Olivier Fanon répond à la «diarrhée verbale incontinente» de Kamel Daoud
Nous publions la réponse cinglante qu’Olivier Fanon, fils du martyr Frantz Fanon, vient de faire à l’imposteur Kamel Daoud, poursuivi pour divulgation de secret médical obtenu, illégalement et immoralement, auprès de son épouse psychiatre, qui suivait la victime, et détournement, à but lucratif – très lucratif – de l’histoire tragique d’une rescapée, par miracle, d’un massacre commis par les hordes islamistes sauvages du FIS auxquelles il appartenait, avant de virer sa cuti par machiavélisme, mais tout en gardant son instinct bestial. Sa première épouse, victime de ses violences conjugales, en connaît un bout. Et le greffe du Tribunal d’Oran aussi.
Il y a une année, à quelques jours près, Kamel Daoud s’est cru obligé de commenter, certainement à la demande, la prise de position de Stéphane Delogu qui avait brandi le drapeau palestinien dans l’hémicycle.
Depuis, des dizaines de milliers de femmes, d’hommes et d’enfants palestiniens ont et continuent d’être tués à Gaza.
Ignorant ce massacre, ce même Daoud récidive en commettant une énième chronique, mêlant Fanon, judéophobie, antisémitisme, islamisme, etc.
Je me vois contraint et forcé, une fois de plus, d’émettre un avis réparateur à destination du lecteur éventuel de gloubi-boulga(*), proche d’une diarrhée verbale incontinente, produite par un fraîchement repenti, récemment réintégré et, de fait, primé.
Pour rappel, Fanon, né il y a un siècle, à quelques jours près, et qui obsède décidément notre cher chroniqueur, j’insiste, Fanon n’a jamais changé de cap.
La cohérence qui le caractérise aussi bien dans son discours que dans son praxis, sont à des années lumières de la forfaiture qui distingue ce plumitif.
Concernant sa nouvelle identité, je lui suggère vivement de lire ou relire Fanon, ce qui lui fera l’économie d’une analyse réparatrice.
Olivier Fanon
(*) Plat imaginaire et nourriture préférée du dinosaure Casimir, personnage principal de «L’Île aux enfants».
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