Disneyland politique
Par Mohamed El-Maadi – Le Maroc ne gouverne plus, il masque sa décomposition sous des dorures. Le Makhzen n’administre plus un Etat, il gère une illusion monarchique, un Disneyland politique.
Par Mohamed El-Maadi – Le Maroc ne gouverne plus, il masque sa décomposition sous des dorures. Le Makhzen n’administre plus un Etat, il gère une illusion monarchique, un Disneyland politique.
Par Mohamed El-Maadi – La posture de l’Algérie comme pôle de souveraineté affirmée, loin de la protéger, en fait surtout une cible : non plus par des armes visibles, mais par des moyens insidieux et diffus.
Par Mohamed El-Maadi – La militarisation de l’Algérie n’a jamais été un choix, mais une nécessité imposée dès les premières années de son indépendance, par la politique agressive du Maroc voisin.
Par Med Kamel Yahiaoui – On nous sort du chapeau, en France, bien plus pour des intérêts politiques que par souci de sécurité, un rapport sur les Frères musulmans, mais étrangement pas sur les salafistes.
Par Mohamed El-Maadi – Depuis la normalisation des relations entre le Maroc et Israël en 2020, le régime de Mohammed VI semble avoir engagé une course en avant, dont il ne maîtrise plus les effets.
Par A. Boumezrag – Depuis les fastueux accords de Camp David en 1978 jusqu’aux bling-bling accords d’Abraham en 2020, une constante : la paix est toujours une affaire d’élites et non pas des peuples.
Par A. Boumezrag – Dans les palais feutrés du monde arabe, on attend toujours un Aladin. On attend le miracle. On attend que quelque chose ou quelqu’un vienne réveiller ce grand corps endormi.
Par A Boumezrag – A quoi bon participer à un Sommet arabe dont les membres s’embrassent en façade et se poignardent en coulisse ? A quoi sert une organisation incapable de dire un mot clair sur Gaza ?
Par A. Boumezrag – La tournée de Donald Trump dans les pays du Golfe confirme une vérité froide : la guerre est une langue que les puissants parlent avec aisance et que les faibles apprennent en silence.
Par Ali Akika – «Une telle passivité nous fait honte. Pourquoi le cinéma, vivier d’œuvres sociales, engagées, paraît se désintéresser de l’horreur du réel subi par nos consœurs et confrères [à Gaza] ?»