Amnesty International s’abreuve aux sources de ceux qui ont soutenu le terrorisme en Algérie
Amnesty International persiste à s’abreuver aux fausses informations fabriquées par ceux qui, non seulement n’ont pas condamné mais ont même, sournoisement ou directement, soutenu le terrorisme qui a endeuillé l’Algérie, frappant toutes ses catégories sociales et professionnelles, hommes, femmes, enfants, nationaux ou étrangers, et lui a causé des pertes matérielles inestimables au point où la décennie où les terroristes ont imposé au pays leurs pratiques criminelles a été qualifiée de «noire» tellement elle a été tragique. Amnestry International se sert d'informations complaisantes pour le terrorisme, qu’elle ne prend même pas la peine de vérifier, pour fabriquer, à son tour, ses accusations tout aussi fausses contre les forces de sécurité algériennes, qu’elle balance dans un communiqué, dont Algeriepatriotique a eu une copie. Alors qu’en dehors des soutiens du terrorisme le monde entier a rendu hommage à l’action des forces de sécurité algériennes dans leur lutte contre ce fléau qui est reconnu, depuis l’attaque des deux tours jumelles à New York, le 11 septembre 2001, comme un fléau international à combattre avec la coopération de tous, Amnesty International se singularise en ignorant les faits et en s’obstinant à ne pas les voir en face, comme si des œillères solidement attachées l’en empêchaient. Manifestement, Amnesty International ne cherche pas à contrôler les informations qu’elle reçoit et, fatalement, cela enlève toute crédibilité à ses rapports et à ses recommandations. En outre, tous les observateurs objectifs constatent que cette organisation internationale fait dans le deux poids, deux mesures dans une démarche carrément hostile à notre pays et sélective puisqu’elle n’aborde quasiment jamais la situation d’atteinte aux droits de l’Homme contre les Palestiniens, qui est pourtant érigée en pratique institutionnelle par l’entité sioniste et qui est donc visible à l’œil nu, mais les œillères servent à masquer cette réalité. Voilà une information pour Amnesty International : «700 enfants palestiniens de 12 à 17 ans, en grande majorité des garçons, sont chaque année arrêtés, interrogés et détenus par l'armée, la police et les agents de sécurité israéliens». La majorité d'entre eux sont accusés… d'avoir lancé des pierres. C’est vérifiable. Les prétentions d’Amnesty International ne se limitent pas à donner des leçons, de façon discriminatoire, on l’a vu, elles vont jusqu’à l’ingérence dans les affaires des pays «ciblés». Si la politique de réconciliation nationale ne plaît pas aux soutiens du terrorisme et, par ricochet, à Amnesty International, c’est la politique du peuple algérien qui l’a votée et qui estime que c’est la voie qui lui permet de lutter contre le terrorisme d’une autre manière et non pas de le réhabiliter, comme semble le vouloir Amnesty International.
Kamel Moulfi