Mafia et sionisme
Par Khider Mesloub – Le mythe de la toute-puissance et invincibilité de la mafia a été progressivement balayé par l’histoire. Le sionisme, son frère siamois, aura également une fin. Et cette fin est imminente.
Par Khider Mesloub – Le mythe de la toute-puissance et invincibilité de la mafia a été progressivement balayé par l’histoire. Le sionisme, son frère siamois, aura également une fin. Et cette fin est imminente.
Par Mourad Benachenhou – Les dirigeants sionistes arriveront-ils à imposer leur solution génocidaire ? En tout cas, ils prouvent qu’ils récusent toutes les «valeurs occidentales» qu’ils prétendent défendre.
Par Khider Mesloub – En France et en Israël, ce sont les mêmes idéologies suprémacistes et logique excommunicatrice qui sont à l’œuvre. La même banalisation du mal menée de concert par ces deux pays.
Par Khider Mesloub – Avec les actes catégorisés comme antimusulmans ou antisémites, tout se passe comme si l’antiracisme et l’antisémitisme servaient d’instruments de diversion politique.
Par Khaled Boulaziz – Benjamin Stora préfère enduire de fard les cicatrices plutôt que de gratter les plaies qui saignent encore. Cette turpitude sournoise de la mémoire n’est pas loin de la fourberie.
Par Khider Mesloub – Où étaient-ils, ces millions d’hypocrites marocains quand, durant des années, leur roi participait au génocide du peuple yéménite dans le cadre de la coalition dirigée par les Al-Saoud ?
Par Khider Mesloub – La neutralité bienveillante prônée par la bourgeoise pacifiste parisienne participe d’une neutralisation de toute réaction révolutionnaire aux crimes d’Israël.
Par Khider Mesloub – Depuis le début de la guerre d’extermination menée par l’Etat nazi d’Israël contre les Palestiniens à Gaza, aucune action collective féministe occidentale n’a été entreprise.
Par Khider Mesloub – Ce n’est pas la première fois que des mercenaires marocains participent aux massacres de populations colonisées ou insurgées. Ils ont une longue tradition de mercenariat.
Par Khider Mesloub – Le milliardaire, français de papier mais israélien de cœur, Maurice Lévy, décrète que «ne pas marcher contre l’antisémitisme, c’est soutenir les antisémites». Néo-Inquisition oblige.