonté de la part de ceux qui posent et reposent cette même question. Je suis un Algérien, à la retraite depuis 1993. C’est mon pays où j’ai des liens amicaux, familiaux… Je me suis inquiété et j’ai posé des questions comme tout le monde. Est-ce qu’on m’a donné un mandat ?Certainement pas», répond-il à la question de la journaliste sur les raisons qui le poussent à contacter des gens pour tenter de les ramener à la table des négociations.

«Ce que nous voyons dans les rues, c’est très beau, enthousiasmant d’un côté, mais ça ne peut pas continuer comme ça. Changer de manière radicale le système politique est parfaitement compréhensible. Mais il faut que les gens dialoguent. Le changement immédiat est impossible. Il faut qu’il soit organisé. En Irak, ils sont tous partis. Et vous voyez comment est devenu ce pays», lance-t-il comme un avertissement à ceux qui exigent le départ immédiat du régime Bouteflika.

«Je ne sais pas si le pouvoir va faire de nouvelles concessions. Ce qui est absolument certain, c’est que le dialogue est indispensable et urgent. Que la rue tienne la position qui est la sienne à l’heure actuelle, je crois que c’est compréhensible. Ce qui est moins compréhensible, c’est ceux qui se disent des leaders, des cadres, des meneurs qui suivent la rue au lieu d’essayer de  diriger ce mouvement qui a commencé il y a bientôt un mois», poursuit Lakhdar Brahimi, qui insiste sur «la revendication du changement» qui, selon lui, est non seulement légitime et compréhensible, mais aussi attendue.

«Quand les manifestants sortent dans la rue, scandant « non au cinquième mandat », « pour le changement », » pour la deuxième République »…, je crois qu’il y a l’unanimité dans le pays à ce sujet. Mais le changement ne se fait pas tout seul. La deuxième république, c’est une aspiration légitime mais c’est un programme complexe, compliqué»,  assure-t-il. Pour Brahimi, il faut que le premier pas se fasse et ce premier pas ne doit pas se faire dans le désordre. Ce premier pas est d’une importance capitale. «Je suis désolé de me comporter comme un disque rayé, mais il faut un dialogue structuré et organisé», insiste-t-il.

H. A.

Comment (50)

    Anonyme
    19 mars 2019 - 16 h 34 min

    @ Vroum Vroum
    18 mars 2019 – 22 h 08 min
    Dans toutes ses définitions juridiques et politiques, l’État n’a jamais été une ou des personnes. Ce qui, en termes plus clairs, signifie que Fakhamatouhoum wa hachiyatouhou ne sont pas l’État. Et que Fakhamatouhou n’occupe qu’une fonction au sein de l’État. Il n’est donc pas l’État. Tout comme un PDG d’une entreprise ne peut d’aucune façon être l’entreprise elle-même.
    Alors, que fakhamatouhou quitte le pouvoir, lui et sa hachiyatouhou, comme le lui demande avec insistance le peuple algérien, cela ne change en rien à l’existence et aux fonctionnement de l’État. D’ailleurs, ce dernier ne fonctionne-t-il pas quand même sans eux depuis la maladie handicapante de fakhamatouhou ?
    Par ailleurs, engager le dialogue avec le gouvernement ne saurait, et d’aucune façon, être une obligation ou une condition sine qua non. Le peuple algérien, source de toute légitimité, peut très bien s’organiser par lui même – sans forcément faire appel aux personnes qui sont actuellement au pouvoir ou à celles déléguées par celui-ci – pour décider souverainement de son destin, à travers des mécanismes de concertations qu’il identifiera et mettra en place à cette fin.
    Enfin, il est a rappeler que dans ses revendications, le peuple algérien n’a jamais demandé a dialoguer avec le pouvoir en place. Il demande purement et simplement son départ. Persister donc à croire que la solution réside dans «l’obligation de dialoguer» avec un pouvoir sourd aux appels du peuple est pour le moins une aberration.

    Anonyme
    19 mars 2019 - 8 h 58 min

    Brahimi n’ a pas compris que nous sommes en 2019 et que parmi les manifestants il y a, au bas mot, 10 millions d’universitaires ( étudiants et cadres compris) autrement plus compétents et plus au courant de la réalité Algérienne que lui.
    Brahimi , ce courtisan impénitent des émirs féodaux rétrogrades du moyen orient , qui n’a plus rien à voir avec l’Algérie ( il vit à l’étranger) et rien à voir avec ce siècle ( vu ses méthodes du 19e siècle et son âge de 85 ans) n’a rien compris aux messages des 25 millions d’Algériens ( en Algérie et à l’étranger ) répétés inlassablement par la voix et par l’écrit qui affirment clairement :  » Ni Bouteflika , ni Said, ni Nacer DEGAGEZ  » et  » NI BRAHIMI NI LAMAMRA « .
    Ces messages , grâce aux TIC, ont été vus par les citoyens du monde entier qui ont compris qu’une révolution citoyenne pacifique ( conforme à la CHARTE ONUSIENNE des DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN) a lieu depuis un mois en Algérie pour mettre fin à la tyrannie d’un clan qui dure depuis 20 ans. Cette révolution citoyenne pacifique a été enclenchée par des millions de jeunes Algériens talentueux patriotes et courageux grâce à Intenet, Facebook , et Twitter. Rendons hommage à ces millions de jeunes et grand merci à Bill Gates, Steve Jobs, Mark Zuckerberg etTwitter Inc.
    ENCORE UNE FOIS :  » BRAHIMI ON NE T’A PAS SONNE ALORS PRENDS TA BESACE ET RENTRE CHEZ TOI . »

    Kenza
    19 mars 2019 - 8 h 03 min

    Mr Brahimi, vous dites que le changement radical doit se faire par le dialogue structuré et organisé. Structuré et organisé par qui ? Le peuple ne refuse pas le dialogue. Le peuple refuse un dialogue imposé par un pouvoir qui n’est plus légitime à le représenter ! pouvez-vous comprendre ça ? Pouvez-vous comprendre que vous aussi vous êtes illégitime?
    Certes, le changement radical doit se faire par le dialogue structuré et organisé. Mais il ne doit pas se faire sur des bases illégitimes, avec un clan au pouvoir illégitime ayant des représentants illégitimes.
    Mr Brahimi, si vous voulez vraiment qu’on sorte ce cette impasse qui nous est imposée par le refus de Boutef de partir à la fin de son mandat, au lieu d’essayer de convaincre le peuple d’aller vers un dialogue avec ce clan mafieux, vous ferez mieux de convaincre Mr Bouteflika de quitter la présidence à la fin de son mandat et d’aller se reposer. Sans eux, l’Algérie est désormais entre de bonnes mains : CELLES DU PEUPLE !

    Juan Carlos de La Tragenta
    19 mars 2019 - 7 h 59 min

    Mr Brahimi, ou qui conque qui fabrique des lois et dans n importe quels pays du monde meme un pays démocratique et de droit comme la France vs en avez la preuve avec les gilets jaunes et de plus vs qui êtes un diplomate ca devrai pas vous échapper normalement : Quand la loi devient injustice ; la résistance est un devoir . …

    Anonyme
    19 mars 2019 - 7 h 02 min

    Lakhdar Brahimi :”Voulez-vous un autre Irak en Algérie ? ”
    Il veut nous menacer ou quoi ce serviteur du clan qui se porte à son secours alors que ce dernier fait naufrage ?
    On en a assez des oiseaux de mauvaise augure. Barrez vous ! No pasaran !

    Anonyme
    19 mars 2019 - 6 h 50 min

    Cet habitué serviteur zélé des roitelets bédouins, cet habitué des coulisses et des salons feutrés des pays hostiles à notre pays, ce  » has been » de 84 ans ne lâche pas prise et essaie encore une fois de nous tromper pour sauver son fakhamatou à qui tout un peuple scande : ‘ DEGAGE ! ‘
    Les dizaines de millions de citoyens Algériens qui manifestant depuis un mois ont fait preuve de sens de responsabilité qui nous envient les pays occidentaux.
    Au clan honni de faire preuve maintenant d’un minimum de dignité et de sens de responsabilité en :
    1) délivrant son chef ( otage ) et en lui faisant prendre sa retraite
    2) en dégageant ( le clan ) au plus tôt.
    Ces 2 points ( scandés par des millions de voix chaque jour depuis le 22 février 2019) constituent le début de la solution à la crise que nous vivons.

    Anonyme Utile
    19 mars 2019 - 6 h 05 min

    Vous êtes un serviteur des puissances occidentales coloniales ( France, USA, …) et des monarchies rétrogrades du golfe.
    Vous avez validé l’occupation de l’Afghanistan, de l’Irak, et de la Syrie et vous avez laissé de très gros problèmes au Liban avec les pseudos accords de Taef, qui ont miné l’avenir du Liban.
    Le peuple Algérien ne vous laissera pas jouer avec l’avenir de l’Algérie et vous a rejeté et vomi lors des manifestations en vous disant revenez d’où vous venez, on a pas besoin de vous en Algérie.

    Permettez-moi Mr Brahimi de ne pas accorder le moindre crédit à votre parole.

    Ali Brahimi dit vrai sur la passation de pouvoir.
    19 mars 2019 - 0 h 41 min

    Qui qu’il soit .
    Que ce soit dit par lui Monsieur Ali Brahimi où n’importe qui d’autres.
    Ce qu’il dit est la vérité.
    Si le fauteuil reste libre une minute.
    Des mafieux affairistes, Des truands de la rue , Des politiciens de tout bord ey meme inconnus au bataillon , des simples lambda, des infiltrés venus d’ailleurs vont tous se battent comme des chiens de faïences pour s’accaparer le fauteuil suprême le premier.
    Et ce sera la guerre entre les assoiffés de pouvoirs , le sang coulera entre opportunistes compte tenu d’une situation d’abandon.
    Un pays sans pouvoir sans brésidéne mènera le pays dans l’impasse la plus totale et surtout vers le K.O.
    Ce sera sauve qui peut il n’y a plus de pilote à bord de l’avion.
    Non il y a certaines choses où nous ne pouvons pas dérogé et dont nous sommes tenue de nous conformées dans l’intérêt de l’existence même de nôtre pays.
    Cela ne veux pas dire que nous ne sommes plus maître de nos objectifs .
    Juste que nous permettons de pouvoir viabilisé nos objectifs communs.
    La rue et a nous la force et au peuple et que dans le peuple.
    À tout moment nous pouvons remettre ça.
    Mais faisons la passation de pouvoir vers la seconde république de la manière protocolaire et civilisés .
    Il n’y a que les imbéciles qui ne veulent pas voir la vérité et ensuite changer d’avis.
    Moi je e veux pas de vide car il se comblera par l’inconnu et l’inconnu personnes ne le contrôle et personnes sait qui il est et d’où il vient.
    À vous de voir ……..

      Kenza
      19 mars 2019 - 6 h 42 min

      D’accord avec vous : « Un pays sans pouvoir sans brésidéne mènera le pays dans l’impasse la plus totale et surtout vers le K.O. »

      ça fait plus de 5 ou 6 ans qu’on est sans brésidène, et c’est d’ailleurs pour ça qu’il faut que Bouteflika dégage à la fin de son mandat…c’est la seule façon de sortir de l’impasse et d’éviter le chaos vers lequel les traîtres du clan mafieux au pouvoir veulent nous mener.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 23 h 19 min

    Ya Lakhdar Brahimi,
    Le peuple, et surtout les jeunes, ne te calculent même pas.
    Alors, ch’koune rach’hek ? Qui a fait appel à toi ? En tous cas, pas nous.
    Parce que nous, on ne veut dialoguer avec personne du système. Nous allons le faire entre nous, seulement entre nous, et surtout… sans vous.
    Mais si vous tenez absolument à dialoguer, faites-le avec votre fakhamatouhou, chez lui, dans son coin de salon, devant une caméra, un thé et des petits fours. Ce que vous pouvez dire et décider entre vous deux ne nous concerne ni de près ni de loin, et encore moins l’Algérie. Parce que vous n’existez déjà même plus, ni pour nous ni pour l’Algérie.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 23 h 07 min

    «Le changement radical doit se faire par le dialogue structuré et organisé» mais sans les vieux chevaux de retour, surtout qui ceux qui, en 57 ans de leurs vies, ont passé moins de 3 années cumulées.

    Vroum Vroum ????..
    18 mars 2019 - 22 h 08 min

    Attention , pour un Dialogue il faut être 2 ou 3 où 4…pour l’instant y’a l’Etat représenté par les Personnalités au Pouvoir , l’Etat doit formellement et impérativement Fonctionner , et pour cela à besoin de Personnalités actuelles en attendant le Prochain Président…pour ce faire un Interlocuteur Valable et Compétent en tous points doit être désigné par le Peuple pour avancer..étape par étape…de manière organisé…voila ce que préconise Mr Lakhdar Brahmi entre autre . .Techniquement il a raison . .Cette Transition à besoin d’hommes d’expériences car il s’agit de l’Etat Algérien et sa Diplomatie souveraine…Aux Centaines de milliers de Manifestants , le Peuple qui doit désigner un Interlocuteur Valable et Compétent en tous points pour Dialoguer avec les Personnalités au Pouvoir représentant l’Etat actuel avant une conclusion pour l’élection présidentielle ou le Candidat désigné par le Peuple se présentera, et sera Élu automatiquement , ainsi il pourra exercer le Changement avec l’appui du Peuple …Mais avant il faut un Interlocuteur Valable et Compétent en tous points pour Dialoguer les Représentants de l’état qui lui ne doit jamais arrêter de Fonctionner , si tout le monde doit Partir alors c’est la dégringolade de l’état.. Cela doit se faire intelligemment , et sans brutalité..en douceur , il s’agit de l’état Algérien et son Peuple..Donc un Interlocuteur …

    Kenza
    18 mars 2019 - 21 h 11 min

    « «Depuis que je suis là, je n’ai qu’un seul mot dans la bouche, c’est la nécessité du dialogue. Plus tôt on commence à parler, mieux ça vaut», soutient-il, affirmant qu’il n’est mandaté par personne pour parler de la situation de son pays. »

    Depuis que le peuple est dans la rue, il n’a qu’un seul mot dans la bouche, c’est la nécessité que Bouteflika et son clan dégagent. Plus tôt ils commencent à préparer leurs bagages, mieux ça vaut. Et puisque vous n’êtes mandaté par personne pour parler de la situation de votre pays: TAISEZ-VOUS et PARTEZ !

    PS: Depuis le début de son premier mandat, la mafia au pouvoir n’a jamais voulu dialoguer avec le peuple. Aujourd’hui, c’est le peuple qui refuse le dialogue….allez oust ! Dégagez !

      chana khadra
      19 mars 2019 - 8 h 22 min

      Kenza vous etes algerienne faites nous des propositions et si je vois que vs vallez la peine je suis prete avous designer comme representante et ferez votre promotion autour de moi . en un mois vs aurez pu contituer un groupe representatif. la rue ne peut gouverner. regardez bien la video ou des jeunes tabassent des policiers , tt le monde criaient non pas ca . et pourtant il s’en est fallu de peu

    Jazayria
    18 mars 2019 - 21 h 10 min

    Il n’y aura pas de changement si vous restez vous et vos acolytes au pouvoir. N’avez vous pas entendu la rue ? Personne ne veut du système Bouteflika !
    Faites preuve de sagesse et sortez par la grande porte.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 20 h 15 min

    Ce clan au pouvoir reste machiavélique jusqu’à sa fin toute proche je l’espère. Toujours dans l’intrigue et la clandestinité à la tête de l’Etat avec des personnages phantasmagoriques comme porte parole, intermédiaires tels les Cheb Mami, le cheikh Nadhor, Chakib Khalil, le représentant des Zaouia et maintenant Brahimi.

    Ezzine
    18 mars 2019 - 20 h 06 min

    Il faut coûte que coûte désamorcer au plus vite cette vieille bombe à retardement, toujours en service, qui s’appelle  » Lakhdar Brahimi » avant qu’elle n’explose et disloque cet élan populaire inédit.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 19 h 25 min

    Y a rajel ehchem ala rouhik,echhib wel 3iiib….fih chkoun sammek « marchandises perimees  » et moi j ajoute « dont la date d utilisation est depassee  » depuis plus de 20 ans…et votre logiciel est du siecle dernier….Ya Rajel est ce que vous comprenez que 60 % de la population Algerienne a moins de 40 ans et veut vivre libre dans ce monde moderne du 21 eme siecle,pour pouvoir s epanouir..??? Et ce systeme politique depuis plus de 20 ans , nous a paralyses et nous paralyse envore.Comprenez vous que nous sommes, aujourd’hui, à un moment très singulier de l’Histoire des hommes, engagés dans un gigantesque changement qui, de plus, est très rapide. Nous sommes confrontes a plusieurs mutations d ordre Géopolitique,technologique,economique avec la mondialisation et avec meme la création d’un « continent virtuel » (internet, la « toile ») ecologique avec le réchauffement climatique,biologique…l’épuisement des énergies, la recherche d’énergies nouvelles et toutes les nuisances dues à des modes de vie peu responsables.Ya Si Brahimi…Nous voulons bien croire a votre sincerite…mais elle est certainement sentimentale et peut etre meme emotionnelle…Sachez qu aujourd hui c est un nouvel Algerien qui nait…celui qui a jure d imposer un veritable changement radical du systeme politique qui nous a asservi et paralyses plus de 20 ans..Ya si Brahimi je vous rappelle cette citation de Victor Hugo qui vous va je cite: « Cette certitude d’avoir raison qui est, à mes yeux, le signe infaillible de l’erreur. »

    Anonyme
    18 mars 2019 - 19 h 06 min

    notre jeunesse n a pas le temps d écouter un retraitè de 85 ans ! car ils ne sont pas dans la même longueur d ondes ! alors mr ibrahim … laissez le peuple algérien et particulièrement la jeunesse algérienne qui n est pas arabe d ADN tracer sa voie …

    aissa
    18 mars 2019 - 18 h 01 min

    si on regarde la constitution actuelle elle stipule que tout citoyen qui a un conjoint etranger ne doit pas avoir de hautes responsabiles en Algerie.
    Alors ce n est pas le moment pour Brahimi de venir prendre les reines en algerie .
    il a choisit de vivre ailleurs , il parle comme un etranger et maintenant il veut nous apprendre a vivre.
    nous voulons le depart immediat de tout ce systeme et de tous ses acolites.
    il faut que les hommes de loi, les grands sages des 48 wilayas les universitaires ,les ecrivains les business people qui sont propres se concertent pour designer une espece de shadow gouvernement chacun dans sa specialite.
    ils doivent faire une declaration solonelle et preter serment devant la nation pour travailler ensemble dans les plus brefs delais dans le but de jetter les bases de la nouvelle republique.
    donner une nouvelle constitution par voie referendaire au pays et la priorite absolue pour avoir les outils necessaires pour preparer les election presidentielles ,legislatives et senatoriale.
    l armee doit rester neutre et garantir le bon deroulement de la transition.

    elhadj
    18 mars 2019 - 17 h 42 min

    M BRAHIMI vivant a l étranger depuis des années auto proclame intermédiaire du pouvoir pour jouer a dessein un rôle suspicieux tendant a étouffer la colère légitime du peuple n est pas qualifie pour tenir ce rôle qu il ne cesse de dévoiler au fur et a mesure de ses prestations télévisées.Le pays dispose d hommes intègres et patriotes qui inspirent la confiance des citoyens qui non seulement rejette le système actuel mais également la présence de ceux qui l ont servi.
    M BRAHIMI vous n avez pas de crédit populaire pour vous accorder un tant soit peu de confiance a votre remarche au but inavoué

    Kenza
    18 mars 2019 - 17 h 16 min

    Pour reprendre un slogan vu dans les manifs: BESSAH NTA SAMET !

    Anonyme
    18 mars 2019 - 17 h 13 min

    Lakhdar Brahimi : «Le changement radical doit se faire par le dialogue structuré et organisé».
    ———————————————————————————————————————————————-
    Tout à fait d’accord avec le principe. Sauf que le peuple ne vous a jamais demandé, ni invité ou même sollicité, d’une quelconque façon d’ailleurs, à venir dialoguer avec lui. C’est à ce niveau que vous êtes complètement à côté de la plaque et carrément hors sujet. Et dire que vous répétez à qui veut bien vous écouter que «le message du peuple algérien a bien été entendu» ! Comment vous croire et vous faire confiance lorsqu’en même temps vous semblez vous interdire à saisir un message aussi simple que celui
    de «Dégagez !», «On ne veut plus de vous !», «Partez !»… C’est pourtant très simple à comprendre, et par n’importe qui.
    Sérieusement, qu’est-ce qui vous laisse penser que le peuple algérien à besoin de vous pour mener à bien les changements qu’il veut engager ?! Vous pensez vous encore aussi indispensable que ça ?! Si c’est le cas, c’est que vous n’avez encore rien compris à rien, et de ce seul fait, vous venez ainsi de vous disqualifier par vous même. Alors, et pour la nième fois : «Dégagez», parce qu’on à mieux à faire que de perdre notre temps à gérer de vieux égos surdimensionnés et complètement déconnectés de la réalité.

    maori
    18 mars 2019 - 17 h 02 min

    Mr Brahimi, si le régime actuel était vraiment démocratique et si le processus électoral avait été respecté et se serait déroulé normalement, est ce qu’on aurait dialogué pour permettre au nouveau président élu démocratiquement, hormis bouteflika, d’entamer son travail le plus constitutionnellement du monde. Dialoguer pourquoi? pour garantir l’amnistie aux gens du système qui ont rongé le pays? pour que la mafia criminelle qui a mis le pays et le peuple à genoux puisse rassurer ses arrières? ne peut-on trouver en Algérie des femmes et des hommes meilleur(es) que said, ouyahya, ghoul, saadani, louh, haddad, bouchareb ou amar bouzouar? hachakoum, certainement que si! des gens capables de faire de l’Algérie un eldorado existent bel et bien et ce serait une insulte que de les mettre en rapport avec cette vermine et vous le savez bien, n’est-ce pas ?……

    Anonyme
    18 mars 2019 - 16 h 59 min

    Ce vieil homme de 85 ans qui ne vit pas en Algérie, cet habitué des lignes aériennes internationales et des lambris dorés des salons et palaces d’occident et du moyen orient ferait mieux de se taire et de se tailler en douce au lieu de nous tenir des discours lénifiants en nous prenant pour des indigènes imbéciles.

    Citoyen dz
    18 mars 2019 - 16 h 50 min

    Le changement radical tant attendu sera fera . mais sans toi , qui n’a d’algerien que le passeport et les dollars du peuple algerien . Dégage , nous savons tous que le temps pércu des hauteurs d’alger et d’el aurassi n’est pas le meme que celui des 90% des algeriens qui subissent vos rapines , destruction et sabotages depuis des dizaines d’années ..

    Anonyme
    18 mars 2019 - 16 h 43 min

    On se connait pas ya Brahimi de quel droit tu nous adresses la parole ?
    Tu seras mieux au Maroc ou en Jordanie n’est ce pas.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 16 h 27 min

    ..Ne prenez-pas les algériens pour ce qu’ils ne sont plus: des demeurés…Le dialogue que vous préparez avec des représentants ( fabriqués maison ) du peuple algérien, c’est du pipo et rien d’autre….Vos mensonges et votre esbroufe sont connus….aya tir yensfek errih

    Anonyme
    18 mars 2019 - 16 h 18 min

    T es incapable de comprendre les rouages ni en mesure de proposer une sortie de crise. Parler l’arabe classique fait de toi un soldat de l’arabisme et rien d’autre.

    Nagasaki
    18 mars 2019 - 16 h 13 min

    Mr. Ibrahimi
    Même vous vous ne voulez pas comprendre qu‘on est en 2019.
    Retirez vous et laissez nous trouver DES solutions à ces montagnes de problemes.
    Soyez sage et laissez nous trouver la solution aux problemes.
    Je vous souhaite longe vie avec vos petits enfants

    Allah Yarham Echouhada

    Mir
    18 mars 2019 - 16 h 07 min

    Mr Brahimi, vous voulez appliquer vos recettes diplomatiques à un Peuple en Révolution Pacifique.

    Je crois que vous trompez de méthode et d’interlocuteurs : Nous nous sommes pas dans des salons feutrés des ambassades où on dialogue poliment entre diplomates de charmante compagnie avec un langage codé.

    Nous sommes en présence d’un Mouvement Populaire qui ne croit que ce qu’il voit : Un pouvoir qui s’accroche au Koursi et qui nous sort un plan par semaine. Le Pouvoir que vous voulez faire assoir avec le peuple pour « dialoguer » n’est ni légitime ni apte à dialoguer. Il est rejeté.

    Si Dialogue il doit y avoir, ce sera entre les différents courants politiques qui représentent le Peuple, et pas entre le Peuple et le Pouvoir.

    Comprenez une bonne fois pour toutes que le Pouvoir et ses hommes doivent partir et nous laisser l’Algérie entre des mains propres, pas tachées de sang, ni de compromission. De préférence pacifiquement et surtout avant le 27 avril , minuit. Parce que après cette date, ce sera carrément un pouvoir clandestin et hors la loi qui gouvernera le pays.

    Abou Langi
    18 mars 2019 - 15 h 52 min

    Iben moua je pense que Brahimi fait plus partie du problème que de la solution.

    Et dayor Sadi nous en donne une indication : Il avait dit qu’il avait dit à Brahimi que rien ne se fera sans le départ des Boutef et affidés . Or Brahimi est un Dix-plomate. Il ne peut concevoir les choses de cette façon. Il considère qu’il s’agit d’un conflit entre deux parties. Il ne peut envisager le problème par le départ ou la défaite d’une des parties. Son affaire c’est de concilier les deux. En clair ni les loups ni les agneaux ne partiront.

    Donc la solution à la Brahimi , c ‘est que Boutef ne va pas rester à la fin de l’accord mais il ne va pas partir avant. Il est là pour trouver un accord quel qu’il soit , ou pour faire gagner du temps .

    Lamamra et Brahimi c’est encore pire qu’ Ouyaya.

    Sauf que ce n’est pas ce que demande le peuple.

      Anonyme
      18 mars 2019 - 22 h 46 min

      effectivement!
      Mr Ouyahya avait proposé un minimum d’instruction pour ouvrir droit à candidature pour l’APN mai on le lui a refusé. Il a aussi fait quelques propositions qui auraient pu bénéficier au pays et il a eu certaines positions honorables.

    Ecoutez 30 secondes Monsieur Brahimi
    18 mars 2019 - 15 h 41 min

    Monsieur Lakhdar Brahimi , avec tout notre respect dû à votre rang, vous nous dîtes que vous n’êtes mandaté par personne alors que vous exiger à chaque virgule qu’il faut laisser Bouteflika en place et qu’il faut laisser le régime actuel gérer la transition lui-même ! D’abord on vous informe que , contrairement à ce que vous affirmer, qu’on ne veut pas que tout le monde « parte » comme en Irak, mais seulement des personnes identifiées et connues qui font partie de l’alliance présidentielle et du régime. Donc, il en reste quand même encore beaucoup, beaucoup d’autres personnes. L’Algérie n’est pas l’Irak et ce n’est pas à un diplomate comme vous qu’on va l’apprendre ! Ya si Brahimi, la rue a simplement demandé le départ d’un Président handicapé pour ne plus continuer à humilier le peuple algérien et aussi laisser les pays étrangers rirent de nous sous cap. Il ne peut plus gouverner dans cet état et on ne veut plus entendre à la radio ou à la télévision « Bouteflika a téléphoné à flène » « Bouteflika a reçu flène » etc… etc… alors que tout le monde sait que c’est faux. La rue, le peuple dans son immense majorité veut le changement de système et le régime car c’est Bouteflika qui l’a enfanté ! Vous êtes dans l’erreur « politiquement parlant » et aventurier « sécuritairement parlant » en insister, par vos certitudes, pour laisser le pouvoir gérer la transition ! Est-ce que pour vous l’Algérie ce n’est que le système actuel seulement, ce n’est que le régime actuel seulement et que sans eux le pays ira nécessairement vers l’abîme ? Je pense que c’est l’inverse qui est vrai !

    Ya si Brahimi, vous,vous avez votre solution, mais beaucoup de citoyens, d’intellectuels, de personnalités politiques disent qu’on peut trouver une issue de sortie honorable à votre Bouteflika adoré ! Cette solution doit être avant tout politique et non institutionnelle ! De toute façon, elle ne devrait plus être institutionnelle car, comme vous le savez le pouvoir a déjà tout déglingué en reportant l’élection présidentielle « sine die », en prolongeant le mandat de Bouteflika, en désignant un gouvernement illégitime avec un vice Premier Ministre non prévu par la Constitution. Par contre, la solution pourrait donc être politique et ainsi, Bouteflika, dès la fin de son mandat, devra être invité (l’Etat Major devant y donner un coup de pouce pour éviter l’aventure au pays) de rendre le pouvoir par un geste hautement politique et symbolique à un CONSEIL DES SAGES (ou autres) représentatif de toute la société. Cette haute structure collégiale sera composée de manière équitable de représentants de la muette (en civil ou en retraite), de la mouvance nationaliste conservatrice et de la mouvance démocrate, moderniste laïque ! Beaucoup d’intellectuels, de patriotes et de personnalités politique ont pensé à cette solution.Pourquoi vous, le pouvoir ne cherche pas à discuter avec ceux là ? Si cette solution est adopté, tout de suite après la constitution de ce Conseil se déclineront les structures ou les d’organes intermédiaires de soutien pour encadrer et consolider la réussite de la transition et ce avant d’aller aux élections.

    Par contre ce qui est dangereux c’est de :

    1/- s’entêter à imposer le pouvoir et le régime pour la gestion de la transition ! N’oubliez pas ya si Brahimi les revendications de l’immense foule dans les rues des villes et villages d’Algérie ! Donc cessons les provocations.
    2/- de prendre le risque recourir à l’article 102 pour organiser une autre présidentielle dans les 90 jours comme le stipule la Constitution, car la rue, la majorité des citoyens ne demande pas d’abord un nouveau Président mais au préalable un changement de régime et de système.Le risque étant qu’un autre candidat caché du pouvoir ne sorte du chapeau puisque le régime reste en place, l’Etat Major reste en place, le gros des institutions restent en place, les hauts fonctionnaires et politiques restent en place !
    3/- de prendre le risque recourir à la Constituante, car risque de demander beaucoup de temps, d’approfondir les fractures identitaires qui existent encore hélas dans notre société.

    Mes respects et bon courage aux algériens et à l’Algérie entière !

    Anonyme
    18 mars 2019 - 15 h 33 min

    Lakhdar Brahimi vu son positionnement partial par sa prise de position en faveur de Bouteflika, fait parti du problème et non pas de la solution. En effet, cet individu a trop fréquenté les régimes autoritaires, les monarchie féodales arabes, avec lesquelles ils est en parfaite harmonie, d’après ce que je sais, il vit même en Jordanie depuis longtemps. Moi je le suggère de dégager comme le demande le peuple algérien et de rester loin de l’Algérie, il fait partie du problème et non pas de la solution.

    Bouzorane
    18 mars 2019 - 15 h 26 min

    Nous imposer un mort vivant comme président a été vécu comme la pire humiliation depuis la colonisation française !
    Le peuple ne vous pardonnera jamais cet affront !
    Donc ne chercher ni à discuter ni à gagner du temps… le peuple vous vomis.
    DÉGAGEZ !.. nous n’avons pas besoin de voyous tels que vous!
    -Une présidence collégiale dirigée par Tebbou, Assoul et Bouchachi doit etre mise en place dès que possible et avant le 28 avril.
    – cette présidence nommera un gouvernement provisoire et preparera les élections législatives et présidentielle, en veillant qu’il n’y ait pas de récupération ni du système actuel ni des islamistes… POUR UNE 2ÈME RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE, ALGÉRIANISTE, ULTRA-NATIONALISTE… Les choses mettront du temps à se mettre en place,…ça prendra le temps que ça prendra… tout ça pour dire que nous n’avons nullement besoin de ces voyous incompétents!!.. DÉGAGEZ DÉGAGEZ DÉGAGEZ !!

    La Viriti
    18 mars 2019 - 15 h 03 min

    Ya si Brahimi…Votre proximité affichée et assumée pendant des années avec la famille prédatrice de l’Algérie vous disqualifie dans toute démarche.
    On peut pas hurler avec les loups depuis 1999 et venir en 2019 nous dire de gober une démarche inique méprisante et insultante.
    A la limite pour une fois soyez honnête et dite que votre démarche consiste à sauver le clan Bouteflka et leur offrir une porte de sortie sans comptes à rendre….Ne nous vendez pas des balivernes. Partez et retourner chez vous à l’étranger.
    Vous ne servez à rien si ce n’est continuer à cautionner ce régime qui a massacré nos institutions et insulter la mémoire de nos martyrs. Vous êtes complice.

    Nous avons échapper à l’instauration du régime monarchique que mettait en place Bouteflika.

    Vive le peuple algérien qui sera toujours au dessus de tout en Algérie !

    Il n’yaura pas le chaos que les larbins de Bouteflka souhaitent ardemment pour justifier la prolongation de ce clan de fossoyeurs

    Chelabi
    18 mars 2019 - 15 h 01 min

    S’il n’est pas mandaté par le pouvoir, en qualité de quoi pose t-il ses questions? Qui lui a demandé de jouer aux intermédiaires? Si Benbitour, Said Sadi ou Hamrouche avait pris la même initiative tout le monde aurait crié haro sur le baudet. Alors Mr Le diplomate,  »mondialement connu », GET OUT. We don’t need your assistance.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 14 h 48 min

    Tout le proche orient des monarchies bedouines tremblent a penser que le peuple Algerien reussisse sa revolution de velours si pacifiquement…..et Lakhdhar Ibrahimi veut acceder a leur pression de faire confisquer la marche heroique exemplaire historique et pacifique du grand peuple Algerien…pour qu elle ne fasse pas exemple pour ces peuples meprises et soumis.

      Salah
      18 mars 2019 - 15 h 07 min

      Dialogue avec qui ? Organisé par qui ? Et structuré dans qu’elle but ??? Et vous vous êtes qui Mr brahimi ???

    Anonyme
    18 mars 2019 - 14 h 43 min

    Vous êtes un soutien indefectible du clan Bouteflika, donc vous êtes mal placé pour parler de dialogue, vous n’êtes pas neutre dans cette affaire, nous savons quel est votre camp celui de Bouteflika tout en profitant de votre notoriété internationale pour tenter de l’aider à se maintenir au pouvoir contre la volonté du peuple. Vous êtes âgé, vous devriez choisir le camp de la raison et raisonner ce clan qui détruit l’Algérie depuis 20 ans, pour qu’il parte au plus vite. Vous avez perdu toute crédibilité aux yeux du peuple algérien qui n’approuve pas vos manoeuvres pour aider votre ami Bouteflika rejeté par le peuple algérien dans son ensemble.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 14 h 42 min

    Monsieur Brahimi bien qu il est Algerien.il vit sur une autre planete….il n y a pas de dialogue et il n aura pas lieu
    il y a la constitution…A la fin du mandat de Bouteflika c est le peuple qui aura le choix … et basta finitou End Khlass…j ai la rage au coeur quand je vois comment cela se passe les elections chez les sionistes…

    hayat hammoudi hallala
    18 mars 2019 - 14 h 36 min

    Oui Mr Brahimi mais sans vous.

    Anonyme
    18 mars 2019 - 14 h 32 min

    Dialoguer avec qui…??? dites le nous…il y a une constitution qu il faut appliquer et le probleme est clos.
    empechement du president…ou demission puis les elections…..puis le nouveau president coisit un premier ministre qui forme un gouvernement ..puis elections anticipees legislatives pour un nouveau parlement….puis imposer les reformes constitutionnelles et institutionnelles………etc….Gallou dialoguer. C est le pouvoir qui doit dialoguer avec la constitution..et la respecter….un president paralyse qui paralyse les institutions de l Etat qui finissent par paralyser tout un peuple….Ya Si Lakhdhar ..Yehdik parlez avec votre conscience et non avec vos sentiments…c est le ras le bol …le ras le bol de ce clan ennemi du peuple….la solution existe mais ils n en veulent pas….c est le pouvoir qui les interressent …et mettent le pays en danger extreme….Sachez que les vautours tournent deja sur nos tetes et que les hyenes sont a nos frontieres sud et n attendent que la premiere etincelle,la destabilisation a deja commence au Mali ou des forces speciales d au moin 4 puissances etrangeres sont en pleine action dans les pays du Sahel (France,USA,Allemagne,Angleterre et des franco/Israeliens et des Israeliens /Allemands feraient meme partie de ces forces ) ..Ya si Lakhdhar essayez de convaincre ces tetes de beton…c est l Algerie qui sortira gagnante….

    Anonyme
    18 mars 2019 - 14 h 30 min

    On ne dialogue pas avec un régime corrompu qui a méprisé le peuple, pillé le pays, infantiliser le peuple algérien au point de l’ignorer et lui imposer une dictature à la mekzhénienne, alors que ce même peuple a arraché des acquis de liberté d’expression avant, durant, la décennie noire, une liberté d’expression étoufée par le dictateur Bouteflika rentré en Algérie dans les chars de l’armée un dictateur qui n’a jamais été élu par le peuple. Le peuple a envoyé un message très claire, il n’y a pas de dialogue possible avec le régime Bouteflika qui l’a méprisé et ignoré pendant 20 ans. Le peuple veut une transition pacifique sans le régime actuel qui doit s’en aller au plus vite comme le demande le peuple. Et vous monsieur Brahimi, le peuple connait votre position, vous faites parti du système Bouteflika et vous le soutenez contre vents et marrée. Vous êtes venu lui prêter main forte, au lieu de le raisonner et l’encourager à quitter le pouvoir après le 28 avril comme l’exige la constitution.

    numi
    18 mars 2019 - 14 h 24 min

    Il a malheureusement raison.
    Que ces cadres, personnes voulant défendre la volonté du peuple, fassent de la politique.

    Je le redis ces gens intègres et capables de faire avancer le pays doivent intégrer le système pour le faire avancer et le changer de l’intérieur. Pour faire sauter un a un les anciens il faut faire partie de la meute et ne pas laisser les autres décider de l’avenir du pays. Ils finiront par partir comme l’a fait Ouyahia.

    Brahimi, Bouteflika et autres en sont là ou ils sont aujourd’hui parce qu’ils ont intégré ce système.

    Les cadres, intellectuels, ouvriers aptes à faire de la politique doivent en faire de même pour faire bouger les choses.

      Anonyme
      18 mars 2019 - 15 h 35 min

      Si vous etes un patriote c est la constitution qui a toujours raison et qui est passible d amelioration comme le stipule la loi…et le peuple Algerien est compose de plus de 40 % des moins de 25 ans,et je me demande que vient faire cette vieille nature,cette marchandise perimee pour nous donner des conseils ,il a interet a changer son vieux logiciel du siecle dernier et encore s il est capable de l utiliser car la technologie a tellement changee

      Anonyme
      18 mars 2019 - 15 h 41 min

      Ceux et celles qui ont intégré ce système corrompu clientéliste incompétent, voleur, qui se cherche des valets soumis qui lui font allégeance et non pas des partenaires fiables, ont perdu leur âme, ils ont choisi la soumission, l’allégeance, au régime Bouteflika moyennant l’argent du peuple. L’exemple de Amara Benyoucef, ainsi que tous les valets du FLN, dont le chef considère Bouteflika comme un « prophète » et bien d’autres ne sont que des voyous que le système a domptés à sa guise.

        Numi
        18 mars 2019 - 16 h 49 min

        Je ne suis pas fan de Brahimi.
        Mais c’est pas parce que je ne l’aime pas que ce qu’il dit est vide de sens ou faux.

        On ne changera pas le pays en un jour. La démocratie et le progrès ne se font pas en deux mois.

        Les révolutions à la Che Guevara et à la Castro c’est finit. On est en 2019.

        Il faut tirer des conclusions des révolutions dans d’autres pays arabes pour éviter le chaos ou une relève pire que la précédente.

        Le présent et l’avenir voila ce qui importe…Et ça doit se construire.

        Une construction ça prend du temps et ça demande une organisation, des gens compétents, un plan…

        Il suffit pas de dire dégage… .

        Quand a Bouteflika c’est finit. Cet homme va mourir, il faut avancer et trouver une solution.

        Dire non et tout rejeter en bloc c’est paralyser.

          Anonyme
          18 mars 2019 - 20 h 57 min

          On ne veut pas faire la revolution a la cubaine ou a l Egyptienne ou a la Tunisienne ,en Syrie ,en Lybie et au Yemen ce ne sont pas des revolutions mais des agressions etrangeres…Ce qu on veut en Algerie c est le respect de la constitution et passer aux elections a la fin du mandat de Bouteflika…et grace aux urnes on veut imposer un veritable et radical changement …comme dans les pays de l ancienne URSS…
          sans une goutte de sang …une revolution de velour…rien a voir avec Castro ou Che guevara
          que je respecte enormement….

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