Attaf prend part à Riyad à la réunion spéciale du Forum économique mondial

Attaf Ryadh Forum
Le ministre des AE, Ahmed Attaf à son arrivée à Riyadh. D. R.

Chargé par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, est arrivé samedi à Riyad pour prendre part à la réunion spéciale du Forum économique mondial qui se tient dans la capitale saoudienne les dimanche et lundi, précise un communiqué du ministère.

Cette réunion spéciale, intitulée «Coopération internationale, croissance et énergie pour le développement», portera sur «l’examen des différentes questions et évolutions économiques mondiales dans l’objectif de promouvoir une coopération internationale multipartite pour élaborer des solutions communes face aux différents défis sécuritaires, de développement et environnementaux», précise le communiqué.

Dans ce cadre, le ministre devra participer à une session de discussion sur «les dynamiques géopolitiques et les conséquences de la transition énergétique», où il présentera «le rôle de l’Algérie et sa contribution à la promotion de la sécurité énergétique dans son environnement euro-méditerranéen», conclut la même source.

R. N.

Comment (7)

    Brahms
    1 mai 2024 - 6 h 50 min

    Investir dans le SPORT WASHING pour laver l’image des financiers de l’islam radical en l’Arabie Saoudite,

    Ces bédouins de la bédouinerie sont rusés comme des sioux.

    En effet, après avoir financés l’islam radical en faisant d’innombrables attentats dans le monde donnant des morts, des blessés graves (amputation) et de dégâts matériels considérables, voilà que maintenant, ils investissent dans le sport washing (laver) afin de redorer leur image aux yeux du monde.

    Le tennis prend le cap de l’Arabie Saoudite qu’on le veuille ou non. Le pays Arabe organisera des tournois tant au niveau ATP que celui de la WTA au grand dam de ceux qui s’opposent farouchement à cette idée à l’instar de Martina Navratilova pour n’en citer qu’une.

    Le pourquoi ? Les lois du pays qui sont extraordinairement strictes en ce qui concerne la communauté LGBT , et la peur qui s’en suit que les joueuses et joueurs concernés ne se voient priver de leurs droits ou pire encore qu’il y ait atteinte à leur sécurité. Kasatkina est confiante.

    L’une des joueuses qui a clairement déclaré être lesbienne est la Russe Daria Kasatkina qui assure que pour le moment , elle ira jouer en Arabie Saoudite sans avoir peur pour son intégrité et ses droits :  » On m’a assuré que tout irait bien.

    Si je me qualifie pour jouer en Arabie, cela signifiera que je fais partie des huit meilleures joueuses de l’année, ce qui serait une excellente nouvelle pour moi. Nous voyons que les Saoudiens sont maintenant très intéressés par le sport, qu’ils veulent le développer.

    Et tant que cela donne l’occasion aux gens là-bas, aux jeunes enfants et aux femmes de voir le sport, de le regarder, d’y jouer et d’y participer, je pense que c’est une excellente chose « a-t-elle expliqué pour le compte de la BBC.

    Tout y passe, Tennis, football, formule 1, combats de MMA, Boxe pour se laver de l’islam radical.

    En clair, ces bédouins accueillent même des homosexuelles sur leur territoire alors que l’Arabie Saoudite est considérée comme une mosquée selon l’islam prouvant que leurs croyances sont fausses.

    De ce qui précède, méfiez – vous de ces bédouins de la bédouinerie, ils sont très fourbes.

    Antisioniste
    30 avril 2024 - 11 h 45 min

    N’est-il pas absurde, contradictoire, inconstitutionnel, et extrêmement dangereux de laisser quelques personnes -bill gate klaus schwab yuval harari soros…- ou des organismes non « élu » – bilderbeg onu oms unicef fem…- décider de notre avenir devant un parterre de ceux qu’on a « élu » qui se bouscule et accourent pour les écouté débiter des infamies et des ignominies contre NOUS, et appeler ça la gouvernance mondial, le développement durable etc.. qu’on veut NOUS imposer au nom du grand tout et n’importe quoi ?

    (…)

      Kamel Al Djazaïri
      30 avril 2024 - 19 h 12 min

      Salam alaykoum.
      Heureux de vous entendre le dire!!!

    Brahms
    29 avril 2024 - 19 h 40 min

    Les bédouins se développent mais en contrepartie nous envoient l’islam radical pour nous retarder ?

    Devenir les pionniers de l’IA ? C’est l’ambition des dirigeants saoudiens, engagés dans un vaste plan de transformation de leur pays. Si Mohammed Ben Salmane a pour l’instant du revoir à la baisse ses promesses de développement de plusieurs projets, les financements ne manquent pas pour l’intelligence artificielle.

    Les projets pharaoniques de l’Arabie saoudite sont légion : Neom, complexe futuriste dans le nord-ouest du pays, qui comprend The Line, ville linéaire de 170 kilomètres de long (finalement réduite pour l’instant à 2,4 kilomètres). Financées par la manne pétrolière, les infrastructures doivent permettre de développer le royaume et, justement, de le détacher de l’emprise des hydrocarbures sur son économie. Mais l’intelligence artificielle (IA) est un autre secteur dans lequel le royaume compte investir ses richesses faramineuses, présentant l’importance de ces technologies pour l’économie mondiale.

    L’IA était donc au centre de LEAP, une gigantesque conférence ayant accueilli 200 000 personnes à quelques dizaines de kilomètres de Riyad entre le 4 et le 7 mars 2024, avec des grands noms de firmes américaines comme Arvind Krishna, patron d’IBM, ou Adam Selipsky, chef d’Amazon Web Services, qui a annoncé un investissement de 5,3 milliards de dollars dans les data centers et l’intelligence artificielle. De nombreux membres d’entreprises chinoises comme Huawei étaient également présents, promettant d’autres financements.

    La raison de cet intérêt soudain des firmes dans le secteur de la tech saoudien repose sur les richesses démentielles investies par le royaume : l’Arabie saoudite met en place cette année un fonds de 40 milliards de dollars dédié à l’intelligence artificielle. La nouvelle firme Alat, gérée par le Fonds souverain saoudien, doit de son côté investir 100 milliards de dollars d’ici 2030 dans le secteur des technologies, dont l’IA.

    Il faut raccrocher cet investissement à Vision 2030, le projet pour le royaume dévoilé par le prince Mohammed Ben Salmane (MBS) en 2016. Selon celui-ci, l’Arabie saoudite doit devenir un acteur important de secteurs comme la technologie, mais aussi les sports ou le tourisme. L’Arabie saoudite bénéficie d’un avantage considérable comme pays administrant La Mecque, lieu le plus saint de l’Islam, et de ressources pétrolières pouvant financer la construction d’infrastructures massives sportives, à la manière d’autres pays du Golfe comme le Qatar ou le Bahreïn.

    L’IA ne doit pas être qu’un projet parmi les autres, mais venir irriguer chaque secteur du vaste plan saoudien. Le meurtre du journaliste Kamal Kashoggi, dans le consulat saoudien de Turquie, en 2018, n’a finalement que brièvement éloigné les investisseurs de Mohammed Ben Salmane, commanditaire de l’assassinat selon un rapport du renseignement américain.

    La compétition sino-américaine jusqu’en Arabie saoudite
    Cette course à la technologie s’inscrit dans un contexte plus large de tensions croissantes entre Washington et Pékin, où chaque secteur constitue désormais un terrain de compétition, IA comprise.

    L’Arabie saoudite est un allié historique des États-Unis, bien que son positionnement soit plus incertain ces dernières années. L’affrontement indirect entre le royaume saoudien et l’Iran, notamment au Yémen, constitue un argument de poids pour les Américains afin de garder de leur côté le régime dirigé par Mohammed Ben Salmane.

    Mais le poids grandissant de la Chine dans le Golfe, qui a justement orchestré la signature d’un accord irano-saoudien historique en 2023 (avant la guerre entre Israël et le Hamas), rebat les cartes, une situation dont le leader saoudien cherche à tirer profit.

    Vous voyez, 100 milliards de dollars d’investissements, preuve suffisante que l’islam radical c’est juste un leurre pour berner les ignares dont se sert l’Arabie Saoudite contre nous.

    A boycotter l’Arabie Saoudite qui nous fait des dégâts monstrueux.

    Chelieth
    29 avril 2024 - 18 h 59 min

    Pour ceux qui se demandent pourquoi Attaf a participé à cette conférence, il faut rappeler que c’est la réunion du Conseil économique mondial. Il est essentiel de séparer le monde politique et les émotions fortes du monde des affaires si l’on veut progresser.

      Antisioniste
      30 avril 2024 - 12 h 10 min

      Premièrement, il n’existe aucune organisation qui s’appelle « conseil économique mondial ».

      Deuxièmement, le FEM/WEF est une organisation de lobbying crée par KLAUS Schwab en 1971 qui promeut avec une grande intensité le nouvel ordre mondial alors que c’est une organisation non élu par personne, mais qui donne des ordres a presque tout le monde.

      Troisièmement, il n’y a pas de sentiment en politique, mais uniquement le bon sens ou la bêtise.

    Brahms
    27 avril 2024 - 23 h 53 min

    Quoi faire chez ces bédouins de la bédouinerie ?

    Jamais de la vie, j’irai en Arabie Saoudite, des coupeurs de tête, allatiffe.

    Voyez le résultat avec la Palestine alors que ce pays arrive à vendre 11 millions de baril de pétrole par jour, aucune force, aucun poids, 33 000 palestiniens et palestiniennes liquidés dont 1/3 d’enfants massacrés, brûlés vifs.

    Impardonnable, inqualifiable et après ça ira vendre la croyance de la religion à d’autres personnes.

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