Interview – Zoubida Assoul : «Le pouvoir actuel a peur de la démocratie»

Assoul UCP covid-19
Zoubida Assoul. PPAgency

Algeriepatriotique : Le mouvement de contestation populaire en est à son cinquième mois et le pouvoir est toujours entre les mains des symboles de l’ancien régime. Comment expliquez-vous cela ?

Zoubida Assoul : C’est une question très intéressante à plus d’un titre. C’est vrai, le peuple depuis le départ et depuis cinq mois n’a cessé de dire que tous les symboles du système doivent partir. Mais il faudrait que l’on explique que veut dire le mot système. Beaucoup de personnes croient que le système concerne quelques responsables politiques qui ont été dans des postes de responsabilité depuis 20 ans, sous le règne de Bouteflika. Pour moi, le système ce n’est pas que cela ; les personnalités qui symbolisaient le système depuis vingt ans et même avant, ce sont les règles de fonctionnement de l’Etat. Le système, ce sont des hommes, des règles et des pratiques. Il y a trois volets du système. Il est vrai qu’il est important que certaines figurent partent, notamment celles dont la responsabilité est établie dans l’échec et l’impasse dans laquelle nous vivons aujourd’hui : crise politique, régression économique et sociale, perte des valeurs dans la société, etc.

Ces gens-là doivent partir et être jugées. Mais cela ne suffit pas pour changer tout un système. Il va falloir changer les règles et parmi ces règles, il faut revoir la Constitution qui est une Constitution totalitaire et qui centralise l’ensemble des pouvoirs entre les mains d’une seule personne. C’est à cause de cela que nous vivons cette impasse. Le Premier ministre n’a aucune possibilité de faire quoi que ce soit. La Constitution ne lui confère aucune prérogative. Il coordonne et anime l’action des membres de son gouvernement, mais il ne peut ni prendre de décision importante ni arbitrer.

Ensuite, il va falloir changer aussi les règles qui concernent la pratique politique : la loi électorale, la loi sur l’information et l’audiovisuel, la loi sur les partis politiques, sur les associations, sur les manifestations, etc. Tout cela doit changer. Si on veut vraiment rompre avec ce système, il faudra libérer l’action politique, sociale et syndicale, mais aussi donner la liberté aux Algériens de s’exprimer, de manifester comme le stipule l’article 49 de la Constitution.

Aujourd’hui, malheureusement, il y a énormément de personnes qui représentent les symboles du système qui sont encore là. Au début du Mouvement populaire, les Algériens appelaient au départ des «B». Ils sont toujours là. Les Algériens réclament le départ du gouvernement Bedoui. Il est impensable d’aller vers une solution à la crise sans aller vers le changement du gouvernement. Pourquoi le gouvernement ? Parce qu’il a beaucoup à faire sur différents plans ; politique, économique et social. Celui d’aujourd’hui est un gouvernement décrédibilisé aux yeux du peuple et qui n’a pas de compétence. Nous continuons avec ce gouvernement aujourd’hui car le pouvoir en place n’a pas visiblement envie d’aller vers une vraie rupture avec le système. Il veut juste faire une opération de lifting, changer quelques têtes, mais les règles sont là et c’est pour cela que le peuple continuera à manifester.

Quand vous parlez de gouvernement, incluez-vous le commandement de l’armée ?

L’armée est une institution dont les missions sont définies par la Constitution et par les lois qui la régissent. Le peuple, quand il manifeste, scande «khawa khawa». Par contre, le commandement de l’armée c’est une autre chose. C’est au sein de l’institution militaire que des discussions d’évaluation et d’échanges doivent être instaurées. Egalement, nous avons un chef d’état-major qui n’est que vice-ministre de la Défense alors que nous n’avons pas un ministre de la Défense nationale de plein exercice. Nous vivons une situation inédite. Aujourd’hui, si nous voulons aller vers une rupture et un changement de ce système, il faut aller vers la solution politique. Cette dernière passe par le dialogue inclusif.

Plusieurs initiatives ont été lancées pour trouver une solution à la crise, à l’instar du Forum pour un dialogue national. Pourquoi ces initiatives n’arrivent-elles pas à se regrouper en une seule pour leur donner plus de poids face au pouvoir ?

Il faut sortir de la logique qui dit qu’il faut qu’il y ait une seule initiative en Algérie. Nous ne sommes pas au temps du parti unique. Nous sommes dans le multipartisme et dans la diversité. L’Algérie a une opposition plurielle et c’est tant mieux. Il faut s’en réjouir. Maintenant, pour aller vers la solution à la crise que nous vivons, il faudrait que toutes les initiatives se rencontrent et c’est là où réside la responsabilité du pouvoir en place. Il y a beaucoup d’initiatives mais le rôle du pouvoir est de les réunir afin que nous puissions sortir avec une feuille de route commune que tout le monde s’engagera à respecter et à réaliser sur le terrain.

Toutes les initiatives proposées par la société civile et les partis politiques posent des préalables non négociables avant tout dialogue avec le pouvoir en place qui les ignore. Comment expliquez-vous cette attitude des décideurs actuels ?

Ce ne sont même pas des préalables. En ce qui concerne l’UCP ou le bloc dans lequel nous sommes, le Pacte de l’alternative démocratique, nous avons affirmé que pour aller au dialogue, il faut préparer un environnement propice à celui-ci. Ce ne sont même pas des préalables. Cet environnement consiste à ce que le pouvoir en place prenne certaines mesures d’apaisement car toute la société est en ébullition. Parmi ces mesures d’apaisement, la libération de tous les détenus d’opinion, des politiques et des manifestants qui ont brandi l’étendard amazigh car, aux yeux de la loi, cela ne constitue en aucun cas une infraction dans le code pénal algérien. Il faut aussi libérer la personnalité historique Lakhdar Bouregaâ que j’ai rencontrée ce dimanche.

Comment va-t-il ?

Il va bien. Il a un bon moral. Je fais partie du collectif d’avocats qui le défendent. Il se soucie beaucoup plus de la crise que traverse le pays que de sa propre situation. Il est conscient des enjeux et appelle de ses vœux à ce qu’on réussisse le dialogue politique et qu’on puisse sortir le pays de cette impasse. Nous avons parlé d’une mesure qui pourrait préparer les conditions pour un dialogue sérieux, à savoir libérer l’action politique, libérer les médias… En tant que parti politique, nous sommes boycottés par les médias à la fois publics et privés. Il faut également lever le siège sur la capitale les vendredis car le droit de circuler librement est garanti par la Constitution. Ce sont là des mesures d’apaisement et non des préalables. Certains pensent que si le pouvoir libérait les détenus, cela serait considéré comme une concession. C’est faux. Ce n’est pas une concession mais juste un retour à la normale parce que le code pénal considère les faits pour lesquels les manifestants ont été emprisonnés comme une infraction. Leur emprisonnement relève donc plus d’une décision politique.

Percevez-vous des indicateurs qui montreraient que ces initiatives pourraient déboucher sur des solutions sérieuses de sortie de crise dans un proche avenir ?

Jusqu’à présent, non. Malheureusement, au-delà des personnalités que le pouvoir à chargées de contacter des interlocuteurs pour aller vers le dialogue, bien que nous respections toutes les personnalités, bien entendu, il s’agit de dire que c’est le pouvoir qui fait les choses à l’envers. C’est-à-dire pour désigner des personnalités, au départ, le pouvoir, à travers le président de l’Etat, avait dit que ce serait la classe politique, la société civile, le débat et le dialogue qui devaient désigner les personnes représentatives. Or, aujourd’hui, c’est le pouvoir qui les a désignées. Nous n’avons pas été consultés et notre avis n’a pas été sollicité. Le peuple qui occupe la rue n’a pas été consulté non plus. Les jeunes, qui constituent 70% de la population, ont le droit de participer à l’élaboration de cette feuille de route de sortie de crise.

Vous pensez donc que ce Panel choisi par le pouvoir n’a aucune chance d’aboutir ?

Selon les éléments dont nous disposons, il n’a aucune chance, en effet. Nous aimerions que cela aboutisse mais il y a eu un mauvais départ. Et quand il y a un mauvais départ, le succès ne peut pas être atteint. D’ailleurs, M. Karim Younès le dit dans une interview dans El-Watan lorsqu’il affirme que si le pouvoir ne respectait pas les préalables que les personnes qui constituent le Panel ont posés, ils n’accepteraient pas de conduire le dialogue.

Trois personnalités citées dans le communiqué du Panel, Mouloud Hamrouche, Djamila Bouhired et Mokrane Aït Larbi ont refusé d’en faire partie…

Parce que la démarche n’est pas judicieuse. C’est pour cala qu’il faut d’abord aller vers une démarche qui corresponde à l’attente du peuple, de l’opposition et de toutes les personnalités en Algérie qui ont demandé à ce que le dialogue lui-même désigne les personnes et, comme cela, nous pourrons aller vers une solution. Mais faire les choses à l’envers, c’est une perte de temps pour l’Algérie et pour le peuple algérien.

Votre formation politique fait partie, avec d’autres partis, du bloc appelé l’Alternative démocratique. Qu’est-ce qui le différencie des autres initiatives ?

D’abord, nous n’avons pas accepté que les choses se fassent à l’envers depuis le départ. Nous avons dit, en tant que pacte démocratique, qu’il allait falloir appeler le peuple algérien à se réunir autour d’une vision et d’une démarche politiques qui est l’alternative démocratique. Dans cette alternative, quand nous avons institué le pacte, nous avons énuméré toutes les mesures d’apaisement préalables. Nous avons dit aussi qu’il ne pourrait y avoir de solution à la crise si nous ne passons pas par une période d’assainissement que nous avons appelée «période de transition». Le pouvoir en place est très allergique à ce terme.

En fait, quand on analyse les autres alternatives, on constate que tout le monde est d’accord – y compris le pouvoir – pour revoir la loi électorale, la loi sur l’information, mettre en place une commission d’organisation, de contrôle et de proclamation des résultats des élections, pour que le gouvernement change, etc. Pour tout cela, nous ne pouvons aller vers une démarche sans passer par l’assainissement de cette situation. Il faut assainir la situation institutionnelle et juridique pour préparer les bonnes conditions pour un retour vers le processus électoral. C’est ce à quoi nous appelons, mais le pouvoir refuse et veut aller immédiatement aux élections. Nous ne pouvons pas aller immédiatement vers des élections au risque de nous retrouver face aux mêmes résultats, c’est-à-dire confier un pouvoir absolu à un président – quel qu’il soit – sans avoir la garantie que demain, en tant que peuple ou citoyens, nous puissions contester ce président, parce qu’il aura obtenu la légitimité, le pouvoir absolu et personne ne pourra le contredire.

C’est pour cela qu’il faut assainir d’abord afin d’assurer l’équilibre des pouvoirs, l’indépendance de la justice et promulguer des textes de loi qui garantissent la transparence, l’égalité des chances, la compétition loyale et transparente pour tout le monde. Alors, le peuple sera confiant.

Le peuple qui manifeste depuis cinq mois ne veut pas changer que le président ; il veut changer le système. Il dit : «Je ne veux plus de ce système qui a permis à des gens de disposer du pays et de ses richesses sans aucun contrôle !». Il ne s’agit pas de changer des personnes par d’autres, mais plutôt changer les règles de la pratique politique, changer les règles de gouvernance, mettre en place des mécanismes qui garantissent la transparence, sortir de l’impunité et du pouvoir personnel. Ce n’est que sur la base de ces règles que nous pourrons bâtir la deuxième République.

L’état général du pays est inquiétant à plus d’un titre, alertent de nombreux observateurs : économie bloquée, droits de l’Homme bafoués, médias muselés… Quelle analyse faites-vous de cette situation ?

C’est vrai que c’est une situation qui commence à inquiéter tout le monde et c’est pourquoi, en tant que présidente de l’UCP, et depuis le début de cette révolution, je n’ai pas cessé d’appeler, y compris le chef de l’état-major à travers les médias, à ne pas perdre de temps. Nous aurions pu, durant ces cinq mois, avancer dans le dialogue. Nous avons perdu beaucoup de temps. Aujourd’hui, tous les signaux sont rouges : un chômage massif attend beaucoup d’entreprises, des difficultés d’importation des matières premières, le signal de nos partenaires étrangers, etc. Plus le temps passe, plus les problèmes vont se compliquer davantage. Il est temps de donner rapidement des signes pour aller vers une solution. Cette dernière ne va pas se concrétiser du jour au lendemain, mais il faut au moins aller vers un vrai dialogue, se mettre autour d’une table parce que la solution politique émergera du dialogue et ne saurait être l’apanage du pouvoir en ignorant totalement la classe politique et les messages du peuple qui manifeste depuis des mois à travers le pays et même dans la capitales occidentales.

Nous sommes tous inquiets et continuons à appeler le pouvoir à aller rapidement vers un dialogue global qui réunirait toute la classe politique, les représentants de la société civile et les représentants de la révolution, notamment les jeunes qui doivent être présents parce que c’est de leur avenir qu’il s’agit. Tout le monde veut faire des concessions pour le bien du pays mais pas pour le pouvoir.

Comment expliquez-vous cet entêtement du pouvoir à ne pas aller vers la solution cinq mois après le mouvement populaire ?

C’est la peur de la démocratie et la peur des responsabilités. Je pense que le pouvoir en place n’arrive pas à se projeter dans l’Algérie nouvelle, dans l’Algérie de la démocratie qui demandera des comptes à des responsables, qui rendra la vie politique et publique transparente. Les personnes qui ont dilapidé, volé les ressources du pays doivent rendre des comptes. C’est ce qui fait peur à certains dirigeants dans le pouvoir actuel. Mais je pense qu’ils n’ont plus le choix. Dans ce pouvoir, il y a des gens sensés qui savent décrypter ce qui se passe en Algérie. Ils n’ont pas d’autre choix que d’écouter la voix du peuple d’abord, mais aussi de dialoguer avec l’ensemble des partenaires politiques et sociaux afin d’élaborer une feuille de route pour sauver l’Etat algérien.

Propos recueillis par Mohamed El-Ghazi

 

 

Comment (46)

    Anonyme
    31 juillet 2019 - 6 h 51 min

    La democratie c est des institutions democratiques libres et independantes du pouvoir,c est un Etat de droit,c est la souverainete du peuple……et Mme Assoul a parfaitement raison……

    Observateur
    30 juillet 2019 - 23 h 07 min

    Madame Zoubida Assoul parle des généralités et des bonnes intentions. Cependant pour mettre en oeuvre ces bonnes intentions « démocratiques » il faut utiliser des procédés démocratiques. C’est vrai qu’il y a un consensus que le regime n’est pas démocratique et corrompu non depuis 20 ans (comme prétend certain) mais depuis au moins un janvier 1992. On peut pas être démocrate ou non selon les circonstances, dans ce cas c’est l’opportunisme et la démagogie. Une des conséquences du système politique c’est l’inexistence d’opposition politique fiable et crédible au yeux du peuple…En faite, l’opposition politique actuelle est un sous produit du système politique. Elle a été conçus dans les cabines noires de l’ex DRS. Des ex commis du pouvoir ce sont recyclés en personnalités nationales…parce que ils étaient écartés ou éjectés des centres des décisions et de la rente. De quelle société civile en parle…Qu’il est l’action de cette société civile dans l’encadrement des citoyens et dans l’éducation de la population…Rien.
    Pour preuve, s’il y avait une vraie opposition politique, d’authentiques personnalités nationales et une société civile active, le pays ne serait jamais arrivé à cet état de corruption et de délinquance
    D’un autre coté, il y a un pouvoir de fait avec ses institutions en fonctionnement. La légitimité de ce pouvoir de fait est contestée par une partie de la société. Les tenants de ce pouvoir de fait sont d’accord ce point.

    Il y a deux manières pour mettre fin à cette crise: le dialogue ou la confrontation.
    Le dialogue est le chemin long avec des résultats positives certains; la confrontation c’est le chemin court avec des résultats negatives certains…

      Anonyme
      1 août 2019 - 18 h 03 min

      Parce que avant janvier 1992, l’Algérie était démocratique ???

    nasser
    30 juillet 2019 - 22 h 03 min

    Hahaha! Pffft!
    Le pouvoir actuel donc! Parce que le précédent était plus démocrate selon Assoul! On vous disait que son équipe défendent le système déchu!

    Nasser
    30 juillet 2019 - 22 h 02 min

    Que l’on se rassure !
    M, Bensalah restera constitutionnellement le Chef de l’Etat jusqu’au Président qui sera élu par le Peuple !
    ASSEZ d’hypocrisie, de mensonges, de manipulation et de diversion!
    ___

    Les problèmes de l’Algérie ne sont pas MM. BENSALAH et BEDOUI que l’on ne cesse de citer!
    Comme s’ils étaient la cause des maux de l’Algérie !
    S’ils protégeaient (avec Gaid-Salah) les « hommes du système » que nos manipulateurs nous expliquent pourquoi ils ne font alors rien pour les délivrer, eux qu’ils présentent comme « le pouvoir » et/ou le « système »?
    Aucun de ces manipulateurs compromis (en réalité avec le système déchu) du FFS, RCD, PT, MDS, Djaballah, Sadi, Bouchachi, Assoul, Ait Larbi, Djillali, Tabbou et bien d’autres n’ont approuvé ou désapprouvé (en les nommant) les arrestations de Said Bouteflika, Médienne, Tartag, Hanoune, Haddad, Rabrab, Kouninef, Tahkout, Ouyahia, Sellal, Ould Abbas, Ghédiri… (pour ne citer que ceux-là). Environ 80 autres affaires sont en cours (parmi eux des ex- ministres, ex-walis, des députés, des sénateurs!
    On se cache derrière la trompeuse expression, passe-partout « libération des détenus d’opinion et politique » – faussement ‘droits de l’homme’, en guise de moyen de pression – pour ne pas devoir apparaître contre l’opinion publique quasi-majoritaire qu’exprime le « Hirak »(le véritable)!

      Chelabi
      30 juillet 2019 - 22 h 59 min

      Comment tu sais qu’il y a 80 affaires en cours?
      De deux choses l’une petit goinfre de kachiriste: Ou bien tu es un piètre menteur ou bien tu es le bouchkara des services. Dans un cas comme dans l’autre, cela fait de toi quelqu’un de peu d’honneur. Et tu oses lancer des hahaha!!!!
      Tu seras incha Allah la 81e affaire.

        Bisou
        31 juillet 2019 - 7 h 33 min

        Tous des « chacals « , le pouvoir en Algérie fait saliver la meute!

    Dz213
    30 juillet 2019 - 20 h 37 min

    Au depart tu avais soutenu le general leghdiri qui tout le monde savait qu’il était l’ami de Rab Eddzzair et certainement si il à était élu président tu seras une ministre ,rab eddzair et ses prophètes d’hier repronderont le pouvoir et l’Algerie redeviendra comme auparavant bled (ec…..kers),comme tu as laissé tomber leghdiri qui s’est retrouvé seul et en prison tu laissera tomber un autre. …j’espère que tu ne possèdes pas un Apt a paris,la hanouna du pt nous à vraiment ouvert lès yeux.

      Vroum Vroum ????..
      31 juillet 2019 - 17 h 38 min

      @DZ 213… ne generalise jamais…car tu fini par t’excuser toi même . .Certe le Candidat Ali Ghediri est un Général de l’armée qui a consacré la majeure partie de sa vie au service de l’Algérie et toi d’un revers de main tu arrives et le juge négativement , car il connaît le Général Toufic qui lui aussi a donné la majeure partie de sa vie au service du Pays.. Arrivé de Gaid Sallah Chef d’État Major et les met en Prison en jetant la suspension sue ces Généraux sur des motifs dont nous on ne peut affirmer !.. Mr Gaid Sallah Chef d’État Major était à Fond pour le Cinquième Mandat bidon et face au Hirak change en surface mais pas dans le fond puisque cela fait Cinq mois de face à face entre le Hirak et Mr Gaid Sallah Chef d’État Major , ce qui n’implique aucunement l’ANP dans son ensemble ..Si le Général Ali Ghediri est en Prison injustement c’est qu’il était en désaccord total avec Mr Gaid Sallah Chef d’État Major sur les revendications légitime du Hirak !!..la preuve cela fait Cinq mois que Gaid Sallah refuse le changement du Système , mais veut imposer « sa » solution.. Alors selon moi au vu des conférences et interview du Candidat Ali Ghediri , la solution au Hirak aurait déjà vu le jour …Quand au Général Toufic jamais je croierai qu’in a agit contre notre Pays l’Algérie , et c’est bien grâce au Général Toufic , Sain , Nezzar , Lamari ..ANP , qui ont sauvé l’Algérie de l’islamisme Wahabites Frères Musulman Fis/Ais , en prenant la décision de stopper la prise de pouvoir du Fis islamistes sur l’Algérie après 10 ans de guerre contre le Terrorisme islamiste Wahabite Fis/Ais… et maintenant certains voudraient sallir le Général Toufic , ou Le Candidat Ali Ghediri ou le Commandant de la Wilaya 4 ALN ..ces hommes sont en Prison sur des fait sûrement fabriqué car ils gênent ceux qui empêche la solution voulue par le Hirak.. Réécoute les interviews de Mr Ali Ghediri et après prenez position si besoin , mais de manière gratuite , de même pour le Général Toufic qui a donné la majeure partie de sa vie au service de l’Algérie.. de même pour le Commandant de la Wilaya 4 ALN… .C’est mon avis et Analyse personnel.

    mahboul
    30 juillet 2019 - 20 h 29 min

    certains doivent reviser leur cours de droit constitutionnel. il nn y a pas d autres moyens d d’exercer la democratie autre que les elections.madame la democratie ce n est ni crier fort ni etre mediatique.merci pour ces rappels basiques.com…com.com

    lhadi
    30 juillet 2019 - 19 h 19 min

    L’idiosyncrasie de notre compatriote se remarque par sa seule conviction, celle qui consiste à ne pas avoir de conviction.

    Au jour d’aujourd’hui, elle se refuse d’aller à l’élection présidentielle alors qu’il n’y a pas si longtemps, elle rejoignit, à l’instar de son illustre congénère, l’équipe d’un certain général-candidat à l’élection à la magistrature suprême.

    Toute posture anti-républicaine cautionne des marionnettistes qui ont créé un problème pour proposer leur propre solution.

    fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Chelabi
      30 juillet 2019 - 23 h 07 min

      Qu’est ce que c’est que ce charabia? On ne t’a jamais appris à l’école que ce qui est clair s’énonce bien.
      Le baragouinage ou le brassage de vent, c’est quand on a les facultés cognitives congelées.

      Anonyme
      31 juillet 2019 - 6 h 41 min

      @Lhadi 30 juillet 2019 – 19 h 19 min,je vois que tu as changé de camp et à présent tu soutiens les présidentielles le plus vite possible comme l’exige le nouveau fakhamatouhou et probablement organisées par l’équipe spécialiste de la fraude.

    Samy
    30 juillet 2019 - 17 h 13 min

    Mme Assoul a vu juste,ce pouvoir a peur de la démocratie et n’en veut à aucun prix.Il utilise toutes les ruses pour perdurer car il sait mieux que quiconque que l’avènement de la démocratie mettra à nu toutes ses tares qu’il tente de camoufler maladroitement en nous sortant la main de l’étranger et autres absurdités dont il a le secret.Le peuple dans son ensemble en a marre de ses tergiversations et nous savons tous qu’il ne se maintient que par la ruse et surtout la force brutale.

    Felfel Har
    30 juillet 2019 - 16 h 39 min

    ‘Le pouvoir a peur de la démocratie ». Pas que…; il a surtout peur d’avoir à rendre des comptes au Hirak. GS fait comme Bouteflika, il s’entête, il refuse d’entendre ceux qui lui disent de partir. Il finira donc comme l’homme qui rêvait d’un 5ème mandat. Balayé, interné, et ses amis traduits devant la justice!
    Ses injonctions ont peu de chance de faire changer d’avis au Hirak qui a pris conscience de sa force, de sa détermination, de sa discipline et de la justesse de ses opinions.
    GS, écoutez la voix de la sagesse qui nous apprend que tout est illusion et déception dans ce monde: « Vanitas, vanitatum et omnia vanitas » (Vanité des vanités, tout est vanité)! Ceux qui se croient grands, imbus de leur personne, ne se doutent pas que leur chute est imminente et brutale.

    Terre à terre
    30 juillet 2019 - 16 h 25 min

    Ce qui a changé : avant quand j’avais affaire à un juge,un douanier, un officier de police, de gandarmerie ou de la SM je ne la ramenais jamais car j’avais peur qu’on me mette à l’ombre et qu’on m’oublie. Maintenant plus personne ne m’impressionne et si j’estime que c’est le cas je lui dis ce que je pense. Il peut me mettre en prison comme il l’a fait pour Le COMMANDANT BOUREGAA, car je sais que dans quelques temps on va se croiser à la sortie ( pour moi) ou à l’entrée pour lui c’est selon mais c’est inéluctable.

    m9
    30 juillet 2019 - 16 h 17 min

    savez vous comment on s s’exprime en démocratie.com..il paraît que c c’est par les elections et seulement par des élections..com..com.

      Terre à terre
      30 juillet 2019 - 19 h 21 min

      Donc sous l’ère de boutef, c’était la démocratie puisqu’il a été élu 4 fois de suite par des élections.
      Qu-est-ce qu’on entend pas comme c…

      Chelabi
      30 juillet 2019 - 20 h 50 min

      Les élections c’est bien. Des institutions viables c’est mieux en démocratie.
      Même Staline organisait des élections. Et même régulièrement.
      Il te manque 7 pour faire M16 , tu comprends ce que je veux dire.

    Sidani
    30 juillet 2019 - 15 h 52 min

    Zoubida Assoul a raison  » d’une feuille de route pour sauver l’Etat algerien  » : une economie nouvelle et pas seulement de vivre qu’ avec le gaz et le petrole ! Un Parti presidentiel doit proposer un projet clair pour l’electorat en Algerie : baisse du chomage, reforme des instituts technologiques, investire pour l’agriculture , des projets touristiques d’avenir et une collaboration avec le Maroc et la Tunisie ! C’est au Parti presidentiel de choisir un homme d’envergure et de parler au peuple , qu’il soit riche ou pauvre !

    kahina-DZ
    30 juillet 2019 - 15 h 51 min

    La démocratie ?? C’est quoi au juste la démocratie ?? À quoi sert la démocratie si l’économie est à plat…
    Les Algériens aspirent à un ÉTAT DE DROIT FORT qui saura protéger leur droit droit à une vie équilibrée où chaque CITOYEN aura sa chance de réussir sa vie…Où la justice sera au service des citoyens et non pas au service des clans.

    La démocratie ne doit pas être synonyme de l’anarchie où chacun ne fait qu’à sa guise.
    La démocratie ne doit pas être synonyme du droit à la trahison à la patrie
    La démocratie ne doit pas être synonyme du non respect à l’ÉTAT ALGÉRIEN
    La démocratie ne doit pas être synonyme de la destruction des fondements de l’Algérie
    Et surtout et surtout…ne mêlez pas la démocratie à l’ouverture des frontières aux dealers marrouki
    Et surtout et surtout…ne mêlez pas la démocratie à l’arnaque du grand makhrab united.

    La démocratie ne doit en aucun cas toucher à la sécurité de l’Algérie.

    57
    30 juillet 2019 - 14 h 42 min

    Peur plus que de la démocratie c est la crainte de rendre des comptes a la justice

    Abdel1
    30 juillet 2019 - 12 h 35 min

    Madame,vous devriez le savoir,la demaratie n,est pas dans les genes des arabes

      ziribologhin
      30 juillet 2019 - 14 h 01 min

      D ABORD TU ETAIS DANS LE CONSEIL DE TRANSITION LORS DE L ANNULATION DES ELECCTIONS DES ANNEES 90 ET ça est un acte de pietenement de la democratie , en 2016 tu etais actrice d imposer la langue berbere par voie non democratique et normalement ça doit passer par un scrutin et un vote. je vois qu il ne faut pas parler de democratie car tu es la premiere à pietiner

        bicloo
        30 juillet 2019 - 15 h 22 min

        Pourquoi j’ai la certitude que tu es un badissi Novembri ?
        De Tanger a Jakarta … Ca doit te dire qlq chose?

        Ziri Warsenis
        30 juillet 2019 - 22 h 52 min

        Tu devrais porter le pseudo de Mo3awiya ibn abou Lkouf au lieu de souiller la mémoire des Zirides en émettant l’injonction de soumettre au scrutin leur langue ancestrale.
        Comme si, à titre d’exemple, la langue importée du Bedouinaland l’a été. Comme dit le dicton populaire 3ich tchouf ! Bien l’impression qu’on va devoir sortir le fly tox (khass machi ISO 9002, ma3lich) edhebbane k’ther hadh l’yammate sur AP, …. !

    Abdel
    30 juillet 2019 - 12 h 13 min

    hallo « elephan man » je vois que tu ne connais rien des années 90, par exemple tertag et le GIA et Toufik… Tu decrit des partis, ils ont une audiances et ils ont été choisi par une majorité du Peuple Algerien, ou tu acceptes le jeux democratique ou tu …. a toi de votre en tant que Algerien democrate si tu veux l’être biensur..

      DZ
      30 juillet 2019 - 15 h 39 min

      @ Abdel

      Je crois que tu n’étais pas dans le camp de l’Algérie durant les années des braises.

    Vroum Vroum ????..
    30 juillet 2019 - 12 h 11 min

    Ce qui me chiffonne avec Mme Azzoul c’est son entretien Téléphonique avec la Chaîne Islamiste Al Maghribya TV de Zitout et Benchnouf qui tout au long de l’année casse l’Algérie de tous les maux !.Entretien portant sur le Hirak..Cette Chaîne Islamiste Al Maghribya financé par le Quatar Wahabisme et reprise par Saouds Wahabisme Takfirisme qui dont le Directeur Général n’est autre que le Fils de Abassi Madani le Colegue de Ali Belhadj ex Fis /AIS (Armée Islamique du Salut ) qui ont mis le Pays à feu et à sang durant la Decenie Noire Islamistes Terrorisme islamiste… Quel est le lien entre les Islamistes Ex Fis Zitout et Al Maghribya Ben Chenouf basé à Londres et Mme Zoubida Azzoul !!.. Réhabiliter le Fis ? ..A savoir que Rachad de Dhina ex FIS basé en Suisse et Zitout et Al Maghribya Ben Chenouf basé à Londres sont tous financé par Saoudien Wahabisme qui eux même les valet de USA Otan Sioniste à l’origine du de la Destruction de la Libye et Syrie et Yémen ou Irak..ce qui a causé quand même des Centaines de milliers de cadavres et millions de réfugiés , l’oublions pas que cela fait 9 ans que la Syrie combat contre le Terrorisme islamiste Wahabite Frères Musulmans le bras armé de L’OTAN sioniste au profit d’Israël Usa Gb au Moyen-Orient !.. Alors Mme Zoubida Azzoul est-elle digne de Confiance après son Entretien Téléphonique sur le Hirak avec la Chaîne Islamistes Al Maghribya à Fonds Saoudien !..

    Ali El Vérité
    30 juillet 2019 - 11 h 35 min

    Mme Assoul vous etes naive;ou ignorante des gènes des Africains et surtout les Nord Africains,ils combattent la dictateur mais une fois ils arrivant ou pouvoir ils deviennent des Pharaons,des empereurs,des tirant;et meme des monstres,nous sommes pas fait ni pour dirigé des humains,ni memes pas les animaux,

      Anonyme
      30 juillet 2019 - 13 h 09 min

      Elle en parle justement, elle dit qu’il faut changer la constitution qui donne trop de pouvoir au président. Il faudrait donner la possibilité au parlement de le destituer s’il se met hors-la-loi comme cela existe dans de nombreux pays

    ABOU NOUASS
    30 juillet 2019 - 9 h 21 min

    Sa vision est tout à son honneur, comme celle de tous ces démocrates intègres, de bonne foi et qui n’ont jamais été dans le système.

    Son pragmatisme démontre que la majorité des algériens, les vrais, refusent de cautionner ce que les opportunistes impénitents veulent nous imposer.

    wallou , pas négociation sans les vrais tenants du pouvoir.

    La révolution vaincra.

    Zyriab
    30 juillet 2019 - 8 h 47 min

    Mme Assoul reste sur ses positions Deuxième République Exactement comme le veut M. Melenchon avec sa sixième République Donc il ne faut en aucun cas se libérer de la Métropole Cette dame exige de l’état des conditions Mais que peut – elle offrir en échange ou juste de la démagogie Aucune cohérence dans ce discours décousu sans réelle proposition Un dialogue n’est nullement une négociation Car pour une négo il faut poser sur la table des offres et cette dame comme le Hirrak n’ absolument rien à proposer sinon la tranquilité de la rue et elle reconnait qu’elle ne représente absolument personne et personne ne représente la rue Alors qui va dialoguer et qu’a -t-il à proposer au pouvoir ???

      Bonjour la référence !
      30 juillet 2019 - 10 h 43 min

      Mélenchon, ce égocentrique narcissique obsolète que vous citez en référence pour l’Algerie ! Êtes vous sure d’aimer l’Algérie pour nous proposer/ citer ce médiocre. Quelle honte !

        Anonyme
        30 juillet 2019 - 12 h 40 min

        Et le pouvoir illegitime depuis 50 ans,il represente commbien de personnes? Rien!

    Elephant Man
    30 juillet 2019 - 8 h 45 min

    « Le pouvoir a peur de la démocratie » nous dit-elle….
    Pour reprendre @Droits Humains jusqu’à quand allons-nous supporter ces puissants dictateurs habillés en burka démocratique.
    Pour reprendre @Djillo 02/07/19 : « À la même table d’un débat télévisé il y avait une quinzaine de personnes. Parmi elles, certains qui se font appelés « démocrates’. Je cite …..un certain Karim Tabou….Mme Zoubida Assoul, Mr Sofiane Djilali. Il y avait aussi Mourad Dhina, du mouvement radical Rachad, conglomérat des résidus du FIS, ainsi que le terroriste Guemazi au téléphone. Sur un grand écran dominant la scène le visage maudit du sanguinaire Abassi Madani. C’était sur la chaîne Almaghrabiya celle du FIS de p…C’était l’Algérie renversée, à l’envers. Ces soi-disant démocrates s’étaient joints aux anciens sanguinaires pour proclamer haut et fort que les assassins du FIS et des GIA sont les victimes et les Sauveurs étaient leurs bourreaux. Et dire que ces putaibs de démocrates Biuchachi, Tabou, Sofiane Djilali pour ne citer qu’eux osent nous parler de démocratie et sortie de crise ».
    Je ne reviens sur ce que j’ai déjà écrit sur mouwatana.
    Nous avons de penseurs et pas d’animateurs de rue-manipulateurs qui travestissent les valeurs de liberté et de Dignité.
    Quand ces vagabonds de la politique imposteurs auront un programme politique PRAGMATIQUE RÉEL, on en reparlera !

      Chelabi
      30 juillet 2019 - 9 h 47 min

      Et toi tu penses que Gaid Salah a un programme politique. Les éléphants ont bonne mémoire mais peu d’intelligence.

        Elephant Man
        30 juillet 2019 - 11 h 54 min

        @Chelabi et @MelloDRAME
        Vos propos n’engagent que vous et à bien y regarder vous siéent à ravir.
        Encore une fois à défaut d’arguments solides vous attaquez ma personne. Y’a que la vérité qui blesse.
        Apparemment vous c’est l’Alzheimer précoce l’exemple Libyen pour ne citer que lui ne vous a rien apporté.
        Quel est son programme politique PRAGMATIQUE RÉEL, si ce n’est amener le pays et son peuple à sa perte.
        Le pays n’est pas une épicerie de quartier !
        Discutaillez philousophez au lieu d’aller vers la modernité d’amener le pays et son peuple vers les avancées scientifiques et technologiques etc…non vous ce qui vous botte c’est le drapeau forchita le retour au moyen-âge plus exactement le néocolonialisme !
        Vous refusez tout consensus alors on ne vous propose pas c’est de la dictature on vous propose c’est de la dictature. Vous refusez le dialogue ne venez pas pleurnicher ensuite.
        Encore une fois ELEPHANT MAN en référence à l’excellent film de David Lynch avec John Hurt et Anthony Hopkins????
        Que vous ne soyez pas d’accord c’est un fait mais de grâce argumenter au lieu de l’insulte gratuite.
        Be seeing you ????

          Chelabi
          30 juillet 2019 - 12 h 40 min

          On a vu vos avancées technologiques et scientifiques. Comme programme vous nous offrez la rapine et comme alternative la Libye.
          Eh Ben nous, nous vous disons Dégagez ! plus de rapine et jamais de Libye . Personne ne vous a mandaté pour être nos tuteurs. Et personne ne vous demande de veiller à notre bonheur.
          Vous insultez sans cesse les gens et quand on décide de vous répondre sur le même temps et dans le même style vous nous accusez de manquer d’arguments. Et vous quels sont vos arguments pour nous convaincre de laisser ce système perdurer? 57 ans de faillites successives ne vous suffisent pas? Que voulez vous de plus? Nos enfants se suicident , se jettent dans la mer, vivent les affres du chômage pendant que les leurs ont de milliards de DA à la naissance? Pensez vous que cela soit normal. Celui qui ne dénonce pas les turpitudes est un Satan muet ( shaytan akhrass$. Ne soyez pas du côté des tyrans, sinon Dieu vous vouera à la géhenne.

          MELLO
          30 juillet 2019 - 13 h 49 min

          Jamais une quelconque attaque personnel sur celui qui ignore tout du seul principe démocratique qui est l’intervention et la contre intervention. Par contre les propos que tient elephant man sont de nature nauséabonde. Jusqu’a preuve du contraire cette Dame Maitre Assoul n’a jamais été dans le secret des Dieux pour pouvoir lui imputer la déchéance de ce monde qui nous ligote.
          Un consensus autour d’une élection présidentielle , je vous l’offre et faites en votre avenir. Une élection qu’ils ont annulée au mois d’Avril , maintenant , ils font semblant d’y retourner.
          Car au mois d’Avril , le seul candidat qui leur tient tête , ils ont tout fait et voulu l’éliminer.

          Elephant Man
          30 juillet 2019 - 14 h 53 min

          @Chelabi 12h40
          N’inversez pas les rôles relisez votre post. À nouveau je réitère vos propos n’engagent que vous et à bien y regarder ils vous siéent à ravir.
          « Dégagez tous » c’est un slogan à la BHL et vous faites quoi après le dégagez tous…..vous vous démocratisez à la mouwatana la bonne blague !
          Vos soi-disant démocrates ont-ils l’expérience de gestion de ministères ….si ce n’est leur bla bla bla la démocratie ceci le pouvoir au peuple cela ….CONCRÈTEMENT leur programme politique RÉEL ! Un pays ne se dirige pas avec des novices inexpérimentés sortis tout droit de nulle part ou pour certains d’officines étrangères.
          Quant à la Libye, vous vous imaginez que le pays vit sur une planète isolé en dehors de toute considération enjeu géopolitique géostratégique ?!
          Des personnes INTÈGRES des patriotes qui ont toujours oeuvré pour leur pays leur patrie leur peuple existent.
          Maintenant si vous refusez le dialogue pour le « dégagez tous » le Président Bouteflika hors jeu une fois que le chef d’État-Major Gaïd Salah ne sera plus de la partie le problème ce sera qui VOUS pardi !
          Pendant des décennies entières vous êtes restés les bras croisés et là « dégagez tous » pourquoi ne pas s’être organisé localement etc s’être investi sur la durée …un système ne se change pas en 2 temps 3 mouvements.

      MELLO
      30 juillet 2019 - 10 h 40 min

      La démocratie a l’Algérienne a , finalement, enfanté des elephants men , mais pas women , puisque la seule woman que nous venons de lire a un niveau bien au delà de ces elephants men.
      Ah !! S’il y avait des femmes et des hommes de la trempe de cette dame , jamais le terrain politique Algérien ne serait perverti , par des charognards.

        Elephant Man
        31 juillet 2019 - 6 h 11 min

        @Mello
        Ne vous fatiguez pas, je me rappelle d’un Algérien qui également vous a démasqué récemment son post étant plus que perspicace, de mémoire d’Elephant Man c’était un article sur le makhNazi sioniste.

      Djazaïri
      30 juillet 2019 - 15 h 21 min

      @Elephant Man tout le monde connait votre allergie à la démocratie. Entre son discours de démocrate cohérent et ouvert et l’intolérance et l’exclusion de votre « discours » le choix est vite fait!! Libre à vous de revendiquer la dictature mais il se trouve que des millions de personnes ont en marre de ce système!! Vous avez poussé le bouchon un peu trop loin! c’est pour ça que votre régime vit ses dernières heures! Les choses ne seront plus comme avant. Vous aurez encore le droit à la parole en démocratie, ne vous inquiétez pas. Mais vous serez minoritaire, un peu comme les nostalgiques de Franco ou de Pinochet qui manifestent de temps en temps en Espagne ou au chili

        Elephant Man
        30 juillet 2019 - 22 h 37 min

        @Djazaïri
        Je précise je me suis arrêté aux 3 1ères lignes de votre post son « discours tolérant »…AVEC LE FIS SUR UNE CHAÎNE MAKHNAZI SIONISTE bonjour la tolérance et des pancartes sionistes pur jus à la charlie hebdo de m…. « je suis mouwatana » à Panam, Londres chez leurs maîtres capitales du FIS par excellence.
        Que de crédulité.
        Je suis pragmatique ce n’est pas le baratin le bla bla la philousophie qui conduise un pays un peuple vers la modernité les avancées scientifiques et technologiques etc au risque de me répéter. Programme politique PRAGMATIQUE RÉEL !
        Regardez l’Iran même sous embargo depuis des décennies ils ont développé des technologies notamment militaires avancées drones etc fabrication locale. Les Iraniens ne philousophent pas ils travaillent mettent leurs compétences leurs cerveaux au service de la nation Iranienne de leur pays.
        Les penseurs les intellectuels les cerveaux ce n’est pas ce qui manque au pays, d’ailleurs les 2 dernières contributions de Mr Kaddour Naïmi témoignent de cet engagement citoyen à faire progresser le pays vers la modernité et ce quel que soit le statut social.
        Maintenant discutaillez manifestez ad vitam aeternam pendant les sociétés évoluent vers la modernité.
        Pas de proposition de dialogue c’est une dictature et proposition de dialogue c’est une dictature.
        Vous êtes anti-démocratique.

    Chelabi
    30 juillet 2019 - 8 h 40 min

    Propos maintes fois explicités sans jamais amener le système à fléchir.
    Le système sait tout cela. Il n’agira jamais de lui même pour aller vers une solution conforme aux revendications populaires.
    A mon Avis, il faudrait un panel choisi parmi ceux qui ont refusé l’option de Karim Younès. Ces gens qui semblent convenir au pouvoir ( puisqu’il les a choisis pour dialoguer) devraient élaborer une plateforme en 5 ou 6 points et demander audience directement à Gaid Salah. C’est lui la source de l’autorité, c’est donc à lui qu’il faut parler.
    La plateforme doit réaffirmer le principe d’une solution politique qui prenne en charge les revendications citoyennes. Elle doit aussi clairement réaffirmer que l”ANP a un rôle constitutionnel qui se limite à la défense de l’intégrité du territoire national. Gaid Salah peut continuer l’assainissement des rangs de l’armée en l’ expurgeant des résidus de Bouteflika, Toufik et Tartag.
    Enfin, nouveauté qui pourrait débloquer la situation, on pourra convenir d’une amnistie pour Gaid Salah et sa famille.
    Je pense qu’on pourrait accepter cette entorse à la morale, si elle peut sauver le pays. Je suis un peu gêné de parler d’amnistier quiconque de l’ancien système mais je ne vois pas d’autre issue .

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