Selon Fatiha Benabbou : «Bouteflika a déjà signé sa lettre de démission»

Bouteflika pardon
Le président Abdelaziz Bouteflika. New Press

Par R. Mahmoudi – La constitutionaliste Fatiha Benabbou estime que le président Abdelaziz Bouteflika a déjà écrit sa lettre de démission et qu’elle est déjà signée. Interrogée par le quotidien français Le Monde sur la décision annoncée par le chef d’état-major de l’ANP, la juriste algérienne croit savoir que le général Ahmed Gaïd-Salah n’a pas décidé seul de cette annonce. «C’est le fruit d’un consensus au sommet de l’Etat à un moment où toute annonce venue de la Présidence aurait été accueillie avec suspicion. C’est pour cela que le chef d’état-major a préféré lui-même annoncer cette mesure», souligne-t-elle.

Dans le même registre, Mme Benabbou considère que cette décision a été annoncée publiquement par le chef d’état-major de l’armée «pour la simple raison qu’il est une autorité, parce qu’il est visible. Il  »parle » aux Algériens ; c’est le pouvoir réel, et cela permet de savoir exactement d’où vient la décision», clame-t-elle.

La constitutionnaliste juge que la suggestion d’Ahmed Gaïd-Salah permet d’assurer une succession à la présidence de la République «de la meilleure manière possible pour éviter une rupture violente». Optimiste, elle affirme que le Conseil constitutionnel va s’en saisir «et les choses vont se passer très rapidement». Selon elle, «la démission» du Président va être transmise au Parlement, qui va déclarer la vacance de la fonction présidentielle et va charger le président du Conseil de la nation d’assurer un intérim «technique».

Parmi les problèmes qui se poseront dans ce processus, celui de la Haute Instance électorale, dissoute par le chef de l’Etat. «Il faut que la nomination de ses membres se fasse, explique Fatiha Benabbou, en concertation avec la société civile, que ce soit elle qui propose des noms et que le chef d’Etat par intérim ne fasse que formaliser juridiquement ces propositions. C’est possible. Et c’est tout l’enjeu des négociations qui vont débuter entre ceux qui sont dans la rue et le pouvoir réel.»

R. M.

Comment (72)

    Citoen Dz
    29 mars 2019 - 8 h 13 min

    Cette Fatiha Benabbou me rappelle les annonces du fameux bonatiro !

      Zaatar
      29 mars 2019 - 11 h 13 min

      La lune, le soleil, les volcans et les tremblements de terre. Ah ce Bonatiro, quel bel homme…

      anonyme
      29 mars 2019 - 12 h 31 min

      C’était beau quand Bonatiro annonçait la vue de la lune pour l’Aid, fin du jeûne.

    Medi Bongo
    29 mars 2019 - 6 h 30 min

    Bouteflika et son clan ont été renvoyés par le peuple algérien, je ne vois pas pourquoi et à quoi va servir sa démission ou l.article 102 de la constitution.

    ANONYME
    29 mars 2019 - 5 h 49 min

    Il se peut que demain ou après-demain, ils nous annoncent que son état de santé s’est dégradé sérieusement, qu’il a été évacué de toute urgence au HUG et il y a vacance du pouvoir.

    Anonyme
    29 mars 2019 - 3 h 25 min

    Je suis choqué
    Effectivement, Ben Salah n’est pas Algérien.
    LA HONTE. On comprend tout, ça devient de plus en plus clair.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 21 h 13 min

    C’est pour quand l’annonce de la démission de Bouteflika

      Anonyme
      30 mars 2019 - 1 h 43 min

      Le jour où il retrouvera la parole… s’il la retrouve un jour bien entendu.
      Mais entre temps, de l’eau aura coulé sous les ponts. Donc, qu’il retrouve la parole ou pas, cela ne concerne plus le peuple algérien et lui importe bien peu, parce qu’il est déjà passé à autre chose et jamais plus ces gens-là ne pourront le rattraper. D’aucune façon d’ailleurs.

    Chelabi
    28 mars 2019 - 20 h 53 min

    Demain, Insha Allah, les mots d’ordre seront :
    Tarahlou gaa, yaani tarahlou gaa,
    Le pouvoir aux civils,
    L’armée dans les casernes,
    Djoumhouria djadida, demoqratia, ijtimaiiya.

      Sans les islamistes, agents du qatar et d erdogan
      29 mars 2019 - 15 h 28 min

      Wa bidoun islamyin !

    Anonyme
    28 mars 2019 - 19 h 23 min

    Bensallah n’est pas Algérien.
    L’Algérie aux Algériens.

    DYHIA-DZ
    28 mars 2019 - 17 h 23 min

    C’est simple, on ne veut surtout pas voir un Ben-Salah pendant 3 mois.
    Présentez nous des responsable qui nous éviteront de vomir pendant 3 mois.
    Même les marrouki ont commencé leur campagne pour Ben-Salah en disant qu’un autre marocain dirigera l’Algérie. STOP, inconcevable.
    Ou bien, il doit se prononcer sur ses origines. RAS LE BOL DU SILENCE qui fait mal au peuple Algérien.

      Ryad Bessous
      28 mars 2019 - 19 h 41 min

      ma réponse à anonyme!!! en ce qui concerne l’algérianité!!! Tu n’es qu’un anonyme et tu le resteras, débiter des inépties pareilles c’est que ton niveau s’arrête à ton certificat de naissance.
      L’annonce du Général Gaid Salah ne peut-être faite qu’en concertation sinon il à cette heure-ci, notre cher général serait aux arrêts ou au meilleur des cas limogé car le pouvoir de signature est encore entre les mains de celui ou ceux qui rédigent les lettres du Président.

        Anonyme
        30 mars 2019 - 1 h 50 min

        Qu’ils le limogent ou pas, ils n’ont plus le moindre pouvoir et même pas celui de nuire à qui que ce soit. Mais tu es bien sûr libre de continuer à croire à ce que tu veux, si ça te chante.
        P.S : Un acte de naissance algérien vaut son pesant d’or de nos jours. Pose donc la question, par exemple, à…. Bensalah.

    MELLO
    28 mars 2019 - 16 h 13 min

    Maître Fatiha Benabbou aurait pu nous renseigner sur la faisabilité et l’application de l’article 102, dont parlent certains. En sa qualité de Constitutionnaliste, elle doit nous informer si l’application de cet article rejoindrai les revendications de la rue , exprimées depuis le 22-2-2019. Si ce n’est pas le cas , son application reste caduque. Démission ou pas démission , le peuple veut se reapproprier le pouvoir et le destin de l’Algérie.

      Anonyme
      28 mars 2019 - 19 h 21 min

      Pour donner le pouvoir à Bouchachi. Non merci.
      Ni le clan Bouteflkia ni le clan Bouchachi.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 15 h 54 min

    Quelle aubaine, 90 jours de sursis en plus afin qu’il puisse prendre les devants.

      Tommyil
      29 mars 2019 - 0 h 02 min

      Il n’y a pas de clan Bouchachi

    Anonyme
    28 mars 2019 - 15 h 25 min

    Selon Fatiha Benabbou : «Bouteflika a déjà signé sa lettre de démission»
    ————————————————————————————————————————————————-
    Et signé par le quel des Bouteflika au juste ?

      Anonyme
      28 mars 2019 - 16 h 16 min

      Lettre signée probablement , aux HUG de Genève par Abdelmadjid Aissa né le 05 Juillet 1938.

        Anonyme
        28 mars 2019 - 17 h 06 min

        Oui abdelmadjid aissa né en 1938, hospitalisé aux hugs

    Non a Benslah !
    28 mars 2019 - 14 h 23 min

    Ce type est indigne de présider l’Algérie pour 90 jours, c’est un danger pour le pays comme Louh Belaiz et le reste des délinquants.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 13 h 54 min

    M. Bouteflika a toujours employé la ruse pour garder le kourssi d’une main de fer. Il a usé de ces pouvoirs pour noyauter les institutions et concentrer le pouvoir autour de lui et de son clan. Il a osé piétiner le droit et la constitution pour se faire réélire mais aussi mettre à la tête du conseil constitutionnel un homme d’origine marocaine pour donner du fil à retordre à nos juristes.
    A mes compatriotes, il ne faut pas transformer l’intérim du président du conseil constitutionnel (90j) en sujet à polémique et aller de l’avant.

    Après les manifestations c'est la construction
    28 mars 2019 - 13 h 44 min

    @ : Anonyme
    28 mars 2019 – 10 h 02 min

    Oui anonyme les candidats technocratique qui auront postuler à la candidature suprême.
    Devront non seulement être intellectuellement capable d’assumer la fonction suprême qu’est le poste de président de la République.
    Ne pas faire parti de l’ancien système et de l’opposition.
    Chaque candidat aura des personnes le représentant dans chaque bureaux de votes.
    Chacun pourra voir ce que font les autres lors du scrutin nationale.
    À la moindre irrégularités chacun sera en droit de demander des explications et de remédier intelligemment aux respect du processus électoral.
    Seul des algériens aillant toujours vécus quand algérie.
    Les candidats ne devront pas être métis et être algériens
    De 7 générations en arrière.
    Nous ne voulons ni métis ni croisé ni d’algériens par mariage ou d’arrangements où naturalisés.
    Cela évitera les suspicions et les accusations à tort où à raison.
    Mais il faut que ou nous fassions confiance pour mettre enfin en place la nouvelle république.
    Nous avons nos yeux nôtre intelligences nos oreilles nos mémoires nos revendications nôtre vigilance et nos exigences et l’appui de L’APN avec le peuple.
    Et à tout moment rien nous empêchera de redescendre dans la rue.
    Ils le savent très très biens ceux d’en face.
    Et tu sais qu’à ORAN les services de sécurité ont déjouer un grave attentats lors d’un meeting qui allait se tenir.
    Je pense que les politiciens véreux vont commencer à s’auto éliminer par peur de dénonciations réciproque.
    Et aussi de faire peur au peuple en instaurant un climat de peur par des attentats contre le peuple.
    En tout les cas rien n’est à exclure.
    Aller passons à la construction de ce que nous réclamions pendant toutes ces manifestations.
    Après l’effort c’est le moment du réconfort.
    Stoppons suspendons les manifestations et restons mobilisés en observant et écoutant.

      Amine
      28 mars 2019 - 16 h 17 min

      Pourquoi, les algeriens vivants à l’etranger ne sont pas algerien, qui tu es toi pour decider de qui algerien ou pas.
      Peut tu prouver que tu algerien depuis 7 generations, sachant que l’etat civil n’a été mis en place qu’apres1833
      Vu le niveau de ton commentaire, on te laisse le monopole de l’intelligence.

      Anonyme
      28 mars 2019 - 18 h 12 min

      ce programme a déja ete mis en application dans les années 40 par un certain ……petain!!

    Article 102 , oui mais en symbiose avec l'article 52 !
    28 mars 2019 - 13 h 44 min

    Les voix qui nous disent qu’il faut rester dans la légalité constitutionnelle en appliquant seulement l’article 102 stricto sensu, puis aller vers uniquement une élection présidentielle avec les personnels politiques et institutionnels en place, et qu’il faut oublier toutes les « fioritures » comme la désignation d’instances de transition, une nouvelle loi électorale etc… etc…, nous prennent toujours pour des moutons qu’on mène à l’abattoir le jour de l’Aid.

    A ces personnes, comme à Madame Fatiha Benabbou que je respecte par ailleurs, je leur répond ok ! on va rester légaliste mais dans ce cas on va aussi appliquer l’article 8- alinéas 5 stipule que « le pouvoir constituant appartient au peuple » ! C’est dans la dernière Constitution de 2016. Donc aux personnes qui disent qu’il faut rester dans la légalité constitutionnelle stricto sensu, on peut répondre oui d’accord, mais il faut aussi appliquer la Constitution dans toute son ampleur, dans toute sa globalité !

    NB : Le « pouvoir constituant » que la Constitution attribue au peuple est (d’après le droit constitutionnel , d’après les constitutionnalistes, d’après les annales Dalloz, pas d’après moi seulement ) l’aptitude et la capacité attribué au PEUPLE pour initier une Constitution, pour établir une charte du pouvoir politique avec toutes les attributions et leurs exercices au sein de l’Etat ! Et comme c’est le peuple souverain qui demande le départ de Bouteflika et le changement complet du système, l’article 52 prime sur l’article 102 , mais si on peut les appliquer en symbiose ! Ok , ya j’maahaa !

    Anonyme
    28 mars 2019 - 13 h 22 min

    102 ou pas 102 les Bouteflika doivent se barrer

      Tu oublie tous les complices
      28 mars 2019 - 13 h 54 min

      @ : Anonyme
      28 mars 2019 – 13 h 22 min
      102 ou pas 102 les Bouteflika doivent se barrer

      Tu as oublier de dire tout ceux et celles qui ont fait partie du système pendant ces 19 ans y compris de l’opposition
      qui n’ont jamais été de l’opposition mais des complices du système.
      Ils ont toujours travaillé main dans la main.
      L’opposition n’était qu’un leurre une manipulation.

        Vroum Vroum ????..
        30 mars 2019 - 0 h 38 min

        Pour ceux qui ont la critique facile..Mr Bouteflika est un Maître en Géopolitique et le Rôle premier d’un Président est d’assurer l’indépendance et Souveraineté nationale Algérienne , en celà Mr Bouteflika associés au Chefs d’État Major et Services Sécurité ont remarquablement protégés l’Algérie . .Maintenant c’est aux Économistes de tracer la route intérieure pour l’Algérie car la Politique extérieure et Défense ont et seront toujours au Top . .Le Peuple Algérien est très mature et civilisé , tout ira bien , j’en doute pas… Économiquement la tâche sera ardue .. et les effets ne devront surtout ne pas être de la Responsabilité du Nouveau Président…C’est par le Travail l’investissement que la Richesse vient… Bonne Route à l’Algérie . .

    Chaoui Ou Zien
    28 mars 2019 - 13 h 22 min

    N’etant pas un juriste, je dis qu’il est temps de demander a son geniteur, Ouyahia, de nous expliquer les contours et les tours cons de cette constitution.

    ABDEL
    28 mars 2019 - 12 h 46 min

    l’article 102 aurait du etre appliqué dès 2014,si ce conseil anti constitutionnel avait fait son travaill !!ses membres comme toujours,ont d’abord pensé a leur interet personnel, a sauvegarder leurs places et obeir au prince, au lieu de mettre l’interet et la securité du pays au dessus des combines ,c’est pourquoi,j’estime que c’est une trahison,et ils devraient etre jugés le moment venu, pour cette forfaiture,au meme titre que tous les corrompus qui ont ruiné le pays!!!

    Chelabi
    28 mars 2019 - 12 h 38 min

    Demain, insha Allah, le mot d’ordre devrait être Oui à une solution politique, Non à une solution constitutionnelle.
    La raison est simple: par quelque bout qu’on prenne les articles 102, 107 ou autres de cette constitution, on se rend compte qu’on finit dans un cul de sac, que ce soit pour la saisine du conseil constitutionnel, le quorum des 2/3 des 2 chambres réunies en plénière, la nationalité du président du sénat et surtout les revendications populaires qui ne veulent pas que les institutions de la nouvelle république soient sous la coupe de ce système malfaisant.
    Bouteflika s’est doté d’une constitution faite exclusivement pour lui et spécialement conçue pour faire perdurer ce système.
    Dès qu’on s’en éloigne, on frappe un mur constitutionnel.
    Il faut donc oublier cette constitution de malheur et aller vers une solution politique si on veut réellement aller vers une nouvelle république. Il n’y a rien d’autre à faire.
    Gaïd Salah shut up! Tu as déjà fait beaucoup de dégâts avec tes suggestions à la noix. Occupe toi de l’ordinaire, les affaires politiques ne sont pas de ton ressort.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 12 h 07 min

    A tous ceux qui evoquent la nationalite de Bensalah qu il ne peut presider la transition ,la constitution est claire il peut etre demi et le conseil superieur de l a nation en charge un autre…c est tres simple et arretez de monter les obstacles …pour tout probleme il y a une solution.Un problème créé ne peut être résolu en réfléchissant de la même manière qu’il a été créé.

      Chelabi
      28 mars 2019 - 12 h 24 min

      Justement, il n’y a pas de solution. Personne ne peut démettre le président du sénat sauf le président de la république. Si ce dernier est empêché ou démissionne alors le président du Sénat devient de fait le président par intérim et personne ne peut le destituer.

        Anonymalgérien
        28 mars 2019 - 15 h 31 min

        Tes connaissances en droit égalent celles du berger en solfège. Le président du sénat est élu par l’ensemble des sénateurs. Depuis la cabale montée contre le moudjahid cBoumaza qui a été exclu par les larbins parce qu’il allait faire passer une loi contre le génocide commis par la France en 1945 à Sétif, Guelma et kherrata., les présidents qui ont été élus sur recommandation de la présidence.
        Le cas de Benasalah est singulier. Quand son nom a été tiré au sort lors du renouvellement du tiers de l’Assemblée, il revint aussitôt,, désigné dans le tiers présidentiel pour être élu président de cette chambre dite haute mais basse par les manœuvres qui s’y jouent,
        Rien donc n’empêche les sénateurs dont le patriotisme n’a rien a envier à celui des députés, à utiliser le même cadenas qui a servi à ces derniers de débarquer leur président Bouhadja.
        Ils pourront alors élire un autre président, inconnu.

          Chelabi
          28 mars 2019 - 16 h 26 min

          …. C’est le président qui a entériné la nomination de Bensalah. Sans son paraphe, il ne serait pas aujourd’hui président du Sénat. Je ne vais pas écrire 2 pages pour expliquer comment fonctionne le sénat ni revenir à 1945. Ici on parle devenir de la nation algérienne et on dit tout simplement La constitution ne peut s’appliquer dans le contexte politique d’aujou. Capitch?

    Chelabi
    28 mars 2019 - 11 h 43 min

    N’y a t-il pas un journaliste sérieux pour rappeler à cette brave ‘constitutionaliste’ que Gaid salah ne parlait pas de lettre de démission signée par Bouteflika mais d’une invite que Gaid Salah a faite au conseil constitutionnel pour que ce dernier s’auto-saisisse et constate l’état de maladie grave qui empêcherait le président d’assumer ses fonctions?
    Soubhane Allah, nous vivons dans un drôle de monde. Les gens, les plus sérieux, se permettent des contorsions cérébrales pour tenter de nous vendre leur camelote à tout prix. Beurk!

      Anonymalgérien
      28 mars 2019 - 17 h 07 min

      Meskine ! Plus tu remués et plus tu t’entonces….

    karamazov
    28 mars 2019 - 11 h 11 min

    Selon celui qui a vu l’ours , rien n’est moins sûr !

    Scandaleux ! Grotesque ! Indécent !

    Mais qu’est-ce que c’est cet hallali ! Hier on nous jurait que Boutef était peut être muet comme une carpe mais aussi frais qu’un gardon et aujourd’hui on voudrait le démissionner à son insu ?

    Moua je ne laisserai pas faire. Aussi je vous informe que j’ai décidé de réactiver notre comité de soutien à Bouhadja Avec Abou Stroff et Zaatar pour le consacrer à Fakhamatouhou.

    Tous ce qui ne sont pas d’accord avec cette mascarade peuvent s’inscrire pour demander le maintien de Fakhamatouhou, car il ne se trame rien de bon.

    Je sais qu’on n’est jamais trahi que par les siens , mais un Juda à la rigueur on aurait gober. Là c’est un bataillon . C’est trop !

    L’autre Za3ma il n ‘est pas plus vieux que Boutef, en vérité  ? Pourquoi ce n’est pas lui qui démissionnerait ?

      Abou Stroff
      28 mars 2019 - 11 h 56 min

      tout à fait d’accord avec toi Komrad! clamons, haut et fort, notre soutien à bouhadja et agissons pour que les cadenas qu' »ils » ont posé sur les porte de l’apn soient cisaillés et que bouhdja reprenne sa place prisidène di l’assombli.

      Zaatar
      29 mars 2019 - 14 h 18 min

      Oui, j’apporte mon total soutien à bouhadja…

    Abou Langi
    28 mars 2019 - 10 h 48 min

    Absolument ! C’est surtout parce que Gaid Salah est le plus récent des perdreaux de l’année et qu’il n’est pas encore baptisé , qu’on l’a choisi pour jouer les oracles.

    Et comme il n’a jamais été mêlé aux affaires de la présidence il est le mieux placé pour faire ces annonces-là.

    Car si c’était quelqu’un d’autre d’aucuns seraient capables d’aller faire accroire qu’il se magouille sous roche. Ou que toute cette discrétion cacherait un gros lézard.

    Mais non, le seul soucis de Gaid Salah d’ Ouyaya et consorts c’est de céder le pouvoir en toute constitutionnalité . Ces gens-là sont trop soucieux de la légalité pour oser monter des coups bas.

      Abou Stroff
      28 mars 2019 - 12 h 00 min

      j’adhère totalement à ton point de vue, mister Abou Langi.
      en effet, parmi nos augustes dirigeants actuels, il nous faut reconnaitre que gaïd salah ne traine aucune (j’insiste, aucune) casserole et qu’à ce titre, il mérite de chapeauter la période de transition et pourquoi pas de se proclamer nouveau fakhamatouhou

        Anonyme
        28 mars 2019 - 15 h 21 min

        En effet, il ne traine aucune casserole derrière lui, mais pour être juste et équitable, reconnaissons quand même que ce sont bien les casseroles qui le suivent, et bien malgré lui d’ailleurs.

      Pas d'accord sur tout avec toi
      28 mars 2019 - 14 h 40 min

      @ : Abou Langi
      28 mars 2019 – 10 h 48 min

      Je suis d’accord avec toi pour Gaïd Salah.
      Mais pas du tout d’accord avec toi pour Ouyahia.
      Ça fait vingt ans qu’il accompagne Bouteflica en politique en tant que N°2 où chef de l’opposition.
      Ouyahia ne fait pas partie de la solution mais du problème passé et présent.

    Article 102 très insuffisant !
    28 mars 2019 - 10 h 47 min

    Avant j’avais un sympathie complète avec la constitutionaliste Fatiha Benabbou , mais depuis qu’elle a expliqué qu’il faut aller très vite vers l’application de l’article 102 sans ajouter que cet article n’est pas suffisant, je l’a soupçonne d’être de ceux qui sont pour la continuité sans Bouteflika. Si on ne passe pas par une phase de transition démocratique, l’article 102 ne vaut rien !

      Anonyme
      28 mars 2019 - 11 h 29 min

      @article 102 tres insuffisant…:Relisez l article 102 dans toute sa totalite…et surtout en ce qui concerne la demission du president c est ce qui nous interresse…..et Mme fatiha Benabbou a parfaitement raison…c est une grande Algerienne qui des les premiers jours a attire l attention de la societe civile sur les difficultes de l article 102….et seulement la partie de cet article concernant la demission serait la porte de sortie …tout doit aller vite maintenant…conformement a la constitution..et surtout le choix des membres de la haute autorite independante des elections…et la revision du code electoral…la revision de la constitution sera l affaire d un college d experts du droit constitutionnel et de la societe civile..representante du peuple Algerien….

      Pour vous profiteur du clan
      28 mars 2019 - 11 h 31 min

      Sans l’article 102 toute la famille Bouteflika dégagera. J’espère que vous êtes rassuré. Sarakines.

    Rien n'est acquis
    28 mars 2019 - 10 h 38 min

    Rien n’est acquis avant que tout soit acquis alors, La marche, la mobilisation et la pression continue jusqu’au départ du système. Il faut Donner les rennes du pouvoir aux VRAIS jeunes algériens et algérienne. Pas a ceux qui on la double.

    Marchal
    28 mars 2019 - 10 h 18 min

    Esperons que tout s’arangera avec gentillesse entre les partis pour designer un nouveau president. Le pays a besoin de se developper aulieu de perdre du temps entrain de se bagarer a cause de la chaise. Que Dieu nos protege. Pour etre president il faut avoir un grand pere; le pere et le petit fils\fille qui veut etre president. Il faut aussi etre musulman\caucassien. Merci de me lire.

    M'Hamed HAMROUCH
    28 mars 2019 - 9 h 32 min

    Avec un marocain (bensalah) a la tete de l’Etat durant 90 jours, ce dernier va avoir le temps d’effacer toutes les traces de détournement de de corruption opérés depuis 1999 par ses concitoyens marocains de son Clan et donc pas de réddition de comptes.

    Il faut dorénavant avancer
    28 mars 2019 - 9 h 06 min

    Le peuple doit à son tour envoyer un message de sagesse en suspendant les manifestations.
    Chacun doit maintenant passer aux changements en se faisant confiance.
    Afin de pouvoir mettre la deuxième république en place.
    Le peuple est obligés de faire sa part de travail.
    Les choses se font en commun.
    Peuple est gouvernement ensembles.
    Le conseil constitutionnel sait que à n’importe qu’elle moment les manifestations peuvent reprendre si le peuple est manipulé.
    Nous sommes obligés de passer par cette étape qui consiste de mettre en place démocratiquement le nouveau gouvernement.
    Où si non qui va le faire à nôtre place .
    Stoppé les manifestations et passé à la construction de la seconde république.
    Les choses doivent se faire par une confiance et non par l’éternel suspicions qui bloque toute avancée et risque de basculer vers le pire si l’entêtement persiste.

      Anonyme
      28 mars 2019 - 10 h 02 min

      Aucune marche arrière n’est possible jusqu’a concrétisation de nouvelles élections.
      Les élections doivent être organisées par des étudiants volontaires qui encadreront le processus en partant du bureau de vote jusqu’au conseil constitutionnel.

    saad odhar
    28 mars 2019 - 8 h 52 min

    drole de constitutionnaliste , à moins qu’elle ne le soit que de maison.
    comment affirmer qu’une constitution trituree à l’envie et votée comme tjrs par la fraude serait elle plus credible que la manifestation populaire reunissant plus de 70 % du peuple
    le peuple s’est exprimé avec son degagisme donc seul le reglement politique doit prevaloir ma fiha la constitution la 3ami 3li .
    de constitution reelle , il n ya que les vendredi ou bess.

    BabElOuedAchouhadas
    28 mars 2019 - 8 h 44 min

    …l’ auteur ne parle pas des dispositions constitutionnelles relatives à la nationalité d’origine exigée à tout Chef d’État de la République Algérienne y compris durant une transition et vis à vis de laquelle Bensalah ne remplie les conditions étant entendu qu’il est marocain d’origine

      Sindra
      28 mars 2019 - 12 h 00 min

      Effectivement! Si ce bonhomme ne remplit pas les conditions de Président, pourquoi donc Bouteflika et/ou les membres du Sénat l’ont choisi comme Président de l’APN? C’est a ni rien comprendre!

    Mohamedz
    28 mars 2019 - 8 h 35 min

    Espérant que Mme Fatiha Benabbou ne soit pas une marocaine appartenant au Clan d’Oujda essayant de nous vendre dans un emballage constitutionnel le produit marocain dit «Bensalah» pour cette période d’intérim !

    Anonyme
    28 mars 2019 - 8 h 28 min

    Les juges doivent se préparer pour juger avec la plus grande sévérité les fréres Bouteflika et leur clan des hommes d’affaires incultes, aussi bédoui, ouyahia, sidi said, tous seront sanctionnés …

    ALI
    28 mars 2019 - 8 h 28 min

    CETTE CONSTITUTIONALISTE SEMBLE OUBLIER «INTENTIONNELLEMENT» QUE Mr BENSALAH, MAROCAIN D’ORIGINE, NE PEUT EN AUCUN CAS ET SELON LA CONSTITUTION ALGERIENNE, ASSURER L’ INTERIM DU MOMENT QU’IL À ACQUI LA NATIONALITE ALGERIENNE QU’EN SEPTEMBRE 1965.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 8 h 20 min

    Le président du conseil de la nation ne peut prétendre assurer la transition de la présidence si sa nationalité d’origine étrangère est confirmée. Aux vrais patriotes, de s’impliquer sérieusement. La souveraineté du pays est en jeu. SERVIR le pays doit être le maitre mot à jamais, et non plus s’en servir comme cela a été jusqu’à maintenant. Ceux qui se prétendaient NATIONALISTES en le criant sur tous les toits, en insultant les autres de hazb frança dés qu’ils osaient les contrarier, sont et seront toujours les premiers à retourner leur veste, de par leur opportunisme impénitent.

    Mokhtar
    28 mars 2019 - 8 h 20 min

    Cela veut dire qu’on va encore subir un autre marocain durant cette période intérimaire en la personne de Abdelkader Bensalah alors que «leur» Constitution dit clairement que la fonction de Chef d’État exige du postulant une nationalité algérien d’origine.

    SI KOUIDER BOUNETEF
    28 mars 2019 - 8 h 14 min

    Hier leur souci majeur était de remplir la chcara, aujourd’hui c’est celui de ne pas être obligés de la rendre.

    Vangelis
    28 mars 2019 - 8 h 05 min

    Il se confirme qu’en dépit de toutes les manipulations de la constitution et de l’existence de clans divers, c’est bien le  » pouvoir réel  » qui est et a été toujours le maître du jeu.

    A fakhamatouhoum a donc été attribué des pouvoirs exorbitants alors qu’il n’en est rien. Ces pouvoirs, les politiques de quelque nature qu’elles soient n’ont pu être mise en route qu’avec l’aval du  » pouvoir réel « .

    Fakhamatouhoum qui disait des algériens qu’ils étaient un peuple médiocre et bien avant lui, Boumédiène qui pour assainir l’Algérie prétendait qu’il fallait tuer 80 % de la population, ce ne sont donc pas d’eux que viennent ces fantasmes mais bien du  » pouvoir réel « .

    Ce  » pouvoir réel  » a un autre nom, c’est l’état profond.

    Méfiance alors lorsqu’il est proposé aux algériens une démission qui peut cacher le rebond de cet état. profond.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 7 h 54 min

    Les papiers ont toujours été écrits par d’autres la signature aussi.

    Anonyme
    28 mars 2019 - 7 h 39 min

    La prison pour les frères Bouteflika est attendue.

      Ammi Rabah
      28 mars 2019 - 8 h 21 min

      La liste est longue sans oublier surtout ceux qui l’entourent et qui nous mentent depuis 10 ans et aussi sans oublier ceux qui font semblant d’etre nationalistes tout en achetant des maisons a paris, des hotels a barcelone et dubai et des depos en millions de dollars et euros au panama. Sans oblier les affaires d’autoroutes et de sonatrach.

      hercule
      28 mars 2019 - 19 h 05 min

      Plutot les travaux forcés du coté de Tinzawatine pour le reste de leur vie.

    A-MALG-âme
    28 mars 2019 - 7 h 05 min

    I a dû utiliser le même stylo qui lui a servi pour signer
    – son dossier de candidature au 5e mandat;
    – sa lettre de renoncement au 5e mandat
    – l’annulation des élections et la
    prolongation du 4e mandat
    – la nomination de Bédoui et Lamamra
    – la dissolution du HCSE
    – la non-nomination de Brahimi, M. « De Quoi
    j’me mêle »
    Une fois que tout ce cirque terminé, le stylo, qui fonctionne comme un drone, juste par la pensée, devra être récupéré par l’armée et classé ADM: Arme de Démission Massive . Le stylo sera mis sous bonne garde car les Américains voudront nous le voler

    Mahmoud
    28 mars 2019 - 7 h 00 min

    Essalem,
    J’adore ces gens qui savent tout ou qui crois savoir tout. Avec quoi e-t-il signé sa démission et comment … Arrêtez de leurs donner du crédit. J’ai vécu la transition boumed, Chadli bendj, et celle de Chadli,hce et puis celle de chez zerroual et enfin celle de zerroual bout. Il n’aura pas de transition brusque seuls les SGs assureront les en cours, le reste doit démissionner et la collégial doit être reçu par les garants de la sécurité du pays: ANP et le DRS et les autres, que je connais pas. Quand on veut le bien, c facile, Seuls les accords et contrats avec la France qui seront renégocier. Y’a pas à avoir peur. Vive l’Algérie.

    Blakel
    28 mars 2019 - 6 h 54 min

    Il y a encore trop d’incertitudes et d’inconnues. Le peuple doit maintenir la mobilisation, la pression, durant tout le processus, pour éviter que le pouvoir ne soit tenté de recourir à de grossières ruses.

      Anonyme
      28 mars 2019 - 9 h 27 min

      Peut-être que le président n’est même pas en Algérie, il est déjà parti.

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