Conférence du dialogue : appels à la libération des détenus et au départ de Bedoui

juillet 6, 2019 - 5:51 La rédaction 31 Commentaires

A l'ouverture des travaux de la conférence nationale du dialogue. PPAgency

Par Mounir Serrai – La conférence du dialogue, qui s’est ouverte aujourd’hui à Alger, a été marquée par l’absence de plusieurs partis et personnalités. En effet, aucun des sept partis de l’alternative démocratique n’a participé à cette conférence et plusieurs personnalités nationales, bien qu’invitées et attendues, n’ont pas figuré parmi les présents. Il s’agit, entre autres, de Mouloud Hamrouche, Ahmed Taleb Ibrahim, Abdderrahmane Hadj Nacer et Ahmed Benbitour.

Ainsi donc, cette conférence est dominée par le pôle des forces du changement, un regroupement de partis créé en 2014 pour soutenir la candidature d’Ali Benflis à la présidentielle de l’époque. A ces partis se greffent ceux de la mouvance islamiste, à l’instar du parti d’Abdellah Djaballah et de Abderrezak Mokri.

Plusieurs intervenants lors de cette conférence, qui vise à établir une feuille de route commune de sortie de crise, posent comme préalable au dialogue sur comment organiser la présidentielle des mesures d’apaisement telles que la libération de tous les détenus politiques et moudjahidine mis en prison depuis le début du hirak, le 22 février dernier. Ils exigent aussi la levée de toute forme de pression, d’intimidation ou d’injonction sur les médias, qu’ils soient publics ou privés.

Des participants ont souligné dans cde sillage l’impératif de lever toutes les restrictions sur l’activité partisane et toutes les pressions sur les manifestations de rue.

Autre condition posée par plusieurs participants : le départ du Premier ministre, Nourreddine Bedoui, qu’ils considèrent comme pas du tout fiable et la nomination à sa place et à la place, notamment, du ministre de l’Intérieur de personnalités crédibles.

La conférence va être clôturée par une déclaration finale qui comportera tous ces points.

M. S.

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Comment (31)

Algerian

8 juillet 2019 - 4 h 22 min

Des voyous appellent a libérer des voyous.
Chercher l erreur?

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Yes

7 juillet 2019 - 23 h 09 min

Déçu par rahabi que je croyais plus offensif. On n’a pas à demander des mesures d’apaisement,on demande et exige la libération immédiate de c détenus mis en prison sans aucun motif valable. Et pour que ça ne reproduise pas ,il fzut liberer les juges du csm. Il faut changer tous les juges et faire élire de nouveaux par leurs pairs et par les avocats de leur circonscription. Ainsi on aura des juges qui obéissent à la loi.
Il faut exiger ouverture des télés aux critiques et libertés d’expression. Créer une chaîne de l’opposition, où chacun pourra s’exprimer librement. Supprimer ou préciser c articles de lois fourre-tout :atteinte à ceci,atteinte à celà, tellement vagues qu’on peut accuser n’importe qui qui critique.
Voilà du concret,et pas des généralités. Avec c conditions,justice libre,information libre ,les abus seront dénoncés publiquement.

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chat

7 juillet 2019 - 18 h 28 min

Les Algériens comme tout bon sunnite veulent les islamistes, alors pourquoi ne pas leur donner se qu’il veulent, ils auront Mokri comme président et Benflis comme 1er ministre ou l’inverse(bonnet blanc, blanc bonnet), Naima Salhi aura le ministere de l’éducation et de la coiffure, Ali Ben hadje ministre des affaires religieuse et de la viande halal, Brahimi comme ministre des affaires étrangère et de la gomina, Chouchane commie ministre des Armées et de la décapitation, et Salah Assad comme ministre des sports et du ghoraf,
au mieux dans 20ans l’Algérie sera un exemple de réussite économique avec 300 milliards de dollards dettes comme la Turquie et toujours avec les même au pouvoir……….. au pire l’Algérie sera une khilafa ressemblant à l’Afghanistan pour les 500 ans avenir, jusqu’à l’arrivé du fameux sauveur el mehdi el mountadar qui ne sera ni plus ni moins que MAD MAX

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El gtota wel klab

7 juillet 2019 - 19 h 25 min

Hhhhhhh tu m as tué

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Ali

9 juillet 2019 - 6 h 54 min

Ah oui on appelle maintenant les voleurs et tous ceux qui ont dilapidé l’argent des algériens prisonniers politiques. C’ est des criminels ni plus ni moins et ceux qui les défendent maintenant tel Ali ben Flis sont des criminels

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Digage!

7 juillet 2019 - 12 h 18 min

C’est Gaid Salah qui donne des ordres à la police pour matraquer et emprisonner les manifestants.
Et ils demandent le départ de Bedoui.
Vas comprendre !

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Bof

7 juillet 2019 - 10 h 02 min

Je suis perplexe sur la présence de Rahabi dans ce magma islamo-cachiriste.
Sa place est dans le pôle Démocrate.
Enfin, je le pensais.
A voir la facilité de l’octroi de la salle, on devine bien que c’est « encouragé » en sous-main.
Car le pôle Démocrate a essuyé des refus pour une simple salle et s’est retrouvé obligé de se réunir dans les locaux du rcd.
Des hypothèses circulent sur un probable « consensus » sur Mokri ou Benflis en tant que futur candidat de Gaid Salah. Ceci explique leur timidité face à la repression et leurs appels incessants au « dialogue ».

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MELLO

7 juillet 2019 - 13 h 29 min

Un consensus militaro- islamo-conservateur , se dessine pour demain . Quant aux démocrates , ils ne peuvent lacher de leurs principes sur un ETAT DE DROIT. On ne négocie pas ce principe .
La plate forme du 25 Juin 2019 est pourtant très claire et signée par tous les participants sauf ce Benflis qui était absent , et hier , il était présent . Un loup dans la bergerie ?.

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Kar

9 juillet 2019 - 0 h 23 min

Rahabi fait parti du clan Benflis ya akhi. Benflis rêve de prendre el koursi.

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@Athamna Ssebti et Azdai

7 juillet 2019 - 9 h 45 min

Pour arriver à un résultat il faut d’abord accepter de se réunir / rencontrer puis discuter, mettre toutes les options sur la table, ensuite essayer de rapprocher les points de vue pour arriver à un consensus / compromis puis formaliser une feuille de route. Pour finir par mettre l’EM en face de ses responsabilités en lui soumettant cette phase de transition pour une élection ouverte, transparente et démocratique, charge au prochain Président d’ouvrir le débat sur les amendements qu’il faut pour améliorer la Constitution. Je voudrais juste rappeler que la Constitution Algérienne n’est pas si mal que cela sur le papier, le problème en Algérie n’est pas la Constitution mais le fait qu’elle n’a jamais été appliquée voir toujours violée comme toutes les lois d’ailleurs Les 2 axes qui pourrait encore évoluer sont la religion à sortir de la constitution mais je doute que cela arrive à court terme et l’abrogation du code de la famille. Sachant que Tamazigh est langue Nationale et Officielle, cet aspect n’a plus à être rajoutée maintenant c’est une question de moyen de son développement. Si les partis dits « démocrates » n’accepte même pas le fait de discuter (dans ce cas ils galvaudent le mot démocrate!), il ne font pas entendre leurs voix, ne pèseront rien, resterons sur le quai de la gare quand le train partira car il va partir, ils disparaîtront du paysage politique. La situation économique vas de mal en pis, le temps presse, le chaos peut être la finalité si on n’avance pas sur nos 2 jambes: Politique et Economique!

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MELLO

7 juillet 2019 - 13 h 49 min

Les gouttes de pluie sont bien trop grosses pour ne pas se mouiller. Il existe , tout de même , un fond et non une forme. Ce fond est exprimé par la rue , une rue qui analyse, qui s’exprime et qui tient a son expression .
L’expression d’un Etat de droit , l’expression d’une liberte individuelle et …. collective.
Depuis le 25 Juin 2019 , une manoeuvre digne d’un laboratoire de recherche, a eu un effet dévastateur en faisant reculer tout ce beau monde du fouroum, de la plateforme signée par tous les participants , les démocrates y compris. Pourtant Ce sont ces memes démocrates qui avaient tenu a ce que Rahabi soit le porte parole. Au final , des interférences sont venues pilonner le groupe .
Qu’on le veuille ou pas , une période de transition est indispensable pour penser a un changement et a une nouvelle Algérie, sinon….

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Athamna Ssebti

7 juillet 2019 - 16 h 43 min

@@Athamna Ssebti et Azday,
Quand on invite quelqu’un aux consultations et à une conférence et tu lui imposes un ordre du jour indiscutable, non sujet à l’amélioration ou au rajout d’un point, on est dans le stalinisme, on est dans les mêmes pratiques du pouvoir en place depuis 1962. Cela n’étonne pas car hormis Sofiane Djillali, les autres n’ont pas acquis les habitudes des conférences ou réunions où la démocratie et la liberté d’expression sont maîtres-mots. Un vrai démocrate ne peut cautionner un ordre du jour et des résultats joués à l’avance pour plaire aux décideurs du moment. Donc les partis et personnalités qui ne sont pas venues ont leurs raisons. Quant à la disparition de ces partis dont tu parles, cela démontre que toi aussi tu n’as rien à voir avec la démocratie, car le vrai choux revient au peuple dans une vraie démocratie et le peuple ne pourra pas disparaître tant qu’il y aura des gens qui défendent leurs droits. Le peuple change de camp à chaque foue qu’il voit qu’il a été floué. Maintenant, il n’y a qu’à voir sur le terrain qui sont les personnalités et les partis qui sont traités de connivence avec le pouvoir. Le combat pour les droits et libertés sous toutes leurs formes est long, très long et jalonné d’embûches, de coups bas, de traîtrise, de changement de vestes, mais les peuples finissent toujours par distinguer le bon grain de l’ivraie et le peuple algérien a grandi et mûri pour se frayer un bon chemin dans sa quête des libertés sous toutes les formes. On peut tromper un peuple un temps, on peut tromper un peuple quelques temps, mais on ne pourra jamais tromper un peuple tout le temps. Que les islamo-conservateurs prennent acte.

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Prétextes complaisants.

7 juillet 2019 - 8 h 35 min

Ya Rahabi, l’objectif prioritaire et primordial c’est yetnahaou ga3. D’abord et avant tout. Donc commencer par le principal clou de la planche: Gaîd Salah. Bedoui et Bensalah ne sont absolument pas des entraves ou des obstacles, ils se sont neutralisés d’eux-mêmes. Ces deux serpents n’ont plus leurs venins. Ils tomberont d’eux-mêmes comme des feuilles mortes. Il y a erreur sur les cibles. C’est Gaid Salah qui est le noyau central de l’atome radio-actif. C’est lui la dernière pièce de la colonne vertébrale du malheur qui frappe l’Algérie depuis 1962. S’il reste une autre sera placée dessus et continuera l’étranglement du pays. Elle doit s’effondrer et laisser le pays se construire comme il veut, comme il sait et comme il peut. Une armée c’est fait pour défendre un pays et non pour détruire ce pays. La police et la gendarmerie ne sont que des militaires déguisés avec une autre tenue. Tous les trois sont des institutions répressives au service des dictateurs, des voleurs du peuple.

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Ali

7 juillet 2019 - 6 h 01 min

Remettre les compteurs à zéro :
-pour tous les détenus moudjahidines .
– les détenus politiques
-les détenus d opinion
– les manifestants sans exception
– Demàtelement de la police politique , fin de mission.
– là ré appropriation de l espace publique par le peuple
– la non ingérence de l Armée
– Le retour inconditionnel de l Armée dans les casernes .
– la démission de tous le gouvernement .
À partir de la :
Toys les espaces peuvent eyrie les centers de decision.
Une conférence à la coupole avec tous les participants du peuple accompagnés des sages de la nation , représentés par toutes les politiques intègres et patriotes pour la désignation d un gouvernement provisoire .
L intérieur doit primer sur l extérieur .
Le civil sur le militaire.
Nous avons notre Élite dans nos universités , c est elle qui relèvera le défi , le plus ancien syndicat des étudiants c est USTHB.
Ceux qui subissent le système peuvent l annihiler .
A vous les jeunes :
L Avenir c est Vous , vous êtes le levier de toute l Afrique!
Gloire à nos Martyres !
Vive Notre Jeunesse!
Vive l Algerie!
–

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Anonyme

7 juillet 2019 - 8 h 54 min

En l’état, le pouvoir de la justice
doit rester indépendant.
Seule les magistrats sont
dépositaires des décisions
de chaques dossiers.
Le pouvoir de la justice doit
être renforcée.
Le pouvoir politique, doit
respecter l’ indépendance du
pouvoir de la justice.
Confiance dans la loi de
la République.
Fini la République
bannanière.

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Athamna Ssebti

7 juillet 2019 - 17 h 01 min

Mais ce que le monde qui veut des élections présidentielles ne comprend pas, c’est que la justice n’est pas indépendante actuellement, elle fonctionne encore par téléphone. Mellouk avait raison car il y a beaucoup de magistrats faussaires! Le but c’est quels sont les mécanismes à mettre en place à court terme pour que cette justice soit indépendante pour permettre ensuite d’organiser des élections. Si la justice était indépendante, comment expliquer que durant 4 mois que des algériens manifestent avec les drapeaux culturels qui affirment leur attachement à Tamazgha et personne ne les a arrêtés ni a fouillé les femmes, et soudain les manifestants se retrouvent devant ces magistrats? Si la justice était indépendante pourquoi un manifestant avec un drapeau qui est brandi depuis plus de 30 ans dans les marchés, dans les stades, est accusé d’atteinte à l’unité nationale alors que Naima Salhi qui n’arrête pas de vomir son racisme qui pousse à la violence, Naima Salhi qui applaudissait et jubilait à chaque fois qu’un militaire tombait sous les balles des islamistes , jouit encore en toute liberté de sa grosse paie de de-putee. Comment peut-on expliquer que certains des oligarques( ils le méritent en passant) qui essoraient les banques algériennes, sont tombés et d’autres sont encore en cabale ou à l’étranger car protégés quelque part! Peut-on organiser une élection libre dans ces conditions?

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A-LA-SOUDANAISE

7 juillet 2019 - 0 h 20 min

Des élections à la soudanaise où les militaires ont fait alliance avec les islamistes. Mais l’armée a oublié la célèbre phrase des islamistes: addimoqratiyya wassila laysat ghaya pour leur république islamique. La démocratie est un moyen d’arriver au pouvoir pas une finalité. En s’alliant avec les islamistes, Benflis a trahit ceux qui lui avaient fait confiance en 2004. On s’en souviendra. Même la France est favorable à cette solution, france24 n’a montré et n’a interviewé que les participants d’obédience islamiste. Car c’est eux qui vont leur permettre enfin d’avoir les actifs d’Anadarco pour avoir 35% du pétrole algérien et se positionner en force pour casser les prix de l’OPEP. Vite, il nous faudra un chef de l’armée jeune, intellectuel et démocrate et qui n’a jamais oublié ceux qui se sont rangés avec l’ANP pour battre l’hydre islamiste, et surtout pas tous les militaires martyrs morts en service commandé.

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El Vérité

6 juillet 2019 - 22 h 55 min

Les funérailles grandiose et le défunt est une souris,encore du cinéma amateur ou les réalisateurs sont toujours les mèmes depuis soi-disant l’indépendance confisquée par des traitres corrompus;j’y suis j’y reste;je vois mal des profiteurs professionnel dire ça suffit,un profiteur reste profiteur toute son existence,alors ne baissons pas nos gardes est continue le combat jusqu’a la victoire totale,voir Mr Djabballah l’opportuniste comme donneur de leçons et initiateur de la nouvelle république,sa donne le vertige,le dégout,

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Chibl

6 juillet 2019 - 21 h 44 min

BEN BLIS est le cheval de troie de ce forum, c’est un agent de la dictature.

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Sarsour

6 juillet 2019 - 21 h 26 min

Rien ne bougera .
Vous pouvez dormir tranquillement c’est nôtre pays.
Vous êtes naïfs.
Il lacheront jamais .
Un dictateur restera un dictateur. Courage ce n’est pas demain la veille

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La politique de la chaise vide est malsaine

6 juillet 2019 - 20 h 54 min

Je vois des posts hurlant par le fait que les Islamistes sont présent à cette conférence mais on ne peut pas les blâmer.Ils font de la politique. Ils occupent l’espace pour défendre leurs revendications, leurs projets . Ceux qu’il faut blâmer sont les partis appelés à tord démocratique, qui ne voient la démocratie que de leurs points de vues. Mais quand il faut appliquer cette démocratie en instaurant, un débat qui n’engage nullement l’avenir, mais juste de sortir avec un mode opératoire, peser et de mettre un projet transitoire en face de l’institution militaire pour aller vers des élections présidentielles . La politique de la chaise vide n’a jamais été efficace et ces partis risquent malheureusement de disparaître du paysage politique. La Constituante qui peut être le vrai clivage est un piège pour notre pays car nous risquons d’aller vers des débats pour des décennies qui profiteront à tout nos ennemis de l’intérieur et de l’extérieur. Le pays alors serait vulnérable par son instabilité.

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Athamna Ssebti

7 juillet 2019 - 6 h 48 min

Ceux qui ne sont pas venus, ils l’ont fait car quand tu proposes un ordre du jour non ajustable et tu exclues d’emblée l’idée de parler d’une constituante, de la démocratie et tu limites l’ordre du jour aux présidentielles, c’est qu’il ya anguille sous roche. Juste à voir les têtes de la plupart d’entre ces participants baissées, cela veut dire qu’ils sont là pour obéir,sinon on leur sortira leurs dossiers de quotas de deputes et leurs affaires en usant de leurs positions politiques.

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Azdai

7 juillet 2019 - 8 h 19 min

Quand on voit avec quelle difficulté les démocrates peinent à trouver un espace d’expression et de réunion, et avec quelle facilité on octroie des salles, des espaces de réunion à ces islamistes, en plus des supports standards mis à leur disposition (écoles, mosquée etc…)

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MELLO

7 juillet 2019 - 10 h 15 min

Il y a bien eu une réunion entre tout ce beau monde et tous les partis DEMOCRATES. Il y a eu une plate forme commune signée par tous les participants !
Alors pourquoi, ces parties et partis ont exclu du projet tout ce qui a été ecrit et co-signé la dernière fois ?.
C’est de la trahison a haute voltige.

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L' islamisme un moyen colonial

6 juillet 2019 - 19 h 03 min

Ridicule. Le régime déploie ses agents pour conditionner le contexte. L’ arabisme et l’ islamisme sont les patrons de la symbolique politique identitaire, alors que les berbères sont minorisés. Grâce au FFS et au RCD ont doit montrer patte – Blanche aux islamistes et baathith.

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Patriote

7 juillet 2019 - 0 h 22 min

@L’ Islamisme Un Moyen Colonial
6 juillet 2019 – 19 h 03 min
Grâce au FFS et au RCD ont doit montrer patte –
Blanche aux islamistes et baathith.

Chiche montre nous tes biceps
Vous n’êtes que des pies bavardes
Personne n’éradiquera l’islam de cette terre sois en sur et certain
Cause tjrs

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Athamnia ssebti

7 juillet 2019 - 6 h 58 min

@patriote du Khorti
Personne n’a parlé d’éradiquer l’islam, pour quoi tu essaie de semer la zizanie? L’éradication de l’islamisme politique oui, mais je sais que je perds mon temps avec un ignare Cachiriste. Que ton seigneur t’ouvre un peu plus le cœur afin que tu puisses diffuser l’amour, la tolérance même envers tes ennemis. Je comprends maintenant pourquoi les occidentaux redoutent de faire venir chez eux ceux qui viennent des pays dits musulmans alors qu’ils sont des incroyants. Car un vrai croyant aime même son ennemi, même s’il est d’une autre langue ou de religion.

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Vraijustice

6 juillet 2019 - 18 h 28 min

La conférence doit ce faire avec aucun personnage qui a était de près ou de loin en connivance avec cette mafia ils faut des personnes issu du peuple alors à ce moment là il ya un vrai dialogue et avancer

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La photo de djaballah domine dans cette conférence

6 juillet 2019 - 18 h 17 min

Djaballah , abou djerra soltani, mokri etc doivent être en prison et non libres et entrain de jaser dans des conférences, LIBEREZ L’ALGERIE DES ISLAMISTES HYPOCRITES.

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Amirouche

6 juillet 2019 - 20 h 35 min

C’est pas des islamistes ( d’où vient au fait ce nom: c’est les juifs sioniste, et les hypocrites anti-islam qui l’ont inventé. Pourquoi?. : pour detruire les musulmans groupe par groupe pour que la tâche soit facile…).
Ils sont juste des groupes perdues, celui qui les suit sera perdu et il perdra sa religion (la vraie akida), et ils sont qui sont l’outils l’outil facile pour les ennemis (sionistes, kouffars, hypocrites…) qu’ils peuvent manipuler et les manier à leurs guise pour mener Oumma à la dérive… observer les.

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comme si le parti de djaballah et le caméléon mokri sont utiles

6 juillet 2019 - 18 h 14 min

Résultats nuls d’avance de cette conférence, les revendications ne concernent pas entre autres le cœur du sujet de l’actualité algérienne.

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