Le traitement médiatique de la pandémie du Covid-19 contribue à la fabrication de la peur

militaires pandémie
Le combat contre le Covid-19 ne se mène pas par la militarisation de de la vie quotidienne. D. R.

Contribution de Mesloub Khider – Nous sommes en guerre, martèlent les gouvernants de la majorité des pays en proie à la pandémie du coronavirus. Aussi, en guise de riposte médicale pour protéger leurs populations respectives, avaient-ils plutôt décrété paradoxalement le confinement de leurs populations, instauré le couvre-feu, avec une restriction drastique des libertés individuelles, la prescription de la fermeture des établissements accueillant du public (cafés, restaurants, cinémas, théâtres). Dès le déclenchement de la pandémie, avec une rhétorique guerrière propre à enflammer la fibre patriotique, on s’attendait à une déclaration de mobilisation générale pour combattre l’envahisseur viral.

Or, les téméraires dirigeants des différents pays, au lieu d’aligner une armée (sanitaire) pour protéger la population contre l’ennemi (viral) ou d’appeler la population à s’armer (médicalement) pour affronter l’envahisseur contagieux, avaient invité, de manière machiavélique, leurs populations respectives à se calfeutrer chez elles, à se confiner, comme au temps du moyen-âge, faute d’équipements sanitaires et moyens médicaux, décimés ces dernières décennies par ces mêmes dirigeants, au nom de la rigueur budgétaire instituée pour muscler davantage la vigueur du capital.

Faute de moyens sanitaires et médicaux pour enrayer la propagation du coronavirus, les Etats avaient-ils stratégiquement placé la riposte sur un terrain militaire, comme s’il s’agissait d’une guerre à mener. Cette logique belliqueuse demeure encore aujourd’hui leur feuille de route, pourtant largement responsable de l’actuelle déroute. (D’aucuns affirment que la stratégie sécuritaire de confinement, actuellement mise en œuvre, constitue la répétition générale de la politique de bunkérisation des populations, opérée dans la perspective de l’imminente guerre bactériologique en préparation par les principales puissances impérialistes rivales, autrement dit Alliance Atlantique contre Alliance de Shanghai, mais également contre le prolétariat et les classes moyennes, dont les premières attaques ont commencé par la destruction des secteurs obsolètes du point de vue du grand Capital, par la paupérisation généralisée des populations laborieuses.

De fait, avec l’imposition des mesures de confinement, de couvre-feu et de lock-out des économies nationales, les prolétaires – les travailleurs, les paysans, les chômeurs, les couches sociales pauvres – sont les premières victimes de cet inédit exercice de guerre sanitaire mondialisé orchestré par le grand capital. De toute évidence, cette opportune pandémie sert de paravent pour mener cet inédit exercice militaire – ce n’est pas innocent que Macron ait institué un Conseil de défense soumis au secret, au sein duquel siègent des généraux, pour gérer théoriquement un banal virus qui relève normalement du seul ministère de la Santé en temps ordinaire – visant à analyser et à anticiper les problèmes soulevés par la gestion des populations soumises aux fortes pressions psychologiques anxiogènes, aux drastiques mesures coercitives, à l’austérité économique et aux compressions salariales. De là s’explique le durcissement autoritaire des Etats, la militarisation de la vie quotidienne, préludes à la future société totalement caporalisée, au sein de laquelle la population sera enrégimentée, militairement contrôlée, psychologiquement conditionnée pour supporter et soutenir l’inévitable guerre bactériologique).

Or, avec un virus, il n’est jamais question de guerre. Car l’humanité ne peut jamais vaincre ni éradiquer cette microscopique créature virale. Comme l’a dit, avec sagesse, le philosophe italien Emanuele Coccia : «Le virus est une force pure de métamorphose qui circule de vie en vie sans être limitée aux frontières d’un corps. Libre, anarchique, quasi immatériel, n’appartenant à aucun individu, il possède une capacité de transformer tous les vivants et leur permet de réaliser leur forme singulière. Pensez qu’une partie de notre ADN, sans doute autour de 8%, serait d’origine virale ! Les virus sont une force de nouveauté, de modification, de transformation, ils ont un potentiel d’invention qui a joué un rôle essentiel dans l’évolution. Ils sont la preuve que nous sommes dans nos identités génétiques des bricolages multi-spécifiques.» Dans le même ordre d’idée, Gilles Deleuze écrivait : «Nous faisons rhizome avec nos virus, ou plutôt nos virus nous font faire rhizome avec d’autres bêtes.»

A la vérité, le combat contre un virus, gestion d’ordre essentiellement médical, relevant de la santé publique, se mène avec de l’intelligence (science), de l’équipement (sanitaire et médical) et de la prévoyance et de la planification (stocks de matériels, réserve de lits d’hôpitaux, équipement prophylactique de la population, stratégie d’endiguement anticipatrice). Et non pas à coups de discours belliqueux incantatoires propres à susciter plutôt la psychose que l’assurance. Il se mène par le déploiement massif d’une thérapeutique médicale et médicamenteuse ou d’une vaccination scientifiquement éprouvée, essentielle à notre santé psychique individuelle et à notre résilience collective. Et non pas par la politique de confinement débilitant ou de couvre-feu anémiant, d’infantilisation et de culpabilisation des citoyens. Pis : de criminalisation sociale matérialisée par des mesures sécuritaires décrétées ordinairement en temps de guerre (ne serait-ce pas la preuve de l’anticipation de la future guerre ?)

Une chose est sûre : les spécialistes honnêtes de la santé, notamment les professeurs Eric Raoult, Jean-François Toussaint, Laurent Toubiana, Nicole Delépine et autres scientifiques anonymes, reconnaissent que la létalité du Covid-19 est très faible, estimée officiellement à 0,03%. Et l’âge médian des décès est de 84 ans, avec 75% des patients décédés de plus de 75 ans.

Cette affirmation, dans un climat de psychose sanitaire marqué par le décès de 4 millions de personnes en 18 mois, peut sembler provoquante. Mais elle repose sur des statistiques éclairantes de vérité sur la mortalité générée, notamment par les maladies cardiovasculaires : 18 millions de morts chaque année, sans compter les 10 millions de décès par cancer et d’autres pathologies létales qui déciment chaque année des millions de malades. Or, avec le coronavirus, on dénombre aujourd’hui, à l’échelle internationale, au dix-huitième mois, 4 millions de morts (ce chiffre inclut les 1 100 000 morts «ordinaires», décédés chaque année par le virus de la grippe saisonnière, subrepticement recensés dans la catégorie associée au «Covid-19». Car, en vrai, «ce soi-disant nouveau virus est très fortement lié au SRAS-1 ainsi qu’à d’autres bêta-coronavirus qui nous font souffrir chaque année sous forme de rhumes», dixit le Dr Beda Stadler, immunologiste renommé de l’Université de Berne).

Aussi, jusqu’à présent, on ne relève aucune surmortalité causée par le Covid-19. Le nombre de décès lié au coronavirus (parle-t-on des morts avec le Covid ou des morts causés par le Covid ? La différence est importante : on ne meurt pas du Covid, mais avec le Covid du fait d’une pathologie chronique préexistante) est relativement comparable aux morts provoqués par les grippes saisonnières. Chaque année, plus de 60 millions de personnes décèdent dans le monde. L’année 2020, le Covid-19 n’aura pas bouleversé le chiffre de la mortalité mondiale. La mortalité du Covid-19 est inférieure à 0,03%. Pourtant, à lire et à entendre les autorités gouvernementales et médiatiques, le Covid-19 serait une maladie extrêmement dangereuse, capable d’anéantir toute l’humanité.

C’est le traitement politique et surtout médiatique qui imprime sa dimension rationnelle ou émotionnelle au fait social porté à la connaissance de la population. Et, en fonction de ce traitement médiatique, la réceptivité de l’information et, corrélativement, la réaction collective, varient entre discernement philosophique et apeurement hystérique. En vérité, tout autre événement traité sur le même registre apocalyptique aurait suscité la même collective réaction hystérique, hallucinatoire et affolante (terrorisme, pollution atmosphérique, explosion des cancers ou d’autres maladies létales, etc.). C’est le traitement différentiel de l’information qui provoque le choc des maux et suscite le poids de l’affliction. Une chose est sûre : par la fabrication de la peur, le virus médiatique est plus contaminant que le Covid-19. Et, singulièrement, plus pathogène.

Comment expliquer qu’un microscopique être vivant invisible est capable de paralyser la civilisation la plus équipée technologiquement de l’histoire de l’humanité, sinon par le traitement anxiogène de l’information, cette virale communication médiatique inoculée par les puissants aux fins d’anesthésier les consciences et de tétaniser les corps collectifs frondeurs et subversifs. La peur est le vaccin le plus efficace pour enrayer le virus de la contestation et de la subversion, vaccin anxiogène élaboré dans les laboratoires opaques étatiques et administré par les agences médiatiques à hautes doses propagandistes pour neutraliser le corps social «subversif», anéantir le dangereux ennemi de classe : le prolétariat révolutionnaire, ces récentes dernières années politiquement menaçant.

Sans conteste, dans cette gestion calamiteuse de la crise sanitaire du Covid-19, les médias ont joué un rôle négativement déterminant dans la propagation et la perception des risques et des conséquences potentielles liés au coronavirus. En effet, les professionnels de l’information, en particulier les journalistes, avec leur traitement de l’information délibérément catastrophiste, ont contribué depuis le début de la pandémie au processus d’amplification de la perception anxiogène de la crise sanitaire du Covid-19. Telle est la mission qu’ils ont reçue des puissants et des Etats : apeurer, tétaniser, terroriser les populations, par la propagation anxiogène d’informations propres à susciter l’émoi, l’effroi, le désarroi !

Au reste, une étude Viavoice, effectuée pour les Assises du journalisme de Tours en partenariat avec France Télévisions, France Médias Monde, Le Journal du Dimanche et Radio France, a montré que l’opinion des interrogés envers les médias couvrant la crise du coronavirus est très défavorable. Le constat est sans appel : les médias sont sévèrement jugés par l’opinion. Ils cristallisent toutes les critiques. Ils sont 60% à juger la couverture médiatique de la pandémie de Covid-19 excessivement anxiogène, a indiqué l’étude Viavoice. Concernant la manière dont les médias ont couvert l’information, 43% des sondés ont estimé que les médias ont alimenté la peur de la pandémie, et 32% ont pensé qu’ils l’ont exploitée pour faire de l’audience. Enfin, l’étude montre que la crise sanitaire et son traitement médiatique anxiogène, conjugués avec une constante opération de manipulation de l’opinion menée conjointement avec les gouvernements, entraîneront des conséquences dans le rapport des citoyens aux médias et au pouvoir. Un véritable climat de défiance s’est manifesté envers les gouvernants et les journalistes.

Au-delà des controverses politiques légitimes sur la gestion étatique calamiteuse de la crise sanitaire du Covid-19, responsable du nombre élevé de décès, morts en vrai faute de prise en charge médicale, notamment de soins prophylactiques et de thérapie médicale accompagnée d’un traitement médicamenteux idoine, tous les spécialistes s’accordent sur l’innocuité du coronavirus en l’absence de pathologie préexistante. Cette vérité scientifique est prouvée par la faiblesse du taux de mortalité enregistrée dans les pays asiatiques (Corée du Sud, Singapour, Taiwan, Japon, Chine), en Suède, obtenue au moyen d’une politique sanitaire volontariste et globale, appuyée par le dépistage massif et l’approvisionnement des populations en masques et autres matériels médicaux, notamment les respirateurs, l’augmentation des capacités d’accueil par l’accroissement du nombre des lits hospitaliers, sans application d’une politique de confinement, ni de coercition, excepté pour la Chine.

A cet égard, comment expliquer que la Chine, pays-continent d’un milliard et demi d’habitants, a «réglé» la question de l’épidémie du Covid-19 en l’espace de 12 semaines, en déplorant seulement 4 600 morts, et depuis mars 2020 le pays a recouvré son fonctionnement normal, tandis que dans les pays occidentaux, confrontés par ailleurs à une brûlante question sociale, sont encore enlisés dans la «crise sanitaire du Covid-19» ? Tout se passe comme si la pérennisation de la crise sanitaire est délibérément entretenue pour des motifs inavoués et inavouables, ou plutôt des raisons politiques et surtout économiques : certains dirigeants n’annoncent-ils pas que la crise sanitaire est appelée à durer des années ? Incontestablement, le coronavirus est le meilleur allié des gouvernants.

Aujourd’hui, après avoir sacrifié, sans vergogne, les hôpitaux sur l’autel du capital, au nom de la rigueur budgétaire, les gouvernants décident curieusement de dépenser des milliards dans l’achat d’un hypothétique vaccin génique, précipitamment mis sur le marché par des entreprises pharmaceutiques atlantistes, frénétiquement à l’offensive sur le front de la commercialisation. Entreprises exonérées, par ailleurs, de toute responsabilité pénale et financière en cas d’effets indésirables. Pourtant, ce «vaccin», nouveau produit chimique toujours en phase d’essai clinique, amplement encensé par les médias stipendiés, n’a, selon les scientifiques, pas prouvé son efficacité, encore moins son innocuité.

Si les gouvernants sont si soucieux de notre santé au point de sacrifier l’économie (en vrai uniquement celle du peuple) et de se ruiner par l’achat de vaccins coûteux et douteux (en vrai avec l’argent du contribuable), pourquoi continuent-ils à cautionner la fabrication de produits toxiques et létaux (tabac, voitures, armes, etc.), à favoriser la production de politiques antisociales meurtrières, de chômages destructeurs, de guerres, de famines, de pathologies psychiatriques invalidantes, de maladies chroniques mortifères ?

Comment persuader des milliards d’individus d’accepter le confinement socialement et économiquement dévastateur, le couvre-feu psychologiquement destructeur, les restrictions de leurs libertés, les sacrifices sociales, le carnage économique, la vaccination mercantile, sinon par le recours à une campagne de propagande anxiogène étatique et médiatique destinée à masquer les véritables motivations de la gestion apocalyptique de la crise sanitaire du Covid-19 : créer un climat de psychose et de sidération pour justifier et légitimer la reconfiguration despotique de l’économie mondiale sur fond de militarisation de la société aux fins de la prochaine guerre mondiale, impliquant une population totalement soumise, un prolétariat politiquement anéanti.

M. K.

Comment (16)

    anonyme
    3 août 2021 - 13 h 09 min

    Merci mr Mesloub pour cet article

    Anonyme
    3 août 2021 - 12 h 50 min

    Excellente contribution Mr Khider…
    La peur et la panique ont bouleversé les gens qui ont été manipulé à outrance par les médias et les gouvernements occidentaux dont le but est seulement d appauvrir les nations sous-développés et les remettre une fois de plus sous leur giron.
    Si des millions d occidentaux avertis ne veulent pas se vacciner c est qu ils ont compris la manœuvre qui veut les assujettir et les contrôler comme des machines robots…
    Quand on arrive à un certain âge et qu on a en général des problèmes de santé,une petite grippe peut vous emporter c est ce qui arrive actuellement maintenant ils veulent s attaquer aux enfants et aux adolescents et là c est plus grave!!!
    Il faut protéger nos enfants qui risquent de ne plus être libre à l avenir….

    d'accord sur toute la ligne avec Mesloub Khider
    3 août 2021 - 10 h 02 min

    Magnifique contribution de Monsieur Mesloub Khider qui met les points sur les « i » et les barres sur les « t » d’une manière magistrale concernant la pandémie Covid19. Moi , si vous permettez, je vais juste ajouter une petite observation personnelle. Il y a depuis avant hier hier une fuite sur l’augmentation des prix des vaccins que l’Union Européenne refuse de propager. Elle se confirme notamment pour Pfizer et Moderna dont les prix ont flambés. Les prix des vaccins Pfizer passent de 15,5 euros à 19.50 l’unité , et pour le Moderna de 19 à 21.5 euros .

    Si vraiment la communauté internationale qui nous rabâche tout le temps et dans tous les médias que l’humanité est en danger avec ce Covid, elle n’accepterait pas de telles augmentations de prix alors que les groupes pharmaceutiques sont déjà bénéficiaires. Cette communauté internationale aurait en principe réagi énergiquement contre ces augmentations puisque soi-disant son souhait c’est de sauver des citoyens, de sauver l’humanité. Les groupes pharmaceutiques ont déjà engrangés des sommes colossales mais elles restent insatiables, car ils ont déjà signés des contrats colossaux internationaux sûrs jusqu’en 2023 au minimum. Et puis si vraiment les grands de ce monde veulent sauver l’humanité pourquoi ne pas obliger les laboratoires pharmaceutiques à vendre les brevets de ce type de vaccins Covid pour qu’ils soient produits par des pays émergents ou des pays en mesure de le faire ??? Il y a trop de contradictions dans tout çà.

    Belveder
    3 août 2021 - 8 h 02 min

    pendant 18 MOIS les Médecins et spécialistes Algeriens ont tenu le meme Disours que les Décideurs par Peur pour leur postes et certains pour leur prévilége..
    Ce disours est :: on n a quelques cas de COVID
    on ferme les frontieres
    ON stigmatisme la communauté ALGERIENNE a L etranger lui imputant tous les problemes
    ON A meme dit que la POPULATION Algerienne avait attaeint L Immunité collective Naturelle

    MAINTENANT pour se donner bonne conscience ils tapent sur le gouvernement

      @belveder
      3 août 2021 - 9 h 16 min

      Ne voyez-vous pas que cela est intentionnel … Une genre de punition pour le peuple…
      Comme quoi , vaut mieux avoir les morgues pleines que des manifestations partout ….

      Anonyme
      3 août 2021 - 9 h 27 min

      Quand les autres achetaient les vaccins , nous , nous étions éblouie par les spectacles des jeux d’artifices…
      C’est la fable de la fourmi et le cafard

      KRIMO
      3 août 2021 - 9 h 29 min

      Comment ca ils tapent sur le governement ? A ma connaissance c’est le gouvernement qui doit gerer et donner des instructions a suivre ? C’est pas le gouvernement qui va planifier les stocks d’oxygene et les lits d’hoiptaux ? Qui a l’argent ? Les citoyens ne peuvent rien faire sans la direction du gouvernement.

        Belveder
        3 août 2021 - 11 h 21 min

        quand tu veux repondre comprend le sens d un post
        le courage aurait été de dénnoncer 18 mois avant.
        les scientifiques du monde au entier sont des labos a trimer 22h sur 24h les notres rampent devant les décideurs et critiquent méme leur confréres ailleurs dans le monde
        la médiocrité régne partout mais tout le monde tire la couverture sur lui pour se dédouanner

    Anonyme
    3 août 2021 - 7 h 51 min

    Quand des malades meurrent par manque d’oxygene comment ne pas avoir peur ? Comment ne pas avoir peur de la gestin arnachique de ce virus du covid ? Les hopitaux sont devenus des marchés sans qu’aucune sécurité ne soit assurée a l’entrée. Les gens rentrent, sortent et circulent partout librement. Comment pourrons nous qualifier de tels hopitaux et une telle gestion unique au monde et surtout comment ne pas avoir peur ?

    MERCI !
    2 août 2021 - 19 h 57 min

    HOMMAGES A TOUS LES SOIGNANTS ALGÉRIENS.
    TOUS et TOUTES !
    Allah Yerham ceux qui ont été touchés et ont succombé pour sauver leurs Concitoyens.
    Mes Condoléances a leurs Familles et a toutes les Familles Algériennes Endeuillées.
    MERCI ???? POUR VOTRE HUMANITÉ, VOTRE DÉTERMINATION et votre SENS DU DEVOIR.
    NOUS N’OUBLIERONS JAMAIS!
    Tahya El Djazair

    Lyes
    2 août 2021 - 19 h 53 min

    Pourquoi l’ANP n’a pas déployé les hôpitaux militaires ?
    Je n’arrive pas à comprendre jusqu’au jour d’aujourd’hui .
    S’il vous plait , aidez les civils .
    Merci par avance !

      Anonyme
      3 août 2021 - 0 h 01 min

      Ils vont attendre que le peuple demandent Asskaria et pas Madania ..
      Quoique pour moi , l’ANP est un organe du gouvernement et Mr Tebboune doit ordonner que la médecine militaire intervienne … Médecins militaires et logistique je dits .
      À bon entendeur !

        NI L'UNE NI L'AUTRE
        3 août 2021 - 8 h 51 min

        Normalement le peuple ne doti demander rien. Ce sont les supposés gestionnaires du pays qui doivent faire intervenir l’armée pour aider le peuple car un pays sans peuple n’est plus un pays.

          Réponse
          3 août 2021 - 10 h 28 min

          Normalement.

      Lecteur
      3 août 2021 - 1 h 16 min

      @lyes
      Entre ceux qui sont contaminés , ceux qui sont en convalescence , ceux avec des dossiers de corruption ou déjà/bientôt en prison et ceux qui partent en cachette . Et entre garder les frontières de l’ouest , et garder les frontières de l’est et garder les frontières du sud ou gérer les dossiers internes … Je ne sais pas si l’armée pourrait intervenir pour les civils aussi ?!
      Quid à laisser les frontières sans garde …
      Quoique , il n’aura pas de militaires s’il n’y a pas de civils …
      A l’impossible nul n’est tenu.
      Allah IRHEM les morts et bon rétablissement pour les malades et ijib li fiha lkheir lbladi .
      Et quand même vive l’Algérie !

      PS : le grand problème est que la récupération après Covid est très lente et les capacités organiques ne sont jamais les mêmes … Pour les armées , ce n’est pas une bonne nouvelle !

    Mobilisons-nous
    2 août 2021 - 19 h 51 min

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    Aidons nos compatriotes en Algérie .
    Des gens meurent simplement par manque d’oxygène.
    On doit sauver le maximum de vie urgemment .
    Merci

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