Chronique d’Alexis Coskun – La Turquie d’Erdogan : puissance contradictoire

Erdogan Turquie
Recep Tayyip Erdogan. D. R.

Par Alexis Coskun(*) – Les régimes politiques et les édifices architecturaux ont cela de commun que la plus éclatante des façades peut éclipser des fondations dangereusement lézardées. Recep Tayyip Erdogan dirige la Turquie depuis près de vingt-cinq ans, près du quart de toute la période républicaine. Fort de sa réélection en mai 2023, il présente son action à la tête du pays comme ayant permis l’éclosion d’une nouvelle ère de puissance, de modernité et de prospérité. L’affirmation d’une influence retrouvée sur la scène internationale est au cœur de son narratif tout comme l’est la mise en scène de sa posture d’homme fort (1). Elles concourent à sa réussite électorale au sein de ses frontières et dans la diaspora.

Ces récits entravent la compréhension réelle de la Turquie contemporaine. Les plus fervents critiques de Recep Tayyip Erdogan, particulièrement dans les pays occidentaux, endossant l’idée du retour de la puissance tuque, renvoyant à un «néo-ottomanisme» souvent trop rapidement brandi, et qui serait par essence menaçant, contribuent parfois à nourrir son récit. D’aucuns s’accommodent du gouvernement du Parti de la justice et du développement (AKP), pariant sur les opportunités économiques – main d’œuvre formée et peu onéreuse, marché intérieur conséquent, appareil de production modernisé – ou géopolitiques – position géographique stratégique, affiliation à l’OTAN, effectifs militaires importants – que le pays offrirait. D’autres, enfin, croient percevoir dans les prises de position du gouvernement d’Ankara l’émergence de la contestation d’un ordre international dominé par les puissances occidentales, faisant, d’une manière erronée, de Recep Tayyip Erdogan un leader non-aligné voire anti-impérialiste.

Pour comprendre le moment turc, il est pourtant impératif de dépasser les lectures trop souvent orientalistes, ethnicistes, schématiques, religieuses et culturelles héritées de plusieurs siècles de relations entre l’Europe et l’Empire ottoman puis avec la Turquie républicaine.

Le centenaire de la République de Turquie est au cœur de l’attention mondiale du fait du rôle complexe joué par la diplomatie turque dans les conflits contemporains. Mais l’intérêt porté à cet évènement découle tout autant du caractère unique de la construction politique initiée, à la sortie de la Première Guerre mondiale, dans le sillage de Mustafa Kemal, c’est-à-dire l’édification d’un Etat nation sur les ruines d’un Empire multinational pluriséculaire, et la fondation progressive d’un Etat laïc en lieu et place du régime du Sultan combinant pouvoir temporel et spirituel.

Quelle est la réalité de la Turquie ? Où va-t-elle cent ans après l’édification de la République sur les cendres d’un Empire ottoman à bout de souffle ? Comment évaluer et comprendre ce récit d’une puissance retrouvée et réaffirmée ?

La Turquie d’Erdogan : une puissance d’opportunité

Si la Turquie a pu renouer avec une influence certaine et avancer ses pions, c’est, systématiquement, en bénéficiant des contradictions des puissances mondiales, cherchant d’abord à exploiter tous les interstices dont elle pourrait tirer avantage.

L’ouverture de deux bases militaires à l’étranger, une à Doha, l’autre en Somalie, une première dans l’histoire du pays, furent d’abord le résultat de conflits locaux et du désengagement d’Etats occidentaux ayant une prépondérance historique dans ces régions. Le dynamisme de son industrie de défense, matérialisé par la production de drones ou la livraison d’un porte-drone pour la marine nationale contribue directement à l’interventionnisme de la Turquie dans de nombreux conflits. Mais là encore, elle bénéficie des contradictions et oppositions internationales, particulièrement en Libye, aux côtés du Gouvernement d’Union Nationale (GNU) ou en soutien au Président azéri Ilham Aliyev, dans les suites du recentrage stratégique de la Russie en Ukraine.

De la même manière, les dernières années ont vu les entreprises turques pénétrer de nouveaux marchés. En 2022 elles étaient 225 à opérer sur le continent africain, particulièrement dans les secteurs de la construction, du textile et des infrastructures, contre trois seulement en 2005. La Turquie a notamment profité de la remise en cause du monopole des anciennes puissances coloniales engagée par d’autres acteurs et notamment la Chine.

Surtout, dans la dernière période, l’équilibrisme diplomatique est devenu une marque de fabrique et un moyen d’affirmation pour le président turc, oscillant entre Moscou et Washington, affirmant sa place dans l’OTAN et candidatant à l’adhésion au sein de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), ou jouant un rôle pivot entre la Russie et l’Ukraine. La diplomatie d’Ankara vise à obtenir, au coup par coup, le plus de concessions possibles, de la part d’alliés de circonstance. Elle permet ainsi à la Russie de contourner les sanctions internationales, pour bénéficier d’importations massives de produits énergétiques. Dans le même temps elle permet l’adhésion de la Suède à l’OTAN, en échange de matériel militaire américain.

En définitive, la Turquie s’affirme comme une puissance dépendant du jeu des grands acteurs internationaux.

De l’opportunité à la vulnérabilité

Avec le déclin de l’Empire ottoman, jouer sur les contradictions de puissances pour protéger ses intérêts constitua la doctrine centrale de la politique internationale de la Sublime Porte et particulièrement du Sultan Abdulhamid II (2).

Le pari devint rapidement intenable et conduisit l’Empire à de nombreux revers. L’édification de la République doit initialement se comprendre comme une tentative de rupture avec ce cadre stratégique.

La politique actuelle de la Turquie risque ainsi de transformer un opportunisme stratégique en vulnérabilité critique. Le commerce extérieur turc connaît déjà un déficit record dû à la croissance exponentielle des importations d’hydrocarbures russes. Le pays a perdu sa souveraineté alimentaire, et des pans entiers de son économie sont adossés directement à des financements étrangers, particulièrement venus du Golfe. Le développement de sa base industrielle de défense souffre toujours de dépendances critiques pour des pièces fondamentales, comme la construction de moteurs, ce qui obère la voie vers une réelle autonomie stratégique.

Pour favoriser les investissements étrangers et les rapprochements stratégiques, les atouts productifs du pays ont été privatisés et la dépendance aux importations alimentaires et énergétiques attise les boucles inflationnistes.

Enfin, construire la puissance du pays en miroir du jeu des grandes puissances internationales pèse de tout son poids sur la société turque. Face à la perte de souveraineté, cette stratégie attise un nationalisme encouragé par le pouvoir politique. Pour rassurer des partenaires quant à la fiabilité et la stabilité du pays, ce chemin encourage un encadrement ténu, et souvent brutal, de la population qui participe, d’ailleurs de la remise en cause croissante de la laïcité.

L’imposition du religieux dans le champ politique et dans toutes les dimensions de la société ne saurait masquer la sécularisation croissante de la population turque, et singulièrement de sa jeunesse. La nécessité pour le pouvoir de l’AKP de recourir de manière croissante à la thématique religieuse dans son mode de gouvernance constitue, en définitive, tant un aveu de faiblesse qu’un signal envoyé vers l’extérieur. Elle contribue à canaliser sa jeunesse et à imposer son agenda politique. Elle soutient également le réalignement stratégique de la Turquie, tant économique que diplomatique, donnant des gages aux Etats du Golfe, de l’Afrique du Nord, de l’Asie centrale et des Balkans qui constituent désormais des partenaires stratégiques que Recep Tayyip Erdogan entend privilégier.

Combien de temps encore cet opportunisme stratégique permettra-t-il à Recep Tayyip Erdogan de se maintenir au pouvoir face à une base sociale rétrécie ? Voilà une question essentielle pour la République de Turquie, à l’aube de son centenaire.

A. C.

(*) Corédacteur en chef de la revue Recherches internationales

1) Son slogan lors des dernières élections présidentielle et législatives est, à cet égard, éclairant : «La bonne personne au bon moment».

2) Olivier Bousquet, Pourquoi l’Empire ottoman ? Six siècles d’histoire, Gallimard, Paris, 2022.

Ndlr : Au moment où nous mettions en ligne cet article, un attentat a été perpétré dans la capitale turque, Ankara, suivi d’un échange de tirs. L’attentat visait le ministère de l’Intérieur, selon les premières constatations.

Comment (35)

    Karim Djazairi
    6 octobre 2023 - 10 h 15 min

    Un compatriote nous parle de Strategic Hedging & Soft power.

    Personnellement je ne suis pas contre cette stratégie notre pays doit chercher avant tout ses intérêts et faire preuve de realpolitik.

    Les ennemis font du commerce, exemple Amérique et chine.

    Nous avons des relations avec des pays qui entretiennent des relations avec l entité sioniste ou qui ne reconnaissent pas la RASD.

    Il n en demeure pas moins, qu il serait inacceptable de céder à un quelconque chantage au nom de cette stratégie du Soft power. L Algérie demeure un état souverain qui fixe deux lignes rouges à ne pas dépasser, celles de la Palestine et de la cause saharoui.

    On sait que les Emirats sionistes Unis ont tenté en vain de persuader notre pays à normaliser nos relations avec l entité sioniste et qu ils nourrissent depuis, une hostilité manifeste. On se passera de relations économiques avec cet état terroriste.

    Ce sont des exceptions qui échappent à la règle, cela ne relève pas de la politique de la guerre froide, mais c est une démarche qui s inscrit dans le respect de la volonté du peuple algérien qui a subi l occupation les atrocités et qui se reconnaît dans le drame palestinien.

    La Turquie joue un double jeu qui consiste à nouer des relations tous azimuts et à trahir. Erdogan prend de grands risques et s attirent de nombreux ennemis qui vont exploiter ont la moindre faiblesse, la moindre opportunité pour s en prendre à la Turquie.

    Quant à l Algérie qui depuis la venue du président Tebboune a opéré un virage à 180 degrés et favorise l investissement productif, elle doit continuer sa politique de partenariats stratégiques aussi bien avec les pays occidentaux qu orientaux.

    Elle doit continuer ses efforts pour favoriser un climat d affaires et mener les réformes qui s imposent.

    Elle doit surtout mettre un terme à la corruption et réformer une administration qui représente un frein à sa politique. Je suis favorable à la privatisation de certains administrations.

    Enfin, le marché parallèle doit cesser, il n y a pas 36 solutions, il y en a une seule efficace et contraignante, c est le changement de notre monnaie. Tout ce beau monde sera invité à déposer son argent sur un compte bancaire. L état peut être conciliant et accorder une ou deux années d exonération fiscale pour leur permettre de se mettre en conformité avec la loi.

    Ilroulepourqui
    2 octobre 2023 - 19 h 57 min

    Erratum:
    A lire
    Pour les naïfs et ceux qui croient que l’Algérie est l’allié ou ami de l’a Turquie, faut-il leur rappeler que la Turquie a voté contre l’indépendance de l’Algérie à l’ONU. Les dirigeants actuels l’ont répété à chaque occasion que l’Algérie est un de « leur territoires perdus à reconquérir » et ils n’ont qu’une seule obsession reconquérir !! A ceux qui ont la mémoire courte, les dirigeants actuels de la Turquie, Emirats, Qatar … font partie des destructeurs de la Libye.

    Anonyme
    1 octobre 2023 - 22 h 47 min

    La real politique. Ou, l’art de la composition.

    On fait avec ceux que l’on a en face .

    Savoir tirez ses marrons du feu, à tous moments.

    Rien n’est gravé, ni figé, en politique.

    Il faut être fluide. Comme l’eau.

    L’eau… Avance en continu, sans se soucier de la nature des obstacles qu’elle rencontre.

    Une fois en face de l’obstacle, elle le contourne, puis le noie.

    Et, continue immuable, ne change pas, et reste identique à elle même.

    La théorie de politique conception. A amené le communiste à sa disparition.

      Anonyme
      2 octobre 2023 - 11 h 37 min

      Lucide et maniable, c’est juste magnifique.

      Elephant Man
      2 octobre 2023 - 13 h 04 min

      @Anonyme
      Excellent commentaire et désaltérant en cette journée ensoleillée de ..jeûne.

    Strategic Hedging & Soft Power
    1 octobre 2023 - 21 h 22 min

    Non, la Turquie n’est pas opportuniste! Elle applique les concepts de la « Strategic Hedging » et du Soft Power qui consistent à avoir des relations diplomatiques, politiques, économiques, culturelles, cultuelles, sportifs.. selon ses intérêts propres. Sans être dogmatique mais de façon pragmatique, cartésien, rationnel, elle tisse sa toile selon une approche muti polaire et muti dimensionnelle selon ses propres intérêts. Seules ses intérêts comptes! Le reste ne l’intéresse pas. L’Algerie devrait s’en inspirer au lieu de se fermer et de s’enfermer dans des temathiques et causes mortifères pour notre souveraineté ! D’autres le pratique aussi tout comme le KSA, UAE, le Qatar, .. et bien d’autres pays. L’Algerie reste prisonnière des années 70, la période de la guerre froide, bloc contre bloc. Le monde à changé, nos dirigeants ne l’ont pas compris, enfermé dans un ancien paradigme, incapable de se reinventer.

      Anonyme
      2 octobre 2023 - 13 h 45 min

      Parfait bien analyser
      Nous on traite les régime ou les Nation
      Comme «  »Amis « : «  »Frères : » ou l inverse
      Des concepts à des années lumières de la réalité du moment

    Mohend
    1 octobre 2023 - 20 h 44 min

    Pour être à la fois membre de l’OTAN et ami de Poutine en ses temps troubles, il faut une finesse et une grande stratégie, Erdogan depuis 2016 où Obama à tenter de le liquider en utilisant l’islamiste hébergé aux USA à changer à plusieurs fusils leurs épaules, la Turquie devient incontournable que ce soit en Euro-Asie ou en Afrique.

    ERDOGAN la girouette
    1 octobre 2023 - 20 h 10 min

    Erdogan et un criminel endurci.
    Il s’allie uniquement au plus fort, il trahis tous le monde sauf les sionistes comme lui.
    Il est à genoux devant eux.
    Erdogan il dit des choses et il fait le contraire de ce qu’il a dit, et cela de manière systématique et sans la moindre gêne.
    Il serait l’ennemi de l’humanité s’il en avait les moyens et il éradiquerait tous les pays qui ne se soumettrait pas à lui.
    C’est un véritable ennemi de l’espèce humaine.
    L’Algérie à tout à perdre à s’allier à ce sataniste.
    Cependant s’agissant du peuple turque il y a des bons et des mauvais turques comme dans tous les pays du monde.
    Les dirigeants sont très rarement des gens biens !

    Nord-africain
    1 octobre 2023 - 16 h 09 min

    Erdogan est inscrit sur la liste noire ça fait longtemps,on n attend que l heure H pour fuser sur lui de tous les côtés,de Syrie,d Irak,de Grèce,d Arménie!Cet homme ne cache pas ses intentions expansionnistes,religieuses en plus!C est un Daeshiste que l Occident côtoient malgré lui jusqu au jour J!

    LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE AUX DIPLOMATES ALGÉRIENS
    1 octobre 2023 - 15 h 29 min

    La présence turque en libye est la plus grande menace à la quelle l’Algérie est confrontée depuis l’indépendance.
    Les turcs n’hésiteront pas à nous envahir au moindre signe de faiblesse de l’Algérie.
    C’est ce que font ces lâches à chaque fois. Tels des charognards, ils ont attendu l’affaiblissement de l’irak, de la syrie et plus récemment la lybie pour les envahir. Incapables de mener eux-memes leurs attaques, ils font appel à des terroristes-mercenaires. La lybie est remplie de terroristes syriens et marocains à la solde des turcs. meme chose lors de la guerre du nagorno-karabakh entre l’arménie et l’azzerbéidjan. En guise de soutien à l’azerbeidjan, la turquie a envoyé des terroristes syriens et tchetchenes!
    Il faut une intervention de notre armée en libye pour anéantir la menace turque. Il faut ensuite cesser toute coopération économique avec eux, virer tous les turcs présents en Algérie et soutenir financièrement et militairement les kurdes et tous les peuples qui se battent contre les turcs (syrie, irak, arménie, grece, chypre,…)
    Boumediene a commis au moins 2 fautes graves :
    – a aidé un certain kadafi, aux origines douteuses, à renverser le roi snoussi qui, lui, était d’origine algérienne, de notre illustre tribu zénatie des Ait Snous
    – a envoyé nos militaires en 1973 à des milliers de km faire les larbins aux egyptiens, alors qu’en 1975, lorsque le Sahara Occidental était agressé, sous notre nez, à nos frontières, il n’a pas bougé le petit doigt!!!
    Aujourd’hui rebelote ! Boumediene est mort mais la légèreté de ce régime reste intacte. Face à un haftar armé et financé par l’egypte et les pays du golfe, le gouvernement légitime de lybie avait demandé de l’aide à l’Algérie. Les responsables Algériens n’ayant pas répondu à cet appel de détresse, le gouvernement Serraj s’est trouvé contraint de faire venir les turcs. L’Algérie répète tout le temps les mêmes erreurs. Au lieu d’intervenir en Libye en 2019, et même avant, pour anéantir haftar et pacifier une fois pour toute la Libye, l’Algérie se retrouve aujourd’hui doublement menacé et par les fractions libyennes complétement hors de contrôle, et par les turcs qui s’installent durablement en Libye et profiteront largement des richesses et de la reconstruction de la libye et n’hésiteront pas à s’en prendre à nous au moindre signe de faiblesse. Même kadafi au moment de sa chute avait demandé l’aide de l’Algérie mais nos trop craintifs responsables sont restés, comme d’habitude, passifs et médiocres

      Anonyme
      1 octobre 2023 - 16 h 02 min

      BHL sort de corps…

        LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE AU DIPLOMATES ALGÉRIENS
        1 octobre 2023 - 16 h 23 min

        Dégage, turco-mongole de malheur!

          Anonyme
          2 octobre 2023 - 3 h 14 min

          Je préfère turco mongole que makkakiste mongolien….

          Karim Djazairi
          5 octobre 2023 - 17 h 37 min

          Le président Erdogan mène une politique pour le moins hypocrite. Il veut s ériger comme le défenseur des musulmans, des palestiniens… mais il fait tout le contraire.

          On l a d abord constaté avec l Irak, il a mis à disposition son pays, ses bases pour attaquer l Irak sur le front nord.
          Puis il y a eu la Syrie où il a carrément soutenu les terroristes du daech pour le compte d Israel et de l Amérique.

          S agissant de la Palestine, il fait de grandes déclarations de soutien aux Palestiniens et en même temps il approfondi t ses relations militaires avec Israel. D ailleurs, Israel via la Turquie, a fourni des armes stratégiques à l Azerbaïdjan.

          Erdogan qui faisait croire qu il se détachait de l Amérique a abusé de la a naïveté de la Russie qui lui a fourni des S400. En retour, Erdogan trahit les Russes en fournissant des drones à l Ukraine.

          Erdogan a même l intention de faire construire une usine de drones en Ukraine. Il a pas fait cette proposition à l Algérie.

          Bref, il y a tout lieu de penser, qu il faut être très vigilant avec la Turquie qui joue double jeu.

        dzpower
        4 octobre 2023 - 10 h 35 min

        turco-mongole, tu n’as pas de place en Algérie
        et je suis algérien nord africain, ne trouve pas d’excuse avec le mak ou la France, car ce qui a trahi l’Algérie avec la France, c’est belle et bien les Turques, et ce sont eux-mêmes qui ont voté contre l’indépendance de l’Algérie
        et je vois que tua bien choisie ton camp dès le moment, tu identifies comme turc et pas algérien alors, tu n’as rien à faire ici

      Chat alors !
      1 octobre 2023 - 20 h 36 min

      Ça c’est de stratégie !?#@#
      A la limite en jouant au Monopoly mais surement pas pour une stratégie militaire.
      Comme la technique visant à user l’adversaire avec des conflits de voisinage puis une fois affaiblit, prévoir un invasion.
      Il y a l’exemple célèbre de la conquête célèbre de l’Inde par le Royaume uni…
      Dieu merci les diplomates sont aider par des militaires qui ont étudié la stratégie dans des grandes écoles de guerres.

        dzpower
        4 octobre 2023 - 10 h 35 min

        turco-mongole, tu n’as pas de place en Algérie
        et je suis algérien nord africain, ne trouve pas d’excuse avec le mak ou la France, car ce qui a trahi l’Algérie avec la France, c’est belle et bien les Turques, et ce sont eux-mêmes qui ont voté contre l’indépendance de l’Algérie
        et je vois que tua bien choisie ton camp dès le moment, tu identifies comme turc et pas algérien alors, tu n’as rien à faire ici

      Salah
      1 octobre 2023 - 20 h 46 min

      @LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE… : « la plus grande menace à la quelle l’Algérie est confrontée depuis l’indépendance »
      Les turques en Libye c’est très grave, plus grave que israel au maroc?
      Erdogan gratte à tous les râteliers, c’est vrai, qu’il est de mèche avec ces chiens de takfiri en Syrie, c’est vrai aussi mais de là à cesser la coopération économique et lui déclarer la guerre… c’est pas aller trop loin?
      A mon avis soutenir la Grèce c’est une mauvaise idée mais alors soutenir les kurdes qui commettent des attentats en Turquie c’est une idée encore plus mauvaise!
      S’engager dans une guerre en Libye c’est mobiliser nos hommes, nos équipements et nos moyens pour mener le combat d’un pays étranger.
      Il n’y a pas que l’Algérie, la Russie et la Chine aussi sont restées passives pendant la chute de kadafi.
      Chacun son pétrin et tant que les turques ne montrent pas d’hostilité envers nous, pourquoi nous lancer dans des opérations hostiles à leurs intérêts surtout que je vous rappelle que l’on a déjà les jaloux crève-la-dalle de l’ouest à fouetter.
      Quand à la « diplomatie »… imaginez notre crédibilité à l’international. On ne peut pas exiger la non-ingérence tout en s’immisçant dans les affaires des autres.
      Ce qu’il se passe entre les arméniens, les grecs, les chypriotes, les kurdes et les turques ce sont leurs affaires et pas les nôtres, qu’ils se débrouillent entre eux.

      Heureusement L’ANP sait ce qu’elle fait, Dieu merci.

        Elephant Man
        1 octobre 2023 - 21 h 43 min

        @Saleh
        Excellent commentaire.
        Je me suis arrêtée à « soutenir financièrement et militairement les kurdes ».
        Je rappelle que les Kurdes sont soutenus et aidés par l’entité sioniste …. Un Détail De L’Histoire…
        Qu’un kurde de Syrie est SYRIEN qu’un kurde d’Irak est IRAKIEN si ça ne leur va pas que ces kurdes anti-patriotiques aillent se faire offrir le gîte et le couvert tapis rouge prêt à l’emploi non pas chez l’entité sioniste en Palestine OCCUPÉ mais du côté de chez BHL et Fourrest en France !
        Enfin, effectivement la Turquie a initialement œuvré et agi de concert pour l’axe occidentalo-sioniste en laissant passer tous les terroristes DAECH et cie de France et d’Europr en Syrie pour ensuite faire partie avec la Russie l’Iran du processus d’Astana.

          Salah
          2 octobre 2023 - 20 h 58 min

          Merci @Elephant Man, j’apprécie également vos commentaires pertinents.

        Anonyme
        2 octobre 2023 - 14 h 59 min

        Je ne parle ici que du probleme kurde et rien d’autre. Les autres opinions exprimées par le pseudo la diplomatie expliquée etc n’engage que lui même. Imaginez un instant une Algerie que le Maroc, Tunisie, libye et autres pays à nos frontieres se sont divisés entre eux. Que feriez-vous? Peut être que je ne devrai même pas vous posez cette question. Même chose pour le Kurdistan ancien éparpillé entre la Turquie, l’Irak, et l’Iran. N’ont ils pas le droit de récupérer leurs territoires légitimes et recréer leur pays. Pourquoi parle t-on alors de palestine et sahara occidental spoliés quand on refuse la même chose aux kurdes?

          LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE AUX DIPLOMATES ALGÉRIENS
          2 octobre 2023 - 20 h 11 min

          @Anonyme 2 octobre 2023 – 14 h 59 min
          Très juste!
          Une petite remarque avant de vous répondre, Contrairement au discours ambiant, le Nationalisme est quasi inexistant en Algérie. Aucun sentiment d’appartenance à une seule et même Nation. L’expression « Nation Algérienne » ou « Oumma djazairiya » est inexistante dans le vocabulaire Algérien! Chez les Algériens, soit on est arabo-islamistes soit on est Nord-africanistes et ces tendances internationalistes l’emportent sur l’appartenance Nationale. L’Algérie passe au second plan, n’est pas la priorité et peut même être sacrifiée. Ce manque de Nationalisme génère un manque de repère, de sorte que lorsqu’on discute relations internationales, l’Algérien de base prend systématiquement position en faveur d’une puissance étrangère et contre une autre puissance étarngère, cela indépendamment des interets de l’Algérie. L’Algérie est quasi-absente dans le débat. On s’attaque à telle ou telle influence étrangère, pour ensuite défendre telle ou telle autre! Chacun accuse l’autre de trahison mais en réalité chaque larbin défend son maître et attaque le maître du larbin d’en face! …Une vraie bataille de chiens! Il y a donc les larbins pro-ceci, pro-cela (egypte, turquie, maroc, occident, russie..). Et puis, il y a les « anti » qui imaginent qu’il suffit d’être opposé à quelque chose pour être Nationaliste!!… Non, l’anti-impérialisme, l’anti-sionisme, l’anti-arabo-islamisme…. ne sont pas une preuve de Nationalisme! L’Algérie n’a pas besoin d’être adossée à d’autres causes. L’Algérie est LA cause.
          J’ai commencé par cette petite introduction, pour éviter toute chamaillerie entre pro-turcs et pro-kurds. En tant qu’Algérien, j’ai rien à faire des turcs ou des kurdes, qu’ils aillent tous au diable. Je ne défends que mon pays et les interets de mon pays. Et j’espère que mes compatriotes apprendront enfin à ne jamais perdre de vue l’Algérie et les interets de l’Algérie et que c’est complètement indigne de se chamailler entre Algériens, chacun défendant un pays etranger. Seule l’Algérie vaut la peine d’être défendue
          Pour revenir à votre remarque, effectivement les turco-mongols ont au moins un point en commun avec israel et le maroc : ces 3 régimes occupent illégalement des terres qui ne leurs appartiennent pas. Pourquoi en effet soutenons-nous les palestiniens, les sahraouis et pas les kurdes? Ce sont pourtant les mêmes combats légitimes contre l’oppression. Les turco-mongols n’ont rien à faire là où ils sont actuellement. Et les kurdes ne sont pas des séparatistes. Ils se battent pour libérer leur pays de l’occupation turco-mongole. Ils doivent être soutenus par l’Algérie au même titre que les palestiniens et les sahraouis. Syrie, Grèce, Chypre, Iran, Arménie,… méritent également le soutien de l’Algérie dans leur conflit avec les turco-mongols. C’est une simple question de cohérance de la diplomatie Algérienne
          LEs turco-mongoles sont riginaires de l’asie du nord est. Leurs cousins mongols les ont chassés il y a 1000 ans à peine. Les turco-mongols ont alors fuit vers l’ouest et se sont illégalement installés sur une terre qui ne leur appartient pas. Beaucoup de peuples ont colonisé des terres, mais aucun n’a donné le nom de son ethnie à la terre qu’il a colonisée. Les anglo-saxons ont colonisé l’amérique du nord et l’australie, les espagnols ont colonisé l’amérique du sud. Mais aucune de ces régions ne porte le nom ethnique du colonisateur. Les turco-mongols, eux, ont colonisé une terre et en plus l’ont appelé « turquie ». Ils ont donné le nom de leur ethnie à une terre qui ne leur appartient même pas. C’est une double injustice ; Injustice de la colonisation et injustice de l’appellation ! En plus d’être des envahisseurs colonisateurs, se sont également des faussaires falsificateurs. Cette appellation est en soi une ignominie historique. L’Algérie doit mettre fin à cette incohérence dans sa politique étrangère. Turco-mongols, israéliens et marocains doivent avoir le même traitement. Il faut virer les entreprises turco-mongoles d’Algérie et cesser toute coopération avec eux. Il faut les renvoyer chez eux en Mongolie.

          LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE AUX DIPLOMATES ALGÉRIENS
          2 octobre 2023 - 20 h 32 min

          Anonyme 2 octobre 2023 – 14 h 59 min
          Très juste!
          Une petite remarque avant de vous répondre, Contrairement au discours ambiant, le Nationalisme est quasi inexistant en Algérie. Aucun sentiment d’appartenance à une seule et même Nation. L’expression « Nation Algérienne » ou « Oumma djazairiya » est inexistante dans le vocabulaire Algérien! Chez les Algériens, soit on est arabo-islamistes soit on est Nord-africanistes et ces tendances internationalistes l’emportent sur l’appartenance Nationale. L’Algérie passe au second plan, n’est pas la priorité et peut même être sacrifiée. Ce manque de Nationalisme génère un manque de repère, de sorte que lorsqu’on discute relations internationales, l’Algérien de base prend systématiquement position en faveur d’une puissance étrangère et contre une autre puissance étarngère, cela indépendamment des interets de l’Algérie. L’Algérie est quasi-absente dans le débat. On s’attaque à telle ou telle influence étrangère, pour ensuite défendre telle ou telle autre! Chacun accuse l’autre de trahison mais en réalité chaque larbin défend son maître et attaque le maître du larbin d’en face! …Une vraie bataille de chiens! Il y a donc les larbins pro-ceci, pro-cela (egypte, turquie, maroc, occident, russie..). Et puis, il y a les « anti » qui imaginent qu’il suffit d’être opposé à quelque chose pour être Nationaliste!!… Non, l’anti-impérialisme, l’anti-sionisme, l’anti-arabo-islamisme…. ne sont pas une preuve de Nationalisme! L’Algérie n’a pas besoin d’être adossée à d’autres causes. L’Algérie est LA cause.
          J’ai commencé par cette petite introduction, pour éviter toute chamaillerie entre pro-turcs et pro-kurds. En tant qu’Algérien, j’ai rien à faire des turcs ou des kurdes, qu’ils aillent tous au diable. Je ne défends que mon pays et les interets de mon pays. Et j’espère que mes compatriotes apprendront enfin à ne jamais perdre de vue l’Algérie et les interets de l’Algérie et que c’est complètement indigne de se chamailler entre Algériens, chacun défendant un pays etranger. Seule l’Algérie vaut la peine d’être défendue
          Pour revenir à votre remarque, effectivement les turco-mongols ont au moins un point en commun avec israel et le maroc : ces 3 régimes occupent illégalement des terres qui ne leurs appartiennent pas. Pourquoi en effet soutenons-nous les palestiniens, les sahraouis et pas les kurdes? Ce sont pourtant les mêmes combats légitimes contre l’oppression. Les turco-mongols n’ont rien à faire là où ils sont actuellement. Et les kurdes ne sont pas des séparatistes. Ils se battent pour libérer leur pays de l’occupation turco-mongole. Ils doivent être soutenus par l’Algérie au même titre que les palestiniens et les sahraouis. Syrie, Grèce, Chypre, Iran, Arménie,… méritent également le soutien de l’Algérie dans leur conflit avec les turco-mongols. C’est une simple question de cohérance de la diplomatie Algérienne
          LEs turco-mongoles sont riginaires de l’asie du nord est. Leurs cousins mongols les ont chassés il y a 1000 ans à peine. Les turco-mongols ont alors fuit vers l’ouest et se sont illégalement installés sur une terre qui ne leur appartient pas. Beaucoup de peuples ont colonisé des terres, mais aucun n’a donné le nom de son ethnie à la terre qu’il a colonisée. Les anglo-saxons ont colonisé l’amérique du nord et l’australie, les espagnols ont colonisé l’amérique du sud. Mais aucune de ces régions ne porte le nom ethnique du colonisateur. Les turco-mongols, eux, ont colonisé une terre et en plus l’ont appelé « turquie ». Ils ont donné le nom de leur ethnie à une terre qui ne leur appartient même pas. C’est une double injustice ; Injustice de la colonisation et injustice de l’appellation ! En plus d’être des envahisseurs colonisateurs, se sont également des faussaires falsificateurs. Cette appellation est en soi une ignominie historique. L’Algérie doit mettre fin à cette incohérence dans sa politique étrangère. Turco-mongols, israéliens et marocains doivent avoir le même traitement. Il faut virer les entreprises turco-mongoles d’Algérie et cesser toute coopération avec eux. Il faut les renvoyer chez eux en Mongolie.

          Anonyme
          3 octobre 2023 - 17 h 55 min

          Vous et moi, nous opérons à partir des mêmes hypothèses, avec l’Algérie en tant que priorité absolue. En ce qui concerne les problèmes internationaux, il ne serait pas juste de défendre certains au nom d’une fausse « oukhoua » (fraternité) et d’ignorer complètement les autres, simplement parce qu’ils ne font pas partie du cercle restreint établi par nos responsables.

    Antisioniste
    1 octobre 2023 - 14 h 56 min

    Pour comprendre les contradictions de la Turquie d’erdogan je pense qu’il faut remonter un peu dans le temps, juste avant le début du déclin de l’empire ottman.

    Il faut remonter à l’an 1648 exactement à Smyrne (actuellement Izmir en Turquie) ou un jeune rabbin de 22 ans du nom de Sabbatai Zivi se proclama le Messie. Il eut pas mal d’adeptes, mais il finit par être excommunier. Il se retira alors avec quelques-uns de ses adeptes à Constantinople, avant d’aller à Jérusalem en Palestine ou il se proclama solennellement, encore, comme étant le Messie, et il eut beaucoup d’adeptes venu de partout (d’orient et d’occident), mais l’empire ottman le fit arrêter et l’emprisonna lorsqu’il revint à Smyrne (Izmir). Car son retour « triomphale » sur ceux qui l’ont excommunié a provoqué une division au sein de la communauté juive de Smyrne, ce qui est un signe de désordre social et une menace politique pour l’empire ottman.

    Déféré devant le sultan, il fut sommé de choisir entre la décapitation ou la conversion à l’islam, bien entendu comme ce n’est un Che Guevara ni pas un brave révolutionnaire, mais un gourou machiavélique, il a choisi la conversion. Beaucoup de ses adeptes l’ont suivi, ce fut le début de la naissance des crypto musulmans actif qui a donné naissance par la suite à ce que nous connaissons aujourd’hui par l’integrisme, le terrorisme islamiste, entre autres, qui n’a rien à avoir avec l’islam authentique, mais beaucoup plus avec le zélotisme juif. Comme ce fut aussi le cas de la naissance des crypto chrétiens actif dont le fondateur et précurseur fut le très connu Saul, alias Paul de Tarse, persécuteur des disciples de jésus Issa (PSL) avant de se revendiqué un de ses apôtres alors qu’il n’a jamais fait partie d’entre eux.

    L’une des plus principales et importantes règles du sabbataïsmes c’est la rédemption par le pécher, qui consiste à faire le maximum de mal sur terre pour hâter « la fin des temps » et l’arrivé de leurs ‘’sauveur’’. Leurs pratiques rituelles courantes jusqu’à aujourd’hui, sont l’inceste, la sorcellerie, les crimes satanique, la pédophilie, les guerres, les contradictions et j’en passe.

    D’où l’importance et la nécessité de l’infiltration par la conversion aux yeux des sabbataïstes, et des franckistes qui sont leur relève et leur prolongement jusqu’à nos jours. Ils prennent de nouvelles appellations selon l’époque, et les conjonctures élaborer et provoqué par eux pour suscité l’adhésion des masses inculte nécessaire au mouvements qu’ils lance pour l’atteinte de leur objectif occulte avec les conséquences que les moutons bêlant ont su (par le passé) et sauront à leur dépend quand les regrets ne leur seront d’aucune, s’ils ne siffle pas la fin de la recréation.

    Les sabbataïstes ont était le prolongement des L’ordre des Alumbrados (illuminés) qui fut fondé au Portugal initialement aux environs de 1492, mais c’est en Espagne entre 1509 et 1510 qu’ils sont apparus avec la célèbre Isabel de la Cruz qui est une « conversos » convertie en Espagne lors de l’inquisition. Les Alumbrados (illuminés) sont des juifs donme convertie (au christianisme et à l’islam) mais qui ont toujours conservé leur foi talmudique. Adam Weishaupt fut initié à cet ordre ultra secret et à la kabbale par un certain kabbaliste nommé kolner qui n’est pas son vrai nom. Cet ordre fut restructurer et renommé par Adam Weishaupt sous le nom des illuminé de Bavière. Jüri Lina qui est un journaliste suédois d’origine estonienne athée anticatholique et anticommuniste, nous confirme (dans son livre : sous le signe du scorpion) que le contrôle de l’ensemble des maçonneries après qu’elles est était infiltrer par les Alumbrados (illuminés) fut solennellement scellé le 16 juillet 1782 au château de Wilhelmsbad qui est la propriété de Mayer Amschel Rothschild, c’est à cette période-là que la « révolution » décidât la mort de Louis XVI, de Gustave de Suède, et de l’empereur d’Autriche Léopold.

    Ça, c’est un bref rappel du cote historique du problème de l’humanité, mais c’est aussi, et surtout pour rappeler ou est née ce problème, et comment il a évolué dans le temps pour aboutir à ce que vous avez appelé à juste titre les contradictions d’erdogan.

      Jazayria
      1 octobre 2023 - 19 h 57 min

      @Antisioniste. Bien vu et merci pour votre commentaire. Je vous conseille le livre Occident & Islam de Youssef Hindi, si vous ne l’avez pas déjà lu, qui explique très bien la genèse du messaniasme juif et des cryptojuifs en Europe.

        Antisioniste
        1 octobre 2023 - 23 h 21 min

        @Jazayria, Merci je ne connaissais pas cet auteur, mais j’au trouvé une de ses videos ou il parle du sujet sur youtube, et je confirme que son livre mérite vraiment d’etre lu.

        PS: toute fois le  »projet » en question remonte a bien plus loin que le 13 siecle

      Antoine
      1 octobre 2023 - 21 h 19 min

      @Antisioniste
      Merci pour votre commentaire.

      Les « Jeunes Turcs » qui ont perpétré le massacre arménien étaient en réalité des « Donmeh » formés en France par la Franc-maçonnerie.

      Elephant Man
      1 octobre 2023 - 21 h 55 min

      @Antisioniste
      «..Un bref rappel historique…» dîtes-vous, et Un Détail De L’Histoire..si j’ose dire.

    fali
    1 octobre 2023 - 10 h 56 min

    Arabe phonétique
    Kabura Maqtaan `Inda Allahi `An Taqulu Ma La Taf`aluna

    Interprétation du Coran sourate As-Saff Verset 3
    Il est terriblement abominable pour Allah de prétendre avoir fait ce que vous n’avez pas fait. En effet, il ne convient pas que le croyant soit autre que véridique avec Allah et que ses actes confirment ses dires.

    Salim Samai
    1 octobre 2023 - 10 h 37 min

    A la lumiere Erdogan AGITE, comme trop d`Arabes, le drapeau de Felestine!
    Dans les tenebres il COUCHE allégrement avec Israel, l`OTAN et les USA!

    Tels.M.Rubio, Ted Cruz et Bob Menendez-les Lingots; la Turquie est le MEILLEUR ALLIÈ d`Israel au M.Orient! Avec combien de lingots Israel les a t-il ACHETES ?

    Certes la Turquie PROFITE du Cash US & toutes les GUERRES du M.Orient!.
    Elle devrait au moins avoir la PUDITÈ du silence et ne PAS agiter « Felestine » qui a ASSEZ d´ENNEMIS!

    Dieu Merci, il y a l`Iran & Hizbollah qui defendent les TOMBES de l´ISLAM sur lesquelles AJC, ADL, MEMRI, SWCenter, AIPAC, Zemmour et leurs VALETS crachent tous les jours POUR justifier Israel, la V!OLATION de Dieu, la Sainte Tora et leur 10éme Commandement!

    Belveder
    1 octobre 2023 - 10 h 30 min

    c est qui ce ALEXIS ,,,,,??
    il roule pour qui???
    CONTRADICTOIRE ou PAS la TURQUIE est UNE PUISSANCE
    c est un allié de L Algerie

      ilroulepourqui
      1 octobre 2023 - 22 h 12 min

      Pour les naïfs et ceux qui croient que l’Algérie est l’allié ou ami de l’Algérie, faut-il leur rappeler a voter contre l’indépendance de l’Algérie. Les dirigeants actuels l’ont répété à chaque occasion que l’Algérie est un de « leur territoires perdus à reconquérir » et ils n’ont qu’une seule obsession reconquérir !! A ceux qui ont la mémoire courte, les dirigeants actuels de la Turquie, Emirats, Qatar … font partie des destructeurs de la Libye

        Belveder
        2 octobre 2023 - 12 h 08 min

        Ca c est du bla bla de débiles des réseaux sociaux
        Donc tu es plus patriote et soucieux de L Algerie que le président TEBBOUNE lui-même ??

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