Un bilan globalement négatif

1- Privatisation sauvage de centaines d'entreprises publiques économiques nationales ou locales, souvent bradées au dinar symbolique à des amis algériens ou étrangers et sabotage délibéré de celles qui restent encore en activité pour leur réserver le même triste sort ;
2- Désindustrialisation du pays avec le tout import, le fameux import-import. Les hydrocarbures représentent aujourd'hui plus de 98% des exportations algériennes ;

1- Privatisation sauvage de centaines d'entreprises publiques économiques nationales ou locales, souvent bradées au dinar symbolique à des amis algériens ou étrangers et sabotage délibéré de celles qui restent encore en activité pour leur réserver le même triste sort ;
2- Désindustrialisation du pays avec le tout import, le fameux import-import. Les hydrocarbures représentent aujourd'hui plus de 98% des exportations algériennes ;
3- Exploitation et pillage effrénés des ressources naturelles non renouvelables du pays et dilapidation de ses ressources financières afin d'alimenter la corruption généralisée, qui menace sérieusement la sécurité et la cohésion nationales ;
4- Marginalisation massive des cadres de la nation qui ne font pas partie du clan présidentiel, en usant et abusant du pouvoir de nomination et de limogeage par Bouteflika et exil à l'étranger de plus de 900 000 Algériens et Algériennes, depuis avril 1999, à cause de la mal-vie, du chômage chronique, de la détérioration rapide du cadre élémentaire de vie et de l'absence de perspectives rassurantes ;
5- Concessions majeures et avantages financiers et fiscaux aux entreprises et pays étrangers dans de nombreux domaines ;
6- Expansion rapide des maux et fléaux sociaux, qui minent la société algérienne et divisent une société civile hétéroclite.
7- Entraves à la vie politique et à la mise en œuvre des droits des citoyens constitutionnellement reconnus et garantis, à travers une bureaucratie multiforme ;
8- Ecole, université et instituts et centres de formation sinistrés, figurant à la queue des listes de leurs homologues étrangers, à l'instar des institutions d'autres secteurs, qui ont connu une régression alarmante depuis 1999 notamment.
Ces actions, mesures et décisions menées et prises souvent avec l'accointance de pays étrangers, ont considérablement affaibli et aggravé la vulnérabilité de l'Algérie, dont la plupart des institutions sont aujourd'hui dans un état de délabrement et de déliquescence avancés, royalement ignorés par le pouvoir, qui pratique une fuite en avant suicidaire et persévère dans le mépris et l'humiliation du peuple algérien.
R. T.
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