Président Tebboune : «Il faut prioriser le prochain mandat de l’Algérie en qualité de membre au Conseil de sécurité»

Conseil de sécurité Alg
Conseil de sécurité de l'ONU. D. R.

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis l’accent, lundi à Alger, sur l’impératif d’accorder la priorité au prochain mandat de l’Algérie en qualité de membre au Conseil de sécurité onusien, et ce afin de contribuer aux efforts visant la préservation de la paix et de la sécurité internationales.

Dans une allocution prononcée lors de l’ouverture des travaux de la Conférence des chefs de missions diplomatiques et consulaires algériennes, tenue au Palais des nations au Club des Pins (Alger), le chef de l’Etat a souligné la nécessité d’«d’accorder la priorité au prochain mandat de l’Algérie en qualité de membre au Conseil de sécurité des Nations unies durant la période 2024-2025, et ce afin de contribuer aux efforts visant la préservation de la paix et de la sécurité internationales».

«Il est nécessaire de coopérer avec les Etats qui partagent nos points de vue et nos positions au sujet du renforcement du rôle de l’ONU pour l’amener à s’acquitter de ses responsabilités, notamment envers les peuples palestinien et sahraoui», a soutenu le président Tebboune.

Pour rappel, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, lundi matin, la cérémonie d’ouverture de la Conférence des chefs de missions diplomatiques et consulaires algériennes, tenue au Palais des nations au Club des Pins.

La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence notamment du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, et du général de corps d’Armée, Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP).

R. N.

Comment (3)

    Mohammed Mezouar
    9 novembre 2021 - 14 h 36 min

    Celui qui croit que c’est la faim qui fait s’expatrier certains algeriens aux quatres coins du monde, c’est qu’il connait peu la societe algerienne.

    De memes que le phenomene des harragas en Algerie n’a rien a envier au Maroc et la Tunisie qui ont respectivement 25 a 35 % de pib en moins.

    LE NAIF
    8 novembre 2021 - 16 h 53 min

    C’est la priorité No.1 devant les algériens qui meurrent de faim ou qui fuient a l’étranger.

    Anonyme
    8 novembre 2021 - 16 h 28 min

    Oui il le faut !

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