Yousfi répartit les missions des directions générales du développement industriel et de la PME

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Anonyme
27 mars 2018 - 14 h 50 min
L’expansion, et le développement des Petites, et Moyennes Entreprises Algériennes, pour plus de productions de qualité,
Et de productivité , et d’exportations, en Afrique (Maroc, Afrique du Sud, Egypte, Nigeria, Tunisie,…..pays exportateurs, et ouverts…..),
Et ailleurs passent par des réformes structurelles profondes, et radicales de l’économie algérienne « socialiste », très peu diversifiée
Encore trop bureaucratisée, économie administrative, et trop fonctionnarisée,
Réformer, totalement, le cadre législatif, avec une justice, et une transparence dans les activités économiques, et commerciales
Libérer les énergies des grandes potentialités humaines, et matérielles des algériens
Encourager l’enseignement, et la formation professionnelle,de haute qualité, et de haut niveau
La production, la productivité/personne, et l’exportation, contre la domination écrasante de l’esprit facile de recours aux importations
Du n’importe quoi, à vil prix, à qualité très douteuse, et à bénéfices gros, et démesurés, et finalement des comptes secrets à l’étranger,
dans les paradis fiscaux des évasions fiscales, et des fausses déclarations
L’Algérie en a les moyens suffisants de ses ambitions économiques, et commerciales en Afrique, pour peu d’organisation,
De préparation, puis de maitrise, en rangs ordonnés, coordonnés, et disciplinés
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nectar
26 mars 2018 - 15 h 24 min
Vu de ma petite lucarne, ce ne sont pas des personnes bardées de diplômes et sans aucune expérience du terrain, qui feront bouger le coma dans lequel est plongée l’industrialisation de l’Algérie. Quand des personnes ne savent même de quoi est composé un véhicule industriel, et des fois même lire un plan d’un organe, comment voulez-vous qu’elles puissent faire la différence entre un CKD un SKD et une intégration de pièces mécanique ou de tôlerie..Une simple question à ce ministre de l’industrie, est ce que les usines tournevis ou de boulonnage en place, ont pu avoir tous les plans de détail des ensembles, sous ensembles et pièces qui composent les véhicules soi-disant made in bladi..Je doute fort qu’ils les ont…
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Anonyme
26 mars 2018 - 11 h 30 min
La politique de développement industriel et de la technologie de notre pays a besoin d’une prise de conscience, par les entreprises du secteur de l’industrie, de l’impérieuse nécessité de normaliser leurs relations avec l’instrument du pouvoir que sont les organes centraux des ministères, dans le cadre de la gouvernance. Encore aura t-il fallu que le ministère de l’Industrie ait pris l’ensemble des mesures qui permettent d’assurer le bon fonctionnement des entreprises sous tutelle. A cet égard, on ne peut que se réjouir de la création d’une direction générale du développement industriel et de la technologie au sein du ministère de l’Industrie.
Force est, en effet, de constater que, d’une manière générale, les services centraux des ministères n’appliquent pas les règles de gouvernance, au détriment des changements voulus par le pouvoir, notamment en matière de contrôle. On s’étonne après que nos entreprises soient toujours déficitaires et se fassent dépasser par des entreprises étrangères.
Espérons que cet organe central fera prendre conscience aux entreprises concernées de l’impérieuse nécessité de former et d’intégrer des managers, c’est-à-dire des hommes sachant à la fois maîtriser des techniques modernes d’organisation des ressources et pratiquer l’art de diriger des hommes afin qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. C’est ainsi – et ainsi seulement – qu’elles sauront traduire intelligemment les changements voulus par le pouvoir en résultats tangibles tant dans le domaine du développement industriel que de la technologie.
En l’occurrence, on ne devra pas oublier qu’une entreprise naissante doit commencer par assurer sa propre survie et créer une image d’entreprise capable de tenir ses engagements, créant ainsi les conditions pour amorcer sa croissance et s’engager dans la voie de la pérennité. Tout au long de ce processus, la phase la plus cruciale est la survie et celle-ci dépend étroitement du niveau de compétence managériale de ses responsables.
A bon entendeur ……
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Amascha-Hô
26 mars 2018 - 9 h 48 min
Vers la fin 2003, étant sur un concept économique qui avait toutes ses chances d’apporter sa contribution pour le développement des exportations hors hydrocarbures, comme le projet touche l’agriculture, j’avais eu un entretien avec un responsable d’un service du ministère de l’agriculture afin d’aller vers la concrétisation du projet en question, un certain F.A –j’en garde toujours sa carte de visite-, voilà que celui-ci m’assène une toute nouvelle ‘réalité’ qui a fait son chemin depuis et qui résonne encore dans mes oreilles, une ‘réalité’ qui a lourdement contribuer au démantèlement du concept Algérien, il m’avait lancé ceci :
Votre projet est valable il n’y a pas de doute, il est même tout indiqué pour l’Algérie, seulement, pour sa concrétisation, il est impératif que vous trouviez un partenaire étranger derrière lequel vous vous mettez pour que le projet puisse aboutir, c’est la nouvelle tendance, sinon, vous n’avez aucune chance d’aboutir quand bien même vous comptez le réaliser par vos propre moyens.
L’ex PDG d’Air Algérie et Hamid Temmar, pour ne citer que ces deux personnes car reliées par et dans des correspondances relatives au projet présentant un intérêt particulier pour l’économie nationale dûment attesté par l’ANDI, en savent un bon bout de ce que je viens d’écrire ci-dessus.
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Ammar
26 mars 2018 - 9 h 29 min
Les escrocs sont obstinés dans leurs tentatives de mettre la main sur les richesse du pays et cherchent toujours de nouvelles façons d’avancer
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elhadj
25 mars 2018 - 19 h 40 min
espérons que la nouvelle direction du développement industriel sera bien étoffée en cadres expérimentés pour mieux maîtriser sa tache et mener avec efficacité l assainissement de ces nouveaux groupes d artisans monteurs SKD et CKD tout en procédant a un établissement correct des pris de revient des véhicules au demeurant juges trop excessifs et leur prix public sur le marche en limitant la marge bénéficiaire anarchique actuelle .il semble que pour développer une industrie automobile il est indispensable que les maisons mères coréennes notamment KIA et HUNDAY s impliquent effectivement en matière d investissements et de transfert de technologie .les artisans monteurs qui ne fabriquent pour le moment rien du tout d essentiel semblent plutôt être attires par le gain facile en profitant des avantages accordes par l état,du transfert facile de devises pour importer du CKD et SKD et des prix exorbitants imposes localement a l origine des réactions légitimes exprimées par les citoyens qui n acceptent plus d être impunément racquettes . .
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LOUCIF
25 mars 2018 - 18 h 11 min
Waouh, bravo Yousfi !!! Il vient ainsi révolutionner la stratégie industrielle et minière du pays …. en répartissant les missions de certaines directions de son ministère !!!! çà y est, enfin la politique industrielle et minière du pays prend son élan ! Ouf !!!
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