Le ministre de l’Enseignement supérieur impose une lourde réforme sans débat

Univ Enseignement
L'université algérienne a subi plusieurs réformes en vain. New Press

Par Saïd N. Ce qui s’apparentait, il y a quelques semaines, à un discours populiste du nouveau pouvoir pour compenser son déficit de légitimité commence à se traduire concrètement sur le terrain, sans débats préalables, ni engagement politique sérieux.

Dans une directive du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique adressée à l’ensemble des responsables des établissements universitaires, datée du 21 juillet 2019, le ministre leur enjoint d’utiliser l’anglais à la place du français, dans les bordereaux de leurs correspondances et autres documents officiels (diplômes, bulletins de notes, affichages, courriers…). Ainsi, la langue française disparaîtra totalement de tous les documents officiels émanant des établissements universitaires, puisque les textes seront toujours établis en langue arabe.

Cette première mesure semble s’inspirer du discours «anti-français» brandi par les détenteurs actuels du pouvoir pour tenter de séduire les nouvelles générations, supposées acquises à l’usage de l’anglais en tant que langue d’enseignement à la place du français, que les promoteurs de ce discours s’escriment à présenter comme un legs du colonialisme français ou encore comme «un signe d’aliénation culturelle et civilsationnelle». Un discours qui ne laisse pas indifférents les milieux islamistes qui, eux, n’ont jamais cessé de faire la promotion de l’anglais comme première langue étrangère en Algérie.

Ce processus de «francisation» avait franchi une première étape par l’organisation d’un sondage par Internet sur cette option d’utilisation de l’anglais à l’université. Initié par le ministère de l’Enseignement supérieur, le sondage a révélé que 94% des votants sont favorables à l’utilisation de la langue de Shakespeare à la place de celle de Molière dans l’enseignement supérieur en Algérie.

S. N.

Comment (226)

    karimdz
    24 juillet 2019 - 18 h 41 min

    La première langue étrangère en France est l anglais, soyons plus royalistes que ces béni oui oui complexés et autres néo harkis, nous voulons aussi ce qu il y a de meilleur, l anglais comme langue étrangère.

    Le francais en france, l algérien en Algérie, c est pourtant simple !

    Et c est la volonté du peuple qui met en mode panique ceux qui craignent notre indépendance totale.

      Zina
      24 juillet 2019 - 19 h 54 min

      Soyons logiques !! La première langue étrangère en France ne peut être le français, forcément !!! le parler « algérien » est un dialecte et non pas une langue ! C’est pourtant très simple à comprendre !

    Louza
    24 juillet 2019 - 14 h 48 min

    Un discours et une mesure populiste qui vise à diviser et à casser les manifs des étudiants qui sont sortis régulièrement chaque mardi. Des marches qu’on peut qualifier de poumon de la révolution pacifique dans le pays.
    Dresser francophone,anglophones, et arabophones est dégueulasse,alors que tous les étudiants Algériens ont été, SOUMIS à suivre un parcours scolaire dans les trois langues. Il revient à chacun de ces étudiant de décider de publier un article ou de participer à une conférence dans la langue de son choix,qui est d’ailleurs déjà prédéterminé par la spécialité choisie. Un spécialiste en mécaniques des fluides a le choix de publier en Français ou en Anglais, même s’il faut reconnaitre que le top des conférences se font en langue anglaise aujourd’hui.
    L’apprentissage de la langue française depuis l’avènement de l’arabisation à outrance,a été sciemment saccagée au profit d’une élite. Le Lycée français en Algérie, plus tard reconverti en Lycée International,est une institution réservée aux enfants des diplomates,et à ceux des pontes du régime. Des moyens colossaux ont été fournis pour maintenir les programmes français,grâce à une pédagogie, et une formation de qualité ( 12 élèves par groupe + enseignants de qualité),au détriment de l’école et du lycée publique dont tout le monde connaît les déboires et les désagréments. Pour noyer le poisson, les décideurs ont pensé
    avoir trouvé l’alibi idéal en pointant l’index sur la langue française, comme étant la seule responsable du niveau catastrophique des élèves du lycée, et des étudiants universitaires,alors que tout avait été planifié pour que les enfants, élèves, et étudiants soient dégoûtés par cette langue, via un système éducatif honteux et barbare. Aussi reconnaissons le, l’acquisition de la. langue française est difficile, de part la complexité de sa syntaxe et son orthographe ,mais elle aurait pu être facilement épargnée, et correctement enseignés aux enfants de ce pays, grâce à l’environnement francophone encore existant dans les années 80, au lieu d »en faire des handicapés dans 3 langues.
    In fine, Qu’attendre d’un ministre de l’enseignement supérieur qui regarde de haut un Prix Nobel,ou d’un ministre qui dénigre la langue de Molière?

    MELLO
    24 juillet 2019 - 14 h 45 min

    Le ministre , sinistre, qui a décidé ainsi , ne comprend pas qu’il ne s’agit pas d’avoir un pouvoir sur les autres , se croire au dessus de tous ces recteurs, doyens et autres gestionnaires des universités, mais d’avoir un pouvoir avec les autres. C’est ainsi que l’on pourra agir pour soi et répondre a l’autre librement , sans ces attentes et craintes qui génèrent clivage, soumission , traitrise, révolte et violence. La veritable démocratie nécessite le passage a une communication pacifique pour que chaque personne , enfant , femme , homme , famille , région , peuple exprime ses vrais besoins intérieurs et ses sentiments authentiques .
    Au delà de qui a raison , qui a tord , cette communication se fera sans crainte de punition ou sans espoir de recompense. Personne ne se sentira coupable , rejeté , abandonné ou dominé.
    Dans la tradition Amazighe , ce système dominateur et pervers est représenté par de nombreuses images , tels que le chacal – uchen, l’ogre -awaghzen , lghoul, teriel . Le ministre est il l’un de ces personnages ? . Alors que la totalité des êtres humains se définissent par leur identité nationale et y sont extrêmement attachés , des hommes de l’ombre , oui de l’ombre car ce ministre est issu de nulle part, prennent , sans les consulter , des decisions en total violation de ce que sont les désirs de ces êtres humains , quant au maintien de leur identité , de leur avenir. Aujourd’hui , nous sommes en plein absurdité , eux qui croyaient trouver des grosses gorges prêtes a avaler des couleuvres d’instrumentalisés , eux qui croyaient trouver le peuple dans les mosquées , comme ils ont voulu le façonner, mais sont étonnés de le trouver dans la rue , avec comme slogan «  il y a deux pacifiques – l’ocean et le peuple Algérien ». Rien que pour ce slogan , cela mérite un prix Nobel , n’est ce pas Mr Hadjar , balaye’ par ce slogan.

    Anonimaoui
    24 juillet 2019 - 14 h 02 min

    La langue anglaise, comme toutes les autres langues du monde, n’est pas maitrisable sur simple décision administrative surtout venant d’un illustre inconnu ministre d’un gouvernement illégitime auquel le peuple ne cesse d’exiger le départ. Une décision populiste dans un climat politique perturbé est un crime contre la communauté universitaire si dynamique et si impliquée dans le mouvement du 22 février. Le but de cet acte est claire. C’est créer un point de fixation pour occuper les étudiants et les éloigner de la contestation politique. Car avec cette anglicisation forcée bonjour les dégâts, bonjour les fautes d’orthographe, de syntaxe, de grammaire de traduction et d’interprétation sans parler des difficultés de compréhension sachant qu’une simple erreur de prononciation d’un terme en anglais peut-être catastrophique. La généralisation forcée de la langue arabe est un exemple à méditer par ces apprentis sorciers qui jouent du devenir d’un secteur sensible juste pour faire du populisme et de la récupération de bas étage.

    Anonyme
    24 juillet 2019 - 12 h 39 min

    Quand un vent de folie, jamais vu dans l’histoire de l’humanité, soufflait sur ce pays martyrisé, il y a 29 ans, un prof d’anglais de lycée dont on devinera aisément l’appartenance idéologique, remplaça ( quelle innovation !) le salam aleikoum en arabe par  » peace on you ». Qui sait , ce prof a peut-être été un jour, l’enseignant et le gourou de ce fumeux ministre de l’enseignement supérieur d’aujourd’hui.

    Anonyme
    24 juillet 2019 - 12 h 26 min

    Qui ne PEUT le MOINS ne peut pas le PLUS. Ce gus qui a largement prouvé son incompétence à un niveau inférieur (celui de directeur ) se retrouve coopté à un niveau supérieur, où il sera encore plus incompétent, voire calamiteux, bonjour les dégâts.
    Selon ce gus, qui fait en ce moment beaucoup de bruit ( pour aider el 3issaba à parasiter le mouvement populaire) , il suffit de remplacer le français, par l’anglais dans l’enseignement supérieur pour faire des gens qui maîtrisent moyennement l’arabe, médiocrement le français et catastrophiquement l’anglais, des FORMULES 1 dans la RECHERCHE SCIENTIFIQUE ! Alléluia !

    AGAOUA
    24 juillet 2019 - 9 h 32 min

    L’art de l’autodestruction est né en Algérie et se poursuit imperturbablement.
    Le reniement de soi-même entamé depuis longtemps a mené l’État-nation dans une impasse.
    Honte à nous de ne pas avoir su développer nos propres langues sur la base de nos parlers algeriens la malnommée Daridja et la malmenée Tamazight. Ce qui nous aurait permis actuellement de choisir sereinement la langue étrangère la plus adéquate pour nous.
    Honte à nous de nous disputer avec un esprit de colonisé et de colonisable sur l’adoption de langues étrangères comme langue pivot. L’arabe, le français, l’anglais sont ttes des langues de colonisateurs.
    Oh combien chacun de nous aurait été fier de s’exprimer en algérien dans un auditorium international où le Russe s’exprime en russe, l’Anglais en anglais, l’Arabe en arabe, le Chinois en chinois, le Francais en français et … Pour l’instant l’Algérien doit le faire malheureusement en arabe ou en français et bientôt en anglais nous dit-on !
    Je parie que si les islamistes arrivent au pouvoir, qu’ils introduiront la langue d’un autre colon historique le turc.
    Il ne manquerait alors que la langue romaine, morte depuis longtemps et que certains autodestructeurs essaieraient quand même de ressusciter si les Italiens reprenaient la vigueur de leurs ancêtres!
    Honte à nous éternels autodestructeurs d’accepter des decisions ideologiques et individuelles sans aucune reaction!
    La langue est une affaire trop importante pour laisser la décision aux esprits colonisés de tous bords.

    skizo
    23 juillet 2019 - 23 h 51 min

    le mec a dit le français ne vous mènera nulle part.Avec lui on sait où on va : la cata !

    karimdz
    23 juillet 2019 - 19 h 42 min

    Le francais n est pas notre langue, c est celle de l occupant, à ma connaissance, les francais ne parlent pas allemand depuis 1945.

    Il faut entreprendre dés maintenant, ce qui aurait du etre fait à l indépendance, se réapproprier notre identité, alors que le francais domine, nous avions des ministres, un président, qui parlaient en français aux millions d algériens dans le journal télévisé, comme si nous étions en France !!!

    Nous avons une langue que tout le monde parle et pratique, il est préférable d enseigner le tamazigh comme seconde langue et l anglais comme première langue étrangère.

    Bien entendu, ce changement doit être préparé programmé, et ne doit pas se faire dans la précipitation. L anglais est une langue internationale, qui nous permettra d etre connectée au monde entier, alors que le francais nous cantonne à la françafrique.

    Nous sommes en 2019, l Algérie n appartient pas à la France, et l une des mesures après, notre souveraineté nationale, c est de mettre fin à la pratique de cette langue étrangère qui plus est, celle de l ancien occupant, qui n est pas un butin de guerre mdr, mais un fardeau.

      3atef
      24 juillet 2019 - 8 h 32 min

      Cher karimdz
      RÉAPPROPRIONS-NOUS au PRÉALABLE notre LIBERTÉ D’EXPRESSION et de DÉCISION( le DÉCLENCHEMENT du 22fevrier VISE cet OBJECTIF SACRÉ) ensuite discutons notre modèle ÉDUCATIF, ECONOMIQUE CULUREL…etc!! NE voyez-vous pas gros comme une montagne que ce systeme DICTATORIAL tente par tous les moyens de NOYER LE POISSON pour pérenniser la PRÉDATION et le VOL CARACTÉRISÉ!! Et puis le jour ou le BUDGET (12 milliards US $/ANNUEL) du ministère de la défense nationale sera discuté et voté par la représentation parlementaire issue du peuple NOUS POURRONS ENFIN DIRE que nous sommes sur la bonne VOIE…!!
      Gloire à nos CHOUHADAS et MOUDJAHIDS de la 1ére HEURE

        karimdz
        24 juillet 2019 - 13 h 03 min

        Je suis pour le dialogue, la démocratie, la liberté d expression, pas de soucis nous sommes en phase.

        Concernant notre identité, je fais confiance à la majorité du peuple algérien, par contre toi le démocrate, tu devras te plier à la décision de la majorité, n est ce pas.

        S’agissant du budget de l armée, au risque de te décevoir, je suis pour une armée forte, moderne, il faut donc des moyens. Je ne me fais pas de soucie à l avenir, notre pays a énormément de ressources, et une politique d’investissement productif et libéral, permettra de dégagez d énormes ressources financières.

        Enfin sur les chouhadas et moudjahids, effectivement gloire à eux, ils n ont rien à envier aux néo harkis de 2019…

    VOSTAF
    23 juillet 2019 - 17 h 58 min

    A ZORO 23 juillet 2019 – 12 h 35 min

    Beau moyen pour esquiver l’inculture. Si un jour tu auras affaire à un officiel américain, tu lui chanteras une chanson, alors.

    SIGNÉ POUR TOI ZÉRO

    Lyes-DZ
    23 juillet 2019 - 17 h 49 min

    ‘Chat échaudé craint l’eau froide ‘mais pourquoi donc ???
    L’ALGERIE est-elle trop attachée au français ? Se perd-elle dans un débat lourd et clivant autour de la place que doit prendre le remplacement de la langue française par l’anglais, oui et non, Je parle latin à Dieu, italien aux musiciens, espagnol aux soldats, allemand aux laquais, français aux dames et anglais à mon cheval*”, aurait dit l’empereur Charles Quint au XVIe siècle, et jugeait que l’anglais était peu raffiné, ‘Meskin l’arrogant’, l’histoire ne lui avait guère donné raison, nous devrions être réaliste, l’anglais est un colosse qui domine le monde. Alors osons le nouveau monde, certes le français est plus raffiné, fin et flamboyant avec sa syntaxe si difficile, mais l’avenir nous attend et notre avenir c’est l’anglais, à condition de l’introduire de façon progressif.

    Sky
    23 juillet 2019 - 16 h 55 min

    Le ciel est tombé sur la secte des Matoubistes, Ferhatistes …..

      amirouche
      23 juillet 2019 - 18 h 39 min

      Il faut connaitre l’histoire de ton pays. Maatoub n’a jamais dit qu’il n’était pas algérien. Il était fondamentalement contre le système et « ça ne veut pas dire que je ne donnerais pas ma dernière goutte de sang pour l’Algérie » disait-il. Il y’a le possible, le souhaitable, le faisable. La langue est extraordinaire, j’adore écrire et lire en arabe. Le français est une langue merveilleuse. L’anglais est une langue incontournable. Mais l’arabisation e été une catastrophe. c’était de la démagogie. Les algériens que nous fumes, nous passons avec succès le BAC M algérien et le BAC C mathématiques et physiques français. Au bas mot le niveau algérien était équivalent au français au bas mot si ce n’est supérieur. aujourd’hui j’écris mieux en arabe que les algériens qui ont étudié uniquement en arabe. un élève de la classe CM2 en Algérie lisait une bonne dizaine de livre en français. En 2011 je voulais acquérir Ibn Khaldoun dans une librairie du centre de constantine le libraire m’amena un gros volume écrit en français, mais monsieur je veux la version arabe. Mais monsieur il n’y que votre génération qui lit me disait-il. Le peuple algérien a perdu la langue française sans la remplacer correctement par l’arabe. Voilà où mène la stupidité.

    Nassima BENBRAHIM
    23 juillet 2019 - 14 h 25 min

    Ce nest pas en mettant la charrue avant les boeufs qu’on maitrisera l’anglais! En d’aurtres termes : ce n’est pas en remplaçant le français par l’anglais dans les bordereaux de leurs correspondances et autres documents officiels (diplômes, bulletins de notes, affichages, courriers…).que l’on maitrisera cette langue! Au contraire celà donnera lieu à une multitudes d’erreurs comme celà fut le cas dans les mairies lors du passage brutal du français à l’arabe! La maitrise de l’anglais est certe de nos jours indispensable si on veut avancer , ça c’est indiscutable. Mais il ya aussi l’art et la manière de s’y prendre! Or un projet doit être muri et planifié! Il faut commencer par le commencement : augmenter le volume de l’enseignement de l’anglais au niveau du primaire , collège et secondaire ainsi qu’à l’université. Mettre les moyens qu’il faut (laboratoires de langues, séjours linguistiques aux meilleurs étudiants, aux profs, etc…) . Ce qui nous permettra de former des profs de qualité. Introduire graduellement l’enseignement de certaines matières et parties de matières en anglais (comme ça l’anglais ne sera pas enseigné uniquement comme langue, mais on traitera quelques notions de mathématiques , physique, sciences, histoire géographie , littératures, etc….en anglais. Tout celà est un processus long et pour que ça réussisse il faut mettre le temps qu’il faut et mettre les moyens qu’il faut.
    Quant aux correspondances, bulletins de notes, etc… ce sont des document traités par des administrateurs qui n’ont généralement pas une grande maitrise de l’anglais! Bonjour les problèmes!!

    Anonyme
    23 juillet 2019 - 13 h 59 min

    « Initié par le ministère de l’Enseignement supérieur, le sondage a révélé que 94% des votants sont favorables à l’utilisation de la langue de Shakespeare à la place de celle de Molière dans l’enseignement supérieur en Algérie.3
    Rien de plus faut ! Quand, où et avec qui a eu lieu ce sondage ? Et en supposant que ce sondage qui engage toute la nation pour le présent et le futur , quel résultat a-t-il donné ?
    Un vrai sondage doit être au préalable suivi d’explications pour saisir l’opportunité de la mesure qu’on veut prendre. Un vrai sondage doit représenter toutes les couches et concerner un échantillon d’une taille qui ne souffre d’aucune contestation. On parle d’échantillon de taille N (N étant le nombre de personnes sondées et ces personnes doivent être représentative de la société). Tayeb bouzid le sait-il ou feint-il de ne pas le savoir ?
    Tayeb Bouzid, marqué aussi bien par son idéologie rétrograde, que par son incompétence à enseigner, à faire de la recherche scientifique , à gérer l’université de Batna, où il n’a pas laissé un souvenir impérissable, affirme à ceux qui ont le temps d’écouter ses inepties que le français ne les mènera nulle part. Ce qui veut dire a contrario que l’anglais les mènera très loin !
    Avec de pareils responsables, incultes et irresponsables, on n’a pas fini de sombrer chaque jour un peu plus jusqu’à atteindre le fond de l’abîme.

    wesh
    23 juillet 2019 - 13 h 41 min

    On va lui dire en Français : DEGAGE !

      El Rokho
      23 juillet 2019 - 20 h 21 min

      faux et non faut mais « jmafo » aurait dit mon père dans la langue de Molière qu’on n’a pas voulu lui apprendre pour qu’il reste comme beaucoup d’autres indigènes et illettrés de surcroit

    ZORO
    23 juillet 2019 - 12 h 35 min

    A VOSTAF 23 JUIL 10H 55
    L apprentissage d une langue ne se limite plus a la lecture des livres, la chanson est actuellement un moyen efficace pour ce faire .
    BLOWIN’ IN THE WIND ,enregistree le 9 juillet 62 soit 4 jours apres la fete de notre independance , demeure une chanson tres connue dans ce monde .voici un extrait de ses paroles:

    HOW MANY YEARS CAN SOME PEOPLE EXIST
    combien d annee doivent exister certains peuples
    BEFORE THEY’RE ALLOWED TO BE FREE ?
    Avant qu il leur soit permis d etre libre
    YES, ‘N’ HOW MANY TIMES CAN A MAN TURN HIS HEAD
    Oui,et combien de fois un homme peut il tourner la tete
    AND PRETEND THAT HE JUST DOESN’T SEE??
    Et pretendre qu il ne voit rien?
    THE ANSWER MY FRIEND IS BLOWIN’ IN THE WIND
    La reponse a VOSTAF est soufflee dans le vent.
    SigneZORO. …Z….

    Louza
    23 juillet 2019 - 11 h 47 min

    Où sont ces profs universitaires capables de dispenser un cours en thermodynamique, en mécanique des fluides ou dans les techniques de boues de forage en Anglais, alors qu’ils ont suivi un cursus universitaire en langue française? Quelle est la démarche à suivre pour les recycler?
    En salle de cours,le prof va se concentrer sur le contenu technique de son cours,ou apprendre aux étudiants à s’exprimer,et à rédiger en Anglais?
    L’ Anglais pour la science et la technologie est en elle-même une discipline issue de du grand parapluie ENGLISH LANGUGE que les linguistes appellent
    English For Science & Techology.
    Aucune université en Algérie n’est capable de dispenser cette discipline, parce-que méconnue et inexistante. Aujourd’hui,seul l’Institut Algérien du pétrole en est capable (seulement quelques enseignants,je rectifie le sont!!). L’école s’est intelligemment acquise de cet héritage du temps des Américains dans les années fin 70-1980,et à ce jour elle en assume la charge de son enseignement aux futurs ingénieurs foreurs.
    En plus cette discipline n’a rien à voir avec l’Anglais usuel de tous les jours, c’est a dire le Hi! How are you?
    C’est de l’anglais académique très dense, corsé de termes techniques, et nanti de tournures complexes typiques au jargon technique et technologique.
    Secundo, lorsque les étudiants amorcent la post graduation, qui va prendre en charge la méthodologie et le suivi pour la rédaction des projets et des thèses de fin d’études. Ces ouvrages doivent être obligatoirement rédigés en langue anglaises,tout comme ils doivent répondre aux normes anglo-saxonnes,sinon on retombe dans le bricolage. Tertio qui va prendre en charge les cours des oral présentations ( présentations orales) des projets,qui doivent eux aussi répondre à des normes très strictes: timing,nombre de diapos, fluency (usage courant de la langue anglaise), sans fautes de grammaire, ni d’orthographe, et avec un minimum d’erreurs en prononciation?
    Il faut juste demander aux doctorants algériens en préparation de thèse pour un doctorat en littérature Anglo-saxonne le nombre de problèmes auxquels ils sont confrontés. Même pas un encadreur capable de gérer 4 à 5 étudiants ! Si ce n’était 3ami Google,et le sérieux de ces étudiants, leur formation serait vouée à l’échec. Et eux,même s’ils ont fini par apprendre à parler plus ou moins l’Anglais couramment (chacun ses moyens), ils ont encore beaucoup d’efforts à fournir pour rédiger des paragraphes correctement. Et les publications,et les conférences internationales?! qui va les aider à parachever un travail digne d’un enseignant-chercheur qui se respecte? Encore 3ami Google,et attention au plagiat ! Mais pas une seule salle équipée d’un data show pou s’initier à présenter un travail correctement devant une audience !
    Et bien! ce nouveau ministre de l’enseignement supérieur a du trouver des réponses à toutes ces questions dans la pochette surprise du FLN, ou dans celle du nouveau président de l’APN.
    Ah! comme c’est facile d’occulter les dégâts incommensurables de l’école fondamentale, et de son wazir des chiffres et des statistiques Aboubakr Belbouzid qui a torpillé et l’éducation natinale et l’Université, puisqu’il a été nommé ministre pour une période de 15 ans au sommet de ces 2 institutions grâce à l’aval de son proche Toufik.( 1 fois ministre de l’enseignement supérieur, et 2 fois ministre de l’éducation nationale),avec un budget colossal, et pour quels résultats !!!
    À eux deux, ils ont ouvert les portes toutes grandes au charlatanisme qui règne en maître aujourd’hui à l’école et à l’Université, anesthésiant tout esprit rebelle ou critique vis à vis du conservatisme moyenâgeux. Mission endoctrinement en vrac, formatage,et inculture des masses à 100% réussie. Nous y voilà! nous avions eu notre lot d’une génération d’étudiants hirsutes en kamis et claquettes,dure,bigote nourrie du populisme religieux via des manuels scolaires digne du moyen -âge ténébreux et inquisiteur. Ils n’avaient que 10 ans lorsqu’ils furent choqués qu’on leur enseigne les règles du divorce, et profondément traumatisés d’apprendre comment on lave un mort,et comment les impies sont punis dans l’au-delà.
    Alors que vient faire ici la langue française ou anglaise ?!
    Voilà le véritable visage hideux de ceux qui ont saccagé l’école et l’Université algérienne,grâce à un système éducatif fallacieux et honteux. C’est ce que ce que cherchent a dissimuler les décideurs d’hier et d’aujourd’hui. Ils ont dégommé la langue française de l’école publique pour la restreindre à une caste,celle de leurs chérubins, tous scolarisés au lycée international Alexandre Dumas à Ben Aknoun ou dans les 2 ou 3 annexes créés dans le pays, pour que ces derniers puissent passer le bac français, et avoir l’occasion d’aller compléter leurs études en France. En réalité, la langue française est la chasse gardée pour les enfants de flen & flen. Les enfants du peuple n’y auront pas accès, parce-que la peur de voir émerger une élite qui risque de chasser les hyènes du pouvoir a toujours fait peur!
    Au demeurant toutes les langues sont les bienvenues, car elles sont l’outil et le vecteur essentielle qui charie savoir et connaissance. Chaque langue est la riche ambassadrice culturelle de chaque civilisation. Un polyglotte est reconnu être beaucoup plus riche qu’un monolingue à tout point de vue. Mais pour cela,il faut miser sur des programmes,des moyens et des supports pédagogiques modernes: laboratoires de langues, salles audio visuelles, salles se cours équipés de data show, disponibilité d’enseignants capables de dispenser des cours en phonétique, initier les étudiants au travail de groupe,et à deux, donner un max de temps aux étudiants pour s’exprimer en salle de cours,et surtout,miser sur des petits groupes d’apprenants ne dépassant pas 12 à 15 étudiants. Or les étudiants anglophones algériens sont tassés dans des petites salles pour des groupes au nombre de 50 étudiants. La majorité n’ont jamais mis les pieds dans un laboratoire de langue, ni eu accès à des cours en phonétique, faute d’absence de laboratoire et de manque d’enseignants dans cette discipline.
    Heureusement que la nouvelle génération d’étudiants est lucide et clairvoyante. En fait,que vaut un bac français, ou un DELF( Diplôme d’Études de La Langue Française) devant un diplôme international qui leur ouvrirait les portes de toutes les Universités anglo-saxonnes du monde? Ce diplôme c’est IELTS
    (International Englsh Language Testing Systèm), disponible en Algérie, costaud comme programme à suivre,mais attention difficile à atteindre !!! C’est le visa demandé par toutes les universités en G.B,USA,Australie, Canada,Nouvelle Zélande, Chine,Japon,et reconnu même en Europe.
    En plus la Théorie de la Relativité d’Albert Einstein, la philosophie de Nietzsche,les lois de thermodynamique, en passant par le discours de Jean Jacques Rousseau ou la critique littéraire des poèmes de Beaudelaire,ou de Nedjma de kateb Yacine vs N’gugi ou Faulkner sont tous disponibles en langue anglaise,en mille fois + riche et + intéressant qu’une recherche élaborée en langue française.

      Blakel
      23 juillet 2019 - 15 h 11 min

      « En fait,que vaut un bac français, ou un DELF( Diplôme d’Études de La Langue Française) devant un diplôme international qui leur ouvrirait les portes de toutes les Universités anglo-saxonnes du monde? »
      C’est bien de rêver. Si tu as crois que les universités anglo-saxonnes accueillent à bras ouvert, tu te met le doigt dans l’oeil. Malgré la récente augmentation des frais de scolarité dans les universités françaises récemment, les établissements scolaires français restent très très bon marché, par rapport aux universités anglo-saxonnes. Aux USA, en GB….le premier critère c’est l’argent, les études supérieures coutent très très chères, à tel point que de nombreux étudiants américains s’endettent sur plusieurs décennies parfois. Tu connais beaucoup de jeunes algériens qui pourront débourser des dizaines de milliers de dollars par an, pour étudier à Standford, Cambridge, Harvard ???

    VOSTAF
    23 juillet 2019 - 11 h 01 min

    A tous ceux qui « exigent » l’anglais… combien de livres anglais avez vous lu dans vos vies?

    Anonyme
    23 juillet 2019 - 9 h 30 min

    Ce n´est pas la langue qui fait avancer ou regresser un pays mais ses locuteurs!
    Autrement dit un ane restera un ane, quelque soit ce que soit ce qu´il brait.

    Pourquoi langue arabe serait elle la cause de notre arrièrement et pas nous-memes, soyons objectifs!
    Vous allez me rétorquer, mais tous les pays arabes sont dans la m…
    Je persiste pour dire, nullement la langue en est la cause, mais ceux qui la parlent.

    Les Juifs parlent l´hébreu, une langue similaire à l´arabe et encore moins étoffée,
    et pourtant, regardez où ils en sont les Juifs!

    Tout le monde parle démocratie en ce moment en Algérie.
    Pourquoi ne pas laisser l´initiative aux universités elles-memes d´utiliser le francais, l anglais ou l´arabe.

    Ici en Allemagne, où l enseignement se fait en allemand, il existe des université qui sont passées à
    l´anglais.

    L´étudiant a alors le choix, selon ses aptitudes et gouts de choisir l´iniversité qui est compatible avec ses projets.

    Il faut etre pragmatique et objectif et traiter ce sujet sans passion, ni idéologie.

    J ai l´impression en lisant tous les commentaires que certains francophiles ont une panique de perdre quelque chose dont ils fait une partie de leur identité, alors qu´ils revendiquent en meme temps une identité historique pure.

    D´autres ne prennent meme la peine de dissimuller leur haine pathologique envers tout ce qui est arabe et bien sur la langue avec.

    Je suis Algérien berbère et francisant.

    syno
    23 juillet 2019 - 8 h 59 min

    où sont nos journaux et revues scientifiques? vous voulez apprendre l’anglais pour publier vos articles où ? chez les autres, hors de nos frontières ? très peu économique, réveillez-vous …

    Langue Jargon Dialecte
    23 juillet 2019 - 8 h 26 min

    Personne n’a bronché quand Saïd, Ahmed, Tayeb, Mourad imposèrent en catimini le dialecte érigé en langue. Cette forfaiture a eu lieu au détour d’un énième viol de la Constitution dans consulter le peuple. Les sponsors de cette action dont en prison

    Sanfarcio
    23 juillet 2019 - 8 h 17 min

    Il est évident que tous les universitaires s’exprimant devant un public large ou publiant dans des revues de bonne tenue maîtrisent déjà suffisamment l’anglais (voire simplement le « globish ») pour être compris et comprendre les questions qu’on serait amené à leur poser, donc ? A quoi bon une telle réforme, décidée à la hâte par un Ministre… à la légitimité… contestable ? Un peu d’idéologie, peut-être ?
    Il était temps de prendre cette mesure : il y a déjà bien longtemps que les Brésiliens ont abandonné le portugais, les Argentins et les Mexicains l’espagnol (ah ! On me souffle dans l’oreillette que j’ai écrit une bêtise, ah bon ?)

    Zina
    23 juillet 2019 - 6 h 39 min

    Est-ce que c’est sérieux ? Je me rappelle bien d’un article long et large d’un certain Monsieur, aujourd’hui Président de l’Association des Oulémas qui prônait l’enseignement supérieur en anglais au motif que c’est une langue de la science et de la technologie … Etait-ce la raison pour laquelle il avait pesé de tout son poids pour décrocher des bourses d’études aux USA en faveur de ses fils dans les années 1980s? Peut être. D’ailleurs un de ses fils, informaticien, après avoir passé peu temps sur le sol américain avait finalement opté pour le Royaume-Uni. Visiblement, on peut se balader comme on veut lorsqu’on est le fils d’un homme du sérail qui, au cours d’un prêche religieux à la télévision algérienne, soutenait que les musulmans sont tous égaux comme « les dents d’un peigne » !
    Qualifiée parfois comme un butin de guerre, la langue française est un acquis qu’on n’a malheureusement pas su préserver à en juger par le niveau scolaire actuel. A titre d’anecdote, un étudiant en informatique en première année à l’Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumédiène est venu voir le professeur à la fin du cours pour exprimer une préoccupation non pas liée au contenu du cours mais à la langue : il ne comprenait pas le français, pourtant mixé au dialecte quotidien que certains ont baptisé « l’algérien » ! Alors se lancer à l’anglais !!! Ca me rappelle un peu la compagne d’arabisation tout azimut des années 1970s. Un cas concret : une brillante élève fût admise au lycée série maths arabisés alors qu’elle était jusque-là bilingue. Fallait illico presto ramener des Irakiens et des Egyptiens pour assurer l’enseignement mais la documentation faisait défaut. L’élève travaillait parallèlement sur des livres en langue française plus disponibles. Quand elle a décroché son bac, elle s’est inscrite à l’université de médecine dont l’enseignement est assurée en …. français ! Oui pour l’enseignement en langue anglaise à condition qu’il soit bien encadré dès l’école primaire en terme de qualité et de moyens.
    Personnellement, je souhaiterais qu’en plus de l’enseignement obligatoire du français et de l’anglais, l’introduction d’une troisième langue est nécessaire. Dans un passé pas si lointain, le russe, l’allemand, l’italien et l’espagnol étaient encore enseignés dans nos lycées sans parler d’autres activités (musique, dessin, travaux manuels, etc).

    chaouipur
    23 juillet 2019 - 6 h 24 min

    Je ne vois pas le rapport entre la « volonté des islamistes » et la prépondérance de l’anglais au niveau universitaire. Tout le monde sait que les ingénieurs Sonatrach doivent parler anglais sur le terrain, que les recherches se font et sont publiées en anglais … L’Algérie devrait être officiellement bilingue (tamazigh-arabe) et donner le choix à ses élèves du secondaire entre l’anglais, le français, l’allemand, l’italien et l’espagnol et autres langues si possible … Je suis linguiste de formation et toutes les langues sont à connaître ! Imposer le français ne rime à rien.

    Chelabi
    23 juillet 2019 - 4 h 29 min

    Dans l’ordre chronologique, et pour casser du hirak, la maffia qui nous gouverne a actionné plusieurs leviers dont:
    Les islamistes qui ont supposément infiltré le mouvement du 22 février
    Les Amazigh qui veulent attenter au drapeau national,
    Les démocrates qui sont tous hizb franca,
    Maintenant, on nous sert cette histoire de l’anglais qui vient comme une autre ligne de clivage entre les arabophones et les francophones. Les arabophones étant jugés pro-anglais.
    Et à chaque fois, les ploucs que nous sommes , nous nous engouffrons dans la brèche qu’ils ont ouvertes et nous oublions l’essentiel qui est le départ de ces gangsters.
    On a donc eu la religion, l’identité, le nationalisme et maintenant la langue.
    Je ne sais pas ce que Gaid Salah nous sortira de sa besace la prochaine fois mais il faut constater qu’il a déjà gagné 5 mois.
    Son but, c’est de faire perdurer le statu quo jusqu’à ce qu’un des leviers fonctionne et ce sera l’avènement de la dictature militaire.
    Fikou yal khawa.

      VOSTAF
      23 juillet 2019 - 10 h 55 min

      Donc, pour toi, à tout jamais, démocratie = France… C’est grave…

        Chelabi
        23 juillet 2019 - 11 h 51 min

        Vous vous trompez de message et de messager. Ou bien n’ai je pas été assez clair. Ce qui est possible.

          Anonyme
          23 juillet 2019 - 16 h 54 min

          Non , non, votre message est très clair. Moi, je l’ai compris et je vous approuve.

    Anonyme
    23 juillet 2019 - 3 h 33 min

    Petit à petit la feuille de route dictée à Gaïd Salah par les monarchies du Golfe se précise. Avec cette décision l’objectif est double :
    1) Renforcer l’alliance avec certains milieux islamistes ;
    2) Créer une diversion et de la division au niveau du Hirak .
    Moi J’aimerais bien qu’on m’explique de quelle légitimité dispose ce ministre pour prendre une telle décision qui engage l’avenir de l’Algérie. Moi qui croyait naïvement que d’après la sacro-sainte constitution, le gouvernement provisoire n’était chargé que de gérer les affaires courantes et de participer à la préparation d’éventuelles élections. Entre cette décision, les changements opérés dans le corps de la magistrature et dans celui des walis, ainsi que toutes ces choses qui se négocient dans le domaine énergétique et minier, on est loin de l’esprit de la constitution. De plus ce gouvernement provisoire a dépassé sa date de péremption depuis le 09 Juillet. Décidément Gaïd Salah se réfugie derrière le respect de la constitution que lorsque cela l’arrange.

    Amcum
    23 juillet 2019 - 3 h 18 min

    Tu veux quoi comme débat ? L’urgence de passer à l’anglais n’est toujours pas évidente pour toi ?

      Do you speak Gaïdish and Trumpish?
      23 juillet 2019 - 8 h 52 min

      Non ya Amcum, y a pas urgence pour moi et pour la majorité des Algériens, pas la majorité bidon comme celle des résultats des élections de 1962 à nos jours, extirpée d’ailleurs d’un sondage qui a été fait auprès des victimes des doubabjis au service du chef hautement diplômé de la 4ème année primaire (Cours moyen 1ère année à l’époque). Cette opération vengeresse est l’une des manœuvres que le « pouvoir » a « enfin » trouvé et inocule vite, vite dans la société algérienne et son ennemi le Hirak. Il croit sa découverte être décisive dans sa funeste volonté de diviser le peuple. Vous êtes, Ya Amcum, victime consentante. Je parle, j’écris et je comprends l’Anglais et l’Allemand que j’ai appris dans leurs pays et je trouve aberrant que les ignares, les incompétents, les Issaba décident de l’avenir de ce pays et de ses enfants, en prenant des mesures qui ne les affectent pas, ni eux ni leurs enfants, qui sont là-bas, derrière l’horizon, loin du pays. Désolant aussi que des personnes comme vous croient en leurs fariboles et les soutiennent surtout en ce moment précis où le peuple et le pays ont plus urgent à faire.

        Amcum
        23 juillet 2019 - 18 h 19 min

        Bonjour,
        Si tu ne ressens pas l’urgence de passer à l’anglais c’est que tu voies la réalité via le prisme socialisme de Bouteflika et son système rentiers. Monsieur, nos cadres et donc nos entreprises ne sont pas compétitives car ils conçoivent le monde à travers la fenêtre française. C’est une très sérieuse limitation. On est très en retard sur ce plan dans un monde qui se veut très compétitif avec des outils de plus en plus universel. L’anglais c’est comme l’informatique ou encore les techniques de création d’entreprises. Ce sont des connaissances de plus en plus globales.
        Exemple d’un industriel dans un domaine disons, le solaire. Souhaite s’informer sur les dernières techniques qui vont lui permettre d’être concurrentiel dans le marché, exportation comprise. En entend parler des « Solar tracker » il fait une recherche sur Google et tombe sur 77 millions de résultats avec des fournisseurs du monde en entier. Passe sa requette google vers la langue française, tente une traduction au mot technique anglais et tombe sur  » Montures de suivi solaires », il recolte 742k résultats avec dans le lot des pages sur les lunettes solaires…. Passe à Wikipedia et decouvre qu’en français le mot technique  » Solar tracker » se dit « Tracker solaire ». Tente donc sur Google « Tracker solaire » et récole 1 million de résultats (contre 77 millions). Principalement des pages Nords-Américianes qui provienne t du Canada. Avec quelques entreprises françaises qui sous traitent avec de grandes marques mondiales….
        L’investisseur Algérien dont la cervelle est habituée au français va voir son horizon se rétrécir même si l’outil Google lui permet de voir plus large ….
        L’anglais est un outil universel. Rien de politique dans sa justification. Tu parles de Gaid-Salah, je ne vois aucun rapport avec la place de l’anglais dans le monde-village. La conjoncture Gaid-salah, si je me permets d’emprunter votre langage, auquel je n’adhère pas, doit être vu, si elle existe, comme une opportunité.

          Do you speak Gaïdish?
          24 juillet 2019 - 14 h 08 min

          Salam
          Je ne voudrais pas entamer cette réponse, qui en fait n’en n’est pas une, par vous dire que je ne vous ai à aucun moment tutoyé. Avant de commencer je confirme que je ne ressens aucune urgence, ni nécessité de passer à l’anglais. Mettez-vous à l’œuvre et bon courage. Go ahead! Mach weiter und viel Glück. Je dirais quand même que je constate que c’est vous qui voyez la réalité sous un prisme déformant. Vous ne voyez même pas que c’est AGS, niveau d’instruction bac-9 (bac moins 9), qui dirige le pays d’une main de dictateur. De la même trempe que celui qui accorda aux scorpions le droit de piquer les humains au Sahara au nom du droit des animaux à se défendre, l’actuel abruti de ministre qui veut passer du français à l’anglais a parfaitement compris son maître : il faut créer un foyer et un axe de tension durable entre les Algériens qui voudraient le maintien de la langue française et ceux qui comme au 19 mars 1962 veulent nous montrer leur patriotisme par la haine de cette langue, et faire croire qu’ils sont ainsi des patriotes et des héros, des novembristes. Les Algériens ont déjà assez donné pour toutes ces fourberies ces outils réutilisables à l’infini. Le patriotisme est selon eux, déterminé en fonction proportionnelle à la haine de la langue française. N’oubliez pas, et AGS non plus (mais est-ce que lui, il le sait au moins, avec son niveau bac-9, c’est pas sûr) que la déclaration du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre a été rédigée en Français, oui, oui, oui (Appel au peuple algérien). Il peut vérifier ça dans n’importe quel bouquin de l’Histoire du pays et profiter de l’occasion pour s’instruire un peu. Petites questions subsidiaires : AGS doit-il faire traduire en anglais son livret militaire français caché au fond du tiroir, y compris les pages des services et missions accomplis ? Ses trois enfants doivent-ils traduire en anglais, leurs cartes d’identité françaises pour les entrées en Algérie? Sa fille doit-elle traduire en anglais les procurations faites à ses mandataires qui gèrent ses commerces en France. Etc, et cætera. J’arrête là. C’est vraiment ridicule de continuer. Orientez les pouces vers le bas ou où vous voulez.

          Do you speak Gaïdish ?
          24 juillet 2019 - 14 h 21 min

          Je ne voudrais pas entamer cette réponse, qui en fait n’en n’est pas une, par vous dire que je ne vous ai à aucun moment tutoyé. Avant de commencer je confirme que je ne ressens aucune urgence, ni nécessité de passer à l’anglais. Mettez-vous à l’œuvre et bon courage. Go ahead! Mach weiter und viel Glück. Je dirais quand même que je constate que c’est vous qui voyez la réalité sous un prisme déformant. Vous ne voyez même pas que c’est AGS, niveau d’instruction bac-9 (bac moins 9), qui dirige le pays d’une main de dictateur. De la même trempe que celui qui accorda aux scorpions le droit de piquer les humains au Sahara au nom du droit des animaux à se défendre, l’actuel abruti de ministre qui veut passer du français à l’anglais a parfaitement compris son maître : il faut créer un foyer et un axe de tension durable entre les Algériens qui voudraient le maintien de la langue française et ceux qui comme au 19 mars 1962 veulent nous montrer leur patriotisme par la haine de cette langue, et faire croire qu’ils sont ainsi des patriotes et des héros, des novembristes. Les Algériens ont déjà assez donné pour toutes ces fourberies ces outils réutilisables à l’infini. Le patriotisme est selon eux, déterminé en fonction proportionnelle à la haine de la langue française. N’oubliez pas, et AGS non plus (mais est-ce que lui, il le sait au moins, avec son niveau bac-9, c’est pas sûr) que la déclaration du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre a été rédigée en Français, oui, oui, oui (Appel au peuple algérien). Il peut vérifier ça dans n’importe quel bouquin de l’Histoire du pays et profiter de l’occasion pour s’instruire un peu. Petites questions subsidiaires : AGS doit-il faire traduire en anglais son livret militaire français caché au fond du tiroir, y compris les pages des services et missions accomplis ? Ses trois enfants doivent-ils traduire en anglais, leurs cartes d’identité françaises pour les entrées en Algérie? Sa fille doit-elle traduire en anglais les procurations faites à ses mandataires qui gèrent ses commerces en France. Etc, et cætera. J’arrête là. C’est vraiment ridicule de continuer. Orientez les pouces vers le bas ou où vous voulez.

    EPSILON
    23 juillet 2019 - 1 h 43 min

    STOPPEZ LES MACHINES LARGUEZ LES AMAAAAAARRES, ARRIÈÉÉÉÉÉRE TOUTE. VOUS N’ALLEZ PAS ENCORE NOUS REFAIRE LE COUP DE L’ARABISATION FORCÉE TOUT DE MÊME EN CHOISISSANT UNE NOUVELLE LANGUE DE TRAVAILLE PARCE-QUE SI J’AI UN GRAMME DE JUGEOTE L’ÉTUDIANT QUI SERAIT FORMÉ EN ANGLAIS SE DOIT DE TRAVAILLER DANS L’USINE, À L’HÔPITAL ETC… EN ANGLAIS. ÇA NE MARCHERA PAS C’EST DE LA TMENYAQUOLOGIE (EXCUSEZ DU TERME) SINON POURQUOI EST CE QUE L’ENFANT ALGÉRIEN COMMENCERAIT SON ÉDUCATION ET SES APPRENTISSAGES EN ARABE ET LA TERMINER EN FRANÇAIS OU EN ENGLISH, C’EST DU N’IMPORTE QUOI!!!. SOYONS SÉRIEUX SOIT ON COMMENCE EN ARABE, ON TERMINE EN ARABE, OU BIEN ON COMMENCE EN FRANÇAIS ET ON TERMINE EN FRANÇAIS OU ALORS ON COMMENCE EN ANGLAIS ET ON TERMINE EN ANGLAIS. THAT IS !!!!!!!!!!!
    NE VOUS LAISSEZ PAS BERNER PAR CETTE 3ISSABA QUI ONT ARABISÉ L’ÉCOLE ALGÉRIENNE ET QUI ENVOIE SES ENFANTS ÉTUDIER À PARIS, LONDRE ET NEW YORK. YAWWW FAKKKOU !!!!!

    Ayweel
    23 juillet 2019 - 0 h 51 min

    En consultant, par simple curiosité, le CV de ce ministre j’ai constaté qu’il n’a pas mentionné son vrai lieu de naissance qui est le douar de doucen daira de ouled jellal wilaya de biskra. Je ne sais pas pourquoi il a mentionné la wilaya de batna!! De même aussi j’ai relevé que ce monsieur, durant sa carrière, a passé son temps dans les couloirs de l’administration et non dans les amphyis à transmettre le savoir aux étudiants. Et d’ailleurs le monsieur n’a commencé à publier, svec son nom en troisième position, que vers la fin de sa carrière. En bref, c’est le profil de gens qui ont fait de l’algerie ce qu’elle est aujourd’hui. Concernant son sondage et sa décision d’introduire l’anglais comme deuxième langue, et bien je lui propose d’abord de s’occuper du recyclage des étudiants algériens en langue arabe afin qu’ils puissent la maîtriser avant de penser à introduire une autre langue. Une fois l’arabe maîtriser je le conseil de penser plutôt à l’hébreu, la langue de nos cousins, puisque c’est une langue qui est plus proche de l’arabe. Ainsi , après avoir eu ben bouzid comme destructeur du secteur de l’éducation maintenant on droit à un autre bouzid pour détruire et enterrer une fois pour toute le secteur de l’éducation superieure.

    les con tradictoires
    23 juillet 2019 - 0 h 51 min

    …. commenté en francais et insulter en mme temps la langue ….y a du boulot pour les psy ..

    Mme CH
    23 juillet 2019 - 0 h 44 min

    Voici des passages d’un article paru au journal Le Monde intitulé: « L’anglais a sa place dans l’université française » (15 mai 2013, par un collectif de chercheurs et d’universitaires)

    « La réforme de l’université permet l’enseignement en anglais. Maintenir ce projet est essentiel pour l’internationalisation de la science française »
    « Parce que l’information, la culture et la connaissance n’ont plus de frontières, parce que la recherche n’en a jamais eu, il est plus que temps d’abolir les frontières de l’enseignement supérieur et d’ouvrir pleinement les formations des universités françaises à l’ensemble des étudiants de la planète. »
    « Cet objectif, central voire vital pour notre système d’enseignement supérieur et de recherche, garant de son attractivité et de son rayonnement, eût été plus facile si la langue française avait gardé le statut qui était le sien au XVIIIe siècle. Mais il est temps d’admettre que ce temps n’est plus, et que la langue des échanges internationaux est aujourd’hui l’anglais. »

    « La présence de l’anglais est aujourd’hui évidente dans tous les laboratoires de recherche, en France, en Europe et dans le monde non anglophone, où elle permet dialogue et échanges indépendamment de la langue de tel ou tel.
    Quel que soit l’avis théorique des défenseurs de la francophonie, on remarquera que c’est bien en anglais que les prix Nobel français ont publié les travaux qui les ont fait connaître, que c’est en anglais que les chercheurs répondent aux appels d’offre Européens qui assurent une part de plus en plus importante du financement de leurs projets, et que c’est bien en anglais que l’on communique les résultats scientifiques, que le congrès ait lieu à Paris, à Montréal, à Pékin, à Alger ou à Prétoria. »

    « Assurer le rayonnement et l’excellence de nos formations universitaires passe par le développement de la mobilité des étudiants français à l’international et l’attraction des meilleurs étudiants internationaux en France. La signature de conventions d’échanges avec les grandes universités mondiales est l’outil principal mis en œuvre pour faciliter ces échanges. L’anglais s’est imposé depuis longtemps comme la langue des enseignements pour de telles formations transnationales. »

    « Il convient de ne pas négliger un fait avéré dans le monde technique et scientifique : aucune excellence ne peut survivre à la fragmentation linguistique dans les échanges de haut niveau. L’anglais s’est imposé comme lingua franca dans le monde entier et isoler nos formations de l’irrigation intellectuelle internationale créerait un déficit de communication et de reconnaissance pour notre jeunesse et par là même de notre économie future dans un monde très compétitif. La vivacité de la production intellectuelle et scientifique des pays scandinaves et des Pays-Bas, qui n’appliquent aucune restriction linguistique, est là pour témoigner que leur culture ne s’est pas effondrée dans leur ouverture à l’anglais jusque très profondément dans leur population. »

    Au Québec « L’usage de l’anglais progresse en milieu de travail. Quarante-deux ans après l’adoption de la loi 101, le français n’est toujours pas la langue commune et habituelle du travail au Québec. C’est là une des conclusions qui ressort d’une série d’études de l’Office québécois de la langue française (OQLF) rendues publiques » ( huffingtonpost.ca, 12/4/2019)

    Hé oui,….mais il faut bien penser et préparer ce passage qui doit d’ailleurs commencer par l’école…..! Attention, la précipitation est contre indiquée….les coups de tête ne sont bons qu’en football surtout s’il y a but…..!
    Une autre solution (à moyen et long terme), développez l’Arabe, le Français, l’Espagnol…etc…..comme jadis…!!

    salim31
    23 juillet 2019 - 0 h 41 min

    ce gouvernement illigitime est pret a tout pour le korsi meme momentané ;
    si dans une partie du hirak version taleb ibrahimi et l ex fis la mode est à
    L ‘ anti franca mais qui cache en verité un
    anti francophiles algerien les derniers obstacles republicains qui ont bloqué leur plan macabre des 90 et se dressent encore face a leur dessein de machrekisation de la nation algerienne difinitivement ;
    Ainsi bedoui fait du populisme chouroukiste comme il a decide recemenent et en catiminé de faire de l algerie une zone de libre echange africaine c est a dire libere l immigration de masse subsaharienne sans ligitimite et sans le consentement des algeriens .
    Donc cette mafia ce joue de l avenir de nos enfant le plus normalement du monde une fois c est le francais puis l arabisation puis anglisation demain ca sera le vietnamien pu on vas ??..maintenant si une partie peuple est d accord sur ce tmenieko-politico- ideologoste et c est leur droit d elever leur enfants comme ils veulent ;
    moi aussi c est mon droit de ne pas laisse nos enfants entre les mains de cette racaile politique et de les sauves de ses gouroux _ et dans ce cas , il faut creer des ecoles independante de leur programme de malade sinon c est le mur entre nous qui est aussi une solution!!!

    Internationalisation de nôtre façons de communiquer.
    22 juillet 2019 - 23 h 35 min

    La langue anglaise est international.
    Comme la langue arabe littéraire est également internationale.
    Et vient l’espagnol en troisième position.
    Le reste des langues n’est que local.

    Lahouaria
    22 juillet 2019 - 23 h 23 min

    Le peuple algérien n’est pas sous la tutelle d’un ministre ou d’un général major, pour qu’ils nous imposent leurs choix sur telles langues on devrait lire, écrire, parler, peut être que leurs marmailles veulent parler l’anglais, mais la majorité des algériens refusent car le Français ça restera notre langue maternelle, au même titre que l’arable et le berbère.
    Et les documents doivent rester en Français et point barre pendant qu’on y est pourquoi ne pas choisir la langue du charabia comme personne ne nous comprendra et ont restera un peuple fermé sur nous-même comme des mormons!

      Chelabi
      23 juillet 2019 - 4 h 05 min

      Toi qui passes ton temps à cracher sur la France, je constate que tu aimes bien sa langue. Si je pousse le bouchon un peu plus loin tu dois aimer ses près, ses fontaines, ses parcs, son urbanisme, ses chansons, son art culinaire, sa médecine, son chômage et son RSA.
      La France détestable, c’est pour la galerie. N’est ce pas?

        Lahouaria
        23 juillet 2019 - 6 h 27 min

        La langue française n’a rien à voir avec la France, la plupart des français parlent leurs patois et les écoles, les métros.
        C’est pour cela qu’il ya eu un découpage de régions ethniques.
        Chaque fois que je poste un commentaire ca y est tu cours sur ton clavier pour me répondre, Je refuse que tu me réponde
        **********

        Je demande à Algérie Patriotique d’ajouter une fonction pour bloquer pseudo récalcitrant

          Chelabi
          23 juillet 2019 - 16 h 09 min

          Les français parlent patois mais toi tu parles français.c’est nouveau ça . Ça vient de sortir.
          Je réponds à tes posts et je continuerai de le faire parce que tu es une lèche Rangers. Et moi je hais les lèche bottes en général.
          Je ne suis sûr ce site que pour combattre aux côtés de mes frères du Hirak et pour combattre les moucherons de ton acabit.
          Lorsque nous gagnerons cette guerre car il s’agit d’une guerre je n’écrirai plus un piètre mot. En attendant gare à ce que tu écris car tu me trouveras sur ton chemin.

    Anonyme
    22 juillet 2019 - 22 h 50 min

    Voici venue, depuis un certain temps, l’ère des recteurs non bacheliers qui , après avoir bien accompli leurs méfaits dans leurs universités, se voient récompensés par des postes de ministres de l’enseignement supérieur, puis après avoir dévasté toute l’université algérienne se voient promus sénateurs du tiers présidentiel de fakhamatouhoum Abdelaziz 1er , raïs el 3issaba. Elle n’est pas belle la vie ? Siiiiiiiii……..
    Après Tahar Hadjar (ex recteur) qui n’a rien à foutre d’un prix Nobel, voici Tayeb Bouzid (encore un ex recteur aux compétences douteuses ; renseignez vous auprès des universitaires Batnéens) qui en rajoute une couche en déclarant obsolète la langue de cette France où se soignent pourtant , toujours (et où il se soignera lui-même tôt ou tard) tous les pontes de ce régime.

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