Bouteflika autorise le partenariat entre les secteurs public et privé

patronat prédation
Le FCE dictait ses règles au gouvernement et à l'UGTA. New Press

Par Hani Abdi Le partenariat public-privé, établi en décembre 2017, est relancé. En effet, le président Abdelaziz Bouteflika autorise le partenariat entre les deux secteurs public et privé, qui a été critiqué même par le FLN.

Dans un article de la loi organique n° 18-15 du 22 Dhou El Hidja 1439 correspondant au 2 septembre 2018 relative aux lois de finances, publiée dans le dernier Journal officiel, le Président Bouteflika assure que ce partenariat peut prendre diverses formes et peut être total ou partiel.

«L’Etat peut recourir à un financement, total ou partiel, d’opérations d’investissement public, dans un cadre contractuel ou de partenariat avec une personne morale de droit public ou privé, dans le respect, notamment, du cadre de dépenses à moyen terme et des programmes retenus du secteur concerné», est indiqué dans l’article 37 de ce texte de loi, rendant ainsi officiel et opérationnel le contenu de la charte sur le partenariat public-privé, signée entre le gouvernement, l’UGTA et le FCE.

En promulguant ce texte de loi, le Président Bouteflika conforte donc la démarche du gouvernement d’Ahmed Ouyahia, qui a agi pour créer des passerelles économiques entre le secteur public et le secteur privé.

Il faut rappeler que cette charte a été vivement critiquée y compris par le secrétaire général du FLN, qui était allé jusqu’à convoquer le président du FCE Ali Haddad et le secrétaire général de l’UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd pour leur signifier son refus de toute opération de bradage du secteur public.

Il y a eu aussi la clarification faite via un communiqué de la présidence de la République qui, bien qu’il ne remet pas en cause le contenu de la charte, conditionnait sa mise en œuvre par l’accord préalable du chef de l’Etat.

Autrement dit, toute opération de partenariat entre le public et le privé ou de cession d’actifs doit d’abord recevoir le feu vert du chef de l’Etat. Ce feu vert est désormais donné à tout partenariat public-privé.

Une décision qui va conforter davantage le Premier ministre Ahmed Ouyahia, qui avait été vivement attaqué et même accusé d’avoir trahi la confiance du président de la République.

H. A.

Comment (40)

    chaibchrist
    15 septembre 2018 - 15 h 35 min

    cette loi 18-15 n’en est pas une notamment du point de vue constitutionnel …la perception de la fiscalité est une mission régalienne du tout seul état, or l’article 13 18-15 du 2/9/2018, de cette loi permet a ce que certaines recettes soient perçus directement par un organisme public dont le seul critère exigé est qu’il participe au service public !!

    c’est la fin de l’état algérien , nos ignares de makerlaw ont honteusement oubliés que les états modernes sont nés de par la perception des impots !!

    Geronimo
    13 septembre 2018 - 3 h 18 min

    C’est du cinéma tout ça
    Le pauvre Bouteflika ne décide de rien
    Y en a marre à la fin qu’ils nous prennent en otage et mettent en peril toute une nation s’il en reste une

    Anonyme
    12 septembre 2018 - 12 h 53 min

    A.Ouyahia, A. Haddad, H. Sidi Said exultent, ils ont réussi, en pragmatiques, rusés et machiavéliques, En deux décennies, là où d’autres, avant eux, n’ont pas réussi, pendant des décennies, A transformer l’économie algérienne D’une économie publique de production, et de travail, en une économie privée marchande d’importation De consommation de services divers driver par une bourgeoisie parasitaire, oisive, d’importateurs et « compradores »
    Ce n’est pas de l’économie libérale, où ultra-libérale, de la Révolution Industrielle Mais d’une économie marchande primaire du Moyen Age,(comptoirs commerciales de Genes,Pise,Venise Marseille, Montpellier, Narbonne, Alexandrie en Egypte, Trébizonde en Syrie) Sans aucune accumulation de richesses matérielles Et de capitaux issus de production matérielle où de travail réel…
    comment une bourgeoisie minoritaire, incompétente, parasitaire, et oisive algérienne avait pris les renes du pouvoir, en Algérie, sans production de biens, et de matériels réels.
    La gestion de la rente pétrolière en Algérie a ruiné l’économie algérienne, les valeurs morales et les vertus, Et travesti le fonctionnement réel de la lutte des classes Par le travail, l’effort et le savoir faire sources de l’accumulation des richesses.

      PREDATOR
      12 septembre 2018 - 21 h 42 min

      @Anonyme
      12 septembre 2018 – 12 h 53 min

      Vous l’avez si bien résumé
      rien à rajouter

    Lghoul
    12 septembre 2018 - 12 h 09 min

    Même pour cacher leur coté requin, sangsues, et conteurs d’histoires a dormir debout pour endormir et se servir par la suite, ils ne savent pas le faire. Ils ne se cachent même pas ! Ils sont heureux et rient en public comme si les travailleurs ont tous leurs droits et sont excessivement payés.
    Dans quel pays au monde le chef du syndicat et celui du patronat ne se quittent plus ? Ils sont devenus tellement inséparables qu’ils sont devenus des frères jumaux.
    Y a t-il compatibilité d’interêts entre deux fonctions incompatibles – La défense des droits des travailleurs et la sangsue capitaliste dont le seul but est le profit immédiat ? Incroyable mais vrai. Evidemment ces images ne se trouvent qu’en Algérie.

    UMERI
    12 septembre 2018 - 11 h 44 min

    Attendons de voir la réaction du grand chef Ould Labbes,va t’il critiquer cette décision, ou va t’il se coucher et féliciter son Calife??? Mais connaissant déjà la réaction de cette girouette, on peut parier qu’il applaudira cette décision, sans rougir, en disant qu’elle à été inspirée par le F L N…

    Abou Stroff
    12 septembre 2018 - 10 h 57 min

    « Bouteflika autorise le partenariat entre les secteurs public et privé » titre H. A..
    étant profane en économie, je ne puis saisir le sens à donner à cette histoire de partenariat entre les secteurs public et privé.
    par contre, je remarque, avec beaucoup d’émotion, que, sans l’autorisation de notre bienaimé fakhamatouhou national, il n’y aurait eu aucun partenariat et donc aucune perspective pour que l’économie algérienne soit définitivement classée parmi les économies émergentes du XXIème siècle.
    ainsi grâce à notre bienaimé fakhamatouhou national (que nous pouvons, dès à présent, qualifier de Démiurge), ali haddad, tahkout, kouninef, enfin, tous les parvenus qui sont devenus des « hommes d’affaires » incontournables vont avaler ce qu’il reste à avaler des biens publics et préparer, avec grand soin, leur départ à l’étranger pour éviter d’être lynchés par la populace qu’ils ne pourront plus gaver faute de « boustifaille ».

    Anonyme
    12 septembre 2018 - 9 h 55 min

    Lapsus freudien, c’est « bouteflika » qui autorise, mais la photo dement.

    Lghoul
    12 septembre 2018 - 8 h 11 min

    En gros, comme Mello et Gatt M’Digouti l’ont bien souligné, ils veulent juste piquer sur ce qui reste.
    Le privé ou le seul secteur ou les dessous de tables et les 10 – 15% ne seront pas visibles a l’oeil nu sera leur prochain objectif. Car toutes les autres portes sontsoit fermées ou difficiles a briser.
    Pour le reste, y a beaucoup de risques et de dangers surtout pour la viande brésilienne car elle peut contenir des surprises couleur de robe de mariée…. Donc crise y aidant, on saute de la viande au privé pour boucler ses « fins » de mois.
    Voyez vous, les weekend a barcelone, dubai ainsi que les appartements de grand luxe, ça coûte cher par ces temps durs.
    Et puis faudrait alimenter les comptes off-shore avant qu’ils ne les ferment. Faut savoir recycler quoi.
    S’ils aiment vraiement le privé, pourquoi bloquer Rebrab même après autorisation depuis plus d’une année, sans donner ACUNE RAISON !!! Alors messieurs-dames, quand l’information principale et votre marketing politique nous est presenté par un viellard de 84 ans, personne ne vous croit plus. Tout ce que vous annoncez ou direz paraitra aux yeux du citoyen lamda comme un compte de fées. On ne pourra pas faire marcher un pays avec des mensonges en serie pour des années maintenant.

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 22 h 20 min

    Ouyahia doit partir. Il n’apporte rien de positif à notre économie.
    Il n’a aucun concept, c’est du taponnage à l’aveuglette.
    Le secteur privé est un videur des caisses.

    Algérienne-DZ
    11 septembre 2018 - 22 h 17 min

    Regardez la photo pour voir la courbette du syndicat. Quelle misère.

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 22 h 15 min

    la messe est faite, la vache Algérie est en train de se partager.

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 22 h 14 min

    Ils se partagent le secteur public

    anonyme
    11 septembre 2018 - 21 h 44 min

    Allez voir au sud voir à qui ont été attribuées les « terres agricoles » pour le soi disant investissement agricole pour zoudj habète batata sans compter le gaspillage d’eau si précieuse dans ces contrées pour un résultat quasi nul et qui coute des centaines de milliards
    On veut mettre le pays à genoux

    Gatt M'digouti
    11 septembre 2018 - 21 h 21 min

    C’est le plan B en action :
    Il n’y aura pas de 5 eme mandat , Ils vont se partager ce qui reste avant avril 2019 et laisser un pays en faillite aux futurs dirigeants !

    Slam
    11 septembre 2018 - 20 h 55 min

    Utiliser les PPP dans un pays régi par des coups de téléphone d’en haut ? Aucun organisme de contrôle ? Des règles qui s’appliquent à la tête du client? Ils vont nous siphonner nos derniers centimes vers Dubai et Istanbul et on se retrouvera nus et sans le sou. Pour profiter des avantages des Ppp il faut un environnement des affaires sain et compétitif ! Avec Ali El Goudron t on va être dépouillé jusqu’à l’os !

    BARAKAT
    11 septembre 2018 - 20 h 29 min

    ON COLLE TOUT SUR LE DOS DE Mr BOUTELIKA
    TOUTES CES DECISIONS SONT PRISES PAR LE CLAN DES PRÉDATEURS, SMASRIA ET BEZNASSA DE TOUS BORDS
    VIVEMENT UN HOMME FHEL POUR METTRE AU CACHOT TOUT CE BEAU MONDE QUI A PRIS EN OTAGE LE PAYS
    MONTREZ NOUS LE PRESIDENT ET QU’IL LE DISE LUI MÊME SI C EST LE CAS

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 19 h 13 min

    Que cherche Ouyahia exactement.

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 19 h 11 min

    Tous les changements pour accoucher de la photo d’en haut.
    L’Algérie n’est pas prête au démarrage.
    L’écounoumie est entre les mains des baznassa qui s’auto-proclament houmme d’affire

    Kahina-DZ
    11 septembre 2018 - 19 h 07 min

    Cela prouve que Ouyahia n’a aucune stratégie économique pour l’Algérie.
    SVP, montrez nous les compétences du secteur privé. Un secteur qui n’est même pas capable de retracer ses produits, un secteur qui fonctionne sans normes, un secteur incapable de produire une fiche technique dans les normes…Nous avons vu l’inutilité du label de Haddad…
    Ouyahia, avez vous autre solution à proposer à part cette combinaison aux passerelles incertaines.

    souad
    11 septembre 2018 - 18 h 34 min

    ould abbes ne connait même pas le partenariat public -privé seuls les affaires de ses enfants qui l’intéresse

    Zaatar
    11 septembre 2018 - 18 h 23 min

    Haddad, sidhoum said, Et ouyahia, le tiercé gagnant de 2019… Moi je coure le jouer cent fois, Ça me fera un peu d’argent.

    lhadi
    11 septembre 2018 - 18 h 00 min

    Nous savons que des monopoles utilisent le budget d’État. Ils reçoivent de l’État des commandes qui leur rapportent de gros profits.

    Nous savons aussi que l’État, sous le prétexte « d’encourager les initiatives économiques », verse aux gros entrepreneurs des sommes considérables sous forme de subventions. Et dans le cas où les monopoles sont menacés de faillite, ils reçoivent de l’État les crédits nécessaires pour couvrir leurs pertes, et on leur fait remise des impôts qu’ils doivent à l’État.

    En d’autres termes, rien de nouveau sous le ciel bleu d’Algérie puisque le partenariat entre secteur privé et public existe déjà.

    L’effort de l’État pour « régler » l’économie, accompli dans l’intérêt du capital monopoliste, ne peut supprimer ni l’anarchie ni les crises économiques et il conduit en fait à une aggravation des contradictions.

    Le capitalisme d’Etat n’a pas d’avenir en Algérie.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      anonyme
      11 septembre 2018 - 21 h 54 min

      Nous savons aussi que l’État, sous le prétexte « d’encourager les initiatives économiques », verse aux gros entrepreneurs des sommes considérables sous forme de subventions. Et dans le cas où les monopoles sont menacés de faillite, ils reçoivent de l’État les crédits nécessaires pour couvrir leurs pertes, et on leur fait remise des impôts qu’ils doivent à l’État.

      Bien vu Mr Lhadi on l’a tous remarqué
      il faut qu’il soit mis fin à cette prédation camouflée au nom des soi disant investissements (agriculture ; tourisme etc)

    Rascasse
    11 septembre 2018 - 17 h 52 min

    Pendant ce temps-là le dépeçage de l’Algérie se poursuit

    ChitaDZ le meilleur
    11 septembre 2018 - 17 h 27 min

    Bouteflika n’y est pour rien !! arrêter de nous prendre pour plus idiot qu’on ne l’es déjà !!
    pourquoi nos dirigeants n’aiment t’ils pas leur pays ??
    tout dans le Bla,Bla,Bla tant que le principal reste dans la poche et les banques extérieur et leur familles bien planquer dans ces pays qu’ils aiment tant critiquer pour nous montrés qu’ils ont un poils de nationalisme !!
    Franchement j’en n’ai marre de ne servir à rien , d’un côté j’aime mon pays et de l’autre je déteste ses dirigeants !! Puffffffffff à quoi bon se casser la tête pour des gens qui pensent vivre seule

    MELLO
    11 septembre 2018 - 17 h 13 min

    Faudrait il une autorisation aux vautours pour aller piquer dans les cadavres des societes nationales ou entreprises publiques ?. Les vautours , a ce que je sache , n’attendent aucune autorisation de quiconque pour depecer tous les cadavres qu’ils ont reperes. Les entreprises publiques subissent toute sorte de blocages externes ( Banques-ministeres) pour s’eteindre et faire appel a ces chasseurs de primes , afin d’heriter de capacites de production immenses et surtout heriter d’un capital humain fort de son experience. Cette lutte d’heritage est la consequence d’une politique de bradage du secteur public , y compris de la SONATRACH. De meme que AIR ALGERIE qui se verrai ouvrir ses ailes au prive’, est ce une bonne option ?
    Dans tout ce theatre , les marionnetistes que sont le FLN de Ould Abbes et le RND de Ouyahia n’ont qu’a executer le script venu , non pas de El Mouradia, mais de Zeralda.

    pilipili
    11 septembre 2018 - 16 h 40 min

    Jamais contents !
    Ca peut marcher si les requins n’y voient pas une autre occasion de se remplir les fouilles.
    Et si l’Etat n’impose pas 10 travailleurs pour ce qui peut être fait par 3.
    Et si aussi on pense à produire les matières premières pour fournir d’autres fabriques.
    Car si c’est pour continuer à importer et surfacturer etc c’est plouf !
    Chez nous il faudrait des contrôleurs pour contrôler les contrôleurs qui contôlent les contrôleurs qui contr…
    Pourris jusqu’à l’os! Ils faut que les responsables des entreprises soient Chinois, Coréens…genre gérant payés au résultat, sans rien leur imposer et bien protégés!
    En 5 ans on sera un pays émergeant (vrai ! pas comme la France veut y nommer le Maroc, vaseline) croissance à deux chiffres. ASSEZ rêvé, allons critiquer les passants…

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 16 h 31 min

    Le privé algérien est un privé parasitaire, oisif, qui n’a ni savoir industriel
    Ni savoir technique, ni savoir technologique, ni culture,
    Le secteur privé vit, en parasite-protégé, sur le plan de charge assuré, et facile
    De l’état « Vache laitière » : Infrastructures, routes, travaux publiques, tourisme
    Services bureautiques divers,importations de produits alimentaires & médicales
    Et de voitures diverses , s.v.p, – incontrolés & surfacturés –
    Le secteur privé , et l’informel constituent une véritable charge
    Pour les budgets de l’état, ajoutés à la mauvaise gestion de l’économie:
    Projets non rentables, non maitrisés (couts élevés), et de luxes,…
    Dépenses sans freins, et gaspillages des ressources, et des richesses du pays
    C’est le peuple pauvre qui payera l’augmentation des impots, et les taxes divers

    Lghoul
    11 septembre 2018 - 15 h 34 min

    Pourquoi alors on bloque Monsieur Rebrab depuis une année ? A moins qu’il y a privé et « privé » avec a grand « S » (Spécial).

      Anonyme
      11 septembre 2018 - 16 h 18 min

      Rebrab ne veut pas de passerelles virtuelles.
      Rebrab c’est le concret.

    algerian
    11 septembre 2018 - 15 h 29 min

    Un an après l’avoir rudement désavoué, le président décide finalement, et pour une raison que seul lui connait, de conforter son premier ministre dans son action.
    De fait du prince en fait du prince un président « élu » finit monarque!

    Tinhinane-DZ
    11 septembre 2018 - 15 h 25 min

    L’imagination de Ouyahia est galopante. Des passerelle économiques ?? ou bien, des passerelles éco–comiques ??
    Avant de créer des passerelles imaginaires, il faut se doter d’expertise et d’experts sérieux. À quoi servent vos passerelles si le savoir faire n’existe pas.Ya khouya, le virtuel est votre force.

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 15 h 17 min

    L’ÉTA va coopérer avec les trabendistes privés
    Ils vont s’échanger leur médiocrité absolue

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 15 h 14 min

    Haddad a soutenu le 5eme Mandat. C’est le temps de la récompense

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 15 h 13 min

    On est pas sortis de la marmita des Ali BABA.

    anonyme
    11 septembre 2018 - 15 h 07 min

    Le trio magique (photo)

    Anonyme
    11 septembre 2018 - 15 h 03 min

    Bouteflika autorise le ppp…!!!! » » » Quel titre!!! Tout est soumis au bon vouloir de bouteflika ? On sombre dans l’adoration .
    Aucun debat,aucune explication ,le cnes,les experts,l’apn…les partis….,les universitaires…rien,tous c machins ne servent à rien, alors implorons dieu de nous garder bouteflika le plus longtemps possible,sinon le pays s’écroule.

    ripper
    11 septembre 2018 - 14 h 49 min

    Le PPP ou le dernier coup de force de la mafia politico-financière avant de mettre Bouteflika dans le tiroir des oubliettes. Le trio infernal Ouyahia – Sidi Said – Haddad n’a pas fini son opération de vidage des caisses, ça veut sa part des 100 milliards $ restantes dans le bas de laine de la république.
    Il faut se demander pourquoi le gouvernement persiste et signe en matière de recours aux PPP, alors que les spécialistes s’entendent à dire qu’il constitue une forme sournoise de privatisation profitant à des investisseurs ayant des intérêts autres que ceux des citoyens.
    De par le monde le partenariat public-privé exige des normes comptables claires et pertinentes qui pourraient aider les citoyens et les législateurs du Parlement à comprendre les risques et les coûts réels.
    Les états financiers consolidés vérifiés du gouvernement, y compris sa comptabilité des PPP, doivent être fournis aux citoyens afin qu’ils puissent saisir les risques notables qu’ils comportent et l’ampleur de ces risques, ainsi que sur tout cas de non-conformité dans le cadre de ces PPP.
    Transparence, transparence, transparence …

    anonyme
    11 septembre 2018 - 14 h 27 min

    Bouteflika n’a rien autorisé arrêtez de nous berner
    Ils ne lâcheront le président que lorsqu’ils auront assouvi tous leurs fantasmes
    Toutes les décisions prises après la maladie du président sont nulles
    j’ai de la nausée à voir ce trio sur la photo

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