Ce que Benflis a gagné

Par R. Mahmoudi – A voir la célérité avec laquelle le candidat malheureux à la présidentielle, Ali Benflis, a annoncé son intention de créer un parti politique en pleine désillusion électorale, on sent que l’homme est loin de s’avouer vaincu et qu’il avait tout prévu et calculé à l’avance. C’est, en tout cas, la meilleure réponse qu’un homme politique, «battu» aux élections, puisse donner à ses détracteurs. Un autre point gagné : sa réaction a, tout d’un coup, donné envie à une palette de politiques qu’on croyait à jamais désabusés de se lancer dans des initiatives convergeant toutes vers l’urgence d’un «changement démocratique et pacifique», après la forfaiture du 17 avril. Benflis sait que c’est maintenant ou jamais qu’il peut assurer un ancrage à son projet. Un moment propice pour pouvoir fédérer toutes les forces politiques qui l’ont accompagné durant sa campagne et qui cherchaient désespérément une figure de proue pour les représenter, après le retrait de tous les anciens leaders. Car une fois que la fièvre électorale retombera, il lui sera difficile de mobiliser et de fidéliser autant de monde et de fructifier l’immense capital sympathie qu’il a gagné en moins d’un mois. Son avantage est qu’il part avec une longueur d’avance sur la plupart des partis en lice et que, s’il arrive à maintenir cette dynamique, à la fois populaire et transpartisane autour de son projet de «renouveau national» et de «changement démocratique», il pourra rapidement rivaliser avec les partis au pouvoir, aux prochaines élections locales, et affaiblir même son ancienne formation, le FLN, dont beaucoup de militants s’étaient déjà engagés à ses côtés dès le premier jour. A ce rythme, il peut même trouver bon accueil en Kabylie, où une large base du FFS notamment a été séduite par son discours au ton radical et son esprit d’ouverture. Il lui restera à définir sa vision de l’islamisme politique et sa mouvance extrémiste, aujourd’hui incarnée par les résidus du FIS, et aussi de la nature des réformes à proposer. Maintenant que la campagne est finie et qu’il n’y a plus de raison de surfer sur toutes les sensibilités, Benflis doit se fixer sur des orientations politiques claires et s’assurer une bonne base.
R. M.

Comment (19)

    Aznay
    21 avril 2014 - 8 h 54 min

    Je demande au monsieur
    Je demande au monsieur saadane cette argent la plus les deux appartement a paris essue vraiment sont qui lui laisse cette argent il faut quil sexplique au peuple

    Tarik M
    21 avril 2014 - 6 h 46 min

    Monsieur Ali Benflis a

    Monsieur Ali Benflis a remporté les élections du 17 avril

    D’après les données recueillies sur le terrains y compris celle données par l’ENTV à 14heure, c’est monsieur Ali Benflis qui a remporté les élections présidentielles du 17 avril 2014. A partir de 1 heure juste avant la fermeture des bureaux de vote, la fraude a commencé sans compter celle qui résulte des administrations comme faire voter les mort, les vivants à leur insu en utilisant les registres de l’état civile et celle que l’on a vu pendant les meeting du président sortant ou une clientèle d’interessés par quelques kopecks ou encore les relais de président sortant qui se sont gavés de biens public utilisés sans aucun contrôle du peuple.
    Les observateurs du candidats Benflis et ceux des autres candidats ont été mis à l’écart, intimidés et éloignés des scrutins pour ne pas assister aux petites manipulations auxquelles le pouvoir en place depuis 1962 a recours.

    A 14 heure, le taux de participation était de 36%, même si ce chiffre vous semble gonflé et il l’est certainement car dans les grandes villes, Alger, Oran, Annaba Constantines et d’autres les centre de votes étaient quasiment vide. Les quelques images montrées à l’ENTV n’ont rien de commun avec celles transmises par les médias occidentaux qui elles montrent des centres de vote pratiquement vides. Nous avons vu dans au moins trois TV étrangères(France24 et BFM, Euroneuws) un dépouillement d’urnes à Alger, ville qui oriente normalement le vote vu la rande densité de sa population. L’urne donnait Benflis largement en tête par rapport au candidat Bouteflika. Pour une dizaine de bulletin de Bouteflika, il y avait au moins 30 bulletins pour Benflis. Ce documentaire doit servir d’archive pour l’enquête prouvant la fraude électorale du 17 avril. L’urne n’était pas pleine car la réalité du terrains rapportée par les médias occidentaux, les chancelleries et les témoins la participation dans les grandes villes était très faible, y compris dans la capitale qui reste le facteurs de tendance et indicateur pour la convergence de la véracité des chiffres. Contrairement à ce qu’avaient filmé les TV occidentales dans certains bureaux de vote des lieux les plus dense en population, l’ENTV comme à son habitude montre le contraire. Elle montre des files longues de citoyens pressés de passer dans les salles et une mascarade ridicule où l’on voit dans une salle un dépouillement d’urne ou le candidat Bouteflika avait pour lui presque la totalité du contenu de l’urne. On ne nous dit pas où se trouve ce bureau de vote qui a plébiscitée le candidat Bouteflika contrairement TV occidentales qui montrèrent bureau de vote, situation géographique du centre de vote , l’heure et l’affluence des votants. Il n’y avait pas foule vers 14 heure et les urnes lors du dépouillement étaient presque vides. Cela converge avec les témoignages des citoyens qui disaient qu’Alger, Bouira, Oran était vides et les commerçant avaient descendu leur rideaux craignant des débordements.
    Le taux de participation gonflé déjà « aient passé de 36% à 1’heure, heure où les observateurs des autres candidats étaient encore dans les bureaux de vote étaient passé à 51% à 18heure. Cela veut dire qu’il y eu en 3heure plus de 15% des votant qui se sont déplacés. Avec les calculs fait par plusieurs personnes spécialistes dans la SAD(aide à la décision), il y aurait eu d’après le ministère de l’interieur une personnes toutes les 3 minutes dans chacun des bureau de vote du territoire nationale. Hors d’après les TV, chancelleries et nombreux témoins, cette élection a suscité le dégout et le devoir de boycott qui a régné. Trois algériens sur cinq ont boycotté ces élections. Même bien plus que trois algériens. C’est les trois quarre de la population qui n’est pas allée voter.
    Vos 51% sont d’une exagération inouïe. Même quand il faut construire des chiffres fallacieux, vous en êtes incapables. La ficelle est trop grosse messieurs les fraudeurs. Vos de taux de participation ne convergent pas. Ils sont donc faux, aussi faux que le résultat encore plus ridicule du scrutin. Une étude approfondie vous mettraint vite devant la réalité des chiffres relevés par les multiple témoins qui ont travaillé ces jours ci sur la véracité des chiffres que vous avancez.
    Les extrapolations, l’étude d’echantillons par populations dans différentes régions du pays a donné un taux de participation en dessous de 30%, chose qui invalide les élections. Le peuple algériens devrait donc être invité dans 2mois de participer à de nouvelles élections. Les élections du 17 avril 2014 sont nulles. Le peuple algérien devrait être reconvoqué dans les deux mois à venir à participer à de nouvelles élections présidentielles.
    Le résultat du scrutin est trop loin de la réalité des chiffre donné par la mafia qui veut s’appeler pouvoir et qui n’a même pas des matheux pour maquiller les chiffres. La fraude est flagrante messieurs les mauvais faussaire, car fausser un bilan, un résultat d’une quelconque entreprise est tout un art. Il est trop facile de vous piéger, de montrer devant les instances internationales que ce scrutin est plus faux qu’un nez de clown au milieux d’un visage. N’est pas faussaire qui veut. Cela releve du génie. Vos chiffres sont faux et archi faux messieurs les fonctionnaires des ministères chargés de relever le résultats des urnes. Les organismes internationaux qui ont pour charge de valider ou pas des décisions concernant les états et les nations, eux ont les mathématiciens qu’ils faut pour vous ridiculiser et prouver la non convergence de vos chiffres. Nous sommes à l’heure d’internet et à l’heure des nations avec des droit. La médiocrité et le mensonge ne font qu’un chez vous messieurs les mauvais faussaires des préfectures et du ministère de l’intérieur charger à publier les résultats des urnes.
    D’après les calculs, les enquêtes, les extrapolation, votre candidat grabataire venu voter sur une chaise roulante pour pousser le ridicule plus loin encore et qui se compare au grand Roosvelt du nouveau deal n’a pas fait que 14%. Pour info, Roosvelt avait la polio depuis l’âge de 8ans contractée dans un camps de scouts et non pas un AVC qui atteint des centre nerveux. En restant dans un intervalle d’équivalence, le score de Bouteflika se trouve entre 14% et 24%. Il a donc perdu ces élections du 17 avril. Le candidat Benflis a fait lui, autour de 60%. Son ensemble d’équivalence est un intervalle se situant entre 50% et 60%. C’est donc lui le vainqueur de ces élection du 17 avril. Mais il reste un bémol. Oui ces élection sont caduques car le taux de participation est bien en dessous des 50%. Il ne dépasserait pas les 25%.
    Ors dans une démocratie, quand le taux de participation les élections sont annulées et le peuple est reconvoqué deux mois plus tard à voter pour de nouvelles élections.
    Le candidat Bouteflika a perdu ces élections du 17 avril. Le taux de participation est trop faible pour déclarer Benflis président bien qu’il ait fait plus de 50%.

    La ficelle est trop grosse messieurs les mafieux du syndicat de la fraude aux élection. En faisant sortir vos courtisans avent même la fermeture des derniers bureaux de vote, vous avez indiqué que vous méprisez le peuple algérien et peu importe ce qu’il a chois comme président. Vous avez montré que c’est vous qui choisissez grâce à la magie de la fraude le président de la république bananière. Par la fraude vous vous êtes octroyé la propriété d’un grand pays, la volonté d’un peuple qui par le mensonge vous avez transformé en zombie et vous avez piétiné l’Algérie l’offrant à des appétit étrangers peu soucieux du devenir de l’Algérie. Seule leur intérêt à piller les reverses minières, pétrolières et gazières les intéressent. Dans onze années, jour pour jours, les derniers puits de pétrole auront fermé et les étrangers à qui vous offrez notre sous-sol seront tous parti et vous avec messieurs du syndicat de la fraude à l’échelle industrielle. Nous nous retrouverons alors avec la pénurie de sucre, de lait, de viande, de produits agricole et une dette qui augmente chaque jours. Nous reconnaitrons la guerre civile et les magasin vide, les citoyens qui quittent par millions le pays sur des embarcations de fortunes. Vous, vous avez déjà préparé l’avenir de vos enfants, vos arrières enfants et même l’avenir de plusieurs générations issue de vos enfants. Ils vivront dans l’opulence quand le peuple algérien vivra dans les squares, sur les trottoirs et dans les foyers pour clochards des capitales occidentales. Vous, vous avez déjà plusieurs nationalités pour déguerpir au moment opportun. Nous nos n’avons que l’Algérie que vous avez déjà pillé tout en criant fort que vous êtes nationaliste et que vous aimez ce pays qui vous trop donné et à qui vous n’avez rien donné, sauf votre incompétence, vos mensonge et votre entreprise à saboter ses enfants.
    Ce n’est pas vos courtisans àqui vous avez jeté quelques euro pour danser dans les rues votre victoire que vous pouvez faire croire que vous avez gagné ces élection. D’ailleurs ces gens qui se prosternent devant la photo de votre candidats ont un visage de fou, dépressif, mal nourri et ayant dormi souvent dans la rue. Leur sourire avec des mâchoires édentées, leur tain maladif, chantent leur victoire mais cela sonne comme un deuil sur leur devenir Il savent que tant que vous êtes là, leur malheur ne peu que grandir.
    La rente bientôt arrivera à sa fin et il faudra trouver un moyen pour survivre Il reste onze années de rente et le peu qui reste vous voulez encore le soustraire au crédit faible du peuple pour qu’aucun avenir decorrelé des revenus des hydrocarbures ne s’installera en Algérie. Les colons avaient laissé une agriculture avec des terres californiennes qui inondaient le marché européen et le marché britannique. Aujourd’hui on importe tout, on travaille peu et on compte sur la rente pour se nourrir dans un pays qui jadis fut le grenier agricole de Rome et de l ‘Europe de l’ouest. Vos avez détruit l’industrie par votre incompétence qui est devenue la référence avec le mensonge dans ce pays. Avec out cela et ces élections entaché de fraude massive et de résultat faux, vous sonnez le glas de l’Algérie.
    Non messiers du syndicat de la fraude et de l’incompétence, le 18avril, votre candidat n’est plus le président de l’Algérie, mais c’est Benflis qui a remporté ces élections. Il est impératifs que les corps constitué observent une neutralité et gèrent ce pays pendant que l’on prépare d’autres élections. Non, Bouteflika n’est plus le président de l’Algérie. Les preuve de sa défaite et de la fraude massive à laquelle s’est adonné le syndicat de la fraud est facile à prouver. Les instances internationales et les partis de l’opposition ont les preuves et peuvent prouver que les résultats du scrutins ne sont pas convergents et ne donnent pas Bouteflika gagnant. Faire sortir des courtisans payés pour crier victoire avant même la fermeture des bureau de vote ne font pas de Bouteflika le vainqueur de ces élections du 17 avril.
    Le vainqueur du 17 avril est le candidat Benflis. Cependant, il serait plus conseillé de convoquer les citoyen dans deux mois pour de nouvelles élections, c’est la loi quand le taux de participation est inférieur à 50%. Le taux de participation le 17 avril était inférieur à 30%.
    Les corps constitués doivent considerer qu’à partir du 18 avril monsieur Bouteflika n’est plus président et l’éloigner d’ElMouradia avec les précautions et le traitement respectueux et le protocole qu’on lui doit vu son statut d’ex président.
    Je demande aux chancellerie occidentales et celles des pays qui aspirent à la démocratie et au bonheur de leur peuple de réserver leur messages de félicitations au président réellement élu sans fraude ni utilisation des deniers publics.

    chawi pure laine
    21 avril 2014 - 5 h 00 min

    la majorité est toujours
    la majorité est toujours ignorée, depuis des années c’est la majorité qui ne vote pas et les partis la sous estime, voila une preuve irréfutable que 80% des Algériens n’ont jamais voté donc pour savoir qui sont-ils, il ne faut pas aller au KLEB DES PAINS (chiens de khoubz) mais en Algérie profonde qui n’a pas parlé mais qui risque de faire un volcon si elle parle

    Anonyme
    20 avril 2014 - 20 h 49 min

    Est -ce que ces gens sont
    Est -ce que ces gens sont vraiment contents de designer un Monsieur malade dans cet Etat pour les diriger?Nous sommes en plein delire ….

    Rabah
    20 avril 2014 - 20 h 06 min

    Algérie : Ali Benflis affirme
    Algérie : Ali Benflis affirme avoir «été élu» président
    Nous avons donc deux Chefs d’Etat.
    Le candidat fantôme devient président réel et le candidat réel devient président fantôme !

    Patrouille à l'est
    20 avril 2014 - 19 h 37 min

    Moi toutes façons je suis
    Moi toutes façons je suis avec ce monsieur à qui j’ai serré la main n’a dernière fois a tizi et jei senti qu’il était vraiment un patriote honnête et qu’il peut conquérir pas mal de gens qui luttent pour être  » libre »

    mellah hocine
    20 avril 2014 - 17 h 42 min

    La redistribution de la rente
    La redistribution de la rente à la clientèle du système et la répression comme outil de gestion de la société, ne font qu’alimenter dangereusement le statuquo.
    Puiser sans limites dans la rente et les richesses du pays pour soutenir le filet social et subventionner les produits de premières nécessités en créant de l’inflation et en distribuant des chèques à la mafia de l’alimentaire, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, mène inéluctablement à la ruine. Sans oublier les institutions qui ne fonctionnent plus.
    D’où l’urgence d’un consensus qui aura l’adhésion des Algériens sur les politiques à mener. Il s’agit d’aller vers une économie diversifiée, de lever les obstacles à un fonctionnement correct des institutions, tout en veillant à préserver les couches sociales les plus défavorisées.
    C’est en celà que le candidat ALI BENFLIS pourra gagné,nul ne peut se dérober de ses responsabilités ; il n y a plus de neutres lorsque le pays est menacé dans ses souveraineté et cohésion nationales. Terminés les artifices et les faux-semblants qui permettaient jusque là de maintenir le système ! Le pays n’en supportera plus de continuer dans cette voie et s’il venait à y persister, elle n’emportera pas uniquement le système seul, mais l’Algérie avec.

    GHEDIA Aziz
    20 avril 2014 - 16 h 32 min

    Ah bon ! Benflis a gagné ? Je
    Ah bon ! Benflis a gagné ? Je ne le savais pas. Non plus sérieusement, Benflis n’a rien gagné du tout. Et il va certainement s’éclipser pour de bon, cette fois-ci, vu son âge qui ne lui permettrait pas de revenir dans … 10 ans. Excusez-moi le terme, mais lui aussi est têtu comme… Il aurait dû se retirer de ces élections comme Soufiane Djilali de Jil jadid. Il aurait dû rejoindre l’opposition et appelé ses partisans au boycott. Ainsi, aujourd’hui, il serait plus crédible et pourrait être le leader de cette opposition qui appelle à une transition politique. Mais, avec les si et les « il aurait », on ne peut refaire l’Histoire. Ce qui reste à faire à Benflis, c’est d’accepter sportivement cette défaite électorale même si elle est humiliante et entachée de fraude. Tel est le système algérien.

    Anonyme
    20 avril 2014 - 16 h 16 min

    M. Benflis est un visage
    M. Benflis est un visage nouveau et qu’il va apporter du sang neuf? Cessons ces plaisanteries de mauvais goûts qui ne font rire personne. C’est un vieux cheval de retour après dix ans fel khelwa.

    C’est un enfant du système, il ne faut pas l’oublier. Hier, lors de l’interview à KBC, il a reconnu qu’il savait depuis le début que les élections étaient hermétiquement verrouillées et que la fraude massive était déjà planifiée depuis longtemps. Question : sachant tout cela, pourquoi s’est-il engagé dans une telle galère ? Pour démontrer au peuple que ce système corrompu va encore passer par la fraude ? Mais cela, la majorité du peuple algérien la savait depuis longtemps. Il sait que ce système ne s’est maintenu que grâce à la corruption et à la fraude ; elles constituent ses deux béquilles.
    Maintenant il reste à M. Benflis de tirer les conséquences de cet échec, pas au sens électoral car tout le monde sait que ces élections n’ont été ni honnêtes, ni loyales, ni transparentes.

    Djilou
    20 avril 2014 - 15 h 18 min

    Je suis certain que dans peu
    Je suis certain que dans peu de temps la donne va changer radicalement. Le clan de Oujda se verra acculé il fera tout pour mettre l’Algérie à feu et à sang pour ne pas être jugé.
    Le peuple algérien profond va se rendre compte de la supercherie de ces élections et demandera la République II.
    Benflis n’a jamais dormi durant ces dix dernières années. Il a étudié tous les plans et agira en conséquence. En tous les cas plus de 60% du peuple algérien le suivront, c’est une certitude. Tahya El Djazaïr lil abad.

    sofiane-dz
    20 avril 2014 - 12 h 43 min

    Allons y pour un Front du
    Allons y pour un Front du Peuple Algérien si les coyottes n’ont pas déjà squatté ce sigle. Si c’est le cas on y accolera Libération ou Emancipation.
    Mais, il faut s’entourer de figures de proue du courant démocratique et éviter le noyautage.

    kader
    20 avril 2014 - 12 h 32 min

    IMA YA IMA : DHALAMOUN ALA
    IMA YA IMA : DHALAMOUN ALA DHALAM, c’est pas un langage de politicien. Et ça veux créer un parti politique ???? je rêve!!

    Nassima
    20 avril 2014 - 12 h 16 min

    sandra rezig (non vérifié) |
    sandra rezig (non vérifié) | 20. avril 2014 – 11:38

    cette diversité nous rend riches , Sandra et je suis entierement d´accord avec vous quand vous dites : il faut impérativement avancer et sortir de ce chaos.

    sandra rezig
    20 avril 2014 - 10 h 38 min

    arrêtons de noircir le
    arrêtons de noircir le tableau, suis d’accord avec vous sur le fait que BENFLIS doit trouver une orientation politique, sur les grands axes de gouvernance et d’économie pour ce pays, mais qui rassemble surtout et toutes les franges de ce pays , has been et new faces, ne savez vous pas que nous sommes un peuple de diverses cultures et divers horizons mais avec une seule et unique étiquette notre algerianité qu’il faut d’abord préserver, car tous les algériens s’entendent au moins sur une chose, c’est qu’l faut impérativement avancer et sortir de ce chaos.

    Drissi
    20 avril 2014 - 10 h 22 min

    Voila la mascarade des
    Voila la mascarade des elections ayant portées le clan « Corleone » au pouvoir en Algérie 82% de 51% de soit-disant votants la réalité est bien en dessous… En absolue.. 82% de 51% = 41%
    Le Godfather chef de file des Corleone a été élu y compris en bourrant les urnes et en corrompant les sans scrupules « Harka du moment » a 41% du peuple…. QUELLE VICTOIRE !!!

    Benouali Abdel
    20 avril 2014 - 10 h 02 min

    Avant lui Ghozali, Taleb
    Avant lui Ghozali, Taleb Ibrahimi ont eux-aussi crée un parti. Ils attendent leur agrément depuis bientôt 5 ans. Et ils ne sont pas près de le recevoir.
    Donc toi aussi tu peux toujours crée un parti.
    Je vous rappelle au passage que Bouteflika n’a jamais crée un parti. Son parti, c’est la corruption et le vol. Et les adhérents sont très très très nombreux.

    Anonyme
    20 avril 2014 - 10 h 00 min

    Tout à fait d’accord à
    Tout à fait d’accord à condition d’éviter toute infiltration

    Rabah
    20 avril 2014 - 9 h 59 min

    Il doit aussi veiller à ce
    Il doit aussi veiller à ce que sa prochaine formation politique ne devienne le réceptacle des has been, comme on l’a vu lors de sa campagne électorale qu’il a mené avec un brio certain.

    Que ce soit pour le pouvoir ou pour l’opposition, le peuple algérien a besoin pour le réconforter de visages nouveaux et frais, d’un sang nouveau !

    Abou Stroff
    20 avril 2014 - 9 h 31 min

    bien que le système rentier
    bien que le système rentier soit, structurellement, incapable de générer les conditions de son propre dépassement, on peut néanmoins avancer la proposition suivante: si le but de Benflis est de mettre en oeuvre une dynamique de destruction du système rentier, son objectif essentiel doit être de fédérer toutes les couches sociales (et les « partis » qui se présentent comme porte-paroles de ces couches) activant dans le monde nouveau qui n’arrive pas à naître. ces couches sociales sont, par définition, celles qui activent dans tous les domaines où le travail et la production sont les activités essentielles. en d’autres termes, Benflis doit être en mesure de cerner la contradiction principale du moment. cette dernière étant la contradiction qui lie et oppose les couches rentières au reste des couches sociales (dont une partie est composée de couches clientes de couches rentières) et de proposer un programme de dépassement du système rentier en replaçant le travail comme activité structurant la formation sociale dans son ensemble.
    PS: Benflis ne DOIT pas s’acoquiner avec le courant islamiste. car, contrairement aux apparences, ce courant rétrograde, archaïque et réactionnaire ne représente, en fait que la face hideuse du système rentier dont il est l’un des support les plus solide. dans les faits, le courant islamiste est l’allié objectif et subjectif des couches rentières au niveau interne et l’allié objectif et subjectif de l’impérialisme et du sionisme au niveau externe.

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