Décès du directeur du Soir d’Algérie, Fouad Boughanem

juin 5, 2019 - 1:46 La rédaction 8 Commentaires

Décès du directeur du Soir d'Algérie

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition de notre ami et confrère Fouad Boughanem, directeur du Soir d’Algérie, décédé ce mercredi suite à une longue maladie.

L’enterrement aura lieu après la prière d’El-Asr au cimetière de Dély Ibrahim.

La direction et le collectif d’Algeriepatriotique présentent leurs condoléances les plus sincères à la famille du défunt ainsi qu’à nos confrères du Soir d’Algérie, en les assurant de toute notre sympathie en ces moments douloureux.

Que Dieu Tout-Puissant accueille le défunt en Son Vaste Paradis.

Tags:

Comment (8)

Hommage au pionnier de la liberté de la presse

6 juin 2019 - 18 h 04 min

: إنا لله وإليه راجعو
Le fondateur de ce quotidien, M. Zoubir Soulci, au début de la liberté de la presse et de la décennie noire, se débattait dans des problèmes presque insurmontables pour faire paraître son journal, ses confrères disaient de lui affectueusement :
=== « quand il a pas de SOUICI, il pousse UN GRAND ZOUBIR » ===
Le présent patron, lui, en rendant son dernier « zoubir », peut partir sans « souici » : l’Algérie vaincra ses démons séparatistes qui ont permis au système de se perpétuer et le pays verra s’instaurer la 2è République algérienne unifiée, démocratique, musulmane si consacrera la fraternité entre tous ses enfants sans distinction d’origine. Inch Allah.
Allah yahamek ya si Boughanem.

Répondre

Abou Stroff

6 juin 2019 - 16 h 37 min

rabbi yarhmou wa iwassa3 3lih

Répondre

Bof

5 juin 2019 - 16 h 30 min

Le Soir d’Algérie a payé un lourd tribu suite à l’attentat du 11 février 1996 qui a tué plusieurs journalistes et employés du Journal.
Les islamistes criminels doivent se souvenir de ce massacre.
Ceux qui les défendent aujourd’hui aussi.

Répondre

Argentroi

5 juin 2019 - 19 h 11 min

@ Bof, les criminels d’hier viennent ici même sur AP soutenir que ce n’est pas eux qui assassinaient, dynamitaient les écoles et les mairies, brûler les bus, massacraient des villages entiers et imposaient la terreur partout. Les gens se terraient chez eux avant la tombée de la nuit, mettaient leur télévision en sourdine, fermaient leur volets pour qu’un aucun filet de lumière ne passe, d’autres éteignaient carrément la lumière. On les voyait, on les connaissait ces tueurs qui ont été des années embrigadés, formés dans les mosquées dont les haut-parleurs crachaient à longueur de journée leur idéologie mortifère sanguinaire.
Trente après, les séquelles de cette terreur sont encore là puisqu’on lit dans beaucoup de posts que les véritables commanditaires sont à chercher ailleurs : c’est la réaction de la victime potentielle qui, par terreur, au lieu de désigner son assassin potentiel en désigne un autre ! Une catharsis libératrice s’impose donc pour ceux-là !

Répondre

Lahouaria

5 juin 2019 - 16 h 25 min

Allah Yarhmeh wessa3 Elih, Sincères condoléances à sa famille et ses collègues

Répondre

Antisioniste

5 juin 2019 - 15 h 24 min

Allah yarhmou mes condoléances à sa famille

Répondre

Anonimaoui

5 juin 2019 - 14 h 33 min

Toutes mes condoléances à la famille du défunt et à la corporation des journalistes algériens. Une grande perte pour la presse écrite nationale, surtout en ces moments déterminants pour l’avenir du pays où ses idées et avis sont un plus vers le changement.

Répondre

Anonyme

5 juin 2019 - 13 h 54 min

Un grand journaliste directeur d’un grand journal francophone d’avant garde.Paix pour son âme et toutes mes sincères condoléances à sa famille et à la Presse algérienne.

Répondre