«Annexion de Béchar» par le Maroc ou la jouissance coloniale version Lyautey

Maroc Lyautey
L'héritage de Lyautey : un royaume moyenâgeux. D. R.

Par Khaled Boulaziz – Qu’un journal prétendument sérieux publie, en 2025, un article intitulé «L’annexion de Béchar vue par Lyautey», il fallait oser. Et ils l’ont fait. La ligne rouge n’a pas seulement été franchie ; elle a été foulée aux pieds, en grande pompe coloniale. Non sur Lyautey, dont les crimes sont anciens et archi-connus, mais sur ceux qui continuent de le regarder avec fascination. Voilà qu’on nous invite à relire notre histoire à travers les lunettes d’un colon. A lui tendre le micro. A écouter, à méditer, à compatir. Comme si ce militaire colonialiste devait désormais dicter les leçons de liberté. Voilà la maladie.

Mais cette maladie n’est pas que politique. Elle est plus profonde, plus sale, plus enfouie. Car Lyautey n’est pas seulement un nom d’officier. C’est une perversion érigée en système. Un fantasme militaire devenu doctrine coloniale. Il fut à la fois administrateur, esthète et prédateur. Le colonialisme chez lui n’était pas seulement conquête : c’était jouissance.

Oui, jouissance. Il promenait son uniforme comme d’autres exhibent une luxure réprimée. Son obsession de l’ordre, des protocoles, des chefferies indigènes à mettre en scène, avait quelque chose de théâtral, presque travesti. Lyautey, c’était le maréchal de la mise en scène : il mettait les peuples en vitrine, les décorait comme des figurines de musée, les commandait comme on manipule des corps silencieux.

Faut-il rappeler ici ce que les archives murmurent et que les courtisans de l’histoire taisent ? Lyautey, homosexuel affirmé dans les cercles d’élite, transposait son goût de la domination dans un dispositif total : l’Afrique comme scène, les indigènes comme décor, les corps comme matière malléable de son fantasme d’ordre. Sa sexualité n’est pas une faute : c’est son usage colonial qui est un scandale.

Il ne s’agissait pas seulement de dominer les terres : il s’agissait de les styliser, de les mettre en coupe réglée, comme un dandy corrige un vêtement trop froissé. Son Maroc était une marionnette raffinée. Son Afrique, une extension de son goût personnel pour l’obéissance et la parade. Un ordre fétichisé. Une Afrique fardée, domestiquée, bariolée – offerte au regard blanc comme une possession dans une chambre d’une maison close.

Et aujourd’hui, voilà qu’on ressuscite ce personnage trouble, cette statue équivoque, pour lui demander son avis sur Béchar. Comme si l’histoire de Béchar, de ses martyrs, de ses douleurs, de ses silences, devait encore être consultée auprès du vieil esthète en bottes. Comme si l’Afrique n’était réelle que dans le regard d’un Européen noyé de regrets.

Mais qui sont ces nouveaux scribes, ces chroniqueurs du néant, qui vont exhumer les papiers de Lyautey pour y chercher la vérité ? Ce ne sont pas des historiens. Ce sont les nouveaux prêtres d’un ordre spectral. Ils ne reconstruisent pas : ils maquillent. Ils ne rapportent pas : ils recyclent la parole du maître, avec l’obséquiosité d’un serviteur.

Ce qu’ils refusent d’admettre, c’est que Lyautey ne fut jamais une conscience, mais une machine à plier. Qu’il ne fut pas un penseur du Maghreb, mais un styliste du désastre. Un homme de l’ordre, oui – mais de l’ordre des cimetières. Et qu’ériger aujourd’hui ce nom comme repère historique, c’est admettre que l’on n’a pas encore coupé le cordon avec la mémoire coloniale. C’est penser qu’il nous faut toujours une figure blanche, même trouble, pour éclairer notre nuit.

Mais notre nuit n’est pas obscure. Elle est pleine de voix. Pleine de noms que l’histoire officielle n’a pas retenus. Pleine de résistants sans lettres, de tribus sans cartes, de femmes sans statues. Et ces voix ne demandent pas l’approbation d’un Lyautey pour exister.

Lyautey ne sera jamais notre repère. Il restera ce qu’il fut : un homme qui a aimé l’ordre plus que la justice, le décor plus que le peuple, et sa propre image plus que les vies qu’il commandait.

Et pourtant, son fantôme rôde encore. Il revient dans les salons marocains trop bien décorés, dans les bibliothèques d’Etat où ses lettres sont citées comme des évangiles, dans les écoles où l’on enseigne sa stratégie plutôt que les cris qu’elle a étouffés. Il hante les textes aseptisés, les émissions dites «culturelles», les colonnes de journaux qui se prosternent encore devant les orfèvres du désastre.

Il ne suffit pas de réclamer des cartes ou des territoires : il faut désarmer les cerveaux. Décoloniser la mémoire. Désinfecter la langue. Déraciner le mimétisme. Et dire enfin, sans courbette ni révérence, que le Maroc, aujourd’hui encore, parle trop souvent avec des mots qui ne sont pas les siens. Que l’élite y reste fascinée par le regard de l’ancien maître, à tel point qu’elle ne peut penser un événement sans convoquer l’ombre d’un Lyautey.

C’est cette maladie qu’il faut nommer. Cette maladie des esprits instruits par les manuels du bourreau. Cette fascination honteuse pour l’archive coloniale, cette vénération servile pour l’administration du viol, cette incapacité à produire un récit sans tampon français. Voilà l’urgence : déchirer la filiation fantôme entre le colonisateur et la pensée d’aujourd’hui.

Il faut tuer Lyautey, non dans sa tombe, mais dans les consciences. L’expulser des bibliothèques où il fait figure d’autorité. L’effacer comme source, le disséquer comme symptôme. Il ne peut plus être l’ombre tutélaire des débats historiques, ni le confident de nos géographies. Il faut dire : assez. Assez d’exister à travers les yeux de l’autre. Assez de chercher nos repères dans le regard du bourreau.

La vraie indépendance commence ici : dans le refus obstiné d’écouter ceux qui nous ont réduits au silence. Elle commence par une rupture : ne plus jamais se référer à Lyautey, ni pour comprendre le passé ni pour organiser l’avenir.

K. B.

Comment (23)

    Bataille d'Alger
    20 mai 2025 - 19 h 44 min

    Savez -vous que ce Lyautey s’est accaparé du Marrokk en utilisant une guerre dite douce ( selon les historiens du royaume des esclaves et des mirages). Sa vision de colon s’est basé sur le contrôle du bas ventre des esclaves. C’est l’histoire qui le dit.
    Les preuves sont encore vivantes, car la vision Lyautey est devenue la charte du royaume de la drogue et de la perversion.

    DIHYA-DZ
    20 mai 2025 - 19 h 39 min

    Les frontières algériennes ont été tracées par le sacrifice des millions d’Algériens. Paix à leur âme!
    Oui, NOS frontières ont été tracées par le sang de nos valeureux et nobles Chouhadas,
    et non pas par les fantasmes d’un colon maréchal grade pervers sexuel… comme le cas du marrok.
    Nous n’avons RIEN à offrir … ni à céder!!!

    Anonyme
    20 mai 2025 - 17 h 45 min

    Les morocomonarchie c’est dans leur nature, ils doivent adoré leur maître, ils ont
    العبودية في الدم la soumission dans le sang.

    CAFTAN ALGERIEN
    20 mai 2025 - 16 h 44 min

    C’est simple: L’Algérie doit réclamer officiellement les territoires Algériens que la France a offert au marrouk.

    C’est un homosexuel qui a créé le marrouk. Ça explique le TOUT.

      Dr Kelso
      20 mai 2025 - 18 h 59 min

      @CAFTAN ALGERIEN
      Commentaire synthétique perspicace et percutant.

    Anonyme
    20 mai 2025 - 16 h 41 min

    HASSAN DOS le Rejeton du Glaoui ( le plus gros proprietaitre de Bo……disséminés depuis Marrakech à Casablanca jusqu à Tanger pour les Bidasses de Lyautey pour lequel Clemenceau avait une Opinion bien imagée ) l ‘ a. AFFIRMÉ sans ROUGIR , à l Occasion de la DÉCISION DE FAFA D OCTROYER au LUPANAR à ciel Ouvert , en 1956 , le Statut de Aire de Jeux de la Pedophilie pour la Caste Dirigeante Fafaeenne et de la Zoophilie ( des milliers de scandales étouffés ) pour les P’tits Blancs qui n enlèvent pas de leur Crâne puant l Idée que le Zzzzrrrraaabe n est pas un Être humain
    Il a AFFIRMÉ devant Micros Français : «  JAMAIS NOUS NE SÉPARERONT DE LA MÈRE……………PATRIE !!!! « 
    LA Décision de Fafa étant VALBLE DE 1956 a 2056 , le futur Mimi la Praline s empressera bien sûr de signer …….l Acte renouvelant l Ignominie
    Comment voulez vous alors que le COLONISÉ habitué à l Enc……..de soit sevré de cette humiliante Addiction .

    Kahina-DZ
    20 mai 2025 - 16 h 08 min

    Ce pervers est,
    – considéré comme le fondateur du protectorat français au marrouk. Il avait protégé la monarchie moyenâgeuse non reconnue et contestée par les Berbères marroukis à l’époque ( vers 1912)
    -Impliqué dans des opérations militaires génocidaires contre les tribus Berbères marroukaines qui combattaient la présence
    Il faut avoir les gènes Lyautey, pour le prendre comme référence…

    Rien n’a changé depuis entre la France et le Marrouk.

      Kahina-DZ
      20 mai 2025 - 17 h 16 min

      Lire: qui combattaient la présence du colon français.

    HANNIBAL
    20 mai 2025 - 15 h 29 min

    Pour les marokés Lyautey créateur de leur drapeau ; ils ne s’en plaigne pas de ce mode de gouvernance devenu hiérarchique
    et manière de vivre dans le quotidien des sujets qui se presse de s’abaisser pour baiser les babouches de shlomo VI qui
    garde ce personnage comme référence et continuité , égaré comme ils sont, juste nos chameaux les ferait fuir ; lobotomisé
    par la vanne du grand marokh qui reste une lubie , dans ce qui leur reste de tete canabomakhnoisé avec ce pays on aura tout vu
    de cette monarchie féodale , un ilot a 300m de leur cote qui s’appelle PERSIL est là pour les rappeler a l’ordre !

    Chelieth
    20 mai 2025 - 14 h 00 min

    Puisqu’ils persistent dans leur folie de grandeur territoriale non supportée par l’histoire, il est temps pour l’Algerie de s’appuyer sur la vraie histoire et réclamer ses terres jusqu’à la Moulouya. Créons une commission de vrais experts comprenant des historiens (capables) pas du genre du “douktour” qui se croit tout sauf algérien, encadrés par des avocats aussi capables et empoissonnons la vie au makhzen 24 sur 24 et 7 sur 7 à longueur d’années dans les instances internationales telles que les nations unions, devenue hélas bien inutile, et surtout le Tribunal International. Il faut les faire baver jusqu’à l’épuisement ces chiens et aussi la chienne fafa qui s’est rangée de leur côté nous déniant même notre histoire en guise d’excuses pour les massacres de nos ainés pendant 132 ans.

      Dr Kelso
      20 mai 2025 - 14 h 41 min

      @Chelieth
      Excellent commentaire.

    Luca
    20 mai 2025 - 12 h 14 min

    Et dire que sur cette photo , il y a deux fiot homo mythomane. Il ne faut pas pulvériser le Maroc même si son système le mérite, et c’est ce que recherche fafa et liautey bis, il faut laisser cette terre continuer à se soumettre , il faut la laisser devenir le royaume du mensonge et de la zetla et dealer et mentir au sein même du bâtiment de l’ONU

    Sprinkler
    20 mai 2025 - 10 h 44 min

    Sauf à affirmer une « disposition » strictement personnelle sur cette « pratique » contre-nature, en quoi est-il utile au débat de « spéculer » sur la « moralité » de la sexualité de ce…troufion, en « proclamant » que celle-ci (son homosexualité…) était moins une faute que « l’usage colonial » scandaleux qu’il en fît… Vous concluez : » Ne plus jamais se référer à Lyautey, ni pour comprendre le passé ni pour organiser l’avenir »…Et encore moins pour  » promouvoir » ses « mœurs » dépravées…

      Dr Kelso
      20 mai 2025 - 14 h 43 min

      @Spinkler
      Quel phrasé comme toujours !
      Excellent commentaire.

    le vicieux maroc cherche à se victimiser pour "voler" le sahara occidental
    20 mai 2025 - 10 h 44 min

    le maroc est le seul pays au monde qui prétend avoir un empire, sans guerriers, sans héros, sans victoires militaires, sans culture et art de vivre, sans archives et preuves historiques, et a toujours sous domination totale et humiliante des algériens depuis qu’ils existent eux, car l’algérie existait avant le maroc.

    le maroc utilise béchar qui n’a jamais, mais à aucun moment de l’histoire, appartenu au « royaume » fantoche (attention le mot royaume est dans le sens marocain, pas dans le sens international) de marrakech, pour faire croire qu’elle était marocaine avant la colonisation française, afin de justifier, et faire accepter dans les esprits des gens, son expansionnisme au sahara occidental. d’ailleurs, ce dernier était plus algérien que marocain, puisque la population qui y réside depuis le 9 ieme siècle, est d’origine sanhadja algérienne selon tous les historiens.

    déjà, avant 1830, Béchar était sous administration du Bey d’oran (la france refuse de restituer à l’algérie nos archives administratives, diplomatiques et économiques d’avant 1830, qui l’attetsent, et qu’elle a volontairement pillés), et il suffit juste de voir les cartes géographiques du maghreb depuis leur existence, c’est à dire le 15ieme siècle, à 1830, pour s’apercevoir que le maroc n’était qu’une « bezqa » (crachat par terre en arabe) sur la carte. tellement minuscule qu’il se limite aux environs de marrakech et de Fez, c’est tout ! et c’est le roi de marrakech lui même qui l’attestait en 1767 en signant le traité de paix avec l’espagne.

    en réalité, avec son « grand maroc », qui existe que dans les esprits des malades mentaux et schizophrènes, et il y en a plein au maroc, depuis toujours, le maroc cherche désespérément à créer un empire qu’ils n’ont jamais eu. mais il faut des guerriers pour oser parler d’empire, bande d’abrutis, et des victoires militaires pour occuper les terres d’autrui ! ils n’ont rien de tout cela !

    alors en malades mentaux qu’ils sont, ils se racontent des bobards historiques, ils s’inventent des exploits, pour eux, et malades qu’ils sont, ils finissent par y croire à leurs propres mensonges, ce SONT DES MYTHOMANES. ensuite, ils procèdent par imposer leurs mensonges à la communauté internationale par vices et filouteries, chantage affectif ou terroriste, avec l’aide de la france qui considère le maroc comme sa continuité. la france impérialiste développe ce mythe risible du grand maroc dans le but de coloniser, par procuration marocaine, les pays voisins pour piller leurs richesses, mais aussi pour cerner cette algérie qui empêche la france de dormir et pour nous détruire par haine.

    Mohamed El Maadi
    20 mai 2025 - 10 h 22 min

    Lyautey, ou l’oubli qui arrange

    **Par Mohamed El Maadi**

    Quel drôle de hasard. Il y a quelques semaines à peine, j’écrivais sur la **mentalité du colonisé colonisable** — cette disposition profonde à tolérer, à reproduire, voire à admirer les mécanismes de la domination coloniale. Et voilà que ressurgit, sous la plume de Khaled Boulaziz, la figure trouble de Lyautey, comme un vieux spectre revenu hanter les esprits encore imprégnés de mimétisme impérial. Le texte, virulent et salutaire, s’en prend à la fascination persistante qu’exerce ce maréchal sur certaines élites marocaines. Mais en le lisant, une autre question me hante : pourquoi ce système, cette esthétique coloniale, persistent-ils encore si longtemps après la fin officielle de la tutelle ?

    La réponse est double : **Lyautey n’était pas qu’un homme. Il était un système. Et ce système, s’il perdure, c’est parce qu’il a trouvé un terrain propice — non seulement au sommet, mais aussi à la base.**

    On pourrait croire que le colonialisme s’impose par la force, uniquement. Mais l’histoire, et surtout la mémoire, nous enseignent que **le colonialisme survit quand il est intériorisé**. Quand il devient réflexe culturel. Quand il est relayé par une **culture politique qui préfère l’ordre à la justice**, l’apparence à la souveraineté, la soumission à l’inconfort de l’autonomie. Le problème n’est pas seulement dans les archives ou les uniformes. Il est dans la tête.

    La figure de Lyautey, que certains continuent à citer comme stratège éclairé ou visionnaire orientaliste, révèle cette faille profonde : **une partie de la société marocaine — élites comme segments populaires — a intégré le modèle colonial comme modèle de gouvernance.** Cela ne veut pas dire que le peuple est colonisé à jamais, mais qu’il existe un conditionnement, une accoutumance à la verticalité, au fétichisme de l’État fort, au respect aveugle de la figure d’autorité, fût-elle étrangère.

    **Le colon n’existe que parce que le colonisable existe.** C’est cette vérité dérangeante qu’on évite souvent de regarder en face. On préfère blâmer le passé, dénoncer l’impérialisme, critiquer la France — sans jamais poser la question qui fâche : pourquoi certains peuples prolongent-ils d’eux-mêmes les chaînes qu’on leur a posées ?

    Lyautey ne revient pas en uniforme. Il est là, **en costume trois-pièces**, dans les administrations, dans le langage politique, dans les décisions prises « en haut » pour « le bien du peuple », sans consultation ni débat. Il est là dans les bibliothèques officielles, dans les récits aseptisés, dans les débats où la parole indigène n’a de valeur que si elle cite l’oppresseur.

    Si l’on veut « tuer Lyautey », ce ne sera pas avec des éditos ou des cérémonies. Ce sera **en décolonisant les esprits**, en enseignant la désobéissance constructive, en cultivant l’esprit critique dès l’école. Il ne suffit pas de changer les noms des rues ou de réclamer des territoires. Il faut **changer le regard, la posture, le logiciel mental**.

    C’est là que commence la vraie indépendance : **quand on cesse de penser à travers les yeux du colon.**

    À propos de l’auteur

    Libre dans ses opinions, indépendant financièrement et politiquement, Mohamed El Maadi écrit sans allégeance, avec pour seule boussole la vérité historique et la dignité des peuples.

    Abou Stroff
    20 mai 2025 - 10 h 03 min

    « «Annexion de Béchar» par le Maroc ou la jouissance coloniale version Lyautey » titre K. B..

    primo, K. B. aurait dû mentionner le journal qui a publié l’article pour que le lecteur naïf que je suis, puisse lire, directement, le sujet en question.

    secundo, à moins de douter de leur propre identité en devenir permanent, je pense que les algériens, dans leur grande majorité, n’ont pas besoin qu’on leur rappelle que l’Algérie, en tant qu’Etat et Nation et les algériens en tant que peuple, sont le produit d’une lutte coloniale qui a duré plus d’un siècle et d’une guerre d’indépendance qui a duré sept ans et deni et, enfin, que l’Algérie dans ses frontières actuelles a été irriguée par la sang de millions de martyrs.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que notre histoire spécifique a fait de nous ce que nous sommes et il me parait inutile d’insister sur ce que nous sommes à moins que ………………. nous n’en soyons pas sûr.

    wa el fahem yefhem.

    D'DA MOHAND
    20 mai 2025 - 9 h 48 min

    Si les mococos ne peuvvent pas ou ne veulent pas se défaire de l’idéologie « Lyautiste » poussé en cela par leurs maitres, le simple et modeste CITOYEN ALGÉRIEN que je suis leur dit juste cette petite chose :
    SI JAMAIS L’ENVIE VOUS PREND POUR VOUS SUICIDER DÉFINITIVEMENT……. ALORS VENEZ : NOUS VOUS ATTENDONS DE PIEDS FERMES POUR VOUS ENTERRER VIVANTS EN TERRE ALGÉRIENNE LIBRE DES CHOUHADAS VOUS ET TOUS VOS « conseillers » QUI SONT ENTRAIN DE SE FAIRE MÂTER DU MATIN AU SOIR PAR LES PALESTINIENS…….
    ALORS, VENEZ ESCLAVES, SOYEZ LES BIENVENUS EN TERRE ALGÉRIENNE POUR VOTRE PROPRE MALHEUR !!!!!
    A NARRAZ WALA NAKHNOU…..!!!!!

    Lyautey & les Minions marrokis : Sujet Clos
    20 mai 2025 - 9 h 01 min

    Allah yerahmou , Benali Dghine Boudghene dit Colonel LOTFI pour la WILAYA V et tous ses Compagnons de l’ALN ont clôturé le DÉBAT.
    Y a rien a discuter
    Ni avec Lyautey
    Ni avec ses petits Minions marrokis.

    LES ENFANTS DE LYAUTAY DOIVENT DEGAGER DU TERRITOIRE ALGERIEN DE FACON EXPEDITIVE
    20 mai 2025 - 8 h 57 min

    Il faut dégager tous les SNP et enfants issus de mariages mixtes avec des marocains du territoire algérien. Pas de mariage avec les esclaves d’esclaves francais.

      Anonyme
      20 mai 2025 - 10 h 43 min

      mrarka saheliens et autresafricains dehors barra barra l’Algérie n’ a pas besoin de vous!

      Anonyme
      20 mai 2025 - 10 h 44 min

      Excellent commentaire.

      Attention aux naturalisés
      20 mai 2025 - 17 h 39 min

      L’autorisation dans le code la famille par Bouteflika et sa bande de traitres la nationalité algérienne aux enfants de mères Algériennnes mariées avec des Marocains et d’autres nationalité avait comme objectif d’accorder la nationalité algériennes à ces Marocains.
      C’estait un piège pour l’Algérie.

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