A quoi sert Kamel Daoud ?

KD Daoud
Kamel Daoud. D. R.

Par Boualem Snaoui – Pour mes lectures estivales, je me suis fait violence, en glissant dans mes bagages les 464 pages de chroniques (2010-2016) publiées par Kamel Daoud chez Actes Sud. Je dois avouer ne pas avoir dépensé le moindre kopeck pour accéder aux écrits de cet ancien islamiste qui, quand cela est devenu lucratif, a découvert que «Dieu est athée». Pas question donc de donner un centime de droits d’auteur à cette nouvelle, icône heureuse de nourrir l’orientalisme des néoconservateurs «atlantistes». Un orientalisme qui est l’une des misères de l’histoire du monde arabe, un travers si bien dénoncé par notre merveilleux Edward Saïd.

J’ouvre ce livre, juste après avoir lu le dernier chef-d’œuvre de Jean Ziegler : Le Capitalisme expliqué à ma petite-fille, publié aux éditions du Seuil. Le hasard, pour une fois, a bien fait les choses : lire le manuel de la générosité et de l’altruisme juste avant le grand traité de l’égoïsme met les idées à leur vraie place. Entre les deux livres, il y a un fossé, une tranchée genre 14/18. Daoud dangereux, peu fiable et néo-prosélyte comme tous les repentis, fait la promotion du capital et du libéralisme qui est son corolaire. Ziegler, lucide et généreux, dénonce ce monde de la finance sans lois et ses mortels ravages sur l’humanité. Deux mondes différents, et même opposés. Vieux baroudeur entre les destins de l’humanité, Jean Ziegler a vu trop d’hommes mourir, de faim et de guerre, pour un même effet, savoir que le libéralisme c’est la mort des pauvres, des peuples «en trop». De ceux qui gênent. Kamel Daoud, à l’opposé, regrette l’absence d’un «capitalisme fort, de patronats puissants et créateurs de plus-values».

Une drôle de sensation m’habite, celle d’un barreur dans la nuit qui sait qu’il va croiser un iceberg. Daoud se dit Algérien, un peu comme moi, mais je ne retrouve en lui rien de notre bien commun, cet homme est de glace, froid et transparent. Du coup, je me sens Algérien comme Jean Ziegler. Alors que Daoud, tenancier de sa petite boutique «d’algérianité», vante une camelote de qualité «made in China» pour séduire les colons jamais guéris de Saint Germain des prés. C’est l’histoire dans l’autre sens, jadis c’est le «blanc» séduisait l’indigène avec de la verroterie. Au risque de perdre ses lecteurs, qui le prennent pour ce qu’il n’est pas, Daoud doit continuer de se poser en «Algérien», c’est son filon en or. Pensez donc, un Algérien musulman et athée, Arabe, qui déteste les Arabes et qui parle de tout cela «sans langue de bois», Netanyahou et Le Pen auraient rêvé de l’inventer. Pourtant, il est bel et bien là. Alors qu’il n’est qu’un ersatz de Bernard-Henri Lévy, une tête de gondole pour vendre des livres que personne ne lit, c’est-à-dire beaucoup de bruit pour rien, le vent de la barbe à papa. Lectures faites, je persiste et comprends mieux pourquoi Jean Ziegler n’est jamais promu par les médias qui se proclament «grands».

Invité à la télévision, Kamel Daoud est traité comme un saint, le tenant de la nouvelle lumière et du savoir avancé. Aux yeux des gogos, ce réactionnaire est «moderne» et «révolutionnaire». C’est donc sans contradicteurs qu’il déroule sa pelote de lieux communs, l’image du bon nègre Banania qu’attendent les «néocons». Récemment, je l’ai aperçu sur une chaîne de TV algérienne, avec toujours la même posture du penseur couché, criant : «Je sais me défendre.» Cependant, on ne sait contre quoi il se défend.

Questionné sur l’invitation de Daoud, le nouveau commandeur, à l’ambassade de France lors de son passage en Algérie, E. Macron a répondu qu’il «veut entendre tout le monde». Le Président français considère-t-il que Daoud c’est tout le monde ? Ou tous ceux qui résident dans le jardin des puissants ?

Pour revenir à ce qui n’est pas de la littérature, disons que, dans son livre, Daoud nous invite à découvrir, ou redécouvrir, la crème de ses près de 2 000 textes écrits entre 2010 et 2016. Que seraient, nous affirme-t-il, les positions «des journaux et des élites contestataires». Cette position est lacunaire puisque ce Don Quichotte algérien ne nous dit jamais ce qu’il conteste. Il n’a pas besoin d’exprimer de s’attacher aux détails du vrai : il est l’élite à lui seul, et doit être cru sur parole. Mais, patatras Daoud, par le contenu de son opus, atteint un objectif imprévu. Preuve à l’appui – l’existence de son livre –, il démontre que la censure qu’il prétend combattre n’existe pas en Algérie. En effet, comment publier impunément (et c’est tant mieux) autant d’ignominies sur un peuple et un pays «qui manquaient de la liberté de dire, de lire ou de regarder» ? Sacré Daoud, ce Daoud sacré.

Si sa plume se fluidifie miraculeusement contre l’«Arabe et sa langue», le «musulman», et l’«Algérie», cela ne l’empêche pas de célébrer les «Printemps» alors qu’eux aussi sont censés être arabes. Il glorifie les révoltes sans citer un seul révolté. En réalité, il tente de nous faire croire que les révolutions se font sans révolutionnaires et que les chaos sont l’annonce des aubes nouvelles. Outre du Bernard-Henri Lévy ou du Debray, Daoud ne lit visiblement rien d’autre. Sans doute par crainte d’être chahuté par les mauvaises ondes de la vérité. Par exemple, il n’a pas pris connaissance de «la stratégie du choc», brillamment décrite par Naomie Klein, et il regrette sans rire et amèrement que l’anarchie, la destruction et la guerre civile n’aient pas déjà emporté l’Algérie.

Chercheur, créateur de concepts, ce grand penseur nous indique avoir découvert que l’Occident a pour malheur d’avoir voulu incarner la Morale universelle. Sans doute voulait-il parler de l’extermination des Amérindiens, de la traite négrière, des colonisations, de l’utilisation de la bombe atomique sur des populations civiles à Hiroshima et Nagasaki ou encore du nazisme et du fascisme né en Occident ? Sacré Daoud.

Et même lorsqu’il tente de dénoncer le traitement infligé aux migrants en Pologne, comme par instinct, sa plume fait une arabesque et va retrouver son sujet fétiche : l’Algérie. On peut en déduire que si les migrants sont mal traités en Pologne, c’est à cause de l’Algérie. Il en est de même d’une chronique sur la Roumanie puisque Daoud est universel. Pour lui, tous les chemins du malheur mènent à l’Algérie.

Aux intellectuels et universitaires qui se sont opposés à ses positions (le mot idées serait flatteur), il répond, en se réfugiant dans un vocabulaire creux comme un tambour, que «c’est au nom de l’anticolonialisme et de l’inquisition qu’on lui interdit de penser». Après sa tribune délirante sur des viols de Cologne qui n’ont jamais existé, dans laquelle il présentait l’Arabe comme une sorte d’être génétiquement violeur, les intellectuels qui ont protesté lui auraient organisé un procès stalinien. Il annonce même à grands fracas qu’il va quitter la scène, et prendre la porte. Ce qui serait une bonne idée, s’il la laisse ouverte, sera nous faire de l’air. Mais rassurez-vous, il y a le goût d’être sur les planches et celui des droits d’auteur : il revient par la fenêtre. Recyclant les clichés les plus éculés – mais toujours orientalistes –, il déverse incessamment une haine inégalée du «musulman». Elle a un sens, son engagement dans la guerre du «choc des civilisations» le monstre agité par les forces les plus réactionnaires, celui qui marche main dans la main avec «le grand remplacement».

Il suffit de lire au hasard, avec rage et courage, cette phrase de Daoud : «Les derniers colons de ce pays plantaient plus d’arbres que ceux qui l’ont libéré…» Oubliant en passant la nature de celui qui tenait la pioche. Il va jusqu’à regretter l’attitude consensuelle montrée par Jean-Pierre Chevènement lors de son passage à Oran en septembre 2010, et plaide, lui Daoud, la cause des Français nostalgiques de «l’Algérie française». Aidé de son cerveau servile, ce Zemmour algérien affirme, contre toute l’Histoire, que «c’est la France qui a décolonisé la terre». Et le peuple algérien n’est pour rien dans la lutte pour une indépendance tombée du ciel colonial, une insulte à la vérité, à la mémoire, à l’histoire, aux universitaires, aux intellectuels. Ce concept de la «décolonisation» porté aussi par Daoud Kamel est, en fait, une ultime manœuvre coloniale. Avec Kamel Daoud, nous sommes dans le colonialisme d’outre-tombe. Son projet est clair, son flot de vomi, qui a pour but de flétrir tout ce qui est algérien, doit nous donner à croire que «l’indigène ne peut se libérer, on l’a donc décolonisé».

Moment de détente, ou de saine curiosité satisfaite, moi qui croyais pouvoir accéder à des confidences sur son passé «islamiste», j’ai été déçu par ce livre. Aucun signe, aucun mot, aucune confidence sur ses engagements auprès des forces violentes, qu’il qualifie lui-même de terroristes. Cette amnésie est confirmée, comme le démontre le livre Contre-Enquête (Editions Frantz-Fanon) d’Ahmed Ben Saada : Kamel Daoud est passé à autre chose, Allah est oublié.

Jacques-Marie Bourget, journaliste français, et expert de notre monde, le qualifie de «grenouille autopsiée». Pour Jacques-Marie Bourget, Daoud est «le supplétif des pires néoconservateurs français», «l’indigène alibi». Et le grand et vrai écrivain Rachid Boudjedra a cloué le cercueil en le mettant à nu.

Pour bien revendiquer son appartenance aux camps des civilisateurs, Daoud joint donc sa voix aux tenants du choc des civilisations, depuis en fait, depuis Mahomet et même avant, le seul but du musulman est de vaincre toute la planète. Ainsi, pour lui, pas de différence entre le sacrifice du militant anticolonial Ali La Pointe et le tueur toulousain Mohamed Merah. Pour bien nourrir les phantasmes et la haine, ce néo-harki de la pensée apporte sa contribution : il stigmatise les habitants des quartiers populaires, en s’interrogeant sur «les milliers de Mohamed Merah» qui sont «partout», «dans une salle de bains, l’arme au poing», ou quelque part, «debout au bas de l’immeuble». Peut-être Daoud n’a-t-il pas lu les confidences d’Albert Chennouf-Meyer (Abel, mon fils, ma bataille. Ed. Du Moment, 2013), père d’Abel, l’une des victimes des tueries de Toulouse ? Et, suivant la doctrine et le mode de penser de ce nouveau philosophe, il est temps de nous poser, nous aussi, une question : «Combien de Daoud sévissent dans les rédactions des journaux algériens ?»

Versant dans le tribalisme le plus rétrograde, il appelle de tous ses vœux, dans chaque région, à ne parler autrement qu’en dialecte local. Pour Kamel Daoud, la langue s’écrit «avec l’âme». Dans une reptation de serpent, il veut voler ainsi à la rescousse de groupes qui prétendent dynamiter l’Algérie. Comme ces mouvements croupions et d’extrême droite qui prétendent défendre (sans doute mieux que Kateb Yacine) la langue et la culture berbères ! Puisqu’il ne lit que Debray et Bernard-Henri Lévy, il n’a pas ouvert le magnifique bouquin de Patricia M.-E. Lorcin Les Identités coloniales… une lecture capable de laver la tête de KD Kamel Daoud. Au-dedans. Le titre que mérite cette «somme» de Daoud est simple : «Chroniques de l’horreur.»

Je n’ai trouvé qu’un point sur lequel on puisse gloser sur du Daoud, c’est quand il écrit : «On a détruit les libertés et les libérations acquises après le départ des colons.» Il est effectivement exact qu’un peuple martyrisé, abandonné dans le concert des nations, trop seul après sa révolution ait commis des erreurs et connu des errances. Il est effectivement exact que l’Algérie se cherche toujours. Mais oublier une guerre civile provoquée par les anciens Frères idéologiques de Daoud, ce n’est pas omettre un détail. Mais ce «lissage» permanent de l’histoire, sa recréation sont le carburant que permet à Kamel Daoud de poursuivre ses livres et chroniques de flagellations des «Algériens», de l’«islam», de l’«Arabe», du «régime». Sans cette interminable mise à mort, le livre n’aurait que l’épaisseur d’un album à colorier.

Il est drôle, piquant, amusant de retrouver soudain notre Kamel Daoud quand il revient à sa source d’inspiration première, le wahhabisme. Tout cela sur le mode mondain, chic-français, convenable. Notre immense écrivain, notre Hugo à nous, a découvert le Qatar et ses vertus, vertes comme le dollar. Pour Daoud, le Qatar n’est pas ce qu’il est, c’est-à-dire un pays sans Constitution, sans lois, corrupteur et esclavagiste ayant naguère condamné un poète à mort au prétexte qu’il avait souhaité la venue d’un «printemps» à Doha. Mais le Qatar, versus Bernard-Henri Lévy, n’est-il pas le prototype d’un islam moderne, compatible avec la démocratie et il distribue des prix littéraire, organise de généreux colloques ? Donc, pour Kamel Daoud, la monarchie du Qatar, c’est top. Je lis : «Le Qatar a réussi à exporter l’image d’un pays où l’on peut dire des choses, où l’on assume les relations internationales, même avec Israël, sans hypocrisie, où la liberté de culte n’est pas qu’une chasse aux casse-croûte et où les droits de la femme sont les plus respectés dans cette région du monde, la révolution Al-Jazeera a fini par ‘’enfoncer’’ encore plus le reste du monde ‘’arabe’’, en en soulignant, par contraste, le calendrier moyenâgeux.» Ce propos est outrancier dans un pays, je le répète, où le droit n’existe pas, sauf la Charia que l’on impose jusque dans le lycée, pourtant baptisé… Voltaire !

Quel crédit accorder à ce faussaire erratique capable de célébrer Israël, tout en qualifiant cet Etat de «raciste» et «sans frontières». Dans sa posture de penseur couché, il ne veut pas voir le droit international et islamise la cause palestinienne. Il l’arabise, l’islamise à sa façon, et n’irait pas jusqu’à lire les rapports de Goldstone et de Richard Falk ou tout simplement les livres de Shlomo Sand, Ilan Pappé et ceux du courant israélien des «Nouveaux historiens». Pour Daoud, le summum de l’injustice, celle faite aux Palestiniens n’existe pas puisqu’il est impossible d’être «injuste» avec des «Arabes, des musulmans». Peut-être, afin d’adoucir son regard, et rien que pour Kamel Daoud, l’Algérie devrait organiser un ghetto type «Gaza» ?

Sans aucune honte, l’effroyable auteur bas de plafond ose écrire : «Le mort palestinien sera un homme tué lorsqu’il ne sera pas un barbu mort ou un Arabe bombardé.» Un passeport pour le crime et bientôt le génocide. Et ce n’est pas parce que dans sa bande Daoud n’est pas seul que l’effet de groupe constitue une excuse. Que valent au poids des piges, des cachets et des droits d’auteur, les plumitifs que l’on découvre à marée basse, au plus bas de l’humanité, rien d’autre que de la haine. Dans ma culture berbère universaliste (et non tribale), il existe un mot pour qualifier ce nuisible : azrem, le serpent.

B. S.

Comment (233)

    Souk-Ahras
    12 décembre 2018 - 10 h 43 min

    Boualem Snaoui nous fournit là un florilège de contrastes spéculatoires dédaléens soutenus par des « éclairages » pour le moins déficients.

    Je lui poserai d’abord cette question : Dieu est-il musulman ? Est-il, chrétien ? Est-il Juif ? Est-il Bouddhiste ? Quelles peuvent être ses croyances au vu de toutes les guerres sanglantes menées depuis des siècles en son Nom ?

    « …de cet ancien islamiste qui, quand cela est devenu lucratif [(voyons !)], a découvert que «Dieu est athée» » (sic)
    Primo : votre argumentation traitant du passé religieux de KD est tendancieuse et ne tient pas la route. Pourquoi, diriez-vous ?
    Qui n’a pas fait d’erreur dans sa vie et qui peut s’en vanter ? Vous Boualem Snaoui peut-être ?
    La première et plus grosse erreur commise à l’endroit du genre humain a été celle du Créateur (si il y en a un) qui nous a fait venir en ce monde. Il (Créateur) devait pourtant bien savoir que ce monde est bâti en partie sur la « tentation de » et « l’envie de » et que l’humain, fait de chair et de sang, peut succomber à ces appels. Mais, heureusement veux-je dire, ce Créateur (si il y en a), nous a pourvus de l’organe de réflexion et de déduction, un moyen intelligent qui peut nous faire changer d’avis ou de direction. KD a obliqué, il a su et pu utiliser cet organe. Ce qui lui a valu la qualification méprisante de néo-prosélyte attribuée par le clairvoyant Snaoui.

    Secundo : « …a découvert que «Dieu est athée» ». Et alors ! vous le situez à partir de quelle donnée acquise votre problème ?
    Athée signifie de quelqu’un qu’il n’a pas de religion. Ce qui revient à dire que l’athée est désigné comme tel en contradiction avec les religions connues. Nous pouvons dès lors énoncer que la désignation athée repose sur un référencement humain et non divin. Cela nous autorise à « croire » que l’athée a d’autres Croyances que celles définies par les religions connues. Il en résulte donc, qu’être athée c’est pratiquer une religion non connue (pas reconnue) des autres religions.

    Et le surprenant « Dieu est athée » qui semble trop vous surprendre, qu’en fait-on ? S’il est reconnu par un grand nombre de croyants sincères, dont je voue un immense respect, que Dieu a envoyé des messages à l’humanité, il est tout aussi reconnu qu’il n’a, dans ses messages, et à aucun moment, donné la moindre indication sur sa propre religion. Vous me suivez Boualem Snaoui ?

      Zaatar
      12 décembre 2018 - 12 h 55 min

      @Souk Ahras,

      Bonjour l’ami, ravi de te lire encore. Penses tu qu’il te suive, il n’a jamais su en fait trouver son chemin. La rédaction de son article prouve qu’il est en errance depuis déjà pas mal de temps… bien à toi cher ami.

        Souk-Ahras
        12 décembre 2018 - 17 h 08 min

        @Zaatar, je te salue,

        L’errance ! C’est bien là ce qu’on peut reprocher comme « manque » à KD.
        À + l’ami.

    Anonyme
    12 décembre 2018 - 9 h 12 min

    Pure jalousie..
    Le problème de l’Algérie c’est son peuple qui n’a pas arrêté de se déchiré depuis 1962..
    Tout un livre pour mettre à mort Kamel Daoud.. Pourquoi ne pas mettre toute cette hargne pour dénoncer ceux qui ont volé et violé la mère patrie.

    Rayah
    12 décembre 2018 - 9 h 07 min

    Un Grand Merci a M. Boualem Snaoui pour cet excellent article, tres revelateur sur cet individu qu’est k.d pour qui je n’ai que du mepris.

    LE NUMIDE
    12 décembre 2018 - 8 h 46 min

    Cet acharnement contre un Écrivain algérien iconoclaste et pamphlétaire qui dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas , c’est très suspect .. le Pamphlet est un genre admis par la littérature et Kamel Daoud l’emploie pour exprimer ses opinions ou faire parler des personnages … Mais le présenter sous ce jour affreux qui est faux d’ailleurs , ça sert à se mettre en posture de gardien du Temple au détriment de liberté de conscience et de la liberté d’écrire .. c’est louche comme ça ressemble à de la délation pour designer un écrivain à la Vindicte de la Tribu et des Tribunaux .. En Algérie , il n’ y a ni Tribu , ni Temple ni Gardiens , il faut bien un jour le comprendre et cesser de jouer aux Torquemadas de la petite semaine … Bien sûr qu’il faut critiquer les livres et la littérature de Kamel Doaud , mais le faire de cette façon à la Hamadache c’est un peu crier au « Nom de la Rose » .. on est plus aux ages médiévaux pour Brûler les Livres ou les Sorcières .. Ni Kamel Daoud n’est responsable de la perte de la Palestine , ni il n’est redevable de la moindre once envers les idéologies Tribales et Chauvines auxquelles même les promoteurs les plus zélés n’arrivent même pas a y croire quand ils sont dans le cloître de leur conscience ou dans le souci de leurs intérêts domestiques .. UN PEU DE RETENUE !

    Anonyme
    12 décembre 2018 - 8 h 44 min

    Boualem Snaoui,Youcef Benzatat,Kaddour Naimi pourquoi vous ne créer pas un parti style FLN,RND,FIS,GIA,AIS vous avez de l’avenir en Algérie ,l’Algérie la votre je veux dire, pas la notre celle que vous avez enterré .

    Maarouf
    12 décembre 2018 - 0 h 14 min

    Votre contribution m’a éclairé sur un aspect de la personnalité de kamel Daoud que je ne soupçonnais pas. Je le perçois désormais comme un « soldat ». Il s’exprime, écrit et pense comme un soldat. Un soldat qui mène une guerre, un soldat aux ordres, fanatisé. Il n’hésite pas à tirer sur tout ce qu’il lui rappelle de près ou de loin son parcours personnel, son passé, ses errances d’islamiste aigri. Je me demande ce qu’il le fait agir ainsi. Est-ce la haine à l’égard d’un pays qui n’a pas su lui accorder l’importance qu’il en attendait, est-ce parce qu’il s’est trouvé une nouvelle cause, une nouvelle « confrérie » qui a bien voulu lui accorder quelque importance ? Et cette cause, est-elle vraiment la sienne ? En réalité, kamel Daoud n’a pas de cause. Ce qu’il promeut, c’est sa carrière de « grand » écrivain. Une si « belle » carrière, en plein essor. Il sait qu’il n’a pas de talent mais il cultive cette singularité qui fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. « Libre penseur ». Pourfendeur de nos obséquiosités, empêcheur de tourner en rond disent certains, étoile qui illumine le firmament affirme même ces supporters. En tout cas, fier et orgueilleux, il n’hésite pas à traiter ses détracteurs de jaloux et de frustrés. Il est passé d’une position extrême à une autre, subrepticement, à la manière d’un voleur à la tire. Ni vu ni connu. Aucun cas de conscience, aucune autocritique. Rien. Je me demande comment passe-t-on de l’islamisme radical au sionisme béat ?
    Tant de questions qui ne trouvent pas de réponse.

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 23 h 36 min

    Merci pour votre excellente contribution.
    J’ose le parallèle avec le schpountz du CRIF Hassen Chalghoumi ancien extrémiste repéré par les RG et instrumentalisé par le clan judéosioniste comme pantin « imam paillasson » prosioniste qui ne représente que lui-même et ses créateurs judéosionistes.
    Dapud c’est pareil l’INDIGÈNE DE SERVICE.
    Je termine par Merah en lien avec RG envoyé par Sarko chez l’entité sioniste et formé voir enquêtes de panamza.

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 23 h 26 min

    A quoi sert Kamel Daoud ? Je sais une chose..il ne sert à rien du tout..un bougnoule est un bougnoule est un bougnoule..epicitou

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 23 h 23 min

    Pendant notre glorieuse révolution des types pareils, qu’ on peut identifier aux collaborateurs zélés du colonialisme ( caids puis harkis et goumiers), sont condamnés à mort et exécutés. Kamel Daoud est le type de renégat qui survit et qui n’est accepté par les descendants de ceux qui ont asservi nos parents qu’en se mettant au service des rancuniers et des bourreaux. Libre à lui, masochiste invétéré en serviteur zélé de nos ennemis, de se mettre à leur service mais il n’a pas le droit de toucher à nos symboles sacrés.

    MELLO
    11 décembre 2018 - 22 h 15 min

    Décidément, on regarde les étoiles , elles scintillent, on veut les accrocher mais …
    Décidément, kamel Daoud reste cette étoile Algérienne qu’on veut accrocher à tout prix. Kamel Daoud est sévère avec l’islam , cet islam qui contraint et qui voile. Il le dit : je préfère aller à Dieu , tout seul et à pieds s’il le faut. Daoud . Il fut diabolise’ par un certain barbu qui voulait le condamner à mort. Kamel s’afflige de cette Algérie de 2018 où les amoureux ne peuvent s’embrasser et se cachent pour se retrouver en secret sur les rochers face à la mer.
    Kamel Daoud detricote cette guerre d’Algérie devenue un fond de commerce du discours des tenants du pouvoir. Pour lui, les pouvoirs publics avaient jusque là une sorte de monopole sur la mémoire de la guerre d’indépendance , mais de l’autre côté, il remet, tout de même , en cause ce détournement par les islamistes qui qualifient cette guerre de  » guerre religieuse » , une sorte de guerre sainte contre le colonialisme Français.
    Dans ses oeuvres , Kamel Daoud , en homme binaire, oppose deux logiques bâties sur l’exclusion , celle d’un monde occidental parfait , moderne et heureux et celle d’une entité arabo-musulmane archaïque, informe , se nourrissant d’un rapport maladif à la femme et à la sexualité .
    Ceci étant, il serait bon que chacun de nous accepté le débat pluriel et sans agressivité. Mais en fait, à quoi sert Kamel Daoud ? Avec lui, on tente de tirer le voile de la pudeur.

    DHA M'CHOUM
    11 décembre 2018 - 22 h 00 min

    Mais pourquoi donc accorder autant d’importance à un mec aussi insignifiant qui a insulté nos CHOUHADAS et l’ALGÉRIE ? Il n’a ni l’envergure et encore moins la plume et la dignité de DA L’MOULOUD nagh d’un KATEB YACINE ou d’un BOUDJEDRA….. Il faut juste l’ignorer et il s’éteindra dans le silence de l’oubli. Il n’a pas le droit de comparer nos glorieux MOUDJAHIDINES à des terroristes. Honte à toi écrivaillon de l’empire satanique.

      Farida
      12 décembre 2018 - 8 h 25 min

      Que des monsonges ! De quoi ils sont capables !

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 20 h 56 min

    Alors vous avez trouvé que des critiques négatives. Même pas une de positive. Et alors ancien islamiste, et même hypocrite, Il a une belle plume et apparemment ça vous dérange. Votre article en tout cas ne sert à rien. Il empeste la jalousie. Je ne vous lirez plus.

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 20 h 34 min

    quand je vois ou je lis sur ce monsieur Je deviens triste pour des millions de jeunes francais d’origine Algerienne avec une éducation superieur au chômage et ce kerrouche est devenu hadja en espace de peu de temps,je mettrai ma main sur le feu si demain il critquera la france wallah ils le mettent dans le premier vol a destination de son douar et ne verra jamais la lumière de paris ,je crois que cette lumiere qu’il lui fait mal aux yeux.

    Anonyme1
    11 décembre 2018 - 20 h 06 min

    Kamal même gabarit que Sansal.
    Sans entrer dans le détail.
    Tous vous savez qu’il est faux dans tout ce qu’il écrit et dit.
    Il veut créer un nouveau personnage algérien, une nouvelle culture algérienne, tout faire changer recycler, chambouler.
    Ce qu’ils n’ont pu faire lui s’y aventure.
    A l’image de Sansal, ils se complètent.
    Hélas tous des a…., car vous n’avez pas compris que c’est la personnalité du citoyen algérien qui dérange et que certains cherchent à faire briser par tous les moyens.
    Hélas pour vous, continuer à ingurgiter votre chawarma et applaudir les pions qui vous sont offerts.

    karimdz
    11 décembre 2018 - 19 h 36 min

    ce daoud il est de la meme trempe que bencheick, plus çà dénigre l’islam, plus sa trouve révérence auprès des sionistes.

    Ce sont des complexés, encore colonisés dans leur tête, qui renchérissent dans la critique de l’islam, forcément, cela aiguise leur appétits, cela rapporte gros, promotions en tous genres, vente d’ouvrages, invitations dans les studios, les journaux occidentaux, les émissions anti musulmanes…

    Quand il y a un débat ou un événement, ces individus sont invités et font office de « référence » !

    Chacun y trouve son compte, béni oui oui, comme islamophobes.

    Les daoud bencheick and co, ce sont des néo colonisés incités par un opportunisme de carrière, sans aucun doute.

    Souk-Ahras
    11 décembre 2018 - 18 h 26 min

    Monsieur Boualem Snaoui bonjour,

    La tribu s’élargit et en première instance, le tribunal de la censure s’est prononcé à l’unanimité de sa seule voix (tribu).
    « Daoud dangereux»… « Mohamed Merah… qui sont «partout», «dans une salle de bains, l’arme au poing», ou quelque part, «debout au bas de l’immeuble».

    « Daoud dangereux» ! Mais, maintenant que j’y pense, oui, je dirais que c’est vrai ; mais dans un sens, en tant qu’il est un kamikaze ceinturé de mots, de paroles et de verbes explosifs qui n’ont, jusqu’à preuve du contraire, jamais tué personne, ni empêché le soleil de se lever à l’est et de se coucher à l’ouest.

    Je ne parlerai pas des étonnantes références que vous citez, ni des lectures attribuées (sans apporter de preuves significatives) à KD des sinistres BHL et Debray. Je ne m’engagerai pas non plus à croiser le fer littéraire avec vous, je n’en possède pas les moyens adéquats. Voyez-vous, moi, je dissocie, je recompose, j’extrapole, j’interpole, je différencie, j’intègre, je dérive, j’ordonne, j’abscisse, j’équationne, je tangente, je relativise, je parabolise, j’hyperbolise… Comme vous le voyez, ce n’est pas de la littérature, seulement quelques moyens qui m’ont permis de percevoir le message inscrit dans «Le mort palestinien sera un homme tué lorsqu’il ne sera pas un barbu mort ou un Arabe bombardé.» C’est un appel désespéré fait aux dirigeants arabo-musulmans de s’unir, agir uniformément et fermement dans la protection des Palestiniens en prenant en mains cette lourde tâche qu’ils avaient confiée à un Dieu qui ne les écoute plus et les entend encore moins. Comme le font les occidentaux à l’endroit d’Israël en rangs serrés.
    On est loin du « passeport pour le crime et le génocide ».

    D’ailleurs, n’était-ce pas Edward Saïd lui même qui a dit que le rôle social de l’intellectuel est de « dire la vérité au pouvoir » et que « l’intellectuel exilique ne suis pas la logique de la convention mais celle de l’audace » ?

    Monde kharabe
    11 décembre 2018 - 17 h 33 min

    En Algérie, on parle Algérien, on écrit en français peut être mieux que les français, on n a aucune culture qui ressemble au peuple d arabie et on continue toujours de nous coller a la chimère dite monde kharabe !!! Incroyable plus kharabe qu’en ca tu meurs

    Metek
    11 décembre 2018 - 16 h 16 min

    Mr Y.B sort de ce corps!!!!! lol
    vous semblez encore ne pas avoir compris que K.Daoud a pris la resolution de ne plus jamais repondre aux imbéciles, il l’avait dit sur el djazairia one.
    Il prefere consacrer son temps, a sa famille, ses amis, aux gens qui l’aiment et le respectent, ecrire et donner des conférences dans les universités les plus prestigieuses aux quatres coins du globe et ainsi porter haut l’etendard de son pays et des siens.
    Les aigris, les haineux, les jaloux, les chevaliers de l’apocalypse, les usurpateurs et les falsificateurs de l’histoire.. rebi iychafihoum ellah ghaleb a3lihoum

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 15 h 51 min

    Merci Boualem Snaoui pour cette contribution.
    Fidèle à vous même à combattre avec dignité l’injustice dans le monde. Votre combat pour les palestiniens est si dérangeant dans l’exagone à tel point que la justice néocolonialiste vous harcèle pour n’importe quoi, dégradation d’affiches électorales de sionistes lobbyistes,.creation d’association pro palestinienne..et cela n’a rien pu faire devant votre détermination. Alors laisser brailler les trolls sur ce fil, ils sont légion…

    Quebec
    11 décembre 2018 - 15 h 22 min

    Bravo Kamel pour tout ce que tu fais et tout ce que tu ecrit…Ici au Québec et au Canada, tu es l’un des rares écrivains et journalistes algériens à être connu de la scène littéraire locale….Si tu as autant d’ennemis, c’est que forcement tu DERANGES….et que tu es dans le droit chemin d’un intellectuel LIBRE et non asservi à qui que ce soit….tu refuses de quitter l’Algérie et ca les derange beaucoup…Parce que tu aurais été parfaitement le Hizb Franca de ces gens la qui doivent te vouer une haine terrible…..Eux ils achetent des appartement à Paris et toi tu vends des livres dans les 5 continents…..Bravo encore une fois et continue comme ça …..Tu es un VRAI algérien….

    Argentroi
    11 décembre 2018 - 15 h 06 min

    Tant de haine déversée sans aucune retenue devient scandaleusement paradoxale quand on se dit avoir lu et aimé Ziegler !
    Cette haine me rappelle celle des islamistes qui, durant toute une décennie, mettaient en condition toute une population pour avoir à justifier les assassinats qu’ils préparaient contre les intellectuels. Aujourd’hui, c’est le français à la place de l’arabe et le révolutionnarisme à la place de l’intégrisme islamiste mais c’est la même méthode de manipulation et donc c’est les mêmes officines qui reprennent du service et qui poursuivent les mêmes buts. Cette haine, cette déraison ne peut être intellectuelle, cela est parfaitement clair.
    Eh oui, ce Snaoui, poussant insidieusement le bouchon plus loin que Benzatat, en insinuant que Kamel Daoud est peut-être un agent frère musulman qatari, recherche d’abord à nous désolidariser de Kamel Daoud et de créer en nous un genre de complexe dans le but de tétaniser une seconde fois l’Algérie qui monte quand la situation arriverait à son seuil critique. Il y a là donc la conviction que quelque chose se trame surtout quand ce sieur nous avoue à demi-mots que ce serait une bonne idée si Kamel Daoud quittait la scène.
    Notre vigilance doit être sans failles car les consensus du sérail sont rompus !

      Anonyme
      11 décembre 2018 - 16 h 46 min

      @Argentroi. Calmez vous, pour ma part je ne vois aucune haine dans cet article juste une description et un compte rendu de ce qu’écrit votre héro KD et il est vrai de l’indgnité, une indignité justifiée.

    mouatène
    11 décembre 2018 - 14 h 53 min

    mesdames et messieurs bonjour. en ce jour mémorable du 11 DECEMBRE, je m’incline devant la mémoire de ceux qui sont tombé dans les rues de nos villes, assassinés par les l’armée coloniale française. je rend hommage à la MAMAN algérienne qui, de par ses YOU YOU, faisait trembler bigeard et salan et leurs sbires. je salut chaleureusement tous mes camarades qui, à l’époque, étions enfants et courraient dans les rues en scandant  » TAHIA EL-DJAZAIR « . Gloire aux Martyrs de l’Algérie et que vive le Peuple Algérien dans la paix et la prospérité.

      mouatène - bis
      11 décembre 2018 - 18 h 33 min

      @mouatène – 14 h 53 min , c’est bien ce que tu dis mais tu es complétement hors sujet ! Tu es dans une sorte de délire … extra galactique , on ne comprends pas ce qui t’arrive !

    KHELAF AIT IDIR
    11 décembre 2018 - 14 h 30 min

    Moi je lis les memoires du general Nezzar c est vraiment interessant bravo Daoud qui vous appelez ca un ecrivain?

    Hend Uqaci
    11 décembre 2018 - 13 h 59 min

    Jamais la formule « garder un chiot à quelqu’un » n’aura mérité de la rappeler qu’ici et maintenant. Et s’il ne s’agissait que d’un chiot , on mettrait ça sous le compte de la jalousie bête et brutale , et on serait passé. Mais là c’est de tout un chenil qu’il s’agit . Bezef !

    Il ne faut pas croire que nos zélés contempteurs se sont découvert une vocation dans la lapidation parce que KD leur aurait donné l’occasion. Que nenni, il sont nés avec, c’est congénital, ce n’est qu’avec ça qu’on les a biberonnés. Il y une tradition littéraire versée dans la diatribe de tout ce qui s’inscrit hors du butindeguerrisme que les héritiers n’ont qu’à psalmodier.

    Quand Mouloud Mammeri publia sa «  colline oubliée , les gardiens du temple de l’époque et de la ligne idéologique nationaliste à outrance sous la Houlette de M. Lacheraf et MC Sahli l’avaient comparée à  « la colline inspirée » de Charles Maurras, un inspirateur de la fachosphère et des nationalistes français. On reprochait à Mammeri tout simplement ce qu’on reproche à KD, dans une autre veine, aujourd’hui: des velléités de singularisation en ayant introduit sa Kabylie dans la littérature et pas l’Algérie toute entière dans la plénitude de son a3ravo-islamité.

    Mais il n’y avait pas que ça, c’est que Mammeri a extrait sa Kabylie de l’apesanteur coloniale. Si tu écris un roman qui ne schlingue pas le colonialisme et où les colonisés n’étalent pas leur kebloutisme ils ne sont pas contents.

    Sauf qu’à cette époque , il y avait la guerre, la vraie, pas la guerre romanesque à la guerre d’Algérie de KD. On pourrait leur trouver des excuses même si c’était à tort que Mammeri fut accusé par ses inquisiteurs.

    Alors, pourquoi leurs rejetons continuent leur guerre aujourd’hui ?

    C’est simple : parce que !

    parce qu’ils sont conditionnés!

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 13 h 56 min

    Pourquoi vous n’attaquez pas l’écrivain Habib Souaïdia « La sale guerre » ou bien ce dernier est patriote et ancien officier des forces spéciales de l’armée algérienne. Daoud est un fils du peuple qui a gravit les échelons à la sueur de ses neurones ,donc c’est louche et cela implique automatiquement le harkisme.

      Anonyme
      11 décembre 2018 - 14 h 46 min

      Ils ne l’attaquent pas parce que Habib Souaïdia est algérois et K.Daoud oranais

      Anonyme
      11 décembre 2018 - 16 h 53 min

      Ils ne l’attaquent pas parce que personne ne connait ce Habib Souaidia et personne ne le calcule. KD passe dans les medias occidentaux et malheureusement il ouvre sa gueule pour dire des conneries sur l’Algérie et sur les palestiniens et nous ne le supportons pas. De plus ce qu’il clame être sa liberté n’est en fait un qu’un vil conformisme à la vision des occidentaux et des sionistes. KD fait des déclarations subversives pour faire parler de lui alors on parle de lui

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 13 h 44 min

    A quoi sert Kamel Daoud ? A donner des crises hémorroïdaires aux jaloux et aux régionalistes .

    RAmon
    11 décembre 2018 - 13 h 42 min

    Pourquoi l’Algérie n’évolue pas. La réflexion de Fellag est très pertinente et perspicace. Il a dit quand quelqu’un voit son frère monter ( Réussir), au lieu de le pousser pour qu’il s’élève plus haut, il le tire par les pieds pour le faire descendre.
    Cert acharnement contre Kamel Daoud est inexcusable, incompréhensible et malheureux. Il ne peut s’expliquer que par la jalousie qu’il génère sur les incompétents, les sournois, les hassadines, et plus encore sur les ethnocentristes, vassaux de la France et encore colonisés dans leur corps et dans leur âme. Allah Yehdikoume. Essayer de faire comme lui, sinon choisissez un autre métier.

    IMAZIREN
    11 décembre 2018 - 13 h 25 min

    Il sert de faire-valoir, pour dénigrer EL DJAZAÏR.

    Kahoui
    11 décembre 2018 - 13 h 21 min

    @Zaatar : S’ il s’ agit du même contributeur qui sévissait contre KD, il y a quelques temps, on peut comprendre le pourquoi de son étroitesse de vue, car il semblerait que son esprit a été formaté derrière de hauts murs..

    Naïma U Qaci
    11 décembre 2018 - 13 h 05 min

    Qui est ce Daoud ? Un pauvre complexé….. c’est tout ! Un caméléon qui change de peau aussi vite qu’un serpent en pleine mue. Une fois pressé par ses maîtres, il sera jeté à la poubelle de l’Histoire. Ce vil personnage ne me représente nullement, en tout cas.
    Cependant, une chose m’intrigue au plus haut point. Ce pauvre mec insulte l’Algérie et les Algériens ainsi que notre propre Histoire Révolutionnaire et il devrait être condamné rien que pour cela. Eh bien….. NON ! Les autorités de notre pays l’invite au SILLA et lui déroule même le tapis rouge (!?). Bizarre tout de même que tout cela…… n’est-ce pas ??? Ça demande des explications. Eclairez-Nous, svp !!!

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 12 h 44 min

    Ma3a Kamel Daoud dalème aou madloume !!

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 12 h 39 min

    Boualem Snaoui et Youcef Benzatat sont une seule et même personne. Boualem Snaoui est un prête nom de Y.B.

      Zaatar
      11 décembre 2018 - 12 h 43 min

      Vous dites peut être vrai…et la chose ne m’étonnerai guère.

        Hend Uqaci
        11 décembre 2018 - 12 h 53 min

        Je ne crois pas ya Si Zaatar.

        N’oublie pas qu’ils sont toute une tribu, leur instinct grégaire. Ces gens chassent en meute ya akhi !

          Anonyme
          11 décembre 2018 - 13 h 38 min

          Oui c’est vrai,ils chassent en meute comme les hyènes .

      Anonyme
      11 décembre 2018 - 13 h 28 min

      Boualem Snaoui, Youcef Benzatat, Kadour Naimi, Rachid Boudjedra, Saada… la liste commence à être longue… surtout si l’en tient compte de tous les autres… sont en effet la même personne ! Faudra leur clouer le bec. Ils prennent trop de liberté critique !

        Anonyme
        11 décembre 2018 - 14 h 51 min

        Oui tous les écrivains ratés et écrivaillons ont formé un front contre K.Daoud.

    Farid
    11 décembre 2018 - 12 h 13 min

    Kamel Daoud c’est  » peau noire, masques blancs « .

    Tass
    11 décembre 2018 - 12 h 07 min

    Je crois vraiment qu’on devrait arrêter de parler de Kamel Daoud il ne mérite franchement pas tout cet intérêt. C’est peut-être un bon écrivain, je ne saurais le dire je n’ai lu que Meursault contre enquête, les propos qu’il a tenu m’ont complètement détourné de cet auteur. Il est une grande déception pour beaucoup de lecteurs algériens n’en déplaise à ses fans, que je le constate sont nombreux, il est pris d’ivresse, il a l’air exalté par lui même et exute des insanités sur ses compatriotes, je trouve ça affligeant. Il prend pour Liberté ce qui dans le fond n’est que vanité. Il le sait lui Daoud que s’il ne dénigre pas son pays publiquement les occidentaux le jetteront comme un moins que rien, c’est triste mais il ne sert qu’à ça et encore une fois n’en déplaise à ses défenseurs dont j’avoue avoir fait partie il n’y a pas si longtemps que ça, mais on a beau apprécier l’écrivain à un moment donné on se rend compte qu’on ne peut plus supporter l’homme et ses propos réactionnaires et conformes aux normes européennes.

      viatich
      11 décembre 2018 - 16 h 57 min

      Je partage totalement votre point de vue. L’auteur de cette bonne contribution, aurait pu associer également, B. Sansal à Daoud, amis des plus haineux Algérophobes.

    service
    11 décembre 2018 - 12 h 00 min

    daoud ne représente que lui même , je reçois 2500 personne chaque weekend en majorité algérienne et personne ne le lis ni le connais, personnellement je n’ai jamais ouvert un seul de ses écris et d’après ce que j’entends ici ou là de cet personne n’attise pas ma curiosité, l’adage est bien connu : Si tu as un problème insoluble, écris ! Il semble que le simple fait de coucher un problème sur papier suffise souvent à se le sortir de la tête, ou au moins permette d’en démêler les noeuds. Combien d’âmes perdues couchent leurs tracas dans les pages d’un journal intime… qu’ils abandonnent lâchement les jours heureux ? Qui, à défaut de pouvoir parler à un ami qu’il n’a pas, se confie à la plume et crache son encre sur le papier rugueux ? a mediter

      Anonyme
      11 décembre 2018 - 12 h 59 min

      « je reçois 2500 personne chaque weekend » C’est quoi ton truc un souk à bestiaux ou baron de la drogue ?

        service
        11 décembre 2018 - 14 h 09 min

        les anonymes sont légion ici un autre adage pour eux —> Formatez votre ordinateur, éteignez-le, débranchez-le et déménagez.
        reponse a anonyme 11 décembre 2018 – 12 h 59 min
        pour les 2500 recus chaques weekend (jamouaa), et pour le reste en france des souks a bestiaux n’ont lieu qu’en perIode de l’aid elhadha pour la drogue demande a momo6 en voie de rejoindre son adopteur hassanII de t’en procurer afin d’eclairer ta cabesse d’esclave adoorateur aabid , tu manque cruellement de jugeote = Manquer sérieusement de bon sens, de discernement Ne pas être très intelligent

          Anonyme
          11 décembre 2018 - 15 h 46 min

          Tu es imam donc ce n’est pas s étonnant de ta part ton insolence, ça vous enrage quand des gens éclairés ne rejoignent pas vos troupeaux endoctrinés. En plus je vois que tu tiens à ta double récompense au paradis :
          Bukhari (52:255) – « L’esclave qui reconnait l’islam et continue à servir son maître musulman recevra une double récompense au paradis. » Tes maîtres sont au khalij.

          Anonyme
          11 décembre 2018 - 16 h 10 min

          Remarque que baron de la drogue ou imam ,vous fourguez tous de la camelote aux gens pour les abrutir .L’un la drogue et l’autre la religion.

          Anonyme
          11 décembre 2018 - 16 h 51 min

          La religion c’est de la drogue halal .

    Hend Uqaci
    11 décembre 2018 - 12 h 00 min

    Je ne comprends pas comment une haute sommité intellectuelle comme vous, que, hélas, malgré mes mouta3ades forcées à travers tout ce que notre Gotha intellectuel a su produire de quintessent je n’ai pas eu l’honneur de connaître. Mais n’y voyez surtout pas une quelque forme d’irrévérence , ce sont mes capacités qui n’ont pas su me conduire si haut que vous soyez placé .

    Et si ce n’était mon humble modestie j’aurais vu dans votre contribution quelque velléité de vous faire mousser au dépend de KD.

    J’allais presque commettre le sacrilège de rater l’occasion de vous lire ici même en ajoutant votre contribution au tas de bois vert que KD a essuyé et que j’ai mis à sécher pour me faire du feu cet hiver . Si ce n’était l’hospitalité que vous a faite AP. Ou est-ce ma promptitude à dégainer désormais sur tous ceux qui snippent sur KD ?

    Si ce n’était le titre de votre contribution qui m’a fait penser à  jankélévitch , son:  »  le je ne sais quoi ou le presque rien  » et qui m’a fait voir en vous un théoricien de l’inutile qui fait pendant à la philosophie de l’absurde chère à Camus.

    Par contre KD , si, j’ai eu , justement à cause des mes papillonnages à travers ce qui s’écrit à son sujet , à le connaître , c’est grâce ou à cause de ses détracteurs comme vous. Quand KD n’était que chroniqueur au Quotidien d’Oran , je ne lai jamais lu, et à ce jour je je n’ai lu que deux ou trois de ses chroniques et ses deux romans et ce seulement parce qu’ils ont fait scandale. Et si je les avais lu avant je les aurais sitôt oubliés. Car je ne saurais dire qu’il y avait de quoi mettre le feu à la jungle médiatique. A peine s’il avait taquiné un levraut ou une gerboise dans son terrier.

    Et la question est : pourquoi un écrivain aussi insignifiant fait-il couler des fleuves d’encre et de bile contre lui ?

    La raison n’est , en vérité, pas dans ce qu’il écrit, puisque, je l’accorde à ceux qui l’éreintent, ce qu’il dit ou écrit est théoriquement insignifiant.

    C’est dans le lien à Fafa, ou plus précisément dans le pathos et dans la déchirure, qui lient la majorité de notre élite à Fafa, que se situe tout ce foin.

    Si c’était vrai je compatirais presque à votre complainte si vous n’aviez pas cherché a écarteler ce pauvre KD entre Régis Debray et Jean Ziegler d’une part et Zemmour-BHL de l’autre. KD n’est pas un essayiste , mais juste un chroniqueur porté par l’actualité et surtout par la critique au pinacle et très ou trop demandé. Vous commencer par le porter aux nues en nous le montrant comme un Marx terrassant la philosophie de Hegel pour le descendre durement en le replaçant au niveau de Zemmour et de BHL.

    Vous faites de lui un nouveau théoricien du capitalisme, vous l’affublez de tous les torts que pouvez lui trouver, vous exagérez le moindre de ses écrits et de ses faits et pire que tout cela vous poussez l’outrecuidance jusqu’à travestir la portée de ses écrits pour nous les apporter comme preuves de ses sa malfaisances à travers la compilation de ses chroniques quotidiennes qui ne sont en réalité que des instantanées , des impressions, à froid sur des événements de la vie à un instant T.

    Soignez-vous donc et revoyez votre rapport aux puces que Fafa a planqué dans votre raie. Si, KD fait son trou à sa manière ce n’est point à vos dépens S vous vous n’êtes pas célèbres vous ne devez en vouloir qu’à vous-mêmes qui ne faites que recycler des rengaines éculées. Votre butindeguerrisme à outrance vous a emprisonnés dans l’idéologie arabo-nationalo-islamiste, qui vous place en porte-à- faux face à tout ce qui est attendu en matière de romans , d’essais , de toute contribution à l’humanité.

      Hend Uqaci
      11 décembre 2018 - 12 h 17 min

      J’ai raté mon pokié loké

      suite … »

      Arrêtez donc de nous balader dans le labyrinthe de votre culture arabo-nationalo-islamiste ou KD se débat aussi, même si, lui, a entrevue une sortie possible. Arrêtez donc de nous donner la nausée !

      Zaatar
      11 décembre 2018 - 12 h 20 min

      @Hend Uqaci,

      Cher ami je vous salue, il y avait jusqu’à il y a quelques jours YB et KN…maintenant on rajoute BS (qui n’est pas Boualem Sansal, ça aurait été une grosse connerie) à la liste, et je ne sais pas si elle va se clore un jour. Bien à vous.

    Et pourtant
    11 décembre 2018 - 11 h 41 min

    Kamel Daoud est une étoile dans les ténèbres…..!!!!!

    La Haine !
    11 décembre 2018 - 11 h 34 min

    Ya cheikh Boualem Snaoui , pour vous comme vous dîtes il n’est pas question de donner un centime ou un kopeck de droits d’auteur pour ce livre chroniques de Kamel Daoud mais vous avez vite couru chez celui qui a bien voulu vous le prêter pour le lire ! Vous vous êtes même impatienté et inquiété un peu quand le prêteur est arrivé en retard pour vous le remettre ! Mais d’où vient donc cette « avidité », cet « appétit » à vouloir lire à tout prix les œuvres de Kamel Daoud ??

    NB : Ya cheikh Boualem Snaoui, si vous me donner le numéro de votre compte CCP ou compte bancaire, je suis prêt à vous verser le montant de toutes les œuvres, les enregistrements de ses cafés littéraire, de ses conférences littéraires, de ces interviews, de ces émissions littéraires pas seulement à l’étranger mais aussi en Algérie où il a beaucoup de fans. Un régale. Mais à quand la même chose de votre côté ? Quand Boualem Snaoui se fera voir au moins une seule fois dans une émission, une conférence, un café littéraire devant ce qu’on appelle des « critiques littéraires » etc… etc.. , même si c’est juste pour critiquer et détruire toute l’œuvre de Kamel Daoud et lui planter un couteau dans le dos ! J’attends !

    Iwen
    11 décembre 2018 - 11 h 27 min

    A quoi sert Kamel Daoud ? .. .. A empêcher le monde de tourner en rond, sans doute!

    Marcus
    11 décembre 2018 - 10 h 39 min

    qu’il ne le dise pas et que je ne le dise pas et cela ne serait surement et certainement pas tes oignons et cela ne te regarde point

    Bir Djebah
    11 décembre 2018 - 10 h 28 min

    Encore un Complexé-Agité-Jaloux…

    Zaatar
    11 décembre 2018 - 10 h 27 min

    Monsieur Boualem Snaoui,

    J’ai commencé à lire votre pamphlet et je me suis arrêté, bien sur net (s’agissant de kamel Daoud, on comprend tout de suite ici sur AP qu’on a sorti la matraque), et ce que vous dites sur Daoud, à défaut d’être juste est très certainement à l’image de tout citoyen de chez nous, vous inclu. Vous pouvez commencez par le harraga, qui vend sa vie à la mer avec l’illusion d’un monde meilleur de l’autre côté, jusqu’au responsable qui vendrait sa mère pour un poste bien rémunéré aux avantages multiples dans une administration du système qui nous gouverne. Dites vous alors, que même vous, dans votre façon de présenter la chose sur quelqu’un d’autre, en l’occurence Kamel Daoud, vous déssinez parfaitement le portrait de ce que sont tout le reste de ceux qui leur reste encore un bout de cervelle et des idées à revendre. Vous êtes alors en haut de l’affiche.

    Kahoui
    11 décembre 2018 - 10 h 25 min

    Daoud « aurait écrit des livres que personne ne lit »? Vous ne lancez pas le bouchon un peu trop loin? Ou bien est ce votre conviction et souhait intime? Cet ecrivain est n début de carrière et son livre sur Meursault est un ouvrage qui révèle un maître dans l’écrit. Il est vrai que le personnage a deux facettes. Le côté médiatique dans lequel il affiche des positions parfois sans nuances et dans lequel on peut ranger ses chroniques est l’aspect le moins intéressant de l’écrivain, car il peut être blessant, outrancier parfois pseudo- réactionnaire. Mais ses convictions politiques sont elles vraiment condamnables? Vouloir le vrai capitalisme pour notre pays est ce une hérésie? Préférez vous le capitalisme accroché aux fonds publiques ? Pourquoi ces qualificatifs infamants, dégradants et condamnations sans appel pour l’auteur que vous ne gobez vraiment pas? Pourquoi mélanger entre l’ecrivain de grand talent et percutant qu’il est, que vous le vouliez oui ou non, et l’homme médiatique qu’il est aussi et qui se laisse parfois griser par le retentissement de ses propos qu’il tend ensuite à forcer? Daoud est un éveilleur, un iconoclaste dont notre pays a besoin, car il faut sortir du conformisme et de la bien pensence si on veut vraiment faire bouger les choses. Voir aussi le côté obscur de ce que on vénère et adule. C’est à ce prix qe nous pourrons nous remettre en question et avancer.

      Zaatar
      11 décembre 2018 - 11 h 03 min

      @Kahoui,

      Merci pour votre intervention, j’aurais dit (écris) pareil à Monsieur Snaoui, sauf que je sais qu’il n’en saisirait pas le sens, car l’étroitesse de la reflexion sur le sujet en question (convictions politiques, idées de développement économiques qu’on malaxe gaiement avec le talent dans l’écriture des un et des autres) ne permettra jamais de redresser la barreau d’acier tordu.

        Anonyme
        11 décembre 2018 - 11 h 34 min

        @Zaatar. Pourquoi êtes vous aussi tranchant et insultant avec l’auteur de cet article, figurez vous que lui aussi a le droit d’exprimer son opinion comme tous ceux qui sont heurtés voir choqués par les propos de Kamel Daoud ont le droit de donner leur avis. Vous critiquez l’auteur pour sa critique contre KD et vous faites exactement la même chose que lui

          Zaatar
          11 décembre 2018 - 12 h 29 min

          Bonjour l’ami anonyme,

          Montrez moi juste ou est mon insulte ou mon manque de respect à l’égard de l’auteur de l’article… je l’ai cherché et je ne l’ai pas trouvé. Merci

    Lghoul
    11 décembre 2018 - 10 h 11 min

    Plus ils lui montrent ouvertement leur haine, leur malice et leur jalousie, plus Daoud atteind des hauteurs nouvelles et plus il vous ignore car vous ne lui arriverez jamais a la cheville. Lui, il travaille, il écrit sans jamais « s’occuper » de vous comme vous le faites sans relâche, comme si c’était lui qui vous a transformé en orphelins de l’écriture car vous etes incapables d’écrire sur autre chose. Mais lui, il vous ignore. Par contre, vous lui collez toujours dessus comme une mauvaise odeur. Sachez que ce n’est pas en jouant les charognards sur un compatriote qui avance que vous allez devenir respectables ou « fameux ». Alors quand les charlatans vivent dans l’époque des vaches maigres, on pique sur Kamal Daoud pour faire semblant d’écrire.
    Vous avez peur de lui car il est le lien entre tous les algériens authentiques. Il est compris ou il passe et comprend tous ceux qu’il rencontre. Avez vous peur de voir un catalyste de l’algérianité entrainer d’autres avec lui comme une boule de neige ? Avez vous peur que toutes les régions du pays s’unissent contre le vrai ennemi commun ? Certainement, car vous n’auriez plus de cartes de décéption a jouer et le charlatantsime prendra fin.
    Un point interessant: Pourquoi est il toujours considéré « l’un des NOTRES » en kabylie même s’il avait ouvertement critiqué le MAK devant ses militants généralement sensibles ? Parce qu’en premier il se trouve en terre de tolérance ensuite, son comportement est celui de la compréhension et de la liberté d’expression qui sont les bases de toute notre culture et vernis algéro-amazigh … Jusqu’au jour ou on était envahis par des criquets pelerins pour nous diviser et bâtir des mûrs de haine entre nous.

    Anonyme
    11 décembre 2018 - 10 h 09 min

    je ne comprend pas que l on puisse déverser tant de haine envers un écrivain aussi talentueux ce que vous n êtes pas Je sais seulement que toute votre diatribe s appelle jalousie et malheureusement ne fait pas avancer le débat Foutez la paix a Kamel Daoud et occupez vous de ceux qui continuent a détruire le pays son école et sa culture je crois que vous les connaissez très bien Merci

    Saad odhar
    11 décembre 2018 - 10 h 04 min

    Décidemment de nombreux misérables prétentieux veulent, toute honte une, acquérir une notoriété sur le dos du plus grand des algériens vivanta qu’ est Jamel daoud.que chacun mitraille a son niveau

    Droits Humains
    11 décembre 2018 - 10 h 01 min

    C’est donc un agent du Qatar !!!!!! Beaucoup de choses s’expliquent alors.

    marri
    11 décembre 2018 - 9 h 54 min

    il est vrai que daoud est un homme libre, mais il ne le doit pas à lui-même, je pense qu’il en est incapable. Il le doit à des Hommes avec un grand « H » tels que Ali la pointe, Amirouche, Ben M’Hidi et tous les martyres connus ou anonymes . Mais, malheureusement pour lui, il n’a pas été décolonise de l’esprit.
    Je pense qu’il ne faut plus parler de lui, c’est lui en faire honneur. Qu’il prenne le bateau comme l’ont fait ses aïeux les pieds-noirs et qu’il constitue un trio avec zemmour et levy. Ils feront un trio de malheur et diabolique.

    Clair-Obscur
    11 décembre 2018 - 9 h 52 min

    Le Daoud bashing est à la mode actuellement. Mais moi je ne retiens qu’une seule chose, j’ai versé quelques larmes en lisant Meursault Contre-Enquête et ça mon ami c’est l’apanage des grands. No comment…

    Cheikh Hamdane
    11 décembre 2018 - 9 h 27 min

    C’est un outils entre les mains du lobby sioniste de France..Daoud. Je le défie de dire:  » LA ILAHA ILLA ALLAH MOHAMED RASSOUL ALLAH. » Il n’est pas le seul il y a un outils à Lyon qui active dans le secret au sein du quotidien  »le Progrès »

      Clair-Obscur
      11 décembre 2018 - 10 h 20 min

      Yaaaaaaa Cheiiiiiiiiikh, en quoi cela nous concerne qu’il dise Echahada ou pas hein ??? Non sérieux !

        Crépuscule
        11 décembre 2018 - 11 h 52 min

        @Clair-Obscur. Le cheikh touche peut-être le point sensible de l’affaire KD, personnellement la chahada de Daoud m’intéresse, j’aimerais avoir la certitude qu’il est vraiment algérien musulman et pas par jalousie car je ne suis pas écrivain mais ses propos sont effectivement plus qu’outranciers envers l’Algérie ils sont méprisants et je regrette pour tous ces lecteurs d’AP qui le portent aux nues mais KD se fait un point d’honneur à être ami avec les ennemis de l’Algérie. Voilà du coup qui est il et quelle est sa religion?

          Anonyme
          11 décembre 2018 - 17 h 04 min

          Al Baghdadi le serial killer à l’échelle planétaire à dit la chahada.

          Anonyme
          13 décembre 2018 - 2 h 25 min

          Je suis algérien et j ai quitté la religion musulmane,est ce que ça m enleve le droit d être encore algérien?
          Non…..
          On n est pas obligé d être musulman pour être algérien Monsieur ,le pays n appartient pas qu à vous..

      Zaatar
      11 décembre 2018 - 10 h 49 min

      Et pourquoi vous n’attaquez pas cet outil à Lyon qui active dans le secret et vous vous vengez sur Daoud?

      Lghoul
      11 décembre 2018 - 12 h 08 min

      Ya Cheikh – Croyez vous que tout le monde est obligé de crier « Allah Ouakabar » ? Croyez vous que chaque personne sur la planète ou il y a presque 7 milliards d’humains est musulman ? Et les autres alors ? Ils peuvent etre boudhistes, athées ou n’importe quoi ? Est il une obligation d’etre religieux ? Chacun est libre de vive sa propre vie et d’assumer pleinement sa propre conscience. Voila le défaut des khorotos: Ils ne voient le monde et les autres qu’a partir de leur propre repère comme s’ils ont remplacé Dieu et qu’ils sont le centre du monde. Ils sont incapables de s’ouvrir, de réfléchir ou de se mettre a la place des autres jusque pour quelques secondes. Ils veulent que tout le monde se mette a leur place mais jamais l’opposé.

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