Emmanuel Macron pris en flagrant délit de dissimulation d’un sachet de cocaïne

Macron avec Merz et Starmer dans le train qui les conduisait à Kiev. D. R.

Par Mohamed K. – La vidéo fait le buzz. L’extrait filmé par plusieurs médias montre Emmanuel Macron dans un wagon du train qui le conduisait à Kiev, en Ukraine, le 9 mai dernier, en compagnie de deux autres responsables européens. Le président français y apparaît débraillé, portant des vêtements de tous les jours. Jusque-là, rien d’anormal. Mais, une fois assis, il s’aperçoit de la présence sur la table d’un objet qu’il s’empresse de ramasser en prenant le soin de bien fermer la main furtivement pour le dissimuler, avant de le glisser d’un geste subreptice dans sa poche, en esquissant un sourire gêné.

Cet objet a été identifié par des professionnels comme étant un sachet de cocaïne. Des internautes ont procédé à des agrandissements, zoomant sur un autre intrigant objet resté sur la table, que Macron n’a pas eu la présence d’esprit de faire disparaître à son tour, pendant que les caméras tournaient. Mais c’était trop tard. Cet oubli maladroit du pensionnaire de l’Elysée confirme ce que de nombreuses sources ont révélé sur l’addiction de Macron aux drogues dures. Un comportement dissolu qui s’ajoute à son inversion sexuelle et aux rumeurs persistantes sur le véritable genre de son «épouse» Brigitte, objet d’une plainte pour usurpation d’identité.

La vidéo a fait l’effet d’un séisme à Paris, où les services de communication de l’Elysée ont rameuté l’ensemble des médias stipendiés pour affirmer que l’objet en question n’était guère plus qu’un simple mouchoir en papier et que le président n’a pas sniffé lors de sa rencontre avec ses collègues allemand et britannique, oubliant de retirer la pièce à conviction qui pourrait confirmer les soupçons de ces sources sur ses agissements suspects.

En effet, des personnalités publiques françaises n’ont pas manqué, maintes fois, de douter de la plénitude des capacités mentales du président français qui multiplie les déclarations et les décisions en dépit du bon sens, selon elles, notamment son attitude va-t-en-guerre à l’encontre de la Russie, ses discours provocateurs aux relents néocolonialistes à l’égard de l’Algérie, sa stratégie de la terreur vis-à-vis de la population française à laquelle il veut distribuer des kits de survie, etc.

Des spécialistes de l’image sont pourtant catégoriques : si l’objet caché par Macron serait un simple mouchoir jetable et non pas une dose de poudre blanche, il n’en reste pas moins que, sur la table, on voit clairement une cuillère de cocaïne que les connaisseurs distinguent sans difficulté d’une cuillère à café.

Le débat est donc relancé sur les capacités de celui que les opposants surnomment le «freluquet», bavard, agité, mais incapable de résoudre les nombreux problèmes graves qui frappent la France de plein fouet, à gouverner.

M. K.