Jil Jadid : «Le pouvoir devrait donner des gages de sa bonne volonté»

Jil Jadid
Soufiane Djilali, président de Jil Jadid. D. R.

Par Mounir Serrai − Le parti de Sofiane Djilali, Jil Jadid, réagit au communiqué du Conseil Constitutionnel annonçant l’annulation des élections présidentielles du 4 juillet. Jil Jadid relève que «le Conseil constitutionnel, qui vient de reconnaître implicitement qu’il n’y a plus de dispositions constitutionnelles à même de venir à la rescousse du régime, vient de donner illégalement et contre l’avis des Algériens, mandat au chef de l’Etat de convoquer de nouveau le corps électoral». Il considère de ce fait que «l’application stricto sensu de cette interprétation de la Constitution, avec cette fois-ci recours à son préambule, signifie l’épuisement des solutions explicites du texte et met le pouvoir face au néant législatif».

Pour le parti de Soufiane Djilali, «l’esprit de cette jurisprudence impliquerait la convocation du corps électoral dès aujourd’hui. Dans ce cas, le peuple refusera l’oukase et fera le même destin qu’aux élections du 4 juillet. Il ne restera alors au pouvoir, comme solution, que le coup de force pour imposer sa feuille de route». Mais, fait-il remarquer, «le Conseil constitutionnel semble tempérer cette position en précisant qu’ »il y a lieu de réunir les conditions adéquates » pour l’organisation de cette élection dans la transparence et la neutralité. Cette affirmation permettrait de ne fixer la date de l’élection et surtout les modalités de son contrôle qu’après les conclusions d’un dialogue, encore hypothétique, avec l’opposition».

«Si c’est le cas, il serait nécessaire de préparer les conditions de sa réussite en faveur d’une nouvelle République, de l’Etat de droit et de la démocratie», estime ce parti, qui considère que, pour ce faire, «le pouvoir devrait donner de son côté, des gages de sa bonne volonté en commençant par libérer tous les détenus politiques et d’opinion comme premier geste d’apaisement et ouvrir les médias à l’opposition».

Pour éviter d’impliquer des responsables refusés par le mouvement populaire et la société politique, Jil Jadid suggère que les autorités proposent «une commission formée de personnalités au-dessus de tout soupçon, qui soit mandatée pour mener les discussions avec les différents partenaires du mouvement populaire». «Pour apporter le crédit et la garantie de la mise en œuvre des conclusions de ce présumé dialogue, des représentants de l’institution militaire devraient en faire partie», poursuit cette formation, selon laquelle «les négociations devraient concerner la loi électorale, la loi sur les partis politiques et les associations ainsi que celle régissant les médias. Enfin, la mise en place d’une commission indépendante qui aura la haute main sur l’ensemble du processus électoral restera la pierre angulaire pour un nouveau régime».

Jil Jadid appelle ainsi l’ensemble de la société politique à unifier ses propositions face au pouvoir. Une synthèse intelligente des deux propositions majoritaires au sein de l’opposition, qui semblent a priori contradictoires, peut apporter cohésion et efficacité aux revendications du peuple. Pour ce parti, «une élection législative avec pouvoir constituant peut suivre l’élection présidentielle. A charge pour tous de soutenir le ou les candidats souscrivant officiellement à cette démarche». «Il est vital pour la réussite du dialogue que les Algériens continuent à faire pression sur le pouvoir à travers ses manifestations pacifiques. L’engagement des citoyens est capital», considère Jil Jadid.

M.S.

Comment (36)

    Depassage
    7 juin 2019 - 20 h 33 min

    Est-il sérieux cet homme d’exiger du pouvoir des gages ou prend-il l’administration de l’État algérien pour le pouvoir pour exiger d’elle des gages. S’il n’a aucune idée du pouvoir, vaut mieux pour lui de ne pas faire de la politique. Le pouvoir algérien existe bel et bien et a ses représentants partout au sein de la société algérienne. Il est divisé et manipulé y compris par ce représentant de Jil el jadid. Je ne connais pas la tendance politique précise de cet homme qui m’a l’air d’être un partisan du libéralisme sans oser l’exprimer clairement.

    il est vrai que la bataille pour le pouvoir se tient entre, d’une part, les défenseurs du libéralisme mondial qui sont pour la privatisation des entreprises publiques et l’accaparement de la rente pétrolières par des entrepreneurs* rentiers, vu que face à la concurrence internationale, ils ne peuvent être d’aucun poids à moins d’être les sous-fifres des multinationales et du mondialisme qui commence à prendre de l’eau de toute part comme un bateau qui sombre. Et, d’autre part, les défenseurs d’une économie algérienne intégrant l’initiative privée et les initiatives étatiques pour une économie algérienne au service du peuple Algérien. Si ce n’est pas formuler ainsi par les politiciens algériens, objectivement c’est de cela et uniquement de cela qu’il s’agit. Les mots régime, système. liberté, démocratie et tout le tralala sont de la poudre aux yeux pour tromper le peuple, sans oublier le fait que rares sont ceux qui connaissent leurs sens. Le libéralisme ne s’est jamais soucié de la démocratie dans les pays du tiers monde ou en voie de développement, Il s’arrange très bien avec les dictatures les plus abjectes qu’il met lui-même en place.

    * entrepreneur rentier n’est pas une vue de l’esprit mais une réalité. Il s’agit de tous les entrepreneurs privés qui montent des entreprises avec des intrants non produits en Algérie qui dépassent les 60% à 80% pour cent du produit final, intrants qui ne peuvent être importés qu’en se servant de la rente pétrolière du fait que notre économie hors hydrocarbure n’est pas assez performante et concurrentielle pour apporter un équilibre.

    Anonyme
    6 juin 2019 - 3 h 19 min

    Cet individu « surfe » sur la vague HIRAK, tout simplement. C’est un mystificateur !

      Abderrahmane
      6 juin 2019 - 22 h 09 min

      il ne veut pas surfer dessus, il est partie intégrante de la vague, les écrits, les vidéos, et les arrestations des militants de Jil Jadid des mois durant avant que la vague qu’ils ont initie devienne une déferlante qui ramène des énergumènes comme toi pour t’exprimer n’importe comment.

    GHEDIA A
    5 juin 2019 - 18 h 11 min

    Jil jadid n’a jamais préconisé le dialogue avec le pouvoir actuel, dans les conditions actuelles; avant de dénigrer le chef de ce parti, Soufiane Djilali, il faut d’abord se référer à toutes ses sorties médiatiques. Pour ce parti politique, la première condition avant songer à dialoguer avec qui que ce soit, c’est le départ définitif des 3 B que le Hirak demande avec insistance depuis le début de ce mouvement. La période de transition, pour Jil jadid, est une exigence populaire et une nécessité historique. Nul n’a le droit de transiger là-dessus. Nul n’a le droit de faire des concessions sur cette question éminemment politique. Alors que ceux qui critiquent Jil jadid et son chef charismatique se ravisent. Si tous les hommes politiques algériens étaient comme Soufiane Djilali, intègres, honnêtes et compétents, l’Algérie ne serait pas dans cette situation chaotique.

    Nasser
    5 juin 2019 - 1 h 19 min

    BHL vous manipulera!
    Bien-sûr par le biais de ses amis en Algérie qui vous manipulent déjà!
    Attaquer l’Armée en visant son chef d’état major c’est s’attaquer à l’Instance qui a aidé à arrêter ou à présenter devant la justice ceux que le véritable hirak réclamait!
    Par un tour de passe passe ils ont réussi à vous pousser contre l’Armée !
    Quelle est cette « force » qui peut aider à poursuivre en justice ces « intouchables » si ce n’est l’Armée!
    On vous manipule et vous suivez comme des moutons!
    Trop bête pour voir ça!

      Abderrahmane
      5 juin 2019 - 21 h 28 min

      Il y a vraiment des commentaires débiles. Au lieu de lire’ vous critiquez. Sur le même article, un dit qu’il cède face au Gaid, l’autre qu’il l’attaque, pourtant ce n’est pas écrit en turque. On ne veut pas de semblant de poursuites, on veut une vraie démocratie.

    Anonyme
    5 juin 2019 - 0 h 11 min

    Sofiane Djilali est un vrai homme politique il en a la stature,j espère qu on ne va pas le salir par des propos haineux
    ,il a été courageux avec beaucoup d autres et a été parmi les premiers à sortir contre le quatrième et cinquième mandat de Boutefl
    J espère qu il sera élu pour être notre prochain président de la république….je lui fais confiance pour mettre en place une vraie république démocratique.

    Akli Izourane
    4 juin 2019 - 22 h 41 min

    «Le pouvoir devrait donner des gages de sa bonne volonté».
    Beh pardi ! Et vous, cher Monsieur ? Quel « gage » devriez-vous donner au peuple pour prouver votre « bonne » volonté ? Sinon surfer sur la vague de la RÉVOLUTION DE NOS JEUNES….. mach’Allah ! Vous êtes disqualifié, cher Monsieur. Il ne vous reste plus qu’UNE SEULE alternative : LAISSER LA PLACE AUX JEUNES !!! Est-ce qe vous avez, au moins, compris LE MESSAGE qui vous ait transmis par cette jeune géneration formidable pleine de vie ?

      Abderrahmane
      5 juin 2019 - 21 h 38 min

      …. soit vous etes ignorant, soit vous faites expres. Soufiane Djilali etait deja en place quand les jeunes sont sortis, la vague, il ne veut pas surfer dessus, il est partie intégrante de la vague, les écrits, les vidéos, et les arrestations des militants de Jil Jadid des mois durant avant que la vague qu’ils ont initie devienne une déferlante qui ramène des énergumènes comme toi pour t’exprimer n’importe comment. Les jeunes ont besoin de savoir et de compétences, pour leur avenir, ce qu’il a. Ils ont besoin d’honnêteté, ce que tu n’as pas…

    Anonyme
    4 juin 2019 - 17 h 17 min

    Le pouvoir a donné au moins une douzaine se gages Mr S Djilali :
    il a trainé en justice les agents des  » services de securité » responsables de dépassements comme ceux qui ont envoyé des bombes lacrymogènes dans le tunnel, ou ceux qui ont deshabillé des jf dans un commissariat, ou ceux qui répriment et raflent les manifestants chaque vendredi matin ou bloquent les acces sur alger et a la grande poste, ou ceux qui sont responsables de la mort du jeune Remzi.
    il a libere tout les détenus d’opinions et arreté les responsables de la mort du Dr Fekhar
    il a ordonné l’ouverture des medias au debat contradictoire et a toutes les sensibilités
    Il a ecarté et trainer en justice tout les symboles du système Bouteflika responsables de la corrution et ce sans aucun fovoritisme ou distinction
    Tout cela ne vous suffit-il pas Mr Djilali que vous faut il d’autres?

    Vraie République ou Bazar ?!
    4 juin 2019 - 14 h 08 min

    Bonjour chers internautes et saha Aidkoume

    1/- En fait ,d’une manière plus prosaïque, Sofiane Dlilali veut négocier avec le pouvoir (Gaid) pour qu’il nous donne des engagements afin que tout de suite après l’élection présidentielle on organise les législatives et ce seront les députés élus qui se réuniront en Assemblée Constituante pour changer la Constitution ! Depuis quand Sofiane est devenu aussi naïf et crédule pour croire aux engagements et aux promesses du pouvoir que celui-ci n’a jamais tenu depuis 1962 ? De plus, est-ce que Soufiane ne sait pas que lors de ces élections, les députés majoritaires pourront être les islamistes et adieu une Constitution digne de ce nom comme souhaité par le hirak ? A moins que Sofiane pense que l’islamisme est légitime (politique et religion inséparable) et que si la majorité des députés souhaite une république du type islamique eh bien on doit s’y plier car c’est la démocratie et c’est la volonté populaire. Par ailleurs, si par malheur le Président élu refuse d’aller aux élections rapidement du fait qu’il a des prérogatives énormes que lui donne la Constitution de 2016, il ne restera plus au hirak , à Sofiane et à nous de nous lacérer les joues comme les « femmes pleureuses » dont c’est le métier, car la transition passera à la moulinette. Non, je ne sais pas qui a mélangé les synapses et les neurones du cerveau de Sofiane !

    2/- En ce qui concerne le danger de l’islamisme intégral ou du communisme intégral ou du néolibéralisme intégral ou du régionalisme intégral, beaucoup d’internautes avait déjà proposé au tout début de l’insurrection citoyenne, la nécessité d’établir une « charte de l’éthique politique » à faire signé et qui s’imposera à tous partis politiques anciens ou nouveaux afin qu’ils déclarent solennellement que si ils arrivaient au pouvoir ils respecteront et s’en tiendront à la liberté d’association, la liberté d’opinion, la liberté de conscience, à la liberté de culte, le respect des minorités etc… etc.. , qu’ils se tiendront aux principes de la séparation du politique et du religion, à la séparation du politique et du régionalisme, de la séparation du civil et du militaire. On peut même prévoir d’incorporer ces grands principes dans le serment du Président la main sur le Coran le jour de son investiture ! Ou bien, on veut une vraie RÉPUBLIQUE digne de ce nom qui repose sur sa triptyque amazighité, arabité, islamité ou bien on est pour le bazar et le bricolage encore une fois ! Les citoyens, les militants doivent en parler de ce projet aux cadres et responsables de partis politiques si ils les connaissent ou sont proches d’eux ! Merci à tous et bon courage car le combat du hirak sera long et dur ! Prenez donc des forces durant cette fête vous en aurez besoin et reposez vous bien avec votre familles et vos proches autour de makroutes, du café et du thé pour mieux reprendre le combat !

      Même Ali Belhadj
      5 juin 2019 - 11 h 50 min

      @vraie république ou bazar , si on applique ces principes énumérés, si on les prend vraiment en considération même Ali Belhadj peut être accepté comme Président de la république sans aucun problème.

    samir
    4 juin 2019 - 7 h 17 min

    au moins ce monsieur ,propose des solutions ,proposer vous aussi au lieu de dénigrer ,à moins que certains veulent déstabiliser le pays

    Nasser
    4 juin 2019 - 2 h 23 min

    A PROPOS du dialogue et la responsabilité constitutionnelle de l’Armée!
    —–
    Réunir des personnalités politiques (pour le dialogue) en leur nom oui c’est logique ! Au nom de leur parti, non ! Ils sont tous rejetés par le Hirak!
    S l’on accepte les partis, il faudra alors « démocratiquement » accepter « tous » les partis agréés sans exception, y compris le FLN, le RND et d’autres…
    C’est la participation de tous les partis sinon aucun !
    En réalité, les partis politiques actuels ne représentent, actuellement, que leur direction et quelques militants. En aucun cas le « Hirak », encore moins le peuple !
    Comme le peuple semble les rejeter « Tous » (ils le savent, d’où leur refus d’aller aux élections) alors c’est tous les partis !
    Chaque parti délègue sa/ses « personnalité (s) », la même chose pour les universitaires, les avocats, les juristes et autres associations de métiers ou sociales !
    C’est, à notre sens, la dernière solution pour sortir, constitutionnellement, de l’impasse, sinon l’Armée doit prendre ses responsabilités constitutionnelles en matière de sécurité nationale !
    Ce sera alors celle d’une transition démocratique, imposée par l’Armée, d’au moins deux ans, durant laquelle, entre autres, les partis doivent être dissous pour réapparaître selon de nouvelles règles et de nouvelles appellations !

      Abderrahmane
      5 juin 2019 - 21 h 45 min

      Ridicule.
      On ne peut comparer par exemple, un parti comme celui de Sahli, avec un parti comme Jil Jadid. On ne peut comparer les militants qui entourent Soufiane Djilali, avec ceux qui traînent avec Ghoul ou Benyounes.
      On ne peut tous les dissoudre et remettre le bon et le mauvais, au même tire, ardoise effacée. Il faut laisser les citoyens se positionner par rapport au passe des propres et des crasseux.

    Pitchou pitcha
    3 juin 2019 - 23 h 30 min

    Il y a ici des commentaires « commandités » ou de mauvaise foi. Mr Djiali est l’un des rares à avoir eu le courage de s’opposer à ce régime depuis toujours. La constance de ses positions sont irrécusables. Le seul à avoir un projet de société cohérent et un vrai programme. Jil Jadid est le parti qui a formé le plus de jeune que nous voyons sur toutes les télévisions. Malheureusement, il y a ici des gens sans honneur, qui attaquent les hommes engagés en étant eux derrière leur clavier comme savent le faire les lâches. Au lieu de discuter les propositions, les évaluer, les critiquer honnêtement, ils ne savent faire que dans l’invective. Des minus, qui n’existent pas dans la vie, inconsistant et incultes et qui viennent jeter leur venin sur ceux qui font bouger les lignes.

    Citoyen Dz
    3 juin 2019 - 22 h 57 min

    tout d’abord il faut feliciter le hirak , le rcd , jil jadid , ffs , les « personnalites  » etc pour leurs intelligence et perspicacité politique , c’est grace a eux que bensalah va se taper encore un autre trimestre comme president de la republique , meme dans ses reves les plus fous il ne l’aurait imaginé ! Et s’ils continuent comme ca avec leurs enfantillages , bensalah risque d’avoir tout un mandat !
    Saha aidkoum .

      AnONyme
      5 juin 2019 - 16 h 15 min

      Honte à toi d’associer l’ami du sioniste BHL et le parti de l’insurrection armée de 1964 puis deorganisateur de Dant’Egido. Pourquoi pas féliciter alors M’henni qui a appelé à constituer des milices et à prendre les armes « pour « libérer la Kabylie »

      Abderrahmane
      5 juin 2019 - 21 h 48 min

      N’importe quoi. Tu aurais préféré Bouteflika peut être.

    lhadi
    3 juin 2019 - 22 h 09 min

    Je ne connais que deux catégories d’algériens, ceux qui font leur devoir et ceux qui ne le font pas.

    Primauté des devoirs sur les droits. Respect absolu de la loi.

    Tout est dit et éclaire le chemin du modèle de vie en commun que nous devons continuer à bâtir pour être fort dans ce monde de globalisation politiquement et économiquement injuste.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      AnonyMousse
      4 juin 2019 - 22 h 39 min

      Monsieur Lhadi
      Vous arrive-t-il de lire l’intégralité d’un article avant de poster vos proses?
      Parfois vos commentaires tombent comme un cheveu dans la chorba : Aucun rapport avec le sujet traité.
      A force de vous lire, je ne sais plus si le bâton que vous tenez par le milieu s’est cassé, tordu ou usé de vieillesse.
      Jamais pour, jamais contre, toujours entre les deux ou les deux à la fois.
      Cordialement.

      MELLO
      5 juin 2019 - 16 h 19 min

      Les devoirs doivent comprendre des exercices et des problèmes . Soit on a les solutions et les droits sont acquis , soit on recale et les devoirs sont reportes , de meme que les droits. Les gages de ces gouvernants n’ont aucune valeur , ni politique, ni juridique, ni constitutionnelle , encore moins morale.
      Au final, meme si les droits sont garantis par la constitution, ils n’ont de valeur que les mots.

    GHEDIA Aziz
    3 juin 2019 - 22 h 08 min

    Les cachiriste sont lâchés. Ils viennent polluer AP avec leurs commentaires sans consistance politique. On critique un homme politique qui essaie d’apporter des solutions et qui fait de bonnes propositions pour la sortie de la crise au lieu de dénoncer les ex partisans du 5e mandat et ceux qui veulent t imposer au peuple algérien leur feuille de route.

    Anonyme
    3 juin 2019 - 19 h 42 min

    jil jadid complice du pouvoir il soutien les voleurs les escrocs les corrompus et toute la racaille,jil jadid DÉGAGE

      Abderrahmane
      5 juin 2019 - 21 h 52 min

      En fait, tu mens et puis c’est tout.

    57
    3 juin 2019 - 19 h 36 min

    LE PEUPLE NE VEUT PAS DE GAGE DU POUVOIR ON VEUT QU IL DÉGAGE  » PAS DE GAGE QU IL DÉGAGE » « PAS DE GAGE QU IL DÉGAGE »

      Abderrahmane
      5 juin 2019 - 21 h 55 min

      Un slogan, même quand il rime et qu’il exprime le vœux de la majorité, peut sonner creux, quand il n’est pas accompagne par une démarche raisonnée et rigoureuse.

    Il faut bien....
    3 juin 2019 - 19 h 04 min

    @Algerian, il faut bien arrivé a un moment pour trouver une solution, commencer a se rencontrer, puis discuter, puis négocier puis négocier afin un fine trouver un consensus ! Non? Si a chaque fois qu’une tête émerge, on lui coupe la tête, on s’en sortira pas. Il ne faut pas avoir des positions extrêmes. A défaut préconises tu une guerre civile? Se battre contre notre armée ? Allons bon, un peu de bon sens, du recul et de la rationalité.

    La carrure d'un homme d'Etat
    3 juin 2019 - 15 h 45 min

    Ce Monsieur a une colonne vertébrale politique. Il est consistant, cohérent, force de proposition, claire, opiniâtre, de la graine d’homme d’Etat. De surcroît démocrate, patriote et républicain qui ne fait pas dans la médiocrité, le régionalisme, le populisme, la surenchère, j’aimerais le voir se présenter à la prochaine élection présidentielle. Bravo Mr Jil Jadid, il a de l’espoir dans ce pays avec des personnes de votre trempe et une jeunesse dynamique, créative, intelligente, mobilisé. L’optimisme est permis et peut être l’espérance au bout du tunnel.

      algerian
      3 juin 2019 - 16 h 36 min

      Tu parles de colonne vertebrale!
      Hier il defendait le Hirak, aujour’hui il veut s’asseoir a la table des negociations pour negocier une feuille de route aux conditions de Gaid Salah. C’est une girouette sans consistance, sans epaisseur, sans vision et sans profendeur s’analyses, toujours dans les banalites!

      Il fallait voir les tetes de Younsi et Benchenouf, hier sur El Magharebia, lorsque ce zigoto s’est mis a leur chanter la nouvelle feuille de route qu’ont lui ont dicte ses maitres!

        Sadral
        3 juin 2019 - 21 h 28 min

        Yakhi Debanna, apparemment mazal Shab El Cachir

      Algérois
      3 juin 2019 - 18 h 48 min

      Vous pouvez garder votre poulain élevé dans les ambassades étrangers et la chaîne al maroukia de Londres.

      Les frontière resterons fermé jusqu’à la fin des temps

    Anonyme
    3 juin 2019 - 15 h 36 min

    Cette constitution a tellement été malmenée, écrasée, outrepassé, à tel point qu’il est préférable de ne plus en avoir ou revenir au droit coutumier. Je même les républiques bananieres ne peuvent faire pire.

      YAGOOL
      5 juin 2019 - 18 h 56 min

      Des propositions intéressantes qui peuvent aboutir à un début de solution pour éviter un vide institutionnel.

    Algérois
    3 juin 2019 - 15 h 32 min

    Ce personnage et son parti n’ont aucune légitimité, il passe le plus claire de son temps dans les ambassades étrangers et les ONG, aller savoir de quoi ils parlent et pour quel agenda.
    Ceux qui le soutienne son soi naïf et des activistes de sa cause.

    Bon vent.

      G A
      4 juin 2019 - 20 h 51 min

      Algérois, il ne faut pas dire n’importe quoi. Savez-vous que c’est bien Soufiane Djilali et le mouvement « Mouwatana » qu’il a créé en collaboration avec d’autres personnalités politiques qui sont pratiquement à l’origine du Hirak ? Savez-vous que depuis le 22 février Soufiane Djilali et son parti politique Jil jadid n’ont jamais raté une marche au niveau d’Alger et qu’ils ont toujours été bien accueillis par les manifestants. Savez-vous que Soufiane Djilali a été le premier homme politique algérien à faire des propositions pour la sortie de la crise et cela bien avant que l’ex Président A Bouteflika ne soit forcé par AGS à la démission ? Alors ne soyez pas stupide, ne dites pas n’importe quoi. A VOTRE PLACE, je préférerais me taire.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.