Boualem Sansal : un islamiste réactionnel doublé d’un plumitif réactionnaire

Sansal Daoud
Kamel Daoud et Boualem Sansal. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – Comment Boualem Sansal, pour complaire à ses maîtres occidentaux, en particulier français, travestit l’histoire ? Verse dans l’anachronisme ? Pour approvisionner son fonds de commerce antimusulman (antimusulman et non anti-islamique car son entreprise de démolissage s’apparente davantage à une fustigation pathologique et intolérante des musulmans qu’à une critique rationnelle et tolérable de l’islam), il défigure non seulement la réalité contemporaine algérienne par ses diatribes littéraires haineusement antimusulmanes, mais falsifie également l’histoire du mouvement révolutionnaire algérien, qu’il dépeint comme une organisation islamiste composée de fanatiques ennemis de la «modernité».

Dans son opuscule Gouverner au nom d’Allah, islamisation et soif de pouvoir dans le monde arabe, le minuscule plumitif Boualem Sansal, avec sa subjectivité analytique qui confond fiction littéraire et réalité historique, écrit : «Dans le contexte qui était celui des pays arabes sous la domination coloniale occidentale et chrétienne, le rigorisme religieux a été amplifié, l’islam était une armure, un refuge pour résister à l’emprise de la culture européenne et supporter la misère de l’indigénat et les injustices du colonialisme ; durant la guerre d’Algérie, le FLN (Front de libération nationale) faisait la guerre au colonialisme mais n’oubliait pas de multiplier les interdictions au peuple, comme l’ont fait les talibans lorsqu’ils étaient au pouvoir en Afghanistan, il interdisait aux Algériens de boire de l’alcool, de fumer, de chiquer, d’aller au café, au cinéma, au stade, à la plage, de faire la fête, jouer aux dominos, lire les journaux, de s’habiller à l’européenne pour les Algériennes… la liste s’allongeait au fil de la guerre. Les contrevenants étaient sévèrement punis, ils étaient abattus ou on leur coupait le nez, les lèvres.»

Même à notre époque de l’islamisme triomphant, les salafistes algériens n’ont jamais pu interdire aux «Algériens de boire de l’alcool, de fumer, de chiquer, aller au café, au cinéma, au stade, à la plage, de faire la fête, jouer aux dominos, lire les journaux, de s’habiller à l’européenne pour les Algériennes». A plus forte, au cours de la Guerre de libération et tout au long des années 1960-70 où les Algériens affichaient un esprit de modernité notoire.

Pour se conformer à l’idéologie antimusulmane de ses commanditaires parisiens, pétrie de stéréotypes, Boualem Sansal tord de manière éhontée le cou à la réalité sociologique algérienne. C’est plus vendeur.

Si la Révolution algérienne avait revêtu quelque dimension religieuse islamique, endossé la tunique de l’islamisme, emprunté la voie du djihad, elle n’aurait jamais pu acquérir la sympathie et le soutien de millions de personnes du monde entier, notamment des continents européen et américain.

Boualem Sansal poursuit son entreprise de falsification, cette fois de l’histoire algérienne postindépendance : «Cette démarche a été reconduite après l’indépendance. Les campagnes de moralisation sous formes de coups de poing étaient périodiques, elles étaient menées par la police, et elles faisaient beaucoup de dégâts. Elles ont fait fuir du pays des milliers de jeunes. Tous les pays arabes, sans exception, ont recouru aux mêmes méthodes, violentes, humiliantes, castratrices. En vérité, aucun colonisateur ne s’est comporté comme ont pu le faire les régimes de Kadhafi, d’El-Assad, de Boumediene, de Ben Ali, de Saddam Hussein.»

Comme j’ai eu l’occasion de le lui dire en face lors d’une conférence donnée dans une librairie française, Boualem Sansal n’est pas un écrivain ou un intellectuel, mais un pamphlétaire enragé qui a fait de l’islam (en fait, des musulmans) sa bête noire. Au vrai, Boualem Sansal n’est pas athée ou libre penseur. C’est un islamiste réactionnel. Tout comme Kamel Daoud. Je m’explique.

Boualem Sansal n’est jamais parvenu à s’extraire de la religion de ses géniteurs, de ses aïeux, de son pays. Il a sombré dans ce que je nomme «l’islamisme réactionnel». Boualem Sansal est un reptile islamique qui se mord la queue musulmane. Pour rappel, certains serpents, sous l’effet du stress et de la panique, se mettent à se mordre la queue et à s’enrouler sur eux-mêmes, dans une boucle infinie. Autrement dit, dans le cas de Sansal, son inconscient lui joue des mauvais tours au point de l’entraîner à tourner en rond en l’enfermant dans un cycle de ruminations obsessionnelles religieuses (quoique formulées négativement par mécanisme de défense), dont il ne parvient jamais à s’arracher. Et pour cause.

Du point de vue de la psychanalyse, «une formation réactionnelle» correspond à une attitude ou habitus psychologique s’opposant à un désir refoulé dans l’inconscient et en réaction à celui-ci». La «personnalité réactionnelle», par mécanisme de défense, développe un comportement opposé à ce qu’elle ressent au plus profond de son être. Le comportement réactionnel est une «attitude qui substitue un comportement acceptable à des pulsions inacceptables en s’opposant à un désir (religieux) refoulé». Du point de vue clinique, «c’est un contre-investissement d’un élément conscient dont la force apparaît équivalente et capable d’agir dans la direction opposée à l’investissement inconscient. Les formations réactionnelles peuvent être symptomatiques du fait de la rigidité ou de la fixation de ces comportements substitutifs, ceux-ci étant à la fois compulsifs et exagérés. C’est un mécanisme précoce mais fragile qui se développe avec prédilection pendant la période de latence au profit des valeurs mises en avant par les contextes historiques, sociaux et culturels (occidentaux), et au détriment des besoins pulsionnels frustes, agressifs ou sexuels directs, tout en cherchant à les drainer de façon indirecte».

Cette autre définition formulée par un psychanalyste s’applique, à juste titre, à Boualem Sansal et ses semblables (Kamel Daoud) : «Il parle pour boucher, recouvrir, habiller ce trou, et le langage n’est, d’une certaine manière, qu’une formation réactionnelle au trauma.» Boualem Sansal écrit pour colmater la béance laissée par le traumatisme de son éducation religieuse islamique. Boualem Sansal est un musulman honteux. Sa francophilie a accentué ce trait de caractère islamophobe. Sa pathologique haine de soi.

En réalité, Boualem Sansal est demeuré tellement prisonnier de l’emprise traumatique de l’islam de son enfance que même adulte, quoique doté d’une remarquable instruction moderne, il continue à s’enfermer derrière les barreaux de la prison religieuse islamique, d’où il profère ses professions de foi de liberté hypocrite. Liberté hypocrite car Boualem Sansal ne s’est jamais libéré de sa prison religieuse islamique traumatique.

Lui qui exige que l’islam doit refluer vers la sphère privée a fait de son athéisme militant un indécent combat permanent public. Toute son œuvre littéraire persifleuse gravite autour de l’islam, sa principale occupation rédactionnelle dévotieuse. Toute son étroite pensée est obnubilée par les musulmans qu’ils fustigent et brocardent à longueur de papiers furieusement griffonnés.

Un authentique athée, libéré de la pensée religieuse pénitentiaire, ne s’avise jamais à retourner s’enfermer dans la prison de l’aliénation dévotieuse pour ressasser les mêmes pensées doctrinales confessionnelles, quoique expectorées de manière outrancièrement critique et violemment dépréciative. Libéré de l’aliénation religieuse, l’athée ne s’enferme pas dans une autre aliénation : la critique pathologique récurrente et écœurante de la religion, qui est une forme de fanatisme. Il savoure en toute quiétude sa liberté de pensée qu’il s’efforce de partager et de propager en dehors des sentiers battus religieux. Sur les grands boulevards de la Science salvatrice et de la Politique émancipatrice.

Le diable de la religion habite encore le cerveau de Sansal, tourmenté par la culpabilité sacrilège. De là s’explique sa détresse psychique réactionnelle sublimée dans l’écriture religieusement rageuse et politiquement haineuse.

Quoique dotée d’une vitalité et volatilité manifeste, car elle est puissamment armée pour se régénérer et s’adapter à l’évolution de l’idéologie occidentale dominante dégénérée, la pensée de Sansal est marquée par l’immuabilité d’une personnalité clivée, rivée à l’islamisme, son tréfonds psychique religieux. Un tréfonds islamique qu’il a converti en fonds de commerce.

Au final, Boualem Sansal aura tenu boutique littéraire pour alimenter la France décadente, raciste et antimusulmane de ses écrits invariablement avariés. Boualem Sansal restera dans l’histoire comme «l’Arabe du coin», celui que les Français apprécient de loin, toujours ouvert d’esprit pour leur servir obséquieusement les mêmes livres islamiquement éculés, la même littérature pontifiante politiquement récurée.

Comme je lui avais dit lors de cette conférence, Boualem Sansal aura été également le fidèle allié et serviteur des capitalistes par sa focalisation obsessionnelle sur l’islamisme, rendu responsable de tous les maux. Par son fourvoiement dans l’entreprise de dévoiement de la critique politique opérée par le capital, critique déroutée vers le torpillage de l’islam, le démolissage des musulmans.

Eu égard à sa complaisante posture littéraire réactionnaire, il aura participé, par son œuvre collaborationniste de dévoiement, à l’entreprise d’exonération du capitalisme, véritable responsable et coupable de la misère, du chômage, du racisme, des massacres, des guerres.

L’islamisme est le produit du capitalisme impérialiste décadent. Au lieu de fustiger et de combattre le géniteur de l’islamisme, Boualem Sansal, honteusement et délibérément, aura porté la focale sur cet enfant bâtard du capitalisme, l’islamisme, épargnant ses maîtres à penser, les puissants du monde capitaliste.

Par ses écrits sulfureux et déclarations nauséabondes, il aura jeté en pâture l’islam et les musulmans à la vindicte populeuse occidentale, pour mieux défendre et protéger le capitalisme et ses maîtres. Et tenter de soigner sa maladie honteuse islamique qui gangrène son âme tourmentée, qui colonise son cerveau dérangé. Cerveau devenu étranger à son être culturel, son pays naturel.

K. M.

Comment (45)

    Ninja DZ
    6 août 2023 - 12 h 26 min

    Je m’étais accroché avec un(e) internaute qui le défendait que sur les plateaux de télévision le steess l’envahit mais l’écart inouï ou l’abime entre ses écrits et son parler trahissent indéniablement ses pseudos compétences d’écrivains .
    Il s’est fait avoir comme un bleu.

    Mohamed El Maadi
    6 août 2023 - 6 h 02 min

    Il n’y a que les auteurs et intellectuelles algériens qui peuvent nous faire comprendre ce que recherche réellement Boualem Sansal ? Certainement pas la gloire, car il le sait pertinemment, c’est un écrivain médiocre très peu lu en France.

    Il suffit de visiter le site Edistat pour comprendre que ces livres, on ne se les arrache pas !

    Je ne voudrais pas faire de la psychologie de bazar, mais sa propension à se vendre à des idées extrêmes et nauséabondes interroge. Je vais quand même m’essayer à cet exercice périlleux, car à regardé longtemps dans l’abîme, l’abîme regarde en toi.

    Car pour les Occidentaux ou de ceux qu’ils le sponsorisent ne voit en lui qu’un larbin. Toujours le même schéma du supplétif qui veut plaire a ces maîtres, car le monde littéraire ne lui reconnaît aucun talent voilà pourquoi il n’a aucune reconnaissance du MICROCOSME PARISIEN qui à vrai dire l’évite et l’invite très peu à leur réception car sachant qui est derrière son ascension.

    Je crois que c’est plus profond que cela, c’est un homme qui ne s’aime pas et se trouve repoussant.Un Houellebeque Algérien, qui cache sa perversité et trouve une jouissance, a s’auto flagellée à moins qu’ils se prennent pour un Suédois.

    Car en vérité tout ce qui décrit ou semble dénoncer, c’est lui le personnage odieux et ignoble.

    Vous savez ils ressemblent à ces adolescents qui se scarifie, car synonymes d’apaisement, mais seulement un moment et qui recommence ?

    Car miné par des sentiments de vide et tourmenté par des angoisses existentielles ou peut-être atteint de la blessure de l’humiliation.

    Ils ont demandé à des collaborateurs pendant la Seconde Guerre mondiale pourquoi ils avaient choisi le chemin du reniement et de la trahison.

    Et puis tous répétèrent qu’ils recherchaient un sentiment de puissance et de reconnaissance chose qui dans leur vie ordinaire la fatalité avait refuser d’en faire des hommes d’exception voir des hommes tout court.

    .

    .

    MOKRANE Si TIZI
    5 août 2023 - 21 h 33 min

    Deux SUPERS COMPLEXÉS rejetés par la gente littéraire occidentale qui leur fait croire, en fait, ce qu’ils ne sont pas et ne seront jamais : des IMMORTELS de la littérature…..
    Pauvres types que vous êtes !

    Anonyme
    5 août 2023 - 17 h 33 min

    Plus de 20 insurrections ont eu lieu sous la domination française toutes organisées et dirigées par des confréries soufis. Le reste c’est de la mauvaise littérature dont les auteurs sont connus pour leur mercenariat plumitif parvenus. Daoud est un juif oranais d’origine et Sansal n’est pas un nom de chez nous.

    DZ story
    5 août 2023 - 14 h 51 min

    Son Algérie flanquée d’interdictions existe c’est vrai mais uniquement pour les trouillards et crânes de poules.

    Simple vs complexité
    5 août 2023 - 14 h 44 min

    J’invite Sansal et sans prétention à plutôt écrire un bouquin en se recentrant sur lui même (échecs affectif, sentiments d’impuissances,allô maman bobo,déni de sois,adolescence difficile ..etc) au lieu de se focaliser sur le monde qu’il l’entoure.
    La vertu n’étant pas la qualité principal du parangon Sansal.

    Au Champs-Elysées..
    5 août 2023 - 14 h 31 min

    Ce qui intéressent ces demandeurs d’asile en France est de prendre un kaoua à 50 oeufs (euros) sur l’avenue des Champs-Elysées journal en main et se la jouer genre zehma homme des temps modernes avec des discussions stériles sur l’état de notre pays. Je rejoins parfaitement @Balance ton monkey ou l’on retrouve le fond des romans d’écriture chez de grands écrivains anglais ainsi le parangon Sansal triche simplement sur la forme.
    PS: Le café à 50 euros chez les cousins de zemmour comme quoi la boucle est bouclée .

      Bilal
      5 août 2023 - 16 h 02 min

      Tout à fait vrai. Ils jouent au Jean Paul Sartre et Albert Camus au café flore

    Anonyme
    5 août 2023 - 14 h 15 min

    Ces rescapés de la rafle de 75 cherchent à nous causer du tort?

    La critique de Boualem Sansal est nécessaire...
    5 août 2023 - 10 h 48 min

    mais celle-ci, Mr Mesloub, me semble insuffisante. En voici les raisons.
    1- B. Sansal, personnage et écrits, est un produit marchand dans un premier temps, puis promu en discours politique en deuxième temps. Le marketing de saison en fait une marchandise qui doit se vendre au mieux, en termes de parts de marché. Il est destiné d’abord au marché parisien, comme d’autres… Y compris sa dégaine de soixante huitard attardé. Un produit qui se voudrait entier, avec le moins de reproches possibles par ses concepteurs.
    Pour étoffer son produit, B. Sansal ne recule devant rien, comme tous les marchands, y compris en allant piller les écrits d’historiens ou de sociologues qui ont travaillé sur des sujets qu’il est loin de maîtriser, comme d’autres… C’est de bonne guerre.
    Ne goûtant pas les gribouillis de B. Sansal, nous laissons la critique littéraire à ceux qui veulent la faire.
    De même pour les parts de marché qu’il partage.

    2- La véritable critique qui doit lui être adressée, de manière fondée et dépassionnée pour être crédible, est son USAGE SOURNOIS des faits historiques pillés auprès de chercheurs, faits dont certains lecteurs qui ont l’âge de se rappeler de la Guerre d’Algérie se souviennent. Et cela relève du POLITIQUE. Et la nuisance de B. Sansal est en premier lieu politique.
    Commençons par rendre aux historiens et sociologues qu’il s’acharne de piller ce qui leur appartient. Ce n’est pas parce qu’un ennemi cite les mêmes faits que nous, que nous devons y renoncer. Ce serait lui accorder la victoire. Les faits sont têtus, et les nier c’est se couper d’une partie de soit, bonne ou mauvaise.
    La seule critique qui vaille ne peut s’établir que dans le champ politique.
    Lorsque, malgré soit, l’on rencontre B. Sansal dans le champ médiatique, il apparaît immanquablement comme appartenant au milieu sioniste parisien. A sa décharge, il ne s’en cache pas, au contraire il s’enorgueillit. Le sionisme étant un colonialisme, le socle politique de B. Sansal est posé.

    3- Les remarques qui suivent s’adresse à Mr Khidder Mesloub.
    – Comme vous le savez, participer à une conférence d’un auteur, quelqu’il soit, c’est participer de sa célébration. Encore mieux lorsqu’on lui « apporte la contradiction » devant un public qui lui est acquis, son public.
    – Merci de bien vouloir nous expliquer ce qu’est «l’islamisme réactionnel».
    – Vous écrivez : « Du point de vue de la psychanalyse, «une formation réactionnelle» correspond à une attitude ou habitus psychologique s’opposant à un désir refoulé dans l’inconscient et en réaction à celui-ci».
    « habitus psychologique » : peut-être connaissez le reproche qui est fait à Laplanche et Pontalis, que vous citez longuement sans mentionner leurs noms, le reproche donc de forcer l’accolement d’un concept de sociologie à la psychologie. Un autre débat.
    Mais, et pardon d’aller à l’essentiel de la critique l’on pourrait vous adresser concernant votre critique de B. Sansal, c’est de PSYCHOLOGISER une démarche politique, celle de B. Sansal, de faire appel au psy pour tenter d’expliquer l’histoire. Comme vous le savez, c’est une tentative vaine.
    De peur d’être long, ne revenons pas sur d’autres passages de votre texte( la honte de B. Sansal d’être soit ressemble étrangement au reproche fait par les sionistes aux juifs antisionistes; autre chose : B. Sansal n’est dans la critique du capitalisme au contraire, etc.), et allons à votre conclusion : « Et tenter de soigner sa maladie honteuse islamique qui gangrène son âme tourmentée, qui colonise son cerveau dérangé. Cerveau devenu étranger à son être culturel, son pays naturel. »
    En en faisant un malade, vous dédouanez B. Sansal de toute responsabilité, pire vous en faîtes un « fou du village », un « dérouiche », qui serait plus à plaindre qu’à blâmer. Vous faîtes d’un monstre politique(fasciste?) un « sympathique » « mahboul du coin ». Ce que l’on pourrait peut-être qualifier par « rater sa cible »?
    Ce n’est certes pas votre visée.
    Pour finir permettez-moi de finir par une note d’humour : il ne semble pas qu’un herz d’une gazana puisse le sortir d’affaire.
    Cordialement.

      Anonyme
      6 août 2023 - 0 h 57 min

      Sauf que les gezanas prétendent être capables de prédire l’avenir (etgazan). Elles n’ont rien à voir avec l’écriture des herzs. Peut-être que c’est une question de sémantique pour certains.

      Quel souffle!
      6 août 2023 - 8 h 01 min

      Merci à vous et à Algérie Patriotique.
      Vous élevez le débat, avec des mots simples, accessibles à tous. Et du contenu. C’est fluide, pas pédant, et on en redemande.
      Votre note d’humour est une excellente conclusion.

      Souk-Ahras
      6 août 2023 - 8 h 38 min

      Bonjour,

      « J’étais le meilleur ami que le vieux H’med avait au monde. Il fallait choisir. J’ai vu un chèque, un bon chèque… J’ai réfléchi un moment,… Puis je me suis dit : Tant pis ! J’irai en enfer. »
      Mark Twain modifié.

      J’admets que votre défense du « patient » est brillante.
      Néanmoins, j’admets aussi qu’elle pèche par excès de subjectivisme ostentatoire. Et pour cause !!!
      Le cas de ce « patient », par ailleurs incurable, ne relève absolument pas du boulitique comme vous le suggérez, mais bel et bien de la psychanalyse, au degré le plus simple, du genre développée par l’auteur de l’article.
      Pour ce « patient », ceci est aussi applicable à « l’autre » qui l’accompagne sur la photo (ainsi qu’à de nombreux autres), l’usage d’un traitement à base boulitique est à proscrire, car inefficace et surtout inutile. Moustakis avait-il réussi à guérir son « juif errant ». Non, il l’a emmené avec lui à 80cm sous terre !
      D’ailleurs, nos dirigeants boulitiques ne se soucient guère de ce « patient » qui réside au bled et voyage comme bon lui semble sans être embêté. Invisible, inaudible, ignoré.

      Vous dites :
      « La Critique De Boualem Sansal Est Nécessaire… »
      Dans quel sens faut-il entendre cette « déclaration » ? C’est un peu du « je t’aime, moi non plus », redondant à souhait, voie « littéraire » dans laquelle excelle Sansal.

      Dans ses errements « écriturés », le plagiat est omniprésent, symptôme révélateur d’une grande fainéantise intellectuelle et d’une anomie exacerbée…
      2084, entre autres, le Sin, les Dru, l’Abistan… la redondance textuelle y est lourde et excessivement lassante. « On », reprend les mêmes « arguments », les traficote quelque peu, modifie la ponctuation, crée un nouveau chapitre…
      Critiquer ses errements « écriturés » ? Improductif ! Le faire c’est vouloir le rééduquer.

      Vous dites encore :
      « Lorsque, malgré soit (soi), l’on rencontre B. Sansal dans le champ médiatique, il apparaît immanquablement comme appartenant au milieu sioniste parisien. A sa décharge, il ne s’en cache pas, au contraire il s’enorgueillit. Le sionisme étant un colonialisme, le socle politique de B. Sansal est posé. »
      Cher intervenant, votre défense devient ainsi caduque. Vous défendez l’indéfendable.
      P.s : de « socle politique » Sansal est dépourvu ; de « socle opportuniste primaire » il en a à………………. acheter et revendre !

      Cordialement.

      Vous faîtes mouche deux fois.
      6 août 2023 - 11 h 24 min

      – « La véritable critique qui doit lui être adressée, de manière fondée et dépassionnée pour être crédible, est son USAGE SOURNOIS des faits historiques pillés auprès de chercheurs, faits dont certains lecteurs qui ont l’âge de se rappeler de la Guerre d’Algérie se souviennent. Et cela relève du POLITIQUE. Et la nuisance de B. Sansal est en premier lieu politique. »
      Vous ne laissez aucun recours à ce mange m… à tous les râteliers. Car, ce n’est rien d’autre que de la politique sous habillage « littéraire ».

      – « PSYCHOLOGISER une démarche politique, celle de B. Sansal, de faire appel au psy pour tenter d’expliquer l’histoire. Comme vous le savez, c’est une tentative vaine. »
      Là aussi, vous ne laissez aucune chance à la « psychologie de souk ». Nos auteurs devraient faire des efforts en traitant des sujets politiques. C’en est un.
      Merci de nous offrir l’occasion de donner un avis.

    Cosaq
    4 août 2023 - 19 h 55 min

    Celui la le jour ou il obtiendra le prix pour les apaches dit Goncourt le dédicacera pour sa chère patrie bousbir land comme son frère hadj khaled vêtu d’un sari et exilé à new dheli.

    Illusion d'optique
    4 août 2023 - 19 h 42 min

    Un nostalgique du rôle de goumier pré-révolution . L’égalité il voit cela comme une injustice comme tous bougnouls qui se « respectent »..

    Hocine-Nasser Bouabsa
    4 août 2023 - 18 h 40 min

    @ Anonyme 4 août 2023 – 9 h 37 min

    Vous croyez défendre Sansal, en nous présentant toute une liste de mérites et prix littéraires décernés au Harki Sansal et en terminant par une phrase-flèche en direction de l’auteur de l’article « cela peut déranger certains dans leurs certitudes ».

    Hélas pour vous, votre liste rend au contraire ces « certitudes » encore plus convaincantes. En effet, lorsqu’on sait comment aujourd’hui la machine médiatique des oligarques crée les étoiles de la littérature et du cinéma. et avec quels objectifs, la certitude que Sansal et Daoud sont bien des Harkis de la littérature devient inébranlable.

    En effet, il y a une véritable dictature médiatique qui s’est installée en Europe depuis quelques décennies et qui ne permet l’émergence que de transporteurs (écrivains, romanciers, etc…) d’idées qui servent ses desseins (ou du moins ne les dérangent pas).

    Combien d’écrivains talentueux sont toujours inconnus, parce que leurs idées dérangent ?

    Cherchez comment l’industrie pyramidale d’influence est structurée et qui tire les ficelles derrière et vous saurez que Sansal et Daoud ne sont objectivement que de vilains supplétifs (Harkis), qu’on utilise pour combattre leurs pays et culture d’origine.

    PS : Dans votre post vous avez oublié de mentionner l’origine de Sansal. A fin utile, je vous aide à corriger votre oubli en citant Wikipedia comme vous l’avez fait pour énumérer ses mérites: Le père de Boualem Sansal, Abdelkader Sansal, est issu d’une famille aisée du Rif ayant fui le Maroc pour l’Algérie, et sa mère Khadjidja Benallouche a reçu une éducation et une instruction « à la française » . Aucun commentaire sur ce sujet, mais je suis sûr que les lecteurs tireront leurs propre conclusion, quant à l’atmosphère familiale dans laquelle Sansal avait grandi.

      zz
      4 août 2023 - 22 h 48 min

      @hocine tout a fait tous pseudos ecrivains nostaliques algerie francaise a l ecris orientes oubliant la nuit coloniale et la souffrance de leurs freres se pavanant a paris dans les bistros paris a change plus aucun charme meme leur france fantasme a change quel interet? POURQUOI TANT de haine pour leur origine ? i

      Bilal
      5 août 2023 - 16 h 08 min

      Tout à fait exact. Ils n’auraient jamais vu le jour si ils avaient écrits pour défendre, les palestiniens, les Saharaouis et les causes justes. La presse, les éditeurs, les médias français aiment bien ceux qui tirent sur leur propre pays, et dénigrent leurs origines et se soumettent à leur idéologie fachiste et raciste.

    Iudas
    4 août 2023 - 17 h 52 min

    II est grand temps de déchoir de la nationalité algérienne cette crapule et autres racailles du même acabit que cette ordure d’origine marocaine.D’ailleurs cet énergumène n’est même pas algérien d’origine mais issu d’une famille marocaine originaire du Rif qui avait émigré en Algérie au temps de l’occupation française (d’où sa glorification répétée du colonialisme barbare français).
    Que ces « algériens » de papiers aillent vivre dans leur pays de cœur , ???????? ou ???????? au choix.

    Au delà de Boualem Sansal,L'Algérie
    4 août 2023 - 17 h 46 min

    <>

    <>

    Vous avez résumez en deux paragraphes le cas Sansal, cad un malade qui n’a jamais été soigné.
    Sansal c’est l’étranger dans son propre pays,Sansal c’est Emma Bovary,c’est celui qui fantasme un ailleurs idéal sans pouvoir s’y projeter physiquement dans cet ailleurs. toujours en eau saumâtre le Boualem tiraillé <> ainsi que ce rêve d’ailleurs ou plutôt ce fantasme d’ailleurs.

    Lorsque un journaliste français lui demande en 2011 avez vous songé à l’exil ?, il répond texto <> on voit bien dans cette réponse le déchirement intérieur de Boualem, une perpétuelle crise identitaire la tête en France,le corps en Algérie,un candidat à la Harga aurait put dire la même chose,Sansal ne serait il pas juste un harraga intello qui ne franchirait pas le pas, à bord de la patera? (sauf que lui aura un visa)

    Mais au delà du cas proprement Sansalien ne pouvons nous pas y voir ici une incarnation symptomatique certes vicié et pervertit d’une certaine Algérie, qui rêve d’un ailleurs idéal ou idéalisé d’une Algérie de ceux qui veulent franchir ont franchi ou qui franchiront.Ne pouvons pas nous voir une forme d’échec des dirigeants successifs, mais échec aussi des citoyens dans un projet commun viable,d’un paradigme partagé, parfois c’est même à se demander si depuis 1962 nous avons vraiment maitrisé quelque chose ,y’a t’il une société algérienne? je vous le demande qu’avons nous créer de viable depuis l’indépendance je parle en termes de représentation mentale, de concept? demandez à un étranger que connaissez vous de l’Algérie ?
    il répondra peut être le Sahara.Comme le Sahara nous vivons dans une étendue désertique presque vierge.
    vierge de toute avancée,vierge d’individualité,vierge de projection.Cette sensation étrange d’être dans un bateau fantôme,de vivre par procuration d’être soumis aux vents extérieur. Notre système politique est vaguement inspiré de celui de la France et du socialisme suranné des années 60-70 ,nos infrastructures les plus modernes sont chinoises,nos armes sont russes,nous voulons être plus arabes que les arabes,les revendications berbères sont caricaturales,notre compréhension de l’Islam est de plus en plus étroite,nos paraboles sont tournées vers les satellites arabes et français…
    bref la liste peut être longue encore.

    Sansal au fonds c’est juste un pur produit de l’Algérie.

    Anonyme
    4 août 2023 - 17 h 46 min

    Il a reçu ces prix parce qu’il écrit ce qu’on lui dicte.
    Je ne l’ai jamais entendu parler des massacres subis par les algériens durant 132 ans. Il n’a jamais dénoncé les colonisateurs et le néocolonialisme qui dure jusqu’à aujourd’hui…..
    Tout le monde constate que les distinctions des vont uniquement à ceux qui s’alignent sur l’occident et jamais à ceux qui décrivent la réalité.

    Anonyme
    4 août 2023 - 15 h 30 min

    Sansal ou sandale?

      5 août 2023 - 18 h 45 min

      Je voudrais juste relever que lorsque vous entendez le Sansal répondre à une question d émission littéraire d un Merdias de chez Fafa , vous vous demandez si vraiment il arrive à écrire lui même ses Vomis anti Algérie .
      Sansal ou le Bougnoulisme d un ex Directeur général au sein du ministère de l industrie ……!!

    Balance ton monkey
    4 août 2023 - 15 h 27 min

    Sansal c’est du copier coller à l’occidentale ou il remplace tous bonnement les musulmans par par des extras terrestres voir pour les plus assidus par tous ce qui est étrange contre ce qu’il n’est pas plutôt censés ne pas l’être . L’occidentale y verra par hypocrisie inversé une forme de révolution. Sansal inventant l’eau chaude voir un sceau de vapeur.

    Bilal
    4 août 2023 - 15 h 22 min

    Ce que je déteste le plus en Ces nervis, Kamel DAOUD et SANSAL, c’est qu’ils avaient profité de deniers de l’Etat pour leurs formations scolaires, universitaires et sont partis en guerre contre leur propre pays. Aujourd’hui payés par la France pour leurs écrits contre leur pays. Je qualifie ces individus de Harkis littéraires.

    schlomomo6
    4 août 2023 - 14 h 48 min

    Boualam harki est un bousbirien: Le père de Boualem Sansal, Abdelkader Sansal, est issu d’une famille aisée du Rif ayant fui le Maroc pour l’Algérie, et sa mère Khadjidja Benallouche a reçu une éducation et une instruction « à la française »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Boualem_Sansal

    Raïna
    4 août 2023 - 14 h 43 min

    Sansal et son compère Daoud font partie de ces idiots utiles complexés au même titre que les Sifaoui,Aboud,Zemmour et Messiha dont la fachosphère a besoin pour alimenter son moulin en eau.

    On aimerait entendre ces deux pantins concernant les affres du colonialisme français,le code de l’indigénat et le statut de sous citoyen imposé aux algériens dit « français musulmans ».
    A aucun moment vous ne les entendrez dénoncer le soutien de l’occident à tous ces extrémistes islamistes qui agissent sous la bannière de groupes terroristes tels qu’Al Qaïda,Al nosra,Aqmi,le Mujao à la solde de la CIA et de la DGSE française…sans oublier le soutien indéfectible depuis toujours de la france à l’ex FIS,GIA,AIS durant la décennie noire,ces terroristes que la france a convertie en « opposants politiques » à l’image de Rachad et du MAK.

    Ces pantins laissés pour compte qui se veulent être des modèles d’intégration ont oublié que leur problème réside dans leur tête car ils sont animés par un certain complexe qui les pousse à cracher leur venin sur l’islam et les musulmans c’est comme celui qui,complexé par son manque d’intelligence,se met à qualifier les autres de médiocres.

    Est ce là le prix à payer pour l’obtention d’une carte de résidence française?

      Elephant Man
      4 août 2023 - 22 h 53 min

      @Raïna
      Sang-sale est un makhnaz pas un Algérien quant à Daoud idem il a prêté allégeance à bousbirland.
      KD a dit « je suis marocain ».
      Pour reprendre @Anonyme 12/12/18 : Quand BHL et Finkielkraut soutiennent un arabe, il faut qu’il soit pro-israélien donc anti-Palestinien, anti-musulman, anti-Algérien et renégat. C’est la surenchère dans l’infamie qui consolidera sa réputation. KD l’a bien compris. Quand ils n’auront plus besoin de lui il deviendra un « magma » (le mot est de De Gaulle) infréquentable.. ».
      Leur leitmotiv avant tout cracher et taper sur l’Algérie avant l’Islam car JAMAIS ils ne s’attaquent à leur kommandantur des croyants… »ÉTONNANT NON ? » ..pour reprendre le cultissime Desproges.
      Revenons à sang-sale qui n’est pas Algérien mais makhnaz s’est rendu en 2012 chez l’entité sioniste pour être crédible qu’il critique la religion juive CHICHE ! Sachant que je réitère persiste et signe il s’adonne exclusivement à l’Algérie bashing l’Islam est accessoire auquel il et ils auraient déjà dézingué la majesté kommandantur des croyants et sa narco-terroriste-pédophile-monarchie et ses sujets esclaves consentants fidèles serviteurs.
      Pour reprendre encore une fois notre Grand ÉMIR ABDELKADER Allah Yarhmou : «Le savant est l’homme pour lequel s’opère facilement la distinction entre la franchise et le mensonge dans les paroles, entre la vérité et l’erreur dans les convictions, entre la beauté et la laideur dans les actes».

      Elephant Man
      4 août 2023 - 23 h 07 min

      @Raïna
      PS : pour compléter ma réponse :
      Pour reprendre @Benchikh décembre 2018 : « permettez-moi AP de répondre à cette question simple, Mr Daoud sert comme un jeu d’artifice, pour montrer que le ciel de Paris est beau ».
      Pour reprendre @Droits Humains 13/12/18 : « Rien que cet écrit de Daoud est suffisant pour comprendre sa reptation : « Le Qatar a réussi à exporter l’image d’un pays où l’on peut dire les choses, où l’on assume les relations internationales, même avec Israël, sans hypocrisie, où la liberté de culte n’est pas une chasse au casse-croûte et où les droits des FEMMES sont les plus respectés dans cette région du monde, la révolution Al-Jazeera a fini par « enfoncer » encore plus le reste du monde « arabe », en en soulignant, par contraste, le calendrier « moyenâgeux ». »

      Bilal
      5 août 2023 - 15 h 57 min

      Merci pour ton commentaire. Si tu permets, j’ajouterai que ces pseudos-écrivains, à ce que je sache n’ont jamais dénoncés les assassinats, les agressions permanentes des sionistes vis-à-vis des palestiniens, des tortures et agressions permanentes de l’armée et police marocaines vis-à-vis des civils saharaouis, dans leurs écrits, livres revues , médias au service de la propagande occidentale. Ils sont seulement au service de la propagande occidentale, sioniste et marocaine. Je rectifie ils ont obtenu la nationalité française très rapidement pour leur dévouement et la défense de la race blanche. La carte de résidence française est réservée pour des gens comme toi et moi. Mais je préfère être à ma place qu’à la leur.

    Anonyme
    4 août 2023 - 14 h 01 min

    Je suis entièrement d’accord avec l’analyse de cet article.
    Je me permets juste de rajouter que pour plaire à leur maître, ces pseudos intellectuels , il faut rajouter Sifaoui, qui semble avoir fini de siphonner, sont obligés de justifier leur demande de naturalisation, en crachant leur venin, par opportunisme sur l’islam.
    Si le combat du sionisme avait été le communisme, ils se seraient exécutés de la même façon.
    Je ne comprends toujours pas pourquoi, ils gardent leur patronymes ces bougnoules de service…

    Souk-Ahras
    4 août 2023 - 11 h 30 min

    À ces deux pov types – ils sont bien plus nombreux dans le réel – leur foi islamiste originelle leur a enseigné comment faire une omelette sans casser les ………. ??? ou du moins ce qu’ils pensent être des …….. ???
    Depuis le temps qu’ils se tordent les méninges dans tous les sens pour définir ce qu’il faut casser pour enfin déguster leur omelette islamis-thiquée !!!!
    Depuis leur accession au poste d’arabes de service -6.0 (ils ont en effet pris du dé-grade) rémunérés en « devises » par eux hallalisées, ils pensent, dur comme plâtre, auréolés d’une fierté qui tend vers le zéro absolu, qu’ils sont des « mesmar j’ha » dans la maison Algérie. Ils en pètent d’orgueil fessier, je vous le dis ! Y-a qu’à regarder la photo !
    Seulement, ces deux pov types, décérébrés qu’ils sont – je rappelle qu’ils sont bien plus nombreux dans le réel – n’ont jamais maîtrisé le fait établi que le « mesmar j’ha » est dans leur être ! Les pourvoyeurs de devises hallalisées le savent et en pètent de rire ! les arabes de service *6.0 savent que les pourvoyeurs le savent mais continuent, routine oblige, d’en péter d’orgueil fessier.

      zz
      4 août 2023 - 19 h 32 min

      Malheureusent ces deux la ne sont pas les seuls a cracher sur l algerie pour une nationalite francaise au font ILS font ce quils veulent mais ont ils encore la double nationalite ? SI OUI l algerie devrait leur surprimer c est simple

    Said DJAFAR
    4 août 2023 - 10 h 32 min

    Bonjour Mesloub Khider,

    Vous avez vu juste et tapé dans le mille !

    Voilà ce que je disais en juillet 2019, de LA HAINE DES M’TOURNIS dont Boualem SANSAL en fait partie !

    https://www.algeriepatriotique.com/2019/07/23/la-haine-des-mtournis/

    A rediffuser par Algérie Patriotique .
    Cordialement.

      Bonjour Said Djaffar
      5 août 2023 - 13 h 10 min

      « Vous avez vu juste et tapé dans le mille ! »?

      Vous nous aviez habitués à plus de nuances dans vos écrits, ce qui leur donnait une dimension intelligente.

    Un porteur d'eau aux Zemmouriens
    4 août 2023 - 10 h 14 min

    Je ne pense pas que l’on puisse mettre K.Daoud et B.Sansal sur le même point. K.Daoud est un esprit critique de notre société algerienne qui tente d’expliquer nos deviances sociétaires versus notre religion. B.Sansal est un haineux qui crache son venin sur l’islam et les Musulmans de façon irrationnel et pathologique. Il veut être plus blanc que blanc pour plaire aux Zemmouriens en plus de faire le buzz pour remplir ces emplettes qui lui permettent d’avoir du financement, des papiers,… pour faire en toute tranquillité ses allers et retours Alger-Paris. Un opportuniste qui surf sur cette mode islamophobique qui a le vent en poupe lui soufflant dans le dos MAIS attention car un moment il va l’avoir de face tout comme un certain M.Sifaoui dans un autre genre qui faisait le buzz et de l’argent sur le terrorisme Islamiste en servant de caution au islamophobe . On connaît la suite.

    Salim Samai
    4 août 2023 - 10 h 13 min

    M. Sansal est un AUTEUR qui OBEIT á son EDITEUR comme TOUS les AUTRES!
    Ce n´est PAS 1 RAISON pour l`INSULTER méme si de l´Islam il fit SON COMMERCE ou mieux son editeur!

    Je crois que les TEMPS ont changé! Le COMMERCE & la DIABOLISATION de l´Islam par Mila, Amiri/Malala/N.Mourad, le Voile et l´E.I. de l´Arctique á l`Antarctique ont evolué. « L´Occident » ENDORMI s`est reveillé! Les Amis et les Ennemis d´HIER ne sont PLUS ceux d´AUJOURD`HUI!

    Trop de FRANCAIS le disent! Le Niger n`est PAS 1 ECHEC/Probleme de Wagner, des Africains & du
    « Chien qu´on acuse de la Rage » MAIS de la STRATEGIE de la France/Occident/OTAN!
    L´Ukraine, c´est PAREIL!

    Mahdi Nosore
    4 août 2023 - 9 h 46 min

    Si un plumitif est quelqu’un qui écrit pour écrire, Sansal, lui, a le mérite, ou le malheur, d’être lu
    et apprécié par beaucoup de ses lecteurs. J’ai lu tous ses romans , sans être intéressé par ses sorties ou ses opinions par ailleurs.

    On ne peut pas dire que Boualem Sansal ne mérite pas les critiques qui lui sont adressées même si je ne les partage pas pas plus que je ne partage tous ses écrits.

    Sansal ne cache pas les critiques qu’il adresse à l’Islam et à la révolution algérienne. Ce sont ses sujets de prédilections. En rappelant qu’ils a qualifié de «les trois imposteurs »  les prophètes des religions monothéistes.

    Si ses critiques ne sont pas fondées , on peut comprendre les critiques. Sansal n’est certes pas un savant, certes . Il est peut-être à la solde de l’Entité sioniste, de la main de l’Etranger, des Officines, du Grand Satan, mais ce n’est pas un plumitif. C’est incontestablement un Grand écrivain. Mais in a le droit de ne pas aimer ce qu’il écrit. Je n’aime pas non plus tout ce que je lis y compris quand ce n’est pas des plumitifs qui l’on écrit.

    Anonyme
    4 août 2023 - 9 h 37 min

    Boualem Sansal
    Boualem Sansal, né le 15 octobre 1949 à Theniet El Had, petit village des monts de l’Ouarsenis, est un écrivain algérien d’expression française, principalement romancier mais aussi essayiste. Censuré en Algérie à cause de sa position très critique envers le pouvoir en place, il publie ses ouvrages dans d’autres pays tels que la France ou l’Allemagne. Il est le lauréat de plusieurs prix littéraires, dont le grand prix du roman de l’Académie française 2015 pour son roman 2084 : la fin du monde.
    En 2018, il reçoit le prix international de la laïcité de l’association française Comité Laïcité République
    Le 23 avril 2022, il reçoit le Prix Méditerranée pour son roman Abraham ou La cinquième Alliance, troisième écrivain algérien à le recevoir après Tahar Djaout et Kamel Daoud, trois écrivains engagés contre les excès du pouvoir algérien ou de l’islamisme
    Le 4 juin 2023, il reçoit le prix de la Licra (fédération de Paris) et, le 15 juin 2023, il reçoit le prix Constantinople à Paris pour l’ensemble de son oeuvre.

    Cela peut déranger certains dans leurs certitudes

      Bilal
      4 août 2023 - 15 h 30 min

      Je connais un écrivain lui digne et patriote : Rachid BOUDJEDRA qui a lutté contre l’islamisme radical et dénoncé le pouvoir mais n’a jamais renié son pays et parti s’installer en France pour soutenir les sionistes et les ennemis de son pays. Il vit en Algérie et dénonce ces pseudo- écrivains dotés de prix de honte et de trahison SOUTENUS par des médias et autres organismes sionistes ennemis de l’Algérie.

      Antisioniste
      4 août 2023 - 16 h 15 min

      Il ne lui manque que la legion d’honneur qu’on donne pour ceux qui n’en on plus, et il aura fait un grand accomplissement.

      Souk-Ahras
      4 août 2023 - 16 h 44 min

      Bonjour ami intervenant,
      Le seul mérite qui aille à ces deux « réfléchisseurs » qui s’essaient à la ré-flexion en concourant méthodiquement à la génu-flexion est qu’ils ne sont pas anonymes.
      Mais là n’est pas la profondeur du sujet en cours !
      Le Prix X, le Prix Y, le prix débattu, le prix d’ami…
      Savez-vous quels sont les moyens à utiliser pour augmenter le rendement d’une mar…………te ?
      Sansal et Daoud excellent dans la redondance matricielle. Ils adorent les cir……..conférences !
      Vous pouvez en faire le constat par une lecture monochrome et assidue de leurs ré-flexivités.
      un conseil : n’utilisez jamais un prisme pour les « lire ».
      Amicalement.

      Anonyme
      5 août 2023 - 11 h 26 min

      @Anonyme avocat des harkis, je passe sur tous les prix qu’a reçu Sansal qui ne font que prouver que cet « écrivain » encensé par l’ennemi est un traitre. Vous pouvez dire ce que vous voulez cela ne changera rien.
      Je veux juste vous poser une question: avez-vous déjà lu la prose de BS? Si vous arrivez à lire un livre de cet individu faites le moi savoir et je vous donnerai une médaille. C’est parce qu’il est nul en tant qu’écrivain qu’il a besoin de trahir pour être publié. Les traîtres sont des imbéciles et des déviants.

      zz
      5 août 2023 - 20 h 24 min

      es recompenses pour service rendus et sont pro sionisme un nonosse pour sansal et daoud n est pas kateb yacine qui veut

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