Bouteflika, Gaïd-Salah et l’ex-DRS : retour sur un sabotage en quatre étapes

bouteflika Gaïd-Salah
Abdelaziz Bouteflika en compagnie d'Ahmed Gaïd-Salah. D. R.

Par Dr Arab Kennouche – L’Algérie entre-t-elle dans une phase tant attendue de curetage de ses services de sécurité ? La fuite spectaculaire de l’ancien secrétaire particulier de Gaïd-Salah, Gharmit Benouira et l’arrestation non moins intrigante du responsable du chef de la sécurité Intérieure (DGSI), Wassini Bouazza, sur fond de nomination d’un nouveau responsable, autrefois évincé, à la DCSA, Sid-Ali Ould Zemirli montrent toute l’étendue du mal causé au système de sécurité algérien par l’ancien chef d’état-major Gaïd-Salah. Et cette fois-ci, semble-t-il, il ne s’agit plus d’une question de gros sous ou de passe-droits comme le faisait entendre le concept de ‘issâba mais bien d’affaires de haute trahison concernant des informations ultrasecrètes de nature stratégique et militaire.

En effet, les dissensions profondes entre certains responsables de la DGSI agissant sur l’ordre de Wassini Bouazza, résidu ultra-dangereux des errements de Gaïd-Salah, et ceux de la sécurité de l’armée, montrent la forfaiture d’un projet antérieur qui visait non seulement à détruire l’ex-DRS, mais également à distiller le venin de la discorde au sein même des corps sécuritaires les plus sensibles de l’ANP. C’était très vraisemblablement le rôle des équipes de Bouazza que de mettre le feu au sein de la DCSA. Inutile également de préciser que toute la sécurité stratégique de la nation repose sur cette direction, la DCSA, que Gaïd-Salah a voulu détruire pour mettre en poussière l’Algérie indépendante. Preuve en est, la fuite d’un secrétaire responsable de l’état-major, Benouira, vers un pays qui sous-traite pour les ennemis de l’Algérie, avec la bénédiction et l’aide avérée de la DGSI de Bouazza.

Pour bien comprendre la situation actuelle, il faut retracer étape par étape l’agenda programmé de destruction de l’Etat algérien depuis 2004, date de la démission du général Mohamed Lamari et de son remplacement par Ahmed Gaïd-Salah.

Première étape

La première phase consista à se mettre en poche un chef d’état-major limité intellectuellement mais avide de pouvoir et surtout de lucre, comme le fut Gaïd-Salah. En contrôlant l’état-major de l’ANP, l’ancien président Bouteflika pouvait légalement et organiquement avoir la main sur tous les postes stratégiques de l’Etat. Après avoir éliminé la vieille garde nationaliste et patriote de l’état-major des années 90, dont Mohammed Lamari, et en plaçant un ambitieux limité dans des compétences régaliennes, le clan Bouteflika pouvait passer à la deuxième étape : le contrôle des services de renseignement du DRS, donc l’élimination de Toufik.

Deuxième étape

En procédant par à-coups, comme pour l’élimination de la vielle garde patriote à l’état-major, Bouteflika prétexta l’existence d’un décret présidentiel datant de Chadli, pour entamer une restructuration des services. L’objectif en soi n’était pas condamnable, s’il obéissait à une logique pure de restructuration, c’est-à-dire d’amélioration et d’adaptation des services. Sauf que la déstructuration entamée par Bouteflika ne fut jamais suivie d’une restructuration, même sous le couvert de la CSS, la coordination des services de sécurité, dirigée par Tartag. Car le véritable but non-avoué de cette couverture – on notera la ruse du personnage – fut d’éliminer encore Toufik, c’est-à dire toute la vieille-garde du patriotisme algérien. Jusqu’au quatrième mandat, l’objectif de destruction de l’Etat algérien, dans ses étapes primordiales était atteint : décomposition de l’état-major de l’ANP, décomposition du DRS.

Troisième étape

Comme prévu par un agenda exhaustif et étalé dans le temps, il fallait un jour ou l’autre éliminer Gaïd-Salah, car il faut bien comprendre que l’essence du programme consistait à occuper tous les postes stratégiques par des individus à l’idéologie irréprochable. Or, le bourru de Gaïd-Salah ne suffisait plus pour percer encore plus dans le système sécuritaire de l’Etat-algérien. Il fallait désormais que chaque personnage important de l’ANP s’abreuve de l’idéologie bouteflikiste et en fasse un continuum dans tout l’appareil sécuritaire afin d’aligner Alger sur les monarchies du Golfe. Il faut bien noter ce point idéologique important : choisir du personnel sûr en termes d’allégeance, qui ne regarde pas que le côté financier, comme Gaïd-Salah, mais la capacité à déraciner de l’ANP toute l’idéologie du 1er Novembre 1954 et du déclenchement armé de la Révolution algérienne. Le but étant le retour de l’Algérie dans le camp de l’Egypte, du Maroc, de l’Arabie Saoudite et des autres monarchies du Golfe. Un retour vers Camp David. D’où, également, la vaste campagne antiberbère, avec un racisme assumé par les plus hauts personnages de l’Etat relayé par des puissants médias qui manient les slogans, dont le mot «zouaves» qui a fait mouche partout, au sein même des hommes de gouvernement, sans oublier le racisme réitéré dans la presse nationale des Naïma Salhi et autre Kamel Rezig. Cette idéologie préconisait l’inoculation de ses ferments pour toujours dans les postes les plus sensibles de l’ANP, dont la DCSA. Et c’est la quatrième étape.

Quatrième étape

La quatrième étape est celle qui n’a pas eu lieu et qui se déroule sous nos yeux actuellement, avec de nombreux facteurs aggravants. Gaïd-Salah a été l’artisan zélé de la mise en place de Wassini Bouazza à la tête de la DGSI. Il faut bien comprendre que ce petit général obéissait au doigt et à l’œil à Saïd Bouteflika et son comparse Kouninef. Cependant, Bouazza est devenu quelqu’un lorsque ses commanditaires, Saïd Bouteflika et Kouninef, ont nourri le projet de reconstruction et de déplacement de toutes les bases de commandement de la marine, de l’aviation et de l’armée de terre situées à Alger, en accord avec Gaïd-Salah, qui signa le projet sans rechigner, avec une compagnie chinoise. Le but réel de ce projet d’infrastructures nouvelles pour les hauts postes de commandement était de récupérer tous les services de sécurité de l’armée avant d’éjecter Gaïd-Salah.

En contrôlant tous les commandements de l’armée sous le prétexte de bases militaires nouvelles, le clan Bouteflika aurait définitivement serré l’étau sur les derniers piliers de l’Etat algérien. Mais pour ceci, il aurait également fallu un cinquième mandat pour le clan et la nomination d’un général à l’état-major issu d’une région «sûre».

A. K.

 

Comment (41)

    Vroum Vroum ????..
    23 avril 2020 - 0 h 34 min

    Merci au Journaliste AP pour cet article fabuleux. Tout est dit… Et pour conforter l’article… J’ai llu y’a quelques années là déclaration du Sommet de l’Otan de Chicago, où il était question de Pays partenaires non membre de l’Otan, partenaire veut dire non membre car il faut être Européen mais vassal de l’Otan.. Et je me souviens du temps ère Bouteflika /Gaid Salah vu à l’aéroport Alger des Avions US Army.. Et des Militaires US avec nos militaires s’entraîner ou en manoeuvre… Et aussi niveau Marine… Alors en lisant l’article AP je pense que Bouteflika voulait un rapprochement avec l’Otan sur les pas des Bédouins de golf et Maroc, Égypte… Algérie pays partenaires avec Otan selon l’influence et orientation de Bouteflika… Petit à petit… À l’époque j’ai été étonné de voir des Avion Us Army sur le Tarmac Aéroport Alger, puis des Militaires US avec les nôtres… Heureusement que Bouteflika et son Compère Gaid Salah on sautés… Avec le temps on comprend mieux…

      Inane marsel
      23 avril 2020 - 10 h 51 min

      Je respecte l’opinion de Vroum Vroum
      Cependant moi je vois que c’est toute l’Algérie qui a été sabotée à travers un processus de sape et de dérive qui roule depuis 62.
      L’Algerie a été saboté dans sa propre chair son identité son histoire son amour propre sa société son intelligence ses richesses et son avenir.
      La raison c’est que le train de l’indépendance a été piraté dévoyé piller les espoirs déçus pour en arriver là où nous sommes maintenant.
      Continuer à tenir de pareils discours sur loran et autres c’est passer à côté de choses vitales
      Le pays est en train de couler
      Y a péril en la demeure au scouts au feu aux voleurs

    Yassine
    21 avril 2020 - 22 h 42 min

    Monsieur Arab , arretez vos manipulations . Les algeriens sont trop conscients pour se faire avoir avec ce type d’analyses « fumeuses ».
    Le pouvoir a toujours etait triangulaire . La face civile incarnee par la presidence et le pouvoir reel incarnee d’un cote par le DRS et de l’autre cote l’etat major militaire.
    Entre ces trois entites , les alliances et les trahisons se faisaient selon les interets et l’accaparement du pouvoir .
    Si la seule ideologie de l’ANP etait la defence du territoire nationale et des algeriens ; on sortira alors l’auberge .

    C'EST ( SI ) TEWFIK !!!
    21 avril 2020 - 20 h 19 min

    C’est tewfik et consorts qui nous ont ramenè , ce vendu de oujda … on paie les consequences .

    Fellag II
    21 avril 2020 - 18 h 43 min

    On apprend la coiffure sûr les têtes des orphelins, les vrais combattants de cette belle Algérie sont exterminés par l’occupant et le peu qu’ils restaient par leurs collabos, Mr Tebboune est un élève de Bouteflika, et toute ce bazar et règlement de comptes entre militaires, c’est le peuple qui va payé la lourde facture

    Anonyme
    21 avril 2020 - 16 h 23 min

    @ la nouvelle gouvernance ,etc,etc ce n,est pas avec les résidus d,un systeme anachronique que le pays va se moderniser

    Lghoul
    21 avril 2020 - 15 h 54 min

    La première vraie étape du planning du sabotage était pendant sa période d’absence de plus de 10 ans qu’il a passée dans les pays du golf ce que certaisn appelaient « sa traversée du désert ». Les 4 étapes sont simplement les phases d’exécution autour de lui pour éliminer tout ce qui pourrait le derranger dans sa besogne – les tikherbichines made in Algeria – . S’entourer d’ignards qui ne sauront même pas ce qui se passe autour d’eux. Pour que personne ne découvre le pôt aux roses, il a procédé étape par étape, mandat après mandat avec ses vrais « conseillers et confidents ».
    Comment court-circuiter et ignorer une si longue période au moyen orient d’ou est planifié le plan principal de destruction de l’Algérie en échange de soutiens pour un pouvoir a vie ? Il a failli donner le coup de grace au 5ie mandat. Le pharaon aller l’exécuter sans se rendre compte et tebboune a juré sur Dieu qu’il appliquera le « programme du président » jusqu’a bout « mahma kanet el ahoual », quelque soient les conditions. Que ceux qui l’appliquent nous expliquent alors son contenu. Qui vivra verra.

    Anonyme
    21 avril 2020 - 14 h 02 min

    Quand on met de la vermine marocaine à la tête du pays et des principales fonctions régaliennes ( y compris les services de sécurité), voilà ou on en arrive…

    DEMAROCANISER nos institutions et empêcher leur retour, voila une des missions prioritaires !

    Au passage, comme beaucoup, je constate l’invasion des marocains sur les forums d’AP..Se faisant passé maladroitement pour des algériens, ils poussent au pourrissement de la situation et accourent quand on parle des méfaits de leur race et de leur bordel misérable ( qui leur sert de pays) sur notre pays..

    J’attends avec impatience l’explosion sociale au Maroc, je viendrai mettre de l’huile sur le feu (…) alors qu’ils se contentent jusqu’à présent de leur statut d’esclave consentant..

      Anonyme
      21 avril 2020 - 14 h 19 min

      Effectivement cher anonyme…Tu as déjà agité en dislikes les fidèles lecteurs mokoko qui squattent en permanence le site de AP à la recherche de nos malheurs net déboires… c’est leur seul vaccin face à leur détestable situation de sujets marocains…

        RAYES AL V'HOUR
        21 avril 2020 - 21 h 23 min

        Donc l’ancien president , le general
        Liamine Zeroual etait le complice du
        Triumvirt , Boutesrika et Gaid Salah
        Pour discrediter Le General Toufik,
        Saadani on le sais transfuge tunisie
        Injecte au p.fln par le clan d oujda…
        La fuite des 2 autres etait un deal tacite de
        Ce Tebboune et son clan de l armee perchee
        Aux tagarins…
        La loi criminalisant les fake news est venu
        A point nommer pour mettre l algerie en coupe
        Reglee avec la benediction de la france …
        Les fuites des secrets orchestres par la complicite
        Des Gaid salah, Bouazza , Guernit et les traitres en
        Embuscade , sont la preuve que l Algerie seras
        La prochaine cible apres la Libye…surtout
        Apres le coup de grace porter contre Ramtane
        Lamamra au conseil de securite , USA et
        Principautes arabes de guenours et gandoura
        Genre m.106 le mokoko…
        Tenons nous alertes…
        Peuple Algerien…
        Liberons nous de la pegre traitresse…

    Anonyme
    21 avril 2020 - 13 h 40 min

    Autrement dit nos militaires étaient en guerre. Et sans que nous le sachions, ils se faisaient la guerre entre eux. Et c’est ainsi que nous sommes gouvernés depuis 58 années ! DGSI, DCSA, DRS, CSS, AGS c’est donc là que se situe donc le pouvoir ?
    On comprend mieux pourquoi le reste est en quasi faillite, l’éducation, l’économie, la santé, la recherche scientifique, l’agriculture et tout ce qui fait un état en quête de progrès pour le bien du peuple et non une république déliquescente de bazar. Heureusement que nous avons eu du pétrole pour tenir le coup.
    A moins que le scénario que déroule Monsieur le Dr Arab Kennouche soit de la pure spéculation. Ce qui ne change rien au résultat, évidemment, car les bonnes volontés et les compétences ont depuis longtemps renoncé à participer à ce grenouillage ou bien elles ont mis les voiles pour aller ailleurs.
    En vérité, devant ce théâtre minable du pouvoir algérien que décrit l’auteur de l’article, que reste-t-il de cette Algérie qui avait montré au monde entier courage et abnégation pour se libérer du colonialisme et retrouver la dignité? Que reste-t-il de cette immense espérance des années 60 où tout nous semblait possible ? Il reste le pétrole brent à 22,05 $ le baril qui implique aujourd’hui la faillite du budget de l’état algérien.
    Il reste principalement une société en souffrance à laquelle on sert (et on a servi) encore et toujours les mêmes discours lénifiants et inutiles rappelant notre passé pour nous faire oublier le présent. Cette période actuelle, déjà difficile pour les pauvres et les malades, que va-t-elle nous réserver si cette gouvernance n’a de souci que de chamailler et d’oublier le peuple dans ce moment de grand chambardement mondial?
    Ce n’est même pas de sabotage dont il s’agit car cela voudrait dire que tout ces gens voulaient couler notre pays, c’est tout simplement le règne de l’incompétence et de la corruption sous la protection d’une caste militaire enivrée par le pétrole et dépassée par les réalités économiques de ce XXI° siècle. Comme le disait un marin de mes amis : T’as beau avoir des canons anti aériens, des lance-missiles et des lance- torpilles, des radars sophistiqués, etc. … si tes marins ne sont pas motivés et que ta frégate prend l’eau par manque d’entretien, c’est le naufrage assuré.
    PS: Monsieur le Docteur vos propos semblent porter atteinte à l’image de l’Etat et à la probité de ses cadres et me font, par ricochet, en faire autant. Nous risquons d’être sanctionnés par M. Tebboune pour avoir lancé des fake news…témoignant néanmoins de la triste réalité que nous vivons.

    Anonyme
    21 avril 2020 - 13 h 38 min

    Ils se valent tous, ceux que vous appelez « vielle garde patriotique » sont à l’origine de la situation actuelle. Il n’a échappé à personne que cette « vieille garde patriotique » s’est enrichie en utilisant des prête nom, Tewfik et monopole accordé à Rabrab pour le sucre et l’huile, pour ne citer que ce cas connu en sont une illustration flagrante; Vous devriez lire la mafia des généraux avant d’affubler cette vieille garde du qualificatif de patriotique

    Anonyme
    21 avril 2020 - 13 h 07 min

    Les déplacements fréquents de nos généraux aux Émirats arabes unis sentaient mauvais….
    Quelle est le rôle de ce minuscule pays dans la débandade de nos services de renseignements ??
    Y avait il des réunions secrètes avec les véritables décideurs réfugiés dans ces pays du moyen Orient?
    L enjeu primordial de ces décideurs était de garder l Algérie dans le giron arabe et musulman et les revendications de la révolution du peuple du 22 février 2019 qui étaient la reconnaissance d une identité amazigh et non arabe et la suppression de l islam comme religion d état ,les a surpris par son ampleur et sa résistance malgré les nombreuses arrestations .
    Le clan islamiste a voulu vendre le pays en s appuyant sur ces forces maléfiques qui n ont de musulmans que le nom,ce n est que des commerçants vils et odieux..
    L Algérie gagnera à s éloigner de ces monstres en affirmant sa vraie identité et la liberté de la foi de son peuple!!!
    Nous sommes un peuple millénaire fier de toutes nos influences mais libre de son destin…

    Anonyme
    21 avril 2020 - 13 h 06 min

    @ IcialG,
    Sabotage du mot sabot, un ouvrier dans le temps, fatiguė avait incrustė son sabot (chaussure d’antan) pour coincer les roues d’une machine dans une fabrique, d’ou le verbe saboter! Il l’avait sabotė!!!

    LotfiALN
    21 avril 2020 - 12 h 01 min

    Les premiers signes de la trahison et de la mise en place de la stratégie de l’implosion du pays ne datent pas d’hier !
    Le renégat boutef avait opté pour la méthode Maroki !
    Par étapes !
    – Le Sahara, le Mali …l’Afrique, le Sahel…offerts sur un plateau à la françafric, marokistan…sur ordre de la racaille boutef !
    – Le saignement du trésor public et le bradage de l’industrie algérienne (Ouyahia, Sellal…) : céder le foncier au dinar symbolique, octroyer des prêts par les banques publiques aux émiratUs Qatari …
    – créer la dépendance de l’Algérie tout en vidant ses caisses par l’arme fatale de l’importation sauvage
    -attaquer le système immunitaire du pays: l’ANP et les ldifférents services de sécurité : en particulier le DRS!
    – permettre à le françafric ( Israël marokistan…) de s’installer confortablement au Sahel !
    – la neutralisation de notre force de frappe dans ces zones: l’ex du général Hassan en est le symbole !
    Et tant d’autres choses !

      Anonyme
      21 avril 2020 - 13 h 38 min

      Je suis complètement d’accord avec le Dr Kenouche, il faut rappeler reb dzayer alias Tewfiq.
      Pendant 30 ans il a montré son amour de l’Algérie et des algériens…Et il a délicatement accueilli et protégé Bouteflika…Ne soyons pas ingrat.
      GS lui est responsable unique de tous les maux de l’Algérie depuis 2000 ans…Passons à l’avenir, Reviens Tewfiq avec tes subalternes, vous avez toujours fait du bon boulot !

    ABDEL 1
    21 avril 2020 - 11 h 58 min

    la justice retrouverait un peu de crédit,en convoquant le principale responsable de la dévastation du pays !! par ailleurs,l’enracinement de cette culture de la corruption parmi les politiques et les décideurs a l’intérieur de la societé,ne pourra etre endiguée que par l’application de la peine de mort,pour ceux qui, par leurs agissements corruptifs,mettent en danger le pays ;..si non,ce pays ne se relèvera JAMAIS ;!!.

    Malox
    21 avril 2020 - 11 h 47 min

    @belveder, elephant, zoro, tamourth, kahina, lhadi, lotfifln gardez la bouche grande ouverte, j’ai un gros morceau de cachir à vous offrir avec un billet de 500€…

    Marcus Leo
    21 avril 2020 - 11 h 43 min

    Depuis 1962, tous les dirigeants de l’Algérie ont été incapable de consolider notre indépendance chèrement acquise, c’est dire leur mépris du sacrifice de tout un peuple pour sa liberté. Ils n’ont été que de vulgaires démagogues assoiffés de pouvoir, ils n’ont été ni magnanimes ni altruistes et encore moins pragmatiques dans leur gouvernance, ils se sont comportés comme des maîtres à l’égard du peuple qu’ils ont traité comme des sujets et non des citoyens. Leur fuite en avant nous a mené dans une impasse, ils ont entravé la marche du pays de boulets politiques, économiques, idéologiques qui l’ont rendu dépendant et vulnérable. La rente pétrolière, l’arrimage au monde arabo-musulman, l’allégeance aux puissances dominantes en fonction des intérêts particuliers des uns et des autres ont façonné le pays comme on confectionne un mensonge. Leur but est à l’image de leur personne, misérable et pitoyable sans aucune grandeur d’âme, le bilan de 60 ans d’indépendance n’est que le reflet de leur médiocrité morale et intellectuelle. Aucun dirigeant n’a eu la clairvoyance et l’intelligence de mettre à profit le courage et la capacité du peuple algérien à relever les défis, qu’il a maintes fois prouvé, pour faire de l’Algérie un pays respecté et respectable, en un mot elle n’a jamais eu un chef d’état digne de ce nom, juste des margoulins. L’histoire malheureusement est ainsi écrite pour le moment, ces individus sans scrupules n’ont fait que profiter des traumas que la population a enduré; colonisation, guerre de libération, dictature baasiste, décennie noire, ils l’ignorent mais qu’ils le sachent toutes ces épreuves n’ont pas tué le peuple bien au contraire cela l’a rendu plus fort, c’est juste une question de temps mais plus rien ne sera comme avant, leurs jours sont comptés. L’histoire de l’Algérie est bien trop grande pour leur chétive carrure. J’aurais juste un seul vœu, que l’on vide le cimetière d’ El Alia de tout ces traitres et que l’on débaptise tout les lieux de l’infamie que représente leur nom pour un endroit plus à la hauteur de leur personne là où finissent les ordures.

    Hmed hamou
    21 avril 2020 - 11 h 36 min

    Ou comment l’opportunisme poussé à son paroxysme dans les laboratoires de frankenstein a enfanté un monstre contre nature nommé badissisme-novembrisme…
    Il se reconnaît d’entre mille, brillant comme un miroir de bordel, le mutant est en tout temps et toutes saisons drapé de sa bigoterie, tous les jours à faire étalage et commerce de patriotisme, dans le commerce de gros; un commerce sans mesure, sans balance et sans poids. Peut importe le contenant, peut importe la quantité, tout est à prix unique. Vu que c’est du vent, mais du vent parfumé.
    Chez le mutant , rien dans les actes, tout dans le vent. Mais, du vent qui laisse des traces bien tenaces, même de la crasse…
    Pour les curieux intéressés, sachez que pour le mutant, ça lui coûte pas qu’un rot, tout au plus un pet. Quant à vous…faites vos comptes. Il y en aura toujours qui trouveront leur compte…

    Hocine-Nasser Bouabsa
    21 avril 2020 - 11 h 29 min

    @ Arrab Kennouche

    Je ne sais pas quelle est votre relation émotionnelle avec l’ANP. Je mon côté je peux vous assurer que je suis né dans un refuge d’une « kasma » ALN et que j’ai passé mon enfance et une partie de ma jeunesse dans l’environnement des casernes de l’ANP, à travers tout le territoire national.

    Votre contribution est un essai mécanique. Elle est très loin du véritable problème, qui est d’une autre nature et qu’il vaut mieux ne pas dépoussiérer, en espérant que les générations futures ne sentiront plus ses effets.
    La nouvelle génération des officiers de l’ANP est à l’image de la société. C’est cette dernière qu’il faut blâmer dans son ensemble.

    Saïd Bouteflika et son clan manœuvraient certes, mais ils n’ont jamais eu de pouvoir sur l’ANP. Aussi bien Mohamed Lammari que Gaid Salah (Allah yarhamhem fi zouj) étaient des remparts imprenables contre les plans diaboliques de ce clan mafieux.

    Souk-Ahras
    21 avril 2020 - 11 h 19 min

    رسميا

    – dans son démenti du 18 écoulé, le MDN s’adressait précisément aux réseaux ulta-réactionnaires de Zitout et Aboud. Ces derniers ayant cité des noms d’officiers non concernés par le nettoyage effectué au sein des corps sécuritaires. Le but recherché dans cette manipulation étant de créer une confusion généralisée au sein de l’institution militaire à la tête de laquelle se trouve Tebboune.
    – la cause du décès du sragène Garcia est mise en doute. Le poulpe (Gharmit) en saurait quelque chose et serait en « lieu sûr » mais « probablement pas aux EAU ».
    – l’idée d’exfiltrer bouteflika afin de lui éviter le tribunal populaire est à forte probabilité. Certains « observateurs avertis » pensent que c’est déjà fait.
    – Lachkham est aux arrêts (cuisiné dans le jargon usité). Bouazza est en prison avec ses principaux « lieutenants » donneurs d’ordres.
    – Ça chaufferait du côté du ministère de l’injustice dont les liens directs avec les généraux mafieux sont plus qu’évidents. Dont la loi sur la criminalisation des « fakes news » tient de cette tentative de manipulation à grande échelle initiée par le gang des généraux mafieux.
    Indices subséquents :
    – aucune d’arrestation depuis l’annonce et libération de plusieurs détenus d’opinion.
    – des voyageurs par route témoignent que les « barrages » habituels dressés par les gendarmes ne sont plus de mise.
    – la police n’intervient plus lors des distributions houleuses de denrées et d’argent.
    À suivre.

    tahar
    21 avril 2020 - 11 h 01 min

    Vrai cher Secret Defense: il faut creer des camps de TRAVAUX FORCES (au sud au point 1010) pour tout ces traitres ( Bouteflika and co ) ,generaux mafieux ,ministres corrompus ,dealers de drogues,criminels recidivistes,car les prisons sont devenues pour eux des hotels a la prise en charge par le tresor public,en meme temps soulager les prisons deja surchargees.
    c est ca les vrais reformes du systeme penitencier,ya si Zeghmati,( Mr fake news) et on commencant par liberer les innocents du HIRAK qui n’ont rien vole ou dilapide

      Zenaty
      21 avril 2020 - 11 h 52 min

      Vive la Liberté. Vive L ALGERIE AVANT TOUT UNE DEUXIÈME RÉPUBLIQUE DE CITOYENNES ET DE CITOYENS DU Nord au Sud et de l Est à l’Ouest Unis Pour le Meilleurs et le Pire… VIVE L ALGERIE AVANT

    icialG
    21 avril 2020 - 10 h 44 min

    ILS SABOTENT ILS SABOTENT MAIS ILS NE CONNAISSENT MÊME PAS L ORIGINE DU MOT SABOTAGE ,,,,un indice « pied »

    lhadi
    21 avril 2020 - 10 h 21 min

    L’exposé du contributeur prendrait plus d’épaisseur, s’il avait mis en évidence les attributs de l’Etat algérien auquel manque des « caractéristiques « modernes » que la nouvelle gouvernance se doit de s’atteler à les rendre effectives.

    « il n’y avait plus d’Etat ». dixit un ancien premier des ministres, au jour d’aujourd’hui, en « villégiature forcée ». Il me semble que ce cacique voulait dire au sens où l’entendent les anthropologues politiques, est-ce toujours un véritable Etat ? ou comme, pour Max Weber, » le type d’Etat achevé est l’Etat légal-rationnel ».

    L’idée d' »entreprise politique de caractère institutionnel » est un critère d’autant plus important qu’il renvoie à un thème central : celui de la rationalisation. C’est donc sous cet éclairage que l’on doit passer en revue le concept de l’Etat patrimonial dont le patrimonialisme est, à mes yeux, une forme politique issue du principe patriarcal. Le trait majeur qui se dégage dans cet Etat, est la faiblesse de l’institutionnalisation du pouvoir d’Etat. Au pouvoir du prince, il est peu de contre-pouvoirs autonomes instituts.

    Le concept de néopatrimonialisme garde un sens, dans la perspective webérienne, si l’on circonscrit à l’analyse de l' »Etat algérien » où, derrière une éventuelle façade d’institutionnalisation, demeure la réalité d’un pouvoir personnel, orienté vers la satisfaction d’un clientélisme familial élargi (au clan ou à la tribu), échappant largement aux contraintes du droit écrit, et entretenant, dans ses pratiques administratives, une frontière ambiguë entre la sphère privé et celle du public.

    L’Algérie a constitué le terrain d’élection de cet idéal-type qui a est l’origine de tous les maux que dévoile, entres autres, le contributeur.

    C’est dans la stabilité et la paix, qu’on pourra s’attaquer, véritablement, à l’Etat patrimonial qui a permis l’émergence d’une république de copains et de coquins que la majorité silencieuse réprouve à juste raison.

    Fraternellement lhadi
    (lahdi24@yahoo.)

      lhadi
      21 avril 2020 - 14 h 38 min

      Bien lire 1/ ..contre-pouvoirs institués. 2/..idéal-type qui est à l’origine de… – merci –

      Fraternellement lhadi
      ([email protected])

    Karamazov
    21 avril 2020 - 10 h 17 min

    Iben moua sek j’ai compris dans cette scintillante contribution c’est que les Boutefs sont victimes d’un complot qu’ils ont ourdi à leur profit contre-eux-mêmes à leur insu.

    Ils ont joué à la roulette russe a balles réelles en croyant que c’était des balles à blancs .

    Cela est illustré par la tentative d’évincement de GS qu’ils ont utilisé pour éliminer Toufik que Said Boutef a rappelé pour sauver leur propre complot.

    Puis Said Boutef a rappelé Toufik avec la caution de Tata Louiza qui lui a servi de chèvre pour le convaincre qu’il s’agit vraiment d’éviter au pays de sombrer à cause d’un complot contre un complot moins dangereux que lui.

    Ardjaw je sais que c’est difficile à comprendre c’est pour ça que je vous splik sinon vous allez croire qu’il ne s’agit que d’un règlement de comptes entre petites frappes au sujet d’un magot que chacun voudrait s’accaparer.

    Imaginez un jeu de billard ou on essaye d’atteindre une boule en tapant sur une autre dont le but est de gagner la partie.

    Ou un vaudeville où les bons et les mauvais rôle sont interprétés alternativement au gré des changements qui surviennent à l’insu des acteurs.

      Zaatar
      21 avril 2020 - 15 h 11 min

      J’ai déjà perdu la boule cher Karamazov…

    opinion
    21 avril 2020 - 9 h 39 min

    Boutef ,saadani , khelil et autres mafias toujours libres. Les jeunes innocents hirakist toujours en prison alors ya t’il vraiment une difference entre tous les pouvoirs depuis 62 ? Non.

    Amascha-Hô
    21 avril 2020 - 9 h 36 min

    La politique est essentiellement une affaire de contexte et de circonstance. La bonne intelligence est de savoir placer la bonne action entre ces deux situations.

    Ce qui s’est passé en 2019 en Algérie, ce n’est pas ‘essentiellement’ l’œuvre du Hirak en tant que mouvement sociétal mais la somme de beaucoup de circonstances bien antérieures au jour J de notre grande révolution.

    Abdelaziz Bouteflika nous a été imposé par des puissances régionales à l’orée du XXIème siècle en rapport exclusif à la géopolitique de l’époque. Il a été ‘réélu’ en 2004 sur le même schéma et principe.

    Les choses auraient pues évoluer autrement à la suite de l’hospitalisation de Jacques Chirac au Val-de-Grâce en septembre 2005, qui a provoqué par effet domino celle de Abdelaziz Bouteflika évacué au même lieu deux mois plus tard. C’était sans compter sur… Nicolas Sarkozy.

    On peut tourner des lustres sur des généralités qui ne font que nous distraire de l’action essentielle qui est celle de mettre à plat la cause principale et fondamentale :

    Demander les comptes de gestion de l’Algérie à Abdelaziz Bouteflika en ces moments même de contexte singulier et de circonstances particulières.

    Demain il sera trop tard. ck

      @Amascha-Hô ! (commt.09h36)
      21 avril 2020 - 11 h 39 min

      Je me suis rappelé les contes que nous racontaient nos grands-parents pour nous endormir (bonne nuit les petits) et j’ai failli piquer du nez !
      Donc, si j’ai bien compris, l’Algérie a été paramétrée par l’ennemi, un peu à la manière de nos usines clés en mains, dont la maintenance est toujours assurée par le fournisseur, ce qui nous condamne à la condition de simple consommateur dans notre propre pays et avec notre aval.
      On comprend donc, que même Boutefe n’est ni responsable, ni coupable, ce qui explique le silence assourdissant de tous ceux qui sont jetés en prison, car le vrai patron est ailleurs.
      Mais alors, le Hirak doit rejoindre de toute urgence les Gilets jaunes pour ses revendications, mieux vaut s’adresser au bon Dieu qu’à ses saints.

    Chaoui
    21 avril 2020 - 9 h 11 min

    Un mot, un seul : quelle désolante tristesse.
    L’argent corrompt TOUT, au point d’en faire oublier nos idéaux, valeurs et principes !
    Elle est où la fière Algérie Révolutionnaire de 54 !!!
    Il est révoltant qu’on ait pu ainsi laisser faire une poignée de hâbleurs mettre à ce point en danger l’Algérie, son Peuple, notre avenir comme notre souveraineté !
    Du haut de ses 86 ans – que Dieu lui prête vie encore longtemps -, mon père à Khenchela en pleure. Et moi avec lui.

    Ok
    21 avril 2020 - 9 h 09 min

    Toufik n’a jamais etait un patriot et ni son DRS un avide de pouvoir cme GS. Il a fait eliminer tous ceux qui le gene et il est complice de tous les malheurs que le peuple endure .ya jamais eu de patriots ds le groupe d’oudjda a sa tete boumedien qui est au pouvoir depuis 62 jusqu’a ce jours Ils sont tous pareille que le pouvoir et la force.boutef la cerise sur le gateau.

    Belveder
    21 avril 2020 - 9 h 05 min

    Avec Tout mon respect et mon sérieux Il y a autant de lecture et d interprétation sur la situation de l institution militaire que d auteurs et de tendance..les Alliances se font au grès des circonstances depuis surtout les années 90..elles sont dénoncés par ceux même qui les scellant..comme des Années après quan on rebatisait les rues et on décidait que des martyrs devenait du genre au lendemain indésirable..

    Il y a un Hic !
    21 avril 2020 - 9 h 05 min

    1) Comment expliquer l’amnésie de Toufik vis-à-vis des bouteflika, sauf à le déclarer atteint du syndrome de Stokolm, pour un grand garçon comme lui, ça paraît relever du grand n’importe quoi ?

    2) D’autre part, un Gaïd Salah qu’on dit de niveau ardoise mais qui arrive quand-même à damer le pion à tout ce compte l’A N P et le D R S de grands Mokhs nous paraît relever de l’amateurisme de cour de
    récréations. Et la cerise sur le grand gâteau, c’est tous ces grands Mokhs qui lui organisent des funérailles
    grandioses dignes d’un chef d’Etat, voire même d’un roi. Et on le voit encore, à l’instar de Fakhamatouhou, son entourage reste quasiment intouchable.

    3) La question qui nous vient naturellement à l’esprit, est-ce qu’on s’appartient encore ?

    Choisir entre PolPot et les khmers rouges
    21 avril 2020 - 8 h 50 min

    (…) Les anciens généraux croyaient extensible leur pouvoir sur la machine donc avaient « délégué » en leur octroyant des marges, mais en sous main.
    L’Etat militaire ne peut etre démocratique, nous faire choisir entre anciens militaires- qui assassinèrent des algériens physiquement mais aussi culturellement et leurs subordonnés- que tous savent etre juste des pret-noms, c’est prendre le peuple pour des canards sauvages.

    Moi News
    21 avril 2020 - 8 h 42 min

    Ne tourner pas autour du pot,a part les naifs,les traitres,les opportunistes,et les ripoux,qu’ils ne savaient pas comment le fils de collabo Mr Bouteflika a été choisi pour lui offrir l’Algérie et ses richesses,pour une grande majorité d’Algériens connaissaient leur noms et leur passés dans l’armée de libération,nuance l’Algérie n’a jamais était libre et indépendant,après juillet 1962 s’était le régime du défunt Benbella sous l’influence Egyptienne;après 1965 le défunt Boumediène sous l’influence Russe,après le défunt Chadli et l’influence Française et Marocaine,pour la période du Mr Zeroual il a démissionné parce que il ne voulait d’aucune influence,et puis après c’est le plus grand des grands des traitres de l’univers qui prend les règnes,comment confié un pays révolutionnaire à un fils de traitres c’est ceux qui l’ont choisis sont aussi des traitres ou des fils de traitres,est je mettrais ma main aux feux,Bouteflika à toujours dit je ne veux pas des dirigeants intelligent,je veux des dirigeants obéissant cela veut dire tout,a mon avis le défunt Gaid Salah il n’était pas un traitre,plutot un berger ignorant tètu et mégalomane, un vrai bandir il faut le chauffé pour l’utilisé et c’est les élement qui adore les traitres comme Bouteflika,il suffit de faire un constat sur les proches et les hommes de confiance de Bouteflika la majorité se sont de sa région et le restes se sont des demeurés

      Le Chant Des Cygnes
      21 avril 2020 - 14 h 17 min

      Au modérateur et responsable du site,
      Vous nous autorisez à répondre à ce sieur lotfi Aln avec parcimonie !
      Par contre lui traitant les contributeurs de ce site de rats ou même de «  »pouf » » sur cet article même ne pose apparemment pas de problème ?
      J’essaie de répondre avec correction même si je fais beaucoup dans l’ironie, mais delà à laisser quelqu’un se défouler sur les autres sans aucune possibilité de réponse est injuste.
      Merci et bien à vous.

        Anonyme
        21 avril 2020 - 19 h 19 min

        Ce n’est pas les pouces en bas qui va m’influencer à changer d’avis où d’opinion H’na Imoutt Kaci, en une seconde 38 pouces en bas à part les nouveaux Harkis personne n’est capable

    Secret Défense
    21 avril 2020 - 8 h 30 min

    Ainsi donc fut planifié le démantèlement de notre armée et la mise à genoux de la Nation par ce nain de jardin avec, bien sûr, la complicité passive du traître AGS.
    Voici donc le véritable patriotisme de certains généraux qui se sont sucrés sur le dos du peuple.

    Offrir sur un plateau doré un si grand pays à nos ennemis jurés mérite à juste titre la pendaison immédiate ou la prison avec travaux forcés dans les confins du grand Sud.

    Va falloir que notre armée , la vraie , veille au grain et se restructure à la base.

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