Trois nouvelles organisations syndicales enregistrées au ministère du Travail

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Ministère du Travail. New Press

Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale a délivré, dimanche, les récépissés d’enregistrement à trois nouvelles organisations syndicales, indique un communiqué de ce ministère. Il s’agit de l’organisation nationale des administrateurs immobiliers, du syndicat national autonome des travailleurs de Mobilis et du syndicat national autonome des travailleurs de nettoiement et d’assainissement.

Cette opération s’inscrit dans le cadre du traitement et de l’actualisation des demandes d’enregistrement des organisations syndicales de travailleurs et d’employeurs et du suivi des décisions issues de la réunion du gouvernement tenue le 3 avril dernier concernant l’examen des dossiers de demande de constitution en syndicats, conformément aux dispositions de la loi 90-14 du 02 juin 1990, modifiée et complétée, relative à l’exercice du droit syndical.

Le ministère du Travail rappelle que ses services sont à la disposition des représentants des organisations syndicales de travailleurs et d’employeurs pour répondre à leurs préoccupations.

R. N.

Comment (2)

    Bof
    3 juin 2019 - 19 h 42 min

    Et le Syndicat de la 3issaba, il sera aussi agréé?

    Anonimaoui
    3 juin 2019 - 17 h 04 min

    Avec la crise économique endémique qui caractérise le régime de gouvernance en place, régime doté de capacités de corruption et de manipulation sociale soutenues par la rente pétrolière, ces autorisations données à des syndicats sortis du néant comme la nuée de candidatures à la présidentielle visent à compliquer et rendre inefficace le vrai travail syndical dans un environnement concurrentiel très hostile aux intérêts élémentaires du monde ouvrier. A cette cadence de régression du tissu industriel national et l’affaiblissement constant de l’économie, bientôt il y aura plus de syndicats que d’ouvriers. Pendant ce temps le démolisseur du secteur public, Sidhoum Saïd, coule des jours heureux en gérant ses biens ici et là bas, biens mal acquis pour services rendus au système criminel instauré par la bande à Saïd sous la couverture du grand frère et ses vieux compagnons de route.

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