La guerre du gaz déclarée à l’Algérie par l’Espagne et les Etats-Unis ?

Felipe gazoducs
Le roi Felipe d'Espagne et Donald Trump à Washington. D. R.

Par Sadek Sahraoui – L’Espagne mène actuellement un intense lobbying afin de convaincre ses partenaires européens de connecter la péninsule ibérique au réseau européen de gazoducs. Madrid caresse, en effet, le rêve de transformer l’Espagne en une gigantesque plateforme de transit des importations de gaz américain. Le pays joue sur le fait qu’il possède de nombreux terminaux méthaniers et que son projet peut contribuer à sécuriser les approvisionnements en gaz de l’Europe.

Le projet espagnol a-t-il reçu le soutien de Washington ? Pour le moment, il n’y a pas d’éléments concrets qui peuvent nous permettre de répondre clairement par l’affirmative à la question. Mais il est certain que les Américains ne s’y opposeront pas puisqu’ils ont tout à y gagner, surtout qu’ils se sont promis de contrer l’influence russe en Europe. Et pour Washington, cette guerre d’influence passe nécessairement par une réduction de la dépendance européenne vis-à-vis du gaz russe.

Le premier acte de cette guerre du gaz vient d’ailleurs de se jouer à Washington où vient de se rendre le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Selon la presse américaine, le responsable européen a promis à Donald Trump une augmentation des importations de gaz naturel américain liquéfié. Les Européens «vont devenir des acheteurs majeurs», a-t-il affirmé. Il faut s’attendre donc à ce que l’Europe soit bientôt inondée en gaz américain. Et elle devrait l’être davantage si, effectivement, l’Espagne venait à être raccordée au reste du Vieux-Continent.

De leur côté, les Russes ne resteront pas les bras croisés. Il est certain que Vladimir Poutine se battra farouchement pour garder intactes les parts de marché de son pays. Et cela quitte à casser les prix, ce que la Russie peut se permettre.

La question qui se pose maintenant est de savoir si cette guerre du gaz qui inclut également le Qatar (Doha fournit déjà à l’UE 6% de ses besoins en gaz naturel liquéfié) va impacter ou non les exportations algériennes de gaz en direction de l’Europe. La question est des plus lancinantes dans la mesure où la vente de gaz et de pétrole constitue, malheureusement encore, l’essentiel des rentrées en devises du pays et les Européens sont nos principaux acheteurs. Nous devons vite savoir de quoi il en retourne exactement car, contrairement à la Russie, l’Algérie ne peut pas se permettre de brader son gaz.

S. S.

Comment (34)

    Patrice Monod
    18 août 2018 - 10 h 18 min

    Pas besoin du gaz américain. Il est cher, pollue à la production chez eux, pollue par son transport maritime, et si vous connaissiez les américains vous sauriez que ce gaz déjà cher arriverait à un prix de lancement, le prix augmenterait vite après, ils produisent déjà à perte. Ensuite ce marché serait assorti de conditions qui empècheraient ensuite de se fournir ailleurs. Il y a du gaz bon marché en Russie et des gazoducs ça ne pollue pas.

    huge Algeria
    29 juillet 2018 - 18 h 06 min

    pas de souci a se faire.l algerie possede l arme de pointe . la planche a billet. vive la planche.

    Brahms
    29 juillet 2018 - 14 h 57 min

    L’Espagne a une dette publique de 1144 milliards d’euros et voudrait contrer l’Algérie. HA HA HA. L’Algérie n’a absolument pas besoin de l’Espagne. Il faut juste que les algériens se mettent au boulot à bosser 48 heures par semaine et que le Gouvernement fasse la chasse aux voleurs, harkis qui pullulent encore au pays et qui voudraient ramener l’Algérie dans le giron des juifs et des anciens colons qui souhaiteraient encore se rassasier en cash.

      Moh
      29 juillet 2018 - 18 h 33 min

      Les dettes publiques:
      ~ Espagne est de 98% du PIB
      ~ Allemagne est de 68%
      ~ France est de 97,6%
      ~ Belgique est de 105%
      ~ Japon est de 246,6 % du PIB ( 9 266 milliards d’euro).
      Algerie sa dette publique 2018 est de 34,8%
      Malgré sa dette publique relativement faible, est ce que pour autant on peut dire que l´economie algerienne se porte bien, on ne peut même pas la comparer avec celle de l´Allemagne ou de la France ou du Japon ou encore celle de l´Espagne. L´economie algerienne a une très forte dépendance aux hydrocarbures, faiblesses du secteur financier, lourdeurs bureaucratiques etc…Donc la dette publique ne reflète pas la réalité de l´economie d´un pays. Le Japon avec sa dette de 246% est troisième puissance économique mondiale, l´algerie est bien loins derrière…

    Rayés Al Bahriya
    28 juillet 2018 - 22 h 01 min

    Quand l’Amérique U.S.A….éternue , le monde prend
    La grippe.
    Ils ont tout ces Américains. Allah les a béni de tout.
    Soyons humbles, gardons nous de ces supers puissances….
    Vive l’Algérie….!
    QUE DIEU TE BÉNISSE, MON ALGÉRIE.

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 21 h 07 min

    Le clan au pouvoir ne fera rien qui puisse nuire aux affaires des USA. Il sait qu’il y va de son devenir.
    Pourquoi pensez vous que la direction actuelle de la Sonatrach s’échine à faire plaisir aux pétroliers américains en achetant leurs carcasses de raffineries et en multipliant les appels du pieds pour leur offrir des occasions d’affaires en or dont ils ne peuvent même pas rêver ?

    Brahms
    28 juillet 2018 - 19 h 06 min

    Les Américains ont une dette publique de 20 800 milliards de dollars + une dette privée de 12 100 milliards de dollars ce qui donne
    32 900 milliards de dollars de dettes. L’Espagne est surendettée plus de 1 000 milliards d’euros de dettes donc ces 2 pays sont déjà surendettés et n’ont pas les moyens de leurs politiques. En effet, avant de vouloir, il faut déjà pouvoir le faire étant précisé que la monnaie de type peseta espagnole n’a jamais value grand chose. D’ailleurs, l’Espagne a adhéré à l’Europe juste pour se mettre à niveau et pour toucher des subventions de la Banque européenne. Payez donc déjà vos dettes et après seulement, vous pourrez lorgner sur les richesses de pays tiers.

      Braqueurs
      28 juillet 2018 - 19 h 58 min

      Ce n’est pas pour rien qu’ils ont braqué, avec des complicités internes, la Libye et assassiné, Kadhafi, le gardien du fabuleux trésor public libyen. Ils ont encore essayé de braquer la Syrie et assassiner son gardien ainsi que d’autres pays et leurs gardiens mais ils se sont plantés. Les braquages ont mal tourné.

    Felfel Har
    28 juillet 2018 - 17 h 22 min

    Il va sans dire que dans le monde actuel, personne ne fera de cadeaux à l’Algérie. Il incombe donc à ses dirigeants, s’ils ont réellement à coeur de servir leur pays, de ne ménager aucun effort pour promouvoir et défendre ses intérêts. Rien ni personne ne peut nous forcer à octroyer des contrats juteux à des pays qui ne pensent qu’à nous rouler dans la farine. Chacun défend, bec et ongles, ses couleurs lors des négociations, c’est l’art du business! Rien n’indique qu’à l’heure actuelle, nos négociateurs en sont convaincus.

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 17 h 21 min

    Les autres pays ne font que du business pour en tirer le maximum de profit en tenant compte de leur futur economique et strategique. Ils ne font pas de l’improvisation toutes les heures. Un pays qui tient a un fil que tirent des ignards et des mafiosis qui ont tout sabote et qui jouent meme avec la coacaine ne fera que aller droit au mur un jour. Nous sommes comme un aveugle qui a perdu son chemin la nuit. Serions nous capables de resister a une autre crises economique dans un monde ou des interets et des alliances se tissent et ou seul le fort va survivre ? Ce n’est certainement pas avec des haddad, des ould abbas ou la baraka du prince qu’on va s’en sortir. La realite pourra etre choquante et douloureuse dans un monde devenu lache, traitre et espiegle. Seule l’intelligence vaincra les vrais defits. Ce n’est ni belahmar, le RHB ou les mandats infinis qui pourront aider l’Algerie. Pendant ce temps continuons a saboter le savoir et ceux qui veulent travailler et innover et a chasser l’intelligence du pays. La baraka, la roqia et 5 Omra par an vont nous proteger contre les jins du capitalisme sauvage et unhumain.

    Air Dz
    28 juillet 2018 - 17 h 12 min

    Je me souviens d’une citation d’un personnage pleine de lumière, le Comte Fortun Constantin Cassius II, avait dit un jour :
    Le courant d’air politique donne au mensonge une brise de légitimité aux yeux des peuples et une exigence de sacrifice inhumaine.

    En gros, ne les croyait jamais !

    ….

    Rayés Al Bahriya
    28 juillet 2018 - 16 h 15 min

    Pendant ce temps la mafia planche sur le pétrole et le gaz…..
    Rebrab , l’homme d’affaire, génie des affaires, est saborder par la mafia le régime mafieux.
    Voilà où est arrivée l’Algérie….
    BRAVO America…

    صالح/ الجزائر
    28 juillet 2018 - 15 h 53 min

    Les 10 principaux fournisseurs de l’Algérie sur les cinq premiers mois de 2017
    Pays Valeur Evolution
    (Millions de dollars) (par rapport à la même période 2016)

    -Chine 3.925 +10,44%
    -France 1.673 -27%
    -Italie 1.382 -32,95%
    -Allemagne 1.338 +17,8%
    -Espagne 1.228 -21%
    -Corée du sud 961 +100,6%
    -Turquie 909 +62,3%
    -Etats-Unis 742 -0,3%
    -Argentine 714 +51,6%
    -Brésil 634 +31,8%
    ———————
    Les 10 principaux clients de l’Algérie durant le premier semestre 2018
    Pays Valeur Evolution
    (Millions de dollars)

    –Italie 3.013 -3,8%
    –Espagne 2.493 +17,6%
    -France 2.241 +9,2%
    -USA 1.903 +18,1%
    -Gde-Bretagne 1.355 +81,4%
    -Turquie 1.062 +23,3%
    -Brésil 934 -18,9%
    –Pays-Bas 864 -25,5%
    -Maroc 805 .
    –Inde 689 +56%
    —————–
    *- Le premier fournisseur de l’Algérie , sur les cinq premiers mois de 2017 , manque à l’appel dans la liste des 10 principaux clients de l’Algérie durant le premier semestre 2018 .
    *- le gaz américain qui vient de loin transporté vers les terminaux d’Espagne dans des méthaniers devrait couter plus cher que le gaz Algérien transporté par des gazoducs transcontinentaux .

    RezkideBelcourt
    28 juillet 2018 - 15 h 22 min

    En 2008 il y a eu un crash énorme de l’économie, ce fut un signal bien précis. Ensuite nous avons eu différentes crises politique et économique, en particulier la baisse des revenus financiers pour l’Algérie à cause du recul du prix du gaz et du pétrole, qu’a fait l’Algérie RIEN.
    Quand le pétrole à dépassé les 120 $ dans notre bled, les  » cerveaux  » ont commencé la distribution, aux amis d’abord, et s’il reste un peu c’est pour le peuple. Si l’Algérie était autosuffisante partout, on ne parlerai même pas de ce gaz.

      Algerien révolté
      28 juillet 2018 - 17 h 36 min

      Bien fait pour notre gueule ! lorsque vous avez des responsables qui n’ont aucune vision a long terme , ne voit pas plus loin que le bout de leur nez ,arrivera ce qu’arrivera a ce peuple tout le monde s’en balance puisqu’eux ,ont sécurisé leur avenir et celui de leur générations a venir ,en fin de compte il ne restera dans la m… que les pauvres bougres que nous sommes .

    A3ZRINE
    28 juillet 2018 - 14 h 32 min

    Voilà une bonne nouvelle! ça nous incitera à travailler et produire ce dont nous avons besoins et cesser d’importer tout et n’importe quoi.

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 14 h 31 min

    Si on ne se retrousse pas les manches honnêtement et immédiatement, on va finir comme le Venezuela, c’est-à-dire dans une misère noire.

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 13 h 02 min

    A quelque chose malheur est bon et il faut apprendre à transformer une difficulté en opportunité pour mieux faire: Si l’Algérie ne parvient pas à vendre son gaz, pour les raisons bien décrites dans l’article, on verra disparaître – avec un petit coup de pouce du peuple -, ceux que Gaïd Salah traite à juste titre d’infâmes et qui ne pensent qu’à accéder au pouvoir pour accroître leurs profits personnels abjects. Ainsi une place sera ENFIN accordée aux algériens patriotes, compétents et intègres pour qu’ils apportent leur enthousiasme, leur savoir faire et leurs connaissances à un pays qui en a grandement besoin.

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 12 h 22 min

    Qu’a fait le régime ces 20 dernieres années outre l’import-import….
    Ils nous bassinent avec leurs generaux mutés, qu’ils font passer pour jeux democratique. L’arabislamique dans toute sa lassitude

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 12 h 06 min

    Salam aleikoum,

    « Contrairement à la Russie, l’Algérie ne peut pas se permettre de brader son gaz. » Mais l’Algérie a tout bradé y compris les algériens et algériennes, certains qui ont fait des études supérieurs ont bradé leur diplômes pour s’accrocher à des postes, certains ont bradé leur honneurs en devenant des corruptibles, certains ont bradé leur dignités pour quelques sous de plus, certains ont bradé leurs familles pour quelques avantages matériels, mais quand il s’agit de la rente, les rentiers ne veulent pas brader leur vache à lait.

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 11 h 58 min

    Tout est fait pour que les pays d’Afrique dépendent des puissances occidentalo-sionistes et les anciens colonisateurs.
    Donc au pays de diversifier son économie ses partenariats et d’être compétitifs dans tous les domaines quels qu’ils soient.
    J’ai lu un commentaire énergie solaire effectivement, voiture électrique je n’y crois pas car faut pouvoir faire de la route sans avoir à recharger donc courte distance ok centres villes de grandes agglomérations pour diminuer la pollution.
    Le pétrole est et restera l’or noir, le gaz idem …pourquoi cette guerre entre autre au Yémen sans parler de la Libye l’Irak la Syrie, le Liban aux prises avec l’entité sioniste sur des puits de pétrole et autres mais qui a défendu son steak comme il se doit et à juste titre.

    Hadji
    28 juillet 2018 - 11 h 38 min

    Il faut poser cette question a Chakib Khelil et a Ould Kadour. Pourquoi Sonatrach a vendu ses acctions de Gas natural et pourquoi Sonatrach a pardonner 1500 millons de euros a la Gas natural?

    Ziri
    28 juillet 2018 - 11 h 33 min

    Il faut Développer l’énergie solaire et devenir exportateur électricité écolo
    exploiter les nappe phréatique pour l’agriculture au goutte a goutte et non au gaz de schiste
    avoir une vision a long terme pour le peuple et l’environnement plutôt que de voir a cour terme !

      ayweel
      28 juillet 2018 - 16 h 45 min

      A qui tu lis Zabourk ya Daouad……………………!!!!!!!!????????

    Abou Stroff
    28 juillet 2018 - 11 h 29 min

    « La guerre du gaz déclarée à l’Algérie par l’Espagne et les Etats-Unis ? » titre S. S..
    pourquoi parler de guerre? ne doit on pas réfléchir en termes de business où chaque « partenaire » essaie de maximiser ses profits et de minimiser ses pertes?
    en d’autres termes, n’est il pas temps de « murir » et d’éviter de raconter, à chaque fois, l’histoire de l’ennemi externe qui nous jalouse et nous veut du mal?
    moralité de l’histoire: s’il y a quelqu’un à blâmer, ce ne peut être que la marabunta qui nous gouverne et qui est toujours incapable d’enclencher un processus d’autonomisation de l’économie nationale des exportations d’hydrocarbures.

    Moh
    28 juillet 2018 - 11 h 25 min

    « La guerre du gaz déclarée à l’Algérie « ????
    Pourquoi l´algerie doit-elle avoir l´exclusivité des marchés europeens?
    Pourquoi, si les états-unis ou Quatar ou autres vendent leur gaz á l´europe est une déclaration de guerre á l´algerie?? Elle est oú la logique ici, c´est un marché international, oú tout le monde compète avec tout le monde, c´est la loi du marché: l´offre et la demande, il n y a pas de sentiment dans ce domaine …

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 10 h 50 min

    Vous verrez que dans quelque années le gaz et le pétrole vont être remplacer par des énergie renouvelable plus propre .Rien qu’en Chine plus de 8 000 milles taxi électrique sorte des usines par jours .Encore une fois l’Algérie loupe le coche en ne diversifiant pas son économie .

    Zombretto
    28 juillet 2018 - 10 h 38 min

    « …contrairement à la Russie, l’Algérie ne peut pas se permettre de brader son gaz… »
    Au contraire, l’Algérie n’aurait jamais dû se permettre de compter sur son gaz.

    Vangelis
    28 juillet 2018 - 10 h 21 min

    Raison de plus pour accélérer la diversification de l’économie et l’élimination de la dépendance aux hydrocarbures.

    Comment ?

    Par exemple : en éliminant les barons de l’import…

    En libérant les énergies et en abandonnant la bureaucratie qui fait la loi ;

    En ne mettant pas des bâtons dans les roues de ceux et celles qui veulent industrialiser le pays et contribuer à la réduction des importations, à l’exemple du sieur Rebrab.

    anonym
    28 juillet 2018 - 9 h 44 min

    L’Espagne a effectivement plusieurs points d’entrée de GNL mais peu de connection gazoduc- à cause du blocus français- avec l’Europe.
    L’Algérie a déjà annoncé la reconduction des ventes à long terme de gaz – à la demande des espagnols- à travers Medgaz si le Maroc continue à refuser le passage à travers le Pedro Duran Farel PDF (et à renoncer à la rente de transit qui est exagérée).
    LE PROBLEME DE L’ALGERIE, c’est le marché italien du gaz et les acteurs italiens.
    Les acheteurs italiens n’ont toujours pas renouvelé leurs contrats d’après la presse…et on des raisons d’être inquiets pour la concession du gazoduc Enrico Matei en Tunisie.

    TARZAN
    28 juillet 2018 - 9 h 15 min

    il suffit de vendre moins cher car le prix du gaz algérien n’est pas aussi élevé que le prix du gaz américain surtout si on rajoute le coût du transport maritime, donc comploter c’est suicidaire pour tout le monde

    HOUMTY
    28 juillet 2018 - 8 h 59 min

    SALAM L’KHAWA….. On lison cet article, j’ai envie de hurlé ma haine de ce monde occidental, qui au gré des conjencture , déstabilise politiquement, éconnomiquement l’AFRIQUE ou les pays en voie de developpement . le venezuela que le fmi a mis a genou, et c’est pas fini… la gréce que l’union européenne et le fmi ont réduit plus de 70% de ça population en semi-mendiant.. La grosse erreur de L’ALGERIE c’est d’avoir dormie sur ces lauriers, et de ne pas avoir pratiqué depuis 1962, la régle des 33% agriculture 33% tourisme et 33% hydrocarbure.. l’avenir fait peur ,mais soyant combatif et rusé…VIVE LA MÉRE PATRIE L’ALGERIE, L’ A.N.P et Le D.R.S

      degdoug
      28 juillet 2018 - 14 h 29 min

      C´est parce qu on est trop rusé que l´Algérie stagne (et donc régresse dans tous les domaines, C´est l´intelligence conjuguée au travail qui fait avancer un pays, pas la ruse, qui ne crée pas de richesses mais seulement quelques riches aux dépens des moins rusés (meme intelligents). La ruse tue l’intelligence!!!

    Anonyme
    28 juillet 2018 - 8 h 40 min

    Et ne pas oublier le gaz marocain de tandrara comme on dit chez nous hadi maziana lalmouloudia

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