Quand Victor Hugo le visionnaire dressait le portrait de Macron le Petit

présid Macron
Emmanuel Macron sous les feux des projecteurs pour un autre quinquennat. D.R.

Une contribution de Khider Mesloub – Emmanuel Macron est un homme de moyenne taille, […] c’est un personnage vulgaire, puéril, théâtral et vain. Certes, ce cerveau est trouble, ce cerveau a des lacunes, mais on peut y déchiffrer par endroits plusieurs pensées de suite et suffisamment enchaînées (et surtout déchaînées contre le peuple et les opposants). C’est un livre où il y a des pages arrachées (et surtout entachées). A tout moment quelque chose manque. Emmanuel Macron a une idée fixe, mais une idée fixe n’est pas l’idiotisme. Il sait ce qu’il veut, et il y va. A travers la justice, à travers la loi, à travers la raison, à travers l’honnêteté, à travers l’humanité, soit, mais il y va. Ce n’est pas un idiot. C’est tout simplement un homme d’un autre temps que le nôtre (et surtout d’un autre monde : celui de la Finance qu’il sait fructifier avec finesse et, surtout, petitesse, à la hauteur de sa bassesse).

Il semble absurde et fou parce qu’il est dépareillé (d’aucuns diront déphasé tant il a perdu le contact avec la réalité, autrement dit avec son peuple qu’il ne côtoie que par la violence, c’est-à-dire au moyen de sa police, devenue sa milice, sur laquelle il s’appuie pour gouverner, faire régner sa terreur démocratique : la terreur démocratique est cette nouvelle forme de gouvernance despotique, exercée en toute légitimité car elle se déploie dans un pays occidental pour qui  «la démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres», comme l’avait déclaré Winston Churchill. L’Occident, pétri d’arrogance et d’ethnocentrisme, bénéficie de la bénédiction et de l’absolution pour tous ses forfaits et crimes, y compris sa dictature, auréolée de gloires politiques, nimbée de tous les prestiges institutionnels car exercée aux pays des droits de l’Homme blanc).

Seulement, il oublie ou il ignore qu’au temps où nous sommes, ses actions auront à traverser ces grands effluves de moralité humaine dégagés par nos trois siècles lettrés et par la Révolution française et que, dans ce milieu, ses actions prendront leur vraie figure et apparaîtront ce qu’elles sont, hideuses.

Emmanuel Macron se laisse volontiers entrevoir socialiste (tendance sociétale, pour qui le genre transcende l’humain ; autrement dit, l’humain s’efface devant le genre, comme l’être s’est effacé devant l’avoir, devenu la vertu cardinale du capitalisme triomphant). Il sent qu’il y a là pour lui une sorte de champ vague, exploitable à l’ambition. Alors il ne parle pas, il ment. Macron ment comme les autres hommes respirent. Il annonce une intention honnête, prenez garde ; il affirme, méfiez-vous ; il fait un serment, tremblez. Machiavel a fait des petits. Annoncer une énormité dont le monde se récrie, la désavouer avec indignation, jurer ses grands dieux, se déclarer honnête homme, puis, au moment où l’on se rassure et où l’on rit de l’énormité en question, l’exécuter. On est de son cercle intime ; il laisse entrevoir un projet qui semble, non immoral, on n’y regarde pas de si près, mais insensé et dangereux, et dangereux pour lui-même ; on élève des objections ; il écoute, ne répond pas, cède quelquefois pour deux ou trois jours, puis reprend son dessein et fait sa volonté (destructrice).

Grâce à cette façon de faire, il a toujours à son service l’inattendu, grande force et, ne rencontrant en lui-même aucun obstacle intérieur dans ce que les autres hommes appellent conscience, il pousse son dessein, n’importe à travers quoi, nous l’avons dit, n’importe sur quoi, et touche son but. Il recule quelquefois, non devant l’effet moral de ses actes, mais devant l’effet matériel (notamment force subversive, comme les valeureux Gilets jaunes l’ont acculé à devoir, dans l’affolement et la précipitation, se réfugier dans son bunker de l’Elysée lors de leur mobilisation insurrectionnelle du 8 décembre 2018).

Dans ses entreprises, il a besoin d’aides et de collaborateurs (il ne risque pas d’en manquer, la France est un pays de Collaborateurs, y compris Mélenchon le rebelle institutionnel est prêt, de manière éhontée, à collaborer avec Macron en devenant son Premier ministre) ; il lui faut ce qu’il appelle lui-même «des hommes». Diogène les cherchait tenant une lanterne ; lui, il les cherche un billet de banque à la main. Il les trouve (en France tout s’achète, surtout son intelligentsia, pour qui la prostitution intellectuelle est sa principale activité). De certains côtés de la nature humaine produisent toute une espèce de personnages dont il est le centre naturel et qui se groupent nécessairement autour de lui, selon cette mystérieuse loi de gravitation qui ne régit pas moins l’être moral que l’atome cosmique.

Aujourd’hui, il en est environné, ces hommes lui font cour et cortège ; ils mêlent leur rayonnement (d’aucuns diraient leur médiocrité) au sien. A de certaines époques de l’histoire, il y a des pléiades de grands hommes ; à d’autres époques, il y a des pléiades de chenapans (l’époque de Macron est particulièrement fertile en fripouilles).

Emmanuel Macron a réussi. Il a pour lui désormais l’argent, l’agio, la banque, la Bourse, le comptoir, le coffre-fort et tous ces hommes qui passent si facilement d’un bord à l’autre quand il n’y a à enjamber que de la honte. En attendant, depuis cinq ans, il s’étale ; il a harangué, triomphé, présidé des banquets, pris des millions (dans les caisses de l’Etat qu’il a généreusement distribués à ses amis capitalistes), donné des bals (et surtout des balles réelles contre les Gilets jaunes), dansé, régné, paradé et fait la roue ; il s’est épanoui dans sa laideur à une loge d’Opéra…

Il a réussi. Il en résulte que les apothéoses ne lui manquent pas (il a la folie des grandeurs et surtout les grandeurs de la folie… gouvernementale, cela explique la démence de sa politique sociale, économique et internationale, l’extravagance de sa personnalité clivée et clivante).

Une chose me frappe pourtant, c’est que dans toutes les qualités qu’on lui reconnaît […], dans tous les éloges qu’on lui adresse, il n’y a pas un mot qui sorte de ceci : habileté, sang-froid, audace, adresse, affaire admirablement préparée et conduite, instant bien choisi, secret bien gardé, mesures bien prises. Fausses clefs bien faites. Tout est là. Il ne reste pas un moment tranquille ; il sent autour de lui avec effroi la solitude (tant il est conscient du mépris que lui témoigne son peuple) et les ténèbres (le grondement des révoltes sociales qui le hantent) ; ceux qui ont peur la nuit chantent, lui il remue. Il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète (c’est ce qui s’appelle brasser du vent).

Non, cet homme ne raisonne pas ; il a des besoins, il a des caprices, il faut qu’il les satisfasse (c’est un éternel enfant : c’est pourquoi il a toujours besoin d’une maman, de sa maman Brigitte, seule à même d’apaiser ses angoisses œdipiennes). Ce sont des envies de dictateur. La toute-puissance serait fade si on ne l’assaisonnait de cette façon.

Quand on mesure l’homme et qu’on le trouve si petit, et qu’ensuite on mesure le succès et qu’on le trouve si énorme, il est impossible que l’esprit n’éprouve pas quelque surprise. On se demande : comment a-t-il fait ? On décompose l’aventure et l’aventurier, […] on ne trouve au fond de l’homme et de son procédé que deux choses : la ruse et l’argent. La ruse : nous avons caractérisé déjà ce grand côté d’Emmanuel Macron, mais il est utile d’y insister. Le 7 mai 2017, il disait à ses concitoyens dans son manifeste : «Je me sens obligé de vous faire connaître mes sentiments et mes principes. Il ne faut pas qu’il y ait d’équivoque entre vous et moi. Je ne suis pas un ambitieux… Elevé dans les pays libres, à l’école du malheur, je resterai toujours fidèle aux devoirs que m’imposeront vos suffrages et les volontés de l’Assemblée. Je mettrai mon honneur à laisser, au bout de cinq ans, à mon successeur, le pouvoir affermi, la liberté intacte, un progrès réel accompli.»

Depuis plusieurs décennies, il y avait en France toutes sortes de choses pernicieuses : cette «sonorité», la tribune ; ce vacarme, la presse (soumise) ; cette insolence, la pensée (unique et inique) ; cet abus criant, la liberté ; il est venu, lui, et à la place de la tribune il a mis le Conseil de défense ; à la place de la presse, la censure par l’argent ; à la place de la pensée, l’ineptie ; à la place de la liberté, les LBD (lanceurs de balles de défense) ; et de par le LBD, la censure par l’argent, l’ineptie et le Conseil de défense, la France (des riches) est sauvée ! Sauvée, bravo ! Et de qui, je le répète ? D’elle-même car, qu’était-ce que la France, s’il vous plaît ? C’était une peuplade de pillards, de voleurs, de jacques, d’assassins et de démagogues (que le règne de Macron aura accentué, aggravé : la France est toujours cette peuplade de pillards, de voleurs, d’assassins et de démagogues).

Il a fallu la lier, cette forcenée, cette France, et c’est Emmanuel Macron qui lui a mis les poucettes. Maintenant, elle est au cachot, à la diète, au pain et à l’eau (c’est-à-dire réduite à la disette, et son peuple, clochardisé, vit de minima sociaux), punie, humiliée, garrottée, sous bonne garde (notamment des Etats-Unis qui l’asservit, quoi qu’en dise Macron) ; soyez tranquilles, le sieur Macron, gendarme à la résidence de l’Elysée (cette annexe de la Maison-Blanche de l’Oncle Sam), en répond à l’Europe  ; il en fait son affaire ; cette misérable France a la camisole de force, et si elle bouge (l’Oncle Sam saura la corriger, la remettre dans le giron otanien)… – Ah ! qu’est-ce que c’est que ce spectacle-là ? Qu’est-ce que c’est que ce rêve-là ? Qu’est-ce que c’est que ce cauchemar-là  ? D’un côté, une nation, la première des nations, et de l’autre un homme, Macron, le dernier des hommes, et voilà ce que cet homme fait à cette nation ! Quoi ! il la foule aux pieds, il lui rit au nez, il la raille, il la brave, il la nie, il l’insulte, il la bafoue ! Quoi ! Il dit : il n’y a que moi ! Quoi ! dans ce pays de France où l’on ne pourrait pas souffleter un homme, on peut souffleter le peuple ! Ah ! quelle abominable honte !

Chaque fois que Macron crache, il faut que tous les visages s’essuient ! Et cela pourrait durer ! et vous me dites que cela durera ! Non ! Non ! Non ! Par tout le sang que nous avons tous dans les veines, non ! Cela ne durera pas ! Ah ! si cela durait, c’est qu’en effet il n’y aurait pas de Dieu dans le ciel, ou qu’il n’y aurait plus de France sur la terre ! […] il restera mesquin, […] il ne sera jamais que le tyran pygmée d’un grand peuple. […] un batteur de grosse caisse des Champs-Elysées… (un caniche du capital, servile courtisan des Etats-Unis).

L’acabit de l’individu se refuse de fond en comble à la grandeur, même dans l’infamie. Faire hausser les épaules au genre humain, ce sera sa destinée. […] Il sera hideux, et il restera ridicule. Voilà tout. L’histoire rit et foudroie. […] L’historien ne pourra que le mener à la postérité par l’oreille (et la postérité le jeter à la poubelle).

Macron une fois déshabillé du succès, le piédestal ôté, la poussière tombée, le clinquant et l’oripeau et le costume-cravate détachés, le pauvre petit squelette mis à nu et grelottant, peut-on s’imaginer rien de plus chétif et de plus piteux ?

L’histoire a ses tigres. […] Elle ne mêle pas avec eux les chacals. Je ne sais quelle gangrène de prospérité matérielle menace de faire tomber l’honnêteté publique en pourriture.

Ma foi ! vivons, faisons des affaires, tripotons dans les actions du pétrole ou les complexes d’armements, gagnons de l’argent ; c’est ignoble, mais c’est excellent ; un scrupule de moins, un euro de plus ; vendons toute notre âme à ce taux ! On court, on se rue, on fait antichambre, on boit toute honte, et si l’on peut multiplier les usines d’armements en France ou les pillages des richesses fossiles d’Afrique, on demande une place.

C’est à qui fera ce trafic de soi-même le plus cyniquement, et parmi ces êtres il y a des jeunes gens qui ont l’œil pur et limpide et toute l’apparence de l’âge généreux, et il y a des vieillards qui n’ont qu’une peur, c’est que la place sollicitée ne leur arrive pas à temps et qu’ils ne parviennent pas à se déshonorer avant de mourir. L’un se donnerait pour une préfecture, l’autre pour une recette, l’autre pour un consulat, l’autre veut un bureau de tabac, l’autre veut une ambassade. Tous veulent de l’argent, ceux-ci moins, ceux-ci plus, car c’est au traitement qu’on songe, non à la fonction. Chacun tend la main. Tous s’offrent. Un de ces jours, on établira un essayeur de consciences à la monnaie.

Les mots indépendance, affranchissement, progrès, orgueil populaire, fierté nationale, grandeur française, on ne peut plus les prononcer en France. Chut ! ces mots-là font trop de bruit ; marchons sur la pointe des pieds et parlons bas. Nous sommes dans la chambre d’un malade (psychopathe).

Et la liberté de la presse ! Qu’en dire ? N’est-il pas dérisoire seulement de prononcer ce mot ? Cette presse libre, honneur de l’esprit français, clarté de tous les points à la fois sur toutes les questions, éveil perpétuel de la nation, où est-elle ?

– Qu’est-ce que c’est que cet homme ? – C’est le chef, c’est le maître. Tout le monde lui obéit. – Ah, tout le monde le respecte alors ? – Non, tout le monde le méprise (surtout le monde non occidental). – O situation ! Cet homme de ruse, cet homme de force, cet homme de mensonge, cet homme de succès, cet homme de malheur !

Oui, quelquefois, aux paroles superbes qui lui échappent, à le voir adresser d’incroyables appels à la postérité, à cette postérité qui frémira d’horreur et de colère devant lui, à l’entendre parler avec aplomb de sa «légitimité» et de sa «mission», on serait presque tenté de croire qu’il en est venu à se prendre lui-même en haute considération et que la tête lui a tourné au point qu’il ne s’aperçoit plus de ce qu’il est, ni de ce qu’il fait.

Il croit à l’adhésion des prolétaires et de ses citoyens musulmans, il croit à la bonne volonté des présidents étrangers, il croit à la fête des seigneurs de l’argent, il croit aux harangues de son minuscule parti (LRME, cette machine qui mène la France en marche arrière), il croit aux bénédictions des religieux (y compris les dignitaires de la Mosquée de Paris, que son dirigeant Hafiz s’active à crifiser – cette forme de sionisation de l’islam de France opérée sous l’égide du Crif –, ont appelé à voter pour lui), il croit au serment qu’il s’est fait jurer…d’être réélu président !

Adaptation personnelle d’un texte de Victor Hugo, Napoléon le Petit.

K. M.

Comment (11)

    Vroum Vroum ????..
    26 avril 2022 - 16 h 26 min

    Si Macron est Élu, c’est par ce que soit il est malin ou alors des Moutons face à lui.
    Avec l’affaire Gilets Jaunes, Confinement, jamais Macron n’aurait pu être reelu.
    Le Peuple trop divisé a voté et Macron en est sorti.
    Donc à qui la faute ?
    Les Français ont eu la possibilité d’élire un autre Candidat, retraite à 60 ans, acquis sociaux, mais bizarrement ils ont élu le Candidat retraite 65 ans, et deconstruction des acquis sociaux donc il ne faudra pas pleurer.
    Moi je leur dirai, Vous avez voté et un Président en est sorti… Assumez.. Et maintenant attendez 5 ans et Votez à nouveau.
    Ils ont voté Sarkozy et on regretté, puis vote Hollande puis jetter, puis voté Macron puis regretté et bizarrement revottent Macron.. Oh faut savoir ce que Vous voulez !… Vous avez eu des Choix, Mr Asselineau, Melanchon, Dupont Aignant, Lassale, Pecresse… Et bin non ils votent MR Macron et sont pas contents après, à chaque fois…
    C’est pour ça que je préfère la Géopolitique.

    Abou Stroff
    26 avril 2022 - 13 h 48 min

    la classe capitaliste n’a qu’un objectif et un seul: maximiser son profit grâce à la mise en place des conditions les meilleures à la valorisation de la valeur, i. e. à l’accumulation du capital.

    en termes simples, les envolées lyriques de victor hugo ou de khider mesloub ne « déstabiliseront » guère les capitalistes français du moment où ces derniers considèrent que macron est le président qui assurera au mieux leurs intérêts bien compris.

    en termes crus, macron était le candidat des « hommes aux écus » (certains les désigneront par « oligarques) français et le reste des candidats ont été actionnés (à l’insu de leur plein gré?) pour divertir la galerie au regard de la vacuité remarquable de la scène politique française.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part le constat que, dans toutes les formation sociales capitaliste, les élections n’ont qu’un objectif et un seul: donner l’impression ou l’illusion à la populace qu’elle participe à la gestion de la cité. dans les faits et rien que les faits, ce sont les hommes aux écus qui décident qui gèrent le système qu’ils dominent en tant que classe.

    PS: peut on, un seul instant imaginer que les capitalistes puissent mettre leur destin aux mains des « gueux » (la majorité des inscrits sur les listes électorales) qu’ils exploitent? la réponse est évidente et il n’y a que des niais confirmés pour répondre par l’affirmative.

    Anonym3
    26 avril 2022 - 11 h 13 min

    Après tout les insultes contre le peuple Algériens et les coups bas contre notre pays . notre brizidene la félicité que je trouve normal mais a invité ce gamin a mettre ses pieds sur notre terre.comme si nous avons besoin de lui et non le contraire. Tant que nos responsables politiques et a leurs têtes le président tiennent toujours aux gens qui nous insultent jour et nuit et nous veulent que du mal on avancera jamais ,je dirais même qu’on reculera.

    emigre de France
    26 avril 2022 - 11 h 05 min

    L’Europe et l’Amérique dans sa majorité sont soumis à la Banque depuis plus d’un siècle. Or on ne gagne jamais avec la Banque, même quand on lui confie ses économies ! Dieu merci Poutine est plus fort que Saddam et Mouaamar (paix à leur âme) pour nous ramener à l’or et à l’argent …

    Jazayria
    26 avril 2022 - 10 h 10 min

    Excellent article, merci Monsieur Mesloub !

    Anonyme
    26 avril 2022 - 8 h 58 min

    Le peuple français est en pleine dépression…les gens sont sonnés ils ne comprennent pas ce qui arrive à leur pays.
    La reconduction du système avec les mêmes hommes politiques de gauche et de droite soucieux plus de leur carrière que de la France s est produit sous leur yeux malgré tous les efforts pour les dégager.
    Une majorité de la population ne veut plus être gérée par l Union européenne et comme un pied de nez à cette partie de la population Macron se présente le jour de son élection avec l hymne européen !!!!
    Ça c est le premier geste contre le peuple en attendant les autres….

    Lentz de Andrade
    26 avril 2022 - 7 h 13 min

    Merci pour cette vision. Macron est un petit homme par sa traitrise et son manque d’honneur.

    Préparez vous frères algériens, l’heure de la Mort approche. Voici mon message adressé a Mr Macron :

    « Madame, Monsieur,

    Nous vous informons de la bonne réception de votre message.
    Toutefois, pour que l’envoi à la Présidence de la République soit effectif, vous devez cliquer sur le lien suivant : http://ecrire.elysee.fr/epr/validation_mail/aaefe70c8b20369606c8f1bbdac0a669733258de29eb45dd400694e39e5fd06a
    Sans confirmation de votre part, le message posté sur le site sera effacé sous 72 heures.


    L’outil Ecrire au Président
    Présidence de la République

    =========================================================================================================

    Voici, pour votre information, le contenu du message que vous avez saisi (validation impérative via le lien ci-dessus) :

    Votre identité :
    Monsieur
    LENTZ DE ANDRADE
    Louis

    Vos coordonnées :
    54 RUE DU CHAMP DE MARS
    59163 CONDÉ-SUR-L’ESCAUT
    France

    Vous êtes un particulier

    Votre sujet :
    Réagir à l’actualité

    Votre message :
    Mr Macron,

    Quelle immense joie de savoir que votre dictature Néo-Bourgeoise a gagné.

    Mais tout comme vous et ceux qui vous dirigent, je savais que les Français n’éliraient pas Le Pen, ils accordent une place trop importante à l’Humanisme, ce qui fait d’eux des joyaux.

    C’est pour cela que j’ai indiqué à tout mes proches de voter blanc : nous n’aurons ni les mains entachées de votre dictature, ni de celle de Le Pen.
    Il n’y a pas d’échelle dans le Mal. Le Mal, c’est le Mal. Le Bien, et bien, c’est le Bien.

    Mais vous avez eu peur je le sais. Peur de devoir tuer des Français en Ukraine, de déclarer la guerre sur le Champs le Champs de Mars et d’utiliser l’Art 16.
    D’où votre joie, que je qualifierai de soulagement plutôt. Vous n’avez plus aucun secret pour moi, votre jeux est trop prévisible maintenant.

    Pensez aux enfants qui marchaient autour de vous. Pensez à leur mort, pensez bien et soupesez chaque actions, pensées que vous faites. Après la génération des traites, il y a la génération des lâches. Puis la génération des Héros, qui se sacrifieront pour le Bien de tous, pour la Paix, pour la Vérité. A vous de choisir en Adulte, et non en enfant.

    L’Europe n’a jamais pu être unifiée dans l’Histoire. L’Europe ne sera jamais l’Empire de qui que ce soit, ni des Français, ni des Allemands, ni des Américains, ni des Russes, ni des Espagnoles, encore moins des Néo-bourgeois Mondialistes. Tous ont échoués en tuant leurs peuples. Souvenez vous de la tour de Babel, Dieu n’aime que trop peu les Empires …

    Alors arrêtez ce massacre et occupons nous de nous, Français. La paille qui est dans notre œil est suffisamment grosse pour que l’on s’occupe de celle du voisin.

    Mr Macron, nous sommes Frères, alors je vous en conjure : ne nous sacrifie pas.

    Que la Grâce soit avec vous,

    Louis Lentz de Andrade »

    Memona
    26 avril 2022 - 6 h 18 min

    Mais alors vous avez juste,je vis en France et je peux dire que il n’y a qu’en Afrique que l’on encense ce pays le macronistan,la France est une république bananiere ni plus ni moins,il faut le dire et le répéter aux jeunes qui pensent trouver un Eldorado ce pays était ce qu’il était grâce au pillage des pays colonisés et jusqu’à aujourd’hui

    !!!
    26 avril 2022 - 0 h 36 min

    Au Top , Merci !!!

    Chaoui
    25 avril 2022 - 23 h 59 min

    Bravo Khider Mesloub !
    TOUT y est et TOUT est dit. Même (et surtout) la ‘crifisation’ par le sieur hafiz de la Mosquée (Algérienne) de Paris…
    Pour compléter le portrait, on aura juste omis au serviteur des rotschild l’évocation de ses ‘agapes » charnels avec les benalla and co…
    A peine ‘élu’, il vient il y a quelques heures de clamer au bon peuple français en substance : « vous allez connaître des jours…historiques » ! « Des jours très durs » !…
    ‘Historique’ et ‘dur’ prononcés dans la même phrase comme pour juste nous dire (maintenant qu’on l’a ‘réélu’) que les dès sont jetés…: que la guerre que l’occident a murement et résolument préparée nous attend. La plus grande qui n’ait jamais existé. Et c’est pour demain…Si hier, on disait que ‘le pire n’est jamais certain’, aujourd’hui on peut dire sans se tromper qu’il est quasi inéluctable.
    Adieu Europe ! Adieu occident ! Il n’est de peuple sur terre qui vous regretteront.
    Et si on doit y être mêlé, on sait (cette fois) de quel côté l’Humanité entière sera, et nous les premiers.
    Pour l’occident qui n’a vécu que de rapines et de massacres, trop de paix, tue la paix…
    Et pour ses victimes, il est temps que les serres (et bec) de cet occident soient élimés. Sinon qu’il soit radicalement étêté.
    De même que le poisson pourrit par la…tête, il en est allé de même de l’État français…Commencée il y a trois décades, sa décrépitude arrive à son dernier stade avant totale décomposition…
    A la déraison, nous autres persistons à garder raison. Que ceux qui sont décidés à se perdre, qu’ils se perdent. Mais sans nous.

    anonyme
    25 avril 2022 - 21 h 22 min

    Merci pour cet excellent article

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