Les receleurs suisses d’Hitler accusent l’Algérie de crimes contre l’humanité

Comment (5)

    Soso
    3 septembre 2023 - 18 h 27 min

    Crime financier, détournement de fond d’état,blanchiment d’argent sale ,drogue prostitution..sa cet un vrai crime contre l’humanité des peuples a qui la suisse refuse de rendre les fonds détourné. bref la suisse n’est absolument pas un exemple de probité ni de morale elle ce permet des choses qui vont lui pété a la figure…

    Anonyme
    3 septembre 2023 - 16 h 01 min

    Accueil / International
    La Suisse «agent financier» du IIIe Reich. Selon un rapport américain, d’autres pays ont contribué à l’effort de guerre allemand.
    Patrick Sabatier de Libération . 10 mai 1997 .

    Washington, de notre correspondant

    «C’est un premier pas vers le percement de l’abcès. Mais il va falloir maintenir la pression pour que le gouvernement suisse (…) continue de coopérer.» Benjamin Gilman, représentant (républicain) de New York, a exprimé jeudi le sentiment qui domine aux Etats-Unis après la publication, le 7 mai, du rapport Eizenstat. Ce document de plus de 200 pages, résultat d’une enquête de sept mois ordonnée par le président Clinton, jette une lumière crue sur la collaboration active de la Suisse et d’autres pays «neutres» avec les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Et sur leur refus, après la fin de la guerre, de restituer les biens pillés dont ils étaient devenus les receleurs. «Il est trop tard pour réparer les torts, mais aucun effort ne doit être épargné pour rendre l’or et les autres biens à leurs propriétaires légitimes», exige, dans son éditorial du 8 mai, le New York Times. La question centrale est désormais de savoir si les Etats-Unis et leurs alliés vont obliger la Suisse à renégocier l’accord international de 1946 qui avait établi la Commission tripartite sur l’or, créé pour restituer aux pays envahis une partie de l’or pillé par les nazis. Et si les trois pays garants de cet accord (Etats-Unis, Grande-Bretagne et France) vont accepter de distribuer aux victimes de l’Holocauste les quelque 5,5 tonnes d’or, d’une valeur de 70 millions de dollars (400 millions de francs) toujours entreposés dans les coffres de la Banque d’Angleterre et la Fed américaine. Une conférence internationale pourrait être organisée à Londres dès cet automne pour en décider.

    Le rapport relance non seulement les controverses sur l’«or nazi» des banques suisses, mais il renforce considérablement les actions en justice intentées par des survivants juifs devant un tribunal new-yorkais pour obliger plusieurs grandes compagnies d’assurances européennes (dont les AGF en France) à honorer les polices souscrites avant-guerre par des juifs européens. «La Suisse a été le banquier et l’agent financier de l’Allemagne nazie, conclut le rapport Eizenstat. Elle a accepté et blanchi l’or allemand ­ pour la plus grande part obtenu par pillage ­ et a fourni à l’Allemagne les francs suisses pour acheter les ressources nécessaires à la poursuite de la guerre.»

    A travers l’étude et l’analyse de centaines de milliers de pages de documents entreposés dans les Archives nationales américaines et récemment ouverts au public, la commission Eizenstat a confirmé plusieurs points que beaucoup d’historiens avaient depuis longtemps établis. Premièrement, «le concept de neutralité était, pendant la Seconde Guerre mondiale, en contradiction avec la morale. Il est clair que l’Argentine, l’Espagne, le Portugal, la Suède, la Suisse et la Turquie [pays neutres pendant la guerre, ndlr] ont mis du temps à comprendre et à accepter qu’il ne s’agissait pas d’une guerre comme les autres. La plupart d’entre eux ne l’ont jamais accepté». Deuxièmement, la Suisse, mais aussi les autres pays neutres, «ont entretenu des relations économiques intenses avec le Troisième Reich, qui ont eu pour conséquence d’entretenir et prolonger la capacité de l’Allemagne à faire la guerre». «Jusqu’à l’automne 1944», peut-on lire dans une note du secrétaire d’Etat adjoint à la Guerre, Robert Patterson, du 30novembre 1944 et citée en appendice du rapport Eizenstat, «les Suisses ont produit et exporté en Allemagne de grandes quantités de munitions, de pièces détachées pour avions de guerre, d’équipements radio, et autres biens militaires (…). Ils ont assuré la fourniture d’électricité à l’Allemagne et leurs chemins de fer ont assuré une grande partie du trafic entre l’Allemagne et l’Italie. Ces activités ont été une contribution importante à l’effort de guerre nazi.»

    Tertio, les Suisses (mais aussi les autres «neutres») ont tout fait, après la défaite nazie, pour ne pas restituer les richesses accumulées. «Les Suisses ont continué de faire comme si de rien n’était dans l’après-guerre, et c’est cela qui est le plus inexplicable. L’indifférence affichée par les banquiers suisses au sort des victimes de l’Holocauste et de leurs descendants a persisté jusqu’à ce que la pression internationale se fasse sentir», note le rapport.

    Ce document reconnaît aussi que, lors des négociations de 1946, le président Truman et ses collaborateurs étaient bien moins concernés par la justice envers les victimes des nazis que par des impératifs stratégiques qui les amenaient à vouloir entretenir des bonnes relations avec les «neutres», fussent-ils fascistes comme le Portugais Salazar ou l’Espagnol Franco. «La souillure de l’or nazi», comme l’écrit le New York Times, n’entâche donc pas que la réputation des banquiers genevois.

    – «Ce n’est pas à moi d’évaluer les souffrances des gens pour décider d’une indemnisation», a affirmé hier le prix Nobel de la paix Elie Wiesel, en refusant la proposition de Berne d’être le «doyen» du Fonds spécial pour les victimes de l’Holocauste.

    Voilà j avais déjà fait mots ds votre premier article AP sur le rôle noir de la Suisse pdt la période nazi . Donc je me suis permis d apporter ou plutôt de compléter mon premier com et votre vidéo d aujourd hui AP pour que vos lecteurs comprennent mieux ce pays qui se dit neutre et qui veut poursuivre un grd officier algérien qui ne s est pas plier comme elle en 39/45 .

    Et veut le juger lui et l armée Algérienne indirectement aujourd’hui pour un combat en Algérie contre des monstres sanguinaires qui ont saignés l Algerie son peuple et ces forces de l ordre pdt une décennie pour prendre le pays et appliquer la charia en faire un état islamique . L Algerie n est pas la Suisse désolé. Quand même mal placée cette Suisse à vouloir juger les autres pour des choses qui ne la regarde en rien , l armée algérienne n est pas le 3 ème Reich c est peut être la raison ? J en sais rien faudrait peut-être lui demander à la Suisse ?

    FATIMATO
    3 septembre 2023 - 15 h 36 min

    Bravo Rafaa et vive notre Armée Algérienne ancienne, nouvelle et à venir. Nous sommes avec vous Général Khaled NEZZAR.

    Fodil
    3 septembre 2023 - 14 h 51 min

    L’homme politique français controversé charles pasqua, habitué des tribunaux pour ses déboires politico-judiciaires mais qui était en même temps protégé par le système en place, avait sorti sa fameuse phrase alors qu’il était ministre de l’intérieur: « il faut terroriser les terroristes! »
    Depuis, les temps ont changé et les rôles se sont étrangement inversés. Certains donneurs de leçons ont une lecture de l’histoire carrément hallucinante. Un révisionnisme créé par la machine idéologique imperialo-sioniste pour servir un agenda précis.
    La justice helvétique s’est donc donnée pour mission de « victimiser les terroristes ». Le loup est donc devenu agneau. Un agneau pascal certainement.

    Brahms
    3 septembre 2023 - 14 h 30 min

    C’est de l’instrumentalisation ?

    A mon avis, la Suisse veut surement lui voler son argent, son honneur et salir l’Algérie donc elle a monté en épingle une affaire pénale.

    Par contre, quand il y avait les islamistes radicaux qui tuaient, je n’ai pas vu la Suisse venir à notre aide.

    Par conséquent, venir 33 ans après les faits alors qu’en Israël, il y a des massacres tous les jours en direct à la télévision contre des palestiniens, il serait bon que la Suisse revoit sa copie.

    A l’inverse, il va falloir prendre des mesures de rétorsion

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