Le président Tebboune décide de lancer le Fonds de financement des start-up en Afrique

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L'Afrique prend son élan technologique à partir d'Alger. D. R.

Le ministère de la Jeunesse et le Conseil supérieur de la Jeunesse (CSJ) ont salué, mercredi, la décision du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de lancer un Fonds de financement des start-up et des jeunes innovants en Afrique, la qualifiant de «décision historique» qui contribuera au renforcement de la coopération intra-africaine.

Dans un communiqué conjoint, «le ministère de la Jeunesse et le Conseil supérieur de la jeunesse ont salué la décision historique du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de lancer un Fonds de financement des start-up et des jeunes innovants en Afrique, annoncée par le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, en marge de la clôture de la 4e édition de la Foire commerciale intra-africaine (ITAF 2025)».

Cette décision «vient incarner la vision du président de la République quant au renforcement de la coopération intra-africaine et du développement durable, à travers la promotion de l’économie de la connaissance et de l’esprit d’initiative chez les jeunes», selon la même source, qui salue «le financement immédiat, dans ce cadre, de 30 start-up participant à la foire, représentant un quota qualitatif pour l’activation de ce Fonds ambitieux».

Dans ce contexte, les deux institutions ont réaffirmé «leur soutien à toutes les initiatives visant l’autonomisation des jeunes africains, notamment dans les domaines de la formation et de l’innovation».

Le ministère de la Jeunesse et le CSJ ont également réaffirmé «leur engagement à contribuer efficacement à l’accompagnement des jeunes africains et au renforcement du rôle de l’Algérie en tant que pôle régional de soutien à l’innovation et à l’entreprenariat en Afrique».

R. E.

Comment (2)

    Anonyme
    11 septembre 2025 - 11 h 01 min

    ce fonds est destiné aux jeunes algeriens ou africains ?si c’est pour l’afrique,on ne retient aucune leçon du passé car,dans toute l’histoire du pays,c’est la premiere fois que l’algerie est trainée devant une juridiction internationale par un pays en mal de reconnaissance, qui a ete aidé, soutenu durant des années !

    Dr Kelso
    11 septembre 2025 - 9 h 26 min

    Charité bien ordonnée commence par soi-même.
    Cessez de jeter l’argent des Algériens par la fenêtre, on a vu où le panafricanisme a conduit le Guide le colonel Gueddafi Allah yrahmou sans omettre l’effacement de la dette de 14 pays africains par Bouteflika Allah yrahmou et les aides en tout genre et pour quel résultat !
    Mais QU’ATTEND L’ÉTAT ALGÉRIEN POUR EXPULSER MANU MILITARI EN 17 SECONDES TOUS LES MAKHNAZIS ET DÉCHÉANCE DE NATIONALITÉ ET TOUS LES SUBSAHARIENS ET SAHÉLIENS C’EST UN PRÉ-REQUIS OUTRE LA CLOCHARDISATION DE L’ALGÉRIE CRIMINALITÉ TERRORISME ACCRUS UNE COLONISATION QUI NE DIT PAS SON NOM PROCÉDÉ SIONISTE DE DÉSTABILISATION DU PAYS QUI EST EN PREMIÈRE LIGNE !
    N’est pas l’Afrique du Sud qui veut.

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