Démolition des constructions illicites habitées : le ministre de l’Intérieur tranchera en dernier ressort

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ordonné lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée lundi de soumettre la démolition des constructions illicites habitées à un plan étudié minutieusement, préparé par les walis qui doivent le soumettre au ministre de l’Intérieur qui se prononcera de manière définitive, rapporte l’APS selon un communiqué de la Présidence de la République.

Le président de la République a ordonné de «soumettre la démolition des constructions illicites habitées à un plan étudié minutieusement, préparé par les walis qui doivent le soumettre au ministre de l’Intérieur qui se prononcera de manière définitive après épuisement de toutes les voies de règlement administratif et réglementaire», précise le communiqué.

«La démolition des constructions habitées ne doit pas intervenir en hiver», a insisté le président de la République lors de la réunion du Conseil des ministres.

R. N.

Comment (5)

    L'Etat ne fait pas respecter les lois
    21 février 2023 - 20 h 05 min

    Si maxime il y a, c’est que l’État ne fait pas appliquer les lois. Constructions non finis qui dénaturent le pays, constructions illicites, les taxes & impôts impayés par les citoyens, des psychopathes routiers qui bafouent le code de la route, des cercueils roulants circulants sur les routes, les incivilités, les gangs, la drogue,… le pays évolue dans l’anarchie. A chaque fois qu’ il y a une bonne intention et/ou décision de prise, l’État recule par la pression sournoise d’une certaine mafia. A quand, nous pouvons rêver à un pays fini, cela fait 60 ans que nous sommes en chantier non fini, toujours encours et sans fin.

    Belka
    21 février 2023 - 13 h 06 min

    Faites comparaison la ville de Béjaïa entre les Années 80 et maintenant,
    Maintenant ont dirais si la ville de Bangladesh

    rrab3i
    21 février 2023 - 9 h 34 min

    il va de soit qu’il faux reloger tout ces malchanceux enduit en l erreur a l époque ou la corruption faisait loi et peut être encore de nos jours (ne sont pas concernés ceux qui possèdent plus d une habitation) )dans le cadre de la loi en vigueur que tout citoyen a droit a logement décent de façon que personne ne se trouve sans abri avec ses enfants
    sans passe droit ou 3ami comennda piston relation favoritisme corruption,, s’il est vrai que tout les hommes sont égaux devant la loi ((y a qui essaie de passer par derrière)) et non seulement devant DIEU ((on ne peut pas))
    cela équivaut a démolir la moitie des constructions dans tout le pays
    A bon entendeur salut

    Anonym3
    20 février 2023 - 21 h 24 min

    Ils doivent aussi réfléchir a leur construction illicite avec leurs logements ghettos au bord des routes avec toutes sortes de commerces et des balcons modifiés qui ont ternis l’image et la beauté de nôtre beau pays.ils doivent aussi réfléchir a exiger des conditions avant d’inviter les tvmentations pour les ditributions des clés et les demenagement. La vie dans une cité et un apt sont différents que la vie dans un kazdir. Pourquoi attendre jusqu’à ou les citoyens finissent leurs constructions pour aller démolir ceux qui ont construit et Pourquoi ne pas faciliter la bureaucratie des obtentions d’un permis de conduire qui oblige les citoyens a vendre ou acheter des terres avec le papier timbré. Ceux qui habitent a morretti et clubs des pins sans aucune fonction eux aussi doivent quitter les lieux.on dis a notre président ahssant comme on peut lui dire akhtaat.il faut aussi donné le pouvoir et la protection aux maires pour appliquer les lois. Aujourd’hui le maire a aucun pouvoir et il n’est pas respecté par les citoyens.

    Ayweel
    20 février 2023 - 20 h 49 min

    Malheureusement pour certains algériens, le dicton assamat yaghleb lakbih fait partie de leur culture. Leur donner une main ils t’ arracheront le bras. Il suffit de revoir l’histoire des bidonvilles érigés sur les terres agricoles de mettidja et leur évolution pour se transformer en garage de commerce et maisons tels que le souk d’eljarf de babazzouar. Un pays ne peut évoluer que si ses lois sont respectées et appliquées à la lettre loin de tout populisme , du social et de sentimental. La loi est faite pourqu’elle soit appliquée ey respectée et c’est ce qui fait la différence entre l’ordre et le désordre, entre un état , unpeuple structuré et un pays d’elghachi.

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