A quoi sert Kamel Daoud ?

KD Daoud
Kamel Daoud. D. R.

Par Boualem Snaoui – Pour mes lectures estivales, je me suis fait violence, en glissant dans mes bagages les 464 pages de chroniques (2010-2016) publiées par Kamel Daoud chez Actes Sud. Je dois avouer ne pas avoir dépensé le moindre kopeck pour accéder aux écrits de cet ancien islamiste qui, quand cela est devenu lucratif, a découvert que «Dieu est athée». Pas question donc de donner un centime de droits d’auteur à cette nouvelle, icône heureuse de nourrir l’orientalisme des néoconservateurs «atlantistes». Un orientalisme qui est l’une des misères de l’histoire du monde arabe, un travers si bien dénoncé par notre merveilleux Edward Saïd.

J’ouvre ce livre, juste après avoir lu le dernier chef-d’œuvre de Jean Ziegler : Le Capitalisme expliqué à ma petite-fille, publié aux éditions du Seuil. Le hasard, pour une fois, a bien fait les choses : lire le manuel de la générosité et de l’altruisme juste avant le grand traité de l’égoïsme met les idées à leur vraie place. Entre les deux livres, il y a un fossé, une tranchée genre 14/18. Daoud dangereux, peu fiable et néo-prosélyte comme tous les repentis, fait la promotion du capital et du libéralisme qui est son corolaire. Ziegler, lucide et généreux, dénonce ce monde de la finance sans lois et ses mortels ravages sur l’humanité. Deux mondes différents, et même opposés. Vieux baroudeur entre les destins de l’humanité, Jean Ziegler a vu trop d’hommes mourir, de faim et de guerre, pour un même effet, savoir que le libéralisme c’est la mort des pauvres, des peuples «en trop». De ceux qui gênent. Kamel Daoud, à l’opposé, regrette l’absence d’un «capitalisme fort, de patronats puissants et créateurs de plus-values».

Une drôle de sensation m’habite, celle d’un barreur dans la nuit qui sait qu’il va croiser un iceberg. Daoud se dit Algérien, un peu comme moi, mais je ne retrouve en lui rien de notre bien commun, cet homme est de glace, froid et transparent. Du coup, je me sens Algérien comme Jean Ziegler. Alors que Daoud, tenancier de sa petite boutique «d’algérianité», vante une camelote de qualité «made in China» pour séduire les colons jamais guéris de Saint Germain des prés. C’est l’histoire dans l’autre sens, jadis c’est le «blanc» séduisait l’indigène avec de la verroterie. Au risque de perdre ses lecteurs, qui le prennent pour ce qu’il n’est pas, Daoud doit continuer de se poser en «Algérien», c’est son filon en or. Pensez donc, un Algérien musulman et athée, Arabe, qui déteste les Arabes et qui parle de tout cela «sans langue de bois», Netanyahou et Le Pen auraient rêvé de l’inventer. Pourtant, il est bel et bien là. Alors qu’il n’est qu’un ersatz de Bernard-Henri Lévy, une tête de gondole pour vendre des livres que personne ne lit, c’est-à-dire beaucoup de bruit pour rien, le vent de la barbe à papa. Lectures faites, je persiste et comprends mieux pourquoi Jean Ziegler n’est jamais promu par les médias qui se proclament «grands».

Invité à la télévision, Kamel Daoud est traité comme un saint, le tenant de la nouvelle lumière et du savoir avancé. Aux yeux des gogos, ce réactionnaire est «moderne» et «révolutionnaire». C’est donc sans contradicteurs qu’il déroule sa pelote de lieux communs, l’image du bon nègre Banania qu’attendent les «néocons». Récemment, je l’ai aperçu sur une chaîne de TV algérienne, avec toujours la même posture du penseur couché, criant : «Je sais me défendre.» Cependant, on ne sait contre quoi il se défend.

Questionné sur l’invitation de Daoud, le nouveau commandeur, à l’ambassade de France lors de son passage en Algérie, E. Macron a répondu qu’il «veut entendre tout le monde». Le Président français considère-t-il que Daoud c’est tout le monde ? Ou tous ceux qui résident dans le jardin des puissants ?

Pour revenir à ce qui n’est pas de la littérature, disons que, dans son livre, Daoud nous invite à découvrir, ou redécouvrir, la crème de ses près de 2 000 textes écrits entre 2010 et 2016. Que seraient, nous affirme-t-il, les positions «des journaux et des élites contestataires». Cette position est lacunaire puisque ce Don Quichotte algérien ne nous dit jamais ce qu’il conteste. Il n’a pas besoin d’exprimer de s’attacher aux détails du vrai : il est l’élite à lui seul, et doit être cru sur parole. Mais, patatras Daoud, par le contenu de son opus, atteint un objectif imprévu. Preuve à l’appui – l’existence de son livre –, il démontre que la censure qu’il prétend combattre n’existe pas en Algérie. En effet, comment publier impunément (et c’est tant mieux) autant d’ignominies sur un peuple et un pays «qui manquaient de la liberté de dire, de lire ou de regarder» ? Sacré Daoud, ce Daoud sacré.

Si sa plume se fluidifie miraculeusement contre l’«Arabe et sa langue», le «musulman», et l’«Algérie», cela ne l’empêche pas de célébrer les «Printemps» alors qu’eux aussi sont censés être arabes. Il glorifie les révoltes sans citer un seul révolté. En réalité, il tente de nous faire croire que les révolutions se font sans révolutionnaires et que les chaos sont l’annonce des aubes nouvelles. Outre du Bernard-Henri Lévy ou du Debray, Daoud ne lit visiblement rien d’autre. Sans doute par crainte d’être chahuté par les mauvaises ondes de la vérité. Par exemple, il n’a pas pris connaissance de «la stratégie du choc», brillamment décrite par Naomie Klein, et il regrette sans rire et amèrement que l’anarchie, la destruction et la guerre civile n’aient pas déjà emporté l’Algérie.

Chercheur, créateur de concepts, ce grand penseur nous indique avoir découvert que l’Occident a pour malheur d’avoir voulu incarner la Morale universelle. Sans doute voulait-il parler de l’extermination des Amérindiens, de la traite négrière, des colonisations, de l’utilisation de la bombe atomique sur des populations civiles à Hiroshima et Nagasaki ou encore du nazisme et du fascisme né en Occident ? Sacré Daoud.

Et même lorsqu’il tente de dénoncer le traitement infligé aux migrants en Pologne, comme par instinct, sa plume fait une arabesque et va retrouver son sujet fétiche : l’Algérie. On peut en déduire que si les migrants sont mal traités en Pologne, c’est à cause de l’Algérie. Il en est de même d’une chronique sur la Roumanie puisque Daoud est universel. Pour lui, tous les chemins du malheur mènent à l’Algérie.

Aux intellectuels et universitaires qui se sont opposés à ses positions (le mot idées serait flatteur), il répond, en se réfugiant dans un vocabulaire creux comme un tambour, que «c’est au nom de l’anticolonialisme et de l’inquisition qu’on lui interdit de penser». Après sa tribune délirante sur des viols de Cologne qui n’ont jamais existé, dans laquelle il présentait l’Arabe comme une sorte d’être génétiquement violeur, les intellectuels qui ont protesté lui auraient organisé un procès stalinien. Il annonce même à grands fracas qu’il va quitter la scène, et prendre la porte. Ce qui serait une bonne idée, s’il la laisse ouverte, sera nous faire de l’air. Mais rassurez-vous, il y a le goût d’être sur les planches et celui des droits d’auteur : il revient par la fenêtre. Recyclant les clichés les plus éculés – mais toujours orientalistes –, il déverse incessamment une haine inégalée du «musulman». Elle a un sens, son engagement dans la guerre du «choc des civilisations» le monstre agité par les forces les plus réactionnaires, celui qui marche main dans la main avec «le grand remplacement».

Il suffit de lire au hasard, avec rage et courage, cette phrase de Daoud : «Les derniers colons de ce pays plantaient plus d’arbres que ceux qui l’ont libéré…» Oubliant en passant la nature de celui qui tenait la pioche. Il va jusqu’à regretter l’attitude consensuelle montrée par Jean-Pierre Chevènement lors de son passage à Oran en septembre 2010, et plaide, lui Daoud, la cause des Français nostalgiques de «l’Algérie française». Aidé de son cerveau servile, ce Zemmour algérien affirme, contre toute l’Histoire, que «c’est la France qui a décolonisé la terre». Et le peuple algérien n’est pour rien dans la lutte pour une indépendance tombée du ciel colonial, une insulte à la vérité, à la mémoire, à l’histoire, aux universitaires, aux intellectuels. Ce concept de la «décolonisation» porté aussi par Daoud Kamel est, en fait, une ultime manœuvre coloniale. Avec Kamel Daoud, nous sommes dans le colonialisme d’outre-tombe. Son projet est clair, son flot de vomi, qui a pour but de flétrir tout ce qui est algérien, doit nous donner à croire que «l’indigène ne peut se libérer, on l’a donc décolonisé».

Moment de détente, ou de saine curiosité satisfaite, moi qui croyais pouvoir accéder à des confidences sur son passé «islamiste», j’ai été déçu par ce livre. Aucun signe, aucun mot, aucune confidence sur ses engagements auprès des forces violentes, qu’il qualifie lui-même de terroristes. Cette amnésie est confirmée, comme le démontre le livre Contre-Enquête (Editions Frantz-Fanon) d’Ahmed Ben Saada : Kamel Daoud est passé à autre chose, Allah est oublié.

Jacques-Marie Bourget, journaliste français, et expert de notre monde, le qualifie de «grenouille autopsiée». Pour Jacques-Marie Bourget, Daoud est «le supplétif des pires néoconservateurs français», «l’indigène alibi». Et le grand et vrai écrivain Rachid Boudjedra a cloué le cercueil en le mettant à nu.

Pour bien revendiquer son appartenance aux camps des civilisateurs, Daoud joint donc sa voix aux tenants du choc des civilisations, depuis en fait, depuis Mahomet et même avant, le seul but du musulman est de vaincre toute la planète. Ainsi, pour lui, pas de différence entre le sacrifice du militant anticolonial Ali La Pointe et le tueur toulousain Mohamed Merah. Pour bien nourrir les phantasmes et la haine, ce néo-harki de la pensée apporte sa contribution : il stigmatise les habitants des quartiers populaires, en s’interrogeant sur «les milliers de Mohamed Merah» qui sont «partout», «dans une salle de bains, l’arme au poing», ou quelque part, «debout au bas de l’immeuble». Peut-être Daoud n’a-t-il pas lu les confidences d’Albert Chennouf-Meyer (Abel, mon fils, ma bataille. Ed. Du Moment, 2013), père d’Abel, l’une des victimes des tueries de Toulouse ? Et, suivant la doctrine et le mode de penser de ce nouveau philosophe, il est temps de nous poser, nous aussi, une question : «Combien de Daoud sévissent dans les rédactions des journaux algériens ?»

Versant dans le tribalisme le plus rétrograde, il appelle de tous ses vœux, dans chaque région, à ne parler autrement qu’en dialecte local. Pour Kamel Daoud, la langue s’écrit «avec l’âme». Dans une reptation de serpent, il veut voler ainsi à la rescousse de groupes qui prétendent dynamiter l’Algérie. Comme ces mouvements croupions et d’extrême droite qui prétendent défendre (sans doute mieux que Kateb Yacine) la langue et la culture berbères ! Puisqu’il ne lit que Debray et Bernard-Henri Lévy, il n’a pas ouvert le magnifique bouquin de Patricia M.-E. Lorcin Les Identités coloniales… une lecture capable de laver la tête de KD Kamel Daoud. Au-dedans. Le titre que mérite cette «somme» de Daoud est simple : «Chroniques de l’horreur.»

Je n’ai trouvé qu’un point sur lequel on puisse gloser sur du Daoud, c’est quand il écrit : «On a détruit les libertés et les libérations acquises après le départ des colons.» Il est effectivement exact qu’un peuple martyrisé, abandonné dans le concert des nations, trop seul après sa révolution ait commis des erreurs et connu des errances. Il est effectivement exact que l’Algérie se cherche toujours. Mais oublier une guerre civile provoquée par les anciens Frères idéologiques de Daoud, ce n’est pas omettre un détail. Mais ce «lissage» permanent de l’histoire, sa recréation sont le carburant que permet à Kamel Daoud de poursuivre ses livres et chroniques de flagellations des «Algériens», de l’«islam», de l’«Arabe», du «régime». Sans cette interminable mise à mort, le livre n’aurait que l’épaisseur d’un album à colorier.

Il est drôle, piquant, amusant de retrouver soudain notre Kamel Daoud quand il revient à sa source d’inspiration première, le wahhabisme. Tout cela sur le mode mondain, chic-français, convenable. Notre immense écrivain, notre Hugo à nous, a découvert le Qatar et ses vertus, vertes comme le dollar. Pour Daoud, le Qatar n’est pas ce qu’il est, c’est-à-dire un pays sans Constitution, sans lois, corrupteur et esclavagiste ayant naguère condamné un poète à mort au prétexte qu’il avait souhaité la venue d’un «printemps» à Doha. Mais le Qatar, versus Bernard-Henri Lévy, n’est-il pas le prototype d’un islam moderne, compatible avec la démocratie et il distribue des prix littéraire, organise de généreux colloques ? Donc, pour Kamel Daoud, la monarchie du Qatar, c’est top. Je lis : «Le Qatar a réussi à exporter l’image d’un pays où l’on peut dire des choses, où l’on assume les relations internationales, même avec Israël, sans hypocrisie, où la liberté de culte n’est pas qu’une chasse aux casse-croûte et où les droits de la femme sont les plus respectés dans cette région du monde, la révolution Al-Jazeera a fini par ‘’enfoncer’’ encore plus le reste du monde ‘’arabe’’, en en soulignant, par contraste, le calendrier moyenâgeux.» Ce propos est outrancier dans un pays, je le répète, où le droit n’existe pas, sauf la Charia que l’on impose jusque dans le lycée, pourtant baptisé… Voltaire !

Quel crédit accorder à ce faussaire erratique capable de célébrer Israël, tout en qualifiant cet Etat de «raciste» et «sans frontières». Dans sa posture de penseur couché, il ne veut pas voir le droit international et islamise la cause palestinienne. Il l’arabise, l’islamise à sa façon, et n’irait pas jusqu’à lire les rapports de Goldstone et de Richard Falk ou tout simplement les livres de Shlomo Sand, Ilan Pappé et ceux du courant israélien des «Nouveaux historiens». Pour Daoud, le summum de l’injustice, celle faite aux Palestiniens n’existe pas puisqu’il est impossible d’être «injuste» avec des «Arabes, des musulmans». Peut-être, afin d’adoucir son regard, et rien que pour Kamel Daoud, l’Algérie devrait organiser un ghetto type «Gaza» ?

Sans aucune honte, l’effroyable auteur bas de plafond ose écrire : «Le mort palestinien sera un homme tué lorsqu’il ne sera pas un barbu mort ou un Arabe bombardé.» Un passeport pour le crime et bientôt le génocide. Et ce n’est pas parce que dans sa bande Daoud n’est pas seul que l’effet de groupe constitue une excuse. Que valent au poids des piges, des cachets et des droits d’auteur, les plumitifs que l’on découvre à marée basse, au plus bas de l’humanité, rien d’autre que de la haine. Dans ma culture berbère universaliste (et non tribale), il existe un mot pour qualifier ce nuisible : azrem, le serpent.

B. S.

Comment (233)

    Hadji
    15 décembre 2018 - 9 h 54 min

    Souk-Ahras
    15 décembre 2018 – 1 h 43 min

    On ne refait jamais la même signature , cher ami, quoi qu’on signe. Et on ne lit jamais de la même façon selon l’angle d’où on regarde.

    Le logiciel en question c’est pour m’éviter de me farcir des lectures harassantes et inutiles car figurer-vous que je n’ai pas que ça à faire. Par contre rien qu’avec ce que j’ai lu je peux confirmer qu’il y a des similitudes justement ne serait-ce qu’aux niveaux vocabulaire et syntaxique et les différences qu’on peut y voir ne font que confirmer une distanciation sinon une ambivalence, et un manque de sérieux, ou, pire, une rivalité dans la défense du même totem,

    Un même objectif donc, avec des méthodes différentes qui en profondeur révèle une déshérence intellectuelle qui caractérise quasiment tous les intellectuels algériens d’un certain âge revenus de fantasmes jamais aboutis (pléonasme) avec des lubies tenaces et qui regardent leurs vielles lunes avec une tendresse paternelle et des regrets.

      Zaatar
      15 décembre 2018 - 10 h 11 min

      Mon cher Hadji, j’ai appris aussi qu’on ne refait jamais la meme signature, trois fois de suite c’est dans la serie highlander dont l’acteur qui a tenu le role de Duncan Mc Leod vient de deceder. Maintenant vous dites que vous avez detecte des similitudes que vous confirmez dans la syntaxe et le vocabulaire, cela peut arriver, mais la suite de vos propos nous fait dire que vous devriez aller vous faire soigner, que vous etes serieusement atteint et que vous attribuez a d’autres tout ce qui a ete decele en vous. Serieux l’ami allez consulter. C’est pour votre bien que je dis cela.

      Karamazov
      15 décembre 2018 - 10 h 18 min

      Si c’était pas adressé je me serais presque senti visé. Cela me rappelle mes propres démons. Sauf que j’ai appris a les laisser s’étriper. Vous cultiver monsieur l’art de vous emmêler dans vos propres contradictions .

      Vous venez de nous faire la démonstration que la contradiction est dans votre dialectique qui rend un négatif , un cliché, de la réalité à la quelle vous l’appliquez. Vous tirez des plans à partir de l’idée que vous vous en faites et non du réel lui même.

      Pour vous donc si le marxisme constitue une idéologie c’est parce qu’il constitue une seule personnalité, et vous faites fi de la sensibilité.

      Ce que les commentateurs apportent ici , ce ne sont pas des analyses , comme prétendues telles par nos chroniqueurs attitrés et leurs bigots fanatiques, mais des sentiments ou des impressions même si au fond ils valent plus que les analyses et sont plus proches de la vérité.

      Revoyez votre logiciel !

      Souk-Ahras
      15 décembre 2018 - 10 h 54 min

      @Hadji bonjour,

      Quelques insignifiantes fautes d’accord par ci, de grammaire par là, ne sauraient m’empêcher de vous dire que je vous ai reçu 5/5 cher ami Un Lecteur Lambda, pardon, cher ami Hadji.

      Souk-Ahras
      15 décembre 2018 - 12 h 10 min

      @Hadji bonjour,
      Quelques fautes d’accord par ci, quelques autres de grammaire par là, ne sauraient m’empêcher de vous dire que je vous reçois 5/5 cher ami Un Lecteur Lambda, pardon, cher ami Hadji.

    benchikh
    15 décembre 2018 - 9 h 43 min

    permettez- moi AP de répondre à cette question simple,Mr Daoud sert comme un jeu d’artifice ,pour montrer que le ciel de Paris est beau .

    Karamazov
    15 décembre 2018 - 9 h 21 min

    C’est vrai que je suis un vieux, insupportable acide , acariâtre, et blasé qui pisse du vinaigre à tout instant . Mais je suis encore loin du seuil de la sénescence. J’habite à coté d’un lac qui fait quelque km de circonférence et je m’entretiens. Deux fois par semaine je fais mes 5450 mètres google earth et weywey en témoins. Je relève le pari lancé par Zaatar excepté la natation, ou alors en profondeur seulement , car je nage comme une enclume.

    La sénilité précoce , la déficience cérébrale , n’attend pas la longueur des années

    Moussa Benalla
    14 décembre 2018 - 21 h 35 min

    Si ce n’est pas honteux de se brimer comme ça pour pouvoir être lu par de vrais lecteurs et pas par des bouquineux de gare. J’en suis écoeuré qu’ils en soient arrivé là !

    Mina Ouiza
    14 décembre 2018 - 21 h 25 min

    J’ai envoyé au moins une dizaine de posts pour dénoncer tout ça avec des analyses à l’appui qui hélas n’ont pas été publiées.

    Mais ça coule de source ! C’est tellement flagrant que le plus naïf d’entre nous ne s’y laisserait pas prendre. Tout y est: la syntaxe, le style, la tournure de phrase et les mauvais emprunts aux Kabyles dévergondés comme eux.

      Krimo
      15 décembre 2018 - 10 h 34 min

      Mina Ouiza

      C’est le Cercle de Vienne revisite par nos « djometro » de circonstance.
      C’est aussi la meme claque qui essaime le matindz . N’est ce pas Avelka ?

    Abou Langi
    14 décembre 2018 - 21 h 17 min

    Effectivement, je ressemble à Lucy Fer ! Et je suis beau comme papa!

    Malek Oudad
    14 décembre 2018 - 21 h 10 min

    Votre perspicacité est à toutes épreuves les amis. Je ne donnerais pas ma main à couper ni ma langue au chat parce que j’en ai encore besoin pour écrire et pour parler, mais je suis près à parier une Tournée général de lben que c’est effectivement KD , Sansal, Ou Zaoui qui se font de la promotion gratuitement.

      Zaatar
      15 décembre 2018 - 6 h 55 min

      Tournee generale de lben? Pas d’autres choses liquides? Pourquoi pas une tournee generale de Coca Cola par exemple? Ou de Hamoud Boualem? Quoique la tournee generale a son sens bien precis, et est nee dans des circonstances bien precises pour y etre adoptee dans ce contexte… enfin, vous avez compris, on n’est pas dans les annees 1800, mais la tradition n’a pas change l’ami, la tournee generale veut bien dire ce qu’elle veur dire. Mais j’accepte le Coca en attendant, car vous avez tout faux dans vos propos.

    Hadji
    14 décembre 2018 - 20 h 57 min

    Bravo les gars vous les avez débusqués ! Je pense que Zaoui et aussi de la partie , ou Sansal, mais je n’arrive pas encore a déterminer de qui il s’agit. J’ai un logiciel qui est capable de dire qui écrit mais il hésite .

    Il y a des chances qu’ils s’approprient un pseudo ou l’autre pour continuer à mieux se cacher .

    Mais chapeau ! On ne vous la fait pas.

    AP devrait les forcer à se démasquer ou arrêter de les publier sous ces pseudos !

      Souk-Ahras
      15 décembre 2018 - 1 h 43 min

      @Hadji bonsoir,

      Vous vous occasionnez des frais inutiles cher ami intervenant. Pas besoin de logiciel pour savoir si c’est la même personne qui écrit sous plusieurs pseudos. Il suffit de considérer comme il se doit la syntaxe utilisée.
      La syntaxe est l’ombre qui vous suit dans chaque ligne ou phrase que vous couchez, même de nuit. Elle est un appareil pourvu de vision nocturne, rien ne peut lui échapper.
      Avec cet appareil, qui ne vous coûtera qu’un peu de votre temps, vous pouvez aisément « débusquer » Souk-Ahras qui ne peut être Zaatar, qui ne peut être moi-même ni Abou Langi qui n’est que lui même, différent de Karamazov qui, lui, n’est ni nous ni les autres confondus qui ne sont eux mêmes que des « moi » indépendants du nous. Vous pouvez étendre l’utilisation de cet appareil à Zaoui, Kd, Sansal et tous ceux qui vous fâchent.
      Bon courage.

      Zaatar
      15 décembre 2018 - 7 h 01 min

      Ben tiens, je suis Boualem Sansal. C’est celui que je connais le mieux parmi la bande qu’on n’arrete pas de matraquer. Je connais BS parce que c’est un excellent electromecanicien de polytech. Un ingenieur bien forme qui a juste frole les couloirs de la politique chez nous avant de tout leur renvoyer a la figure au ministere de l’energie et qui s’est mis a ecrire. Voila pourquoi je suis Boualem Sansal.

        Krimo
        15 décembre 2018 - 10 h 51 min

        Zaatar,

        Moi aussi je connais ceux de l’ancien CAHT et ses dernieres ramifications …….

    Ali
    14 décembre 2018 - 20 h 25 min

    y en a marre de ces pseudos débiles (abou longi, ukaci , et karazov souk ahras).Cela fait longtemps que tout le monde découvert le pot aux roses :c’est un seul et meme troll qui pollue votre site.Je mettrais ma main au feu , si ce n’est pas cet écrivaillon de KD qui se fait de l’autopromotion.Ce ne sont pas des nullard comme des gens de cet acabit que la justice et la liberté d’expression gagnera ses lettres de noblesse.Cette engeance qui mange à tous les rateliers est condamnée à briller avec l’éclat d’une étoile filante et s’éteindre une fois pour toute dans le firmament de la « belle » patrie des Lumières.
    Quand aux torchons de ce journaliste raté , sois en sürs , personne ne les achète chez nous.

      SoyonsLogiques
      14 décembre 2018 - 21 h 22 min

      L’ecrivain-journaliste Daoud sert au moins à une chose :à délier la langue de celles et ceux ennemis de la libre expression qui versent dans la critique stérile voire l’insulte tout court pour la simple raison qu’ils ne lui arrivent mème à la cheville.C’est drole tous ces algériens (KDaoud,Sansal,Idir, Khaled,Rebrab…)qui ont fait connaitre notre pays à l’international comme étant un vivier d’intellectuels,de scientifiques et des managers de haut rang plutot qu’un vivier d’islamistes radicaux et d’indigènes ,sont montrés du doigt comme des ennemis à leur patrie et que leurs réussites n’est due qu’à leur compromission au sionisme.Rien que cà.

      Zaatar
      14 décembre 2018 - 22 h 31 min

      Cher @Ali,
      Vous avez l’esprit bien fertile apparemment, plein d’idees qui peuvent germer a tout bout de champs, dommage juste que ca ne soit pas mis a bon escient… c’est vraiment dommage.

      Souk-Ahras
      15 décembre 2018 - 1 h 06 min

      @Ali bonsoir,

      Souk-Ahras, dans l’est algérien, est ma ville de naissance, mon pseudo lui est reconnaissant.
      À chaque fois qu’un intervenant m’interpelle, j’argumente une réponse polie et respectueuse dépourvue de l’injure gratuite. C’est un devoir premier dans un échange.
      Pourquoi « débiles », pourquoi trolls, pourquoi « nullards » ?
      Sont-ce là les seuls arguments plausibles que le supposé contradicteur Ali peut exposer en réponse à d’autres intervenants ? Si oui, Ali devient alors ce qu’on appelle communément un détracteur, c’est à dire quelqu’un qui cherche à rabaisser celui d’en face sans réflexion préalable sur le pourquoi du comment.
      Si vous avez lu KD et que vous l’injuriez ensuite parce-que vous n’êtes pas d’accord avec ses idées et propos, cela veut dire qu’il a ébranlé jusque vos certitudes profondes, vous n’y pouvez rien car c’est une réaction chimique psychique incontrôlable.
      Si vous n’avez pas lu KD et que vous l’injuriez quand même, cela veut dire que votre organe naturel de déduction est en panne et, conséquemment, il devient plus aisé pour vous d’invectiver.
      SVP, merci de ne pas me répondre par l’injure.

      Argentroi
      15 décembre 2018 - 9 h 02 min

      Et y en a marre de ces quelques missionnés formatés par la culture complotiste de leur mentors de l’extrême droite française et qui veulent transposer leur vision communautariste de cité à la réalité algérienne. Ils veulent jouer aux défenseurs des traditions comme pour être au diapason avec le conservatisme du bled du fait qu’ils subliment encore une certaine Algérie qui, d’ailleurs, n’existe que dans leurs têtes. C’est pourquoi, ils pensent qu’il n’existe pas de lecteurs en Algérie qui puissent apprécier Kamel Daoud, eux qui ne peuvent apprécier ni Zola, ni Balzac, ni Abbas Mahmoud Al-Aqqad. En somme, c’est le complexe du colonisé qui a peur de se libérer et qui se recroqueville encore plus devant les nouveaux et nécessaires défis tels la liberté d’expression qui, pour eux, ne doit rester qu’au stade de slogan pour qu’ils puissent seulement s’en vanter devant l’occidental : nous aussi on a la liberté d’expression, et depuis la nuit des temps !

    KADER
    14 décembre 2018 - 20 h 18 min

    Qu’attend-on pour virer cette grenouille qui veut se faire aussi grosse qu’un boeuf.Ce plumitif a trouvé le bon filon : provoquer faire parler de lui et rétirer les dividendes de ses grossières provocations racistes.ABOU LONGHI alias KARAMAZOV et Kamel sont la meme personne qui alimente le brasier raciste de leur fiente afin d’en retirer vanité et et pieces sonnantes et trébuchantes garanti par un mecène judéosioniste.

    ZORO
    14 décembre 2018 - 20 h 15 min

    Quel avenir a t il ce jeune KD supporté par mello, aboulangi, qaramazov , el ghoul,souk ahras, zaatar et d autres clones vieillards a bout de souffle.
    SIGNEZORO….Z….

      Zaatar
      14 décembre 2018 - 22 h 37 min

      Vieillard a bout de souffle? Je te met au defi Don Diego… au 5000 m, au 3000m steeple, au 100m vitesse, et au 200m papillon… crois moi je ne plaisante pas. Tout le monde a l’air decontenance par les propos de ceux que vous citez et que vous traitez de vieillards a bout de souffle. Alors mon ami vous serez egalemebt deconcerte par notre condition physique.

        ZORO
        15 décembre 2018 - 8 h 16 min

        Salut Zaatar,Si tu continues a fumer je suis pret a relever le defi parce que moi j ai arreté en 86, sinon je ne prend pas de risque , ces derniers temps j ai un probleme de genoux .
        SIGNE.ZORO. ..Z….

          Zaatar
          15 décembre 2018 - 10 h 02 min

          Le rouille c’etait donc toi, inutile de lancer un quelconque defi physique, ca te fera peter le genoux. Pour celui qui voit les autres a bout de souffle, il aura interet a se changer de genoux plutot.

      Souk-Ahras
      15 décembre 2018 - 3 h 16 min

      In the dream the wind seems to sigh lightly once in a while. You’re sighing isn’t it ? C’mon, speak the truth, you become embittered old chap ! It’s sheer slavery, it makes you old before your time and I feel very sorry for you, but I don’t see how I can help you.

      Souk-Ahras
      15 décembre 2018 - 9 h 59 min

      @Zoro bonjour,
      Je viens juste de terminer mes 22 km de jogging aller/retour que je pratique 1j/2, en partant d’un creux de Souk-Ahras, contournant la cité résidentielle « Baoulou » (du nom de l’ancien propriétaire terrien Paolo), longeant l’université Mohamed Chrif Messa3dia, en direction de Aïn-Seynour (sans y arriver) par la très l’ancienne route des colons, d’un dénivelé d’environ 800m, en 1h45mn. Et dès la mi-mars, je me rends 2 fois par mois à Aïn 3chir plage à Annaba pour y effectuer 2km de crawl tôt le matin quelque puisse être la météo du jour. Alors oui, je ne peut être qu’un vieillard de 70 ans à bout de souffle. Et maintenant une bonne douche bien chaude avant d’aller au hammam l’wouestani ce soir.
      De toi à moi, In the dream the wind seems to sigh lightly once in a while. You’re sighing isn’t it ? C’mon, speak the truth, you become embittered old chap ! It’s sheer slavery, it makes you old before your time and I feel very sorry for you, but I don’t see how I can help you.

        Anonyme
        15 décembre 2018 - 12 h 08 min

        Salem Souk ahras
        Pourquoi exactement 22 km, tu aurais pu choisir un autre nombre autre que celui du code de ma wilaya22 ,et tu oses parler de jalousie. A la lecture de tes exploits j ai voulu te croire et te remettre mon chapeau ‘ma cape ,mon masque et tornado pour faire de toi le nouveau ZORO de ce site , malheureusement pour toi j ai constaté que tu es frappé d insomnie ,tu etais seul sur ce site a 3h16 ,a 1h 06 a 1h 43. Insomnie ou alzheimer? je ne sais pas mais tu n es plus le superman que tu prétends.

    MELLO
    14 décembre 2018 - 19 h 56 min

    Kamel Daoud, par sa vision manichéenne, ses écrits sciseles sans atermoiement, nous ouvre l’esprit critique des choses qui nous entourent. Les lignes rouges imposées par les tenants du pouvoir , deviennent pour lui des lignes  » vertes » à explorer. L’Algérie , cette Algérie moderne , peut être fière d’enfanter un ecrivain-critique de la trempe de Kamel Daoud. Chapeau bas.

    ZORO
    14 décembre 2018 - 15 h 01 min

    Encore un de vos mensonges propagandiste pour discrediter l arabe sous couvert de l oranien, ce qui me parait etrange c est votre fixation sur l ouest et pourtant c est de l est que les arabes sont arrives.Toutes les villes de l oranie region hospitaliere et genereuse a l instar de ses habitants les arabes , avaient et ont encore plus de kabyles. Nos vastes plaines restent toujours pretes a accueillir tout Agerien qui ne se voit pas un pur sang ou un descendant de chechnok le phararon exilé en egypte sur le dos d un pachyderme ,nos terres ne se rappellent plus de l elephant ni de l ane d or d Apulee c est le canasson arabe qu elles ont adopté pour etre en phase avec la nature .
    SIGNEZORO….Z…..

      Abou Langi
      14 décembre 2018 - 16 h 45 min

      Justement , Nous disons que vous êtes accueillant. Contrairement à nos montagnes hostiles. Vous étiez arabes avant d’être arabisés. Quant à cette boutade: « c’est par l’est qu’ils sont arrivés », là je ne mens pas concerné. Bande d’ingrat vous pouvez les remercier de les avoirs laissés passer !

        ZORO
        14 décembre 2018 - 17 h 09 min

        Detrompes toi ABOULANGi, la montagne n a jamais ete hostile ni a l homme ni aux betes, c est l esprit comme le votre qui l a toujours eté envers l homme et envers la montagne.Si la montagne avait des ailes elle se serait envolee pour vous laisser a decouvert tellement elle en a marre de vous voir coller a ses figuiers et ses oliviers.

        SIGNEZORO…Z…

          Zaatar
          15 décembre 2018 - 6 h 06 min

          Pourtant, que la montagne est belle, comment peut’on s’imaginer, en voyant un vol d’hirondelles que l’automne vient d’arriver.

      Abou Langi
      14 décembre 2018 - 17 h 42 min

      Nous aussi nous sommes accueillants ! On a bien reçu les pères-blancs on peut vous prendre aussi KD!

        ZORO
        14 décembre 2018 - 17 h 55 min

        KD ne peut vivre que dans vos bras, Zaoui le jaloux se demele pour le rejoindre faites lui plaisir, dites de lui un mot ,prenez le seulement par devotion quoiqu il est loin d avoir du talent.
        SIGNEZORO…Z…

          Abou Langi
          14 décembre 2018 - 18 h 12 min

          Zaoui , Sansal, c’est déjà fait, la3qouba pour YK.

          ZORO
          14 décembre 2018 - 19 h 17 min

          YK S il a le meme caractere que son pere ou son oncle
          MOULSHOUL HADJ que j ai connu comme commandant de compagnie a bechar celui la vous ne l aurez jamais son pere ou son oncle etait un brave homme.il lui ressemble enormement.
          SIGNEZORO….Z….

      Karamazov
      14 décembre 2018 - 17 h 53 min

      On vient d’interdire à Qanal+ de tourner un documentaire sur Y.K. à Oran . Et pourtant ils ont laissé passer le capitaine de Bourmont fils du Général en 1800 zikheni. Encore un pestiféré?

      Abou Langi
      14 décembre 2018 - 19 h 45 min

      Mais ce n’est pas nous qui les demandons, c’est vous qui les reniez ! C’est pour rendre service qu’on vous les prend !

      Abou Langi
      14 décembre 2018 - 19 h 47 min

      Si vous voulez on peut vous les échanger, contre de bons musulmans kabyles. Une trentaine pour chaque?

        ZORO
        14 décembre 2018 - 19 h 59 min

        J ai des voisins kabyles que je n echangerai jamais contre une chine de DAOUD &clones.
        SIGNEZORO….Z…

          Abou Langi
          14 décembre 2018 - 20 h 15 min

          C’est nous qui vous fournirons de bons musulmans Kabyles en échange de KD . YK et Zaoui! On ne va pas quand même vous prendre des kabyles que vous avez frelatés !

          ZORO
          14 décembre 2018 - 20 h 47 min

          Tu dois savoir abou langi que nos freres kabyles arrivent afwajen afwaja l ALGERIE est vaste , l oranie et ses arabes sont accueillants quant au frelatage qui ne l a pas ete ? ,Regarde toi sur une glace si tu ressemble a lucy la mere de votre humanité tu pourrais alors crier » JE SUIS LE GORILLE QUI FAIT exception.
          SIGNEZORO…Z….

    Maarouf
    14 décembre 2018 - 10 h 33 min

    @Zorro
    Même Satan ne voudrait pas de leurs âmes, seuls les sionistes ici-bas sont preneurs !

      Zaatar
      14 décembre 2018 - 14 h 41 min

      Et que savez vous de Satan? Vous connaissez ses gouts? Moi je me restreint a ce qu’on dit juste de azraien, d’ailleurs je ne sais pas s’il s’agit du meme etre. Et je ne sais meme s’il s’agit d’un vivant et qu’il respire de l’O2 et qu’il boit de l’eau. De la a connaitre les preferences de satan ou de belzebuth je ne m’y avancerai pas.

    Karamazov
    14 décembre 2018 - 10 h 11 min

    Dans nos fables de Qabylie , on a demandé à la tortue : ayène agharaf agui a ifker ? Mais pourquoi tu portes une meule sur ton dos tortue ? Elle a répondu : c’est comme ça que je suis née.

    Ma3toub, à propos de ceux qui sont fiers de leur religion, de leur arabité et des tas d’autres « qalitis » dont les envahisseurs arabes les ont « gratifiées » , que ces gens là , s’il leur poussait du chiendent à la place des cheveux oula tetih fihoum la généreuse mchouma hachakoum, ils les cultiveraient fièrement et s’en vanteraient comme leur thaqafa. Soummoun, boukmoun , wa inahoum la yardji3oun !

    C’est ainsi, il y en a qui faute de pouvoir s’en débarrasser s’en vante comme d’une qualité. Ce n’est pas ce que j’irai leur reprocher.

      ZORO
      14 décembre 2018 - 12 h 17 min

      Ceux qui sont fiers de leurs islam et de leur arabite , le sont depuis 60 generations a savoir 15 siecles , ils n ont pas attendu durant ce temps les bras croises devant une cheminée de longue nuits tenebreuses et neigeuses sur les cimes de nos montagnes,l’ arrivee du pere noel ou du pere blanc comme l avoue Matoub devant Anne synclair, pour leur annoncer qu ils etaient des hommes libres c est a dire des AMAZIGH dans leur langage.
      SIGNE.ZORO. ..Z…

        Abou Langi
        14 décembre 2018 - 12 h 45 min

        C’est vrai que nous autres kabyles nous av ons attendu sagement que toute l’Algérie se soit rendue à Fafa pour accueillir les pères blancs. Et surtout on a été les derniers à prendre les armes pour la sortir au point de surprendre les Oranais qui se demandaient ach bihoum leqbayèle m3a frança ?

          Houari
          14 décembre 2018 - 13 h 47 min

          Les oranais ont donné le premier martyr à la guillotine

          Abou Langi
          14 décembre 2018 - 14 h 05 min

          C ‘est normal, c’est à Oran que le général de Bourmont a débarqué le 14 juin 1830 .

          ZORO
          14 décembre 2018 - 15 h 10 min

          TU as raison ABOU LANGI C est a oran qu il a debarque BOURMONT le general il a trouvé devant lui des zouaves qui l applaudissaient en le suppliant de les enroler dans ses troupes pour mater l arabe et le musulman.
          SIGNEZORO….Z….

        Zaatar
        14 décembre 2018 - 14 h 14 min

        Il est vrai que l’on peut etre fier de sa connerie 15 siecles durant. On ne peut le leur reprocher, mais laissez les autres etre fiers de leurs conneries aussi… ce n’est pas equitable ainsi?

          Abou Langi
          14 décembre 2018 - 14 h 28 min

          Mais KD pense que ça se soigne ? C’est pour ça qu’il a arrêté !

    ZORO
    14 décembre 2018 - 9 h 40 min

    Le simple lecteur de journaux que je suis s en fout éperdument du côté littéraire que vous essayez de mettre en exergue pour dissimuler le mensonge , l insulte et le mepris de Daoud a l encontre des arabes et musulmans et de la guerre d Algerie.Tout Algerien fier de sa religion de ses origines et ne vous en déplaise de son arabité , doit opposer toutes ses forces aux neo harkis qui ont vendu leur ame a satan pour quelques euros et quelques galons sur une poitrine ,tel ce harki d un certain age que j ai vu a 10 ans poitrine decoree de tous le galons que fafa pouvait donner a l arabe il se pavanait au milieu des femmes algeriennes quand la France decida ce jour de la greve de 1961 ,de diriger tous les hommes vers oued mekkerra. a sidi bel abbes pour les punir les salir et les faire souffrir au milieu de l eau nauséabonde de l oued pollué ,il ne restait que cet individu et ses galons au milieu des etres de son genre (des femmes )qui le vomissaient ,le  » courage ‘et la  »témerite  »debordaient de ses galons acquis par la traitrise le deni de soi et le deshonneur a l instar du courage et la témérité de Daoud que decrivent Qaramazov et les gens de la tribu qui poussent Kamel l arabe et musulman qui se renie à encore plus de bassesse pour l amoindrir et le rendre a neant pour satisfaire leur dessein machiavélique initie par Rushdi et ses versets et Taslima Nesrine la feministe
    SigneZORO. …Z….

      Karim
      14 décembre 2018 - 11 h 44 min

      Effectivement, ce n’est ni le talent littéraire de Kamel Daoud, ni sa témérité, qui expliquent le soutien des gens de la tribu. On l’a tous compris, c’est la trahison envers « les siens ». En France, les identitaires, les nostalgiques de l’Algérie française et les sionistes ont trouvé en Kamel Daoud un arabe de service utile dans leur guerre idéologique contre les musulmans, d’ou ce battage médiatique disproportionné autour de lui, en Algérie, les gens de la tribu ayant fait une mauvaise lecture de l’Histoire sont dans un délire permanent de revanche contre leurs frères arabophone et considèrent donc Kamel Daoud comme un ex ennemi qui a rallié leur camp dans cette supposée guerre des identités.

    Anonym
    13 décembre 2018 - 21 h 53 min

    Kamel comme tout les autres qui reflechissent comme lui ont droit d’insulter ce qu’ils veulent et peuvent insulter librement dans les plateaux de tv de siadou et je dirai même siadkoum,la haine est en lui , chez vous etn’oubliez jamais que vous êtes chez eux,vous l’appelez un écrivain,pour nous un con qui s’exprime bien en langue francaise,chez nous on dis juste iheb yetfelssef,croyez moi y’en à beaucoup comme lui.

    Zubar
    13 décembre 2018 - 20 h 58 min

    J’aime le style d’écriture de Kamel Daoud mais je suis très loin d’être d’accord avec tout ce qu’il écrit. j’ai acheté récemment son recueil de chroniques et ça m’a aidé à supporter le voyage de retour d’Alger. certaines chroniques m’ont fait rire de plaisir d’autres m’ont rappelé des faits que j’ai vécus et d’autres m’ont dégoûté au point de ne pouvoir les terminer, Et alors ? Est-ce que Kamel Daoud mérite autant d’insultes ? autant de haine ? Il est libre d’écrire ce qu’il veut et que ceux qui le critiquent avec autant de véhémence nous proposent des écrits qui nous procurent autant de plaisir à lire, qu’ils se fassent un nom par leurs écrits, par leurs idées.

    Djazairi
    13 décembre 2018 - 20 h 28 min

    Votre daoud chez nous on l’appel aaroubi,chez vous bouarabene,quand il sagit de votre meheni vous sortez tous de votre fourmilière pour répondre a ceux qui le critiquent de racistes de bouarabenes etc,je rend la balle a ceux qui penssent plus que leurs gros tête,et si ce daoud écrivait le contraire?vous le defenderiez au nom de la liberté d’expression?non je ne le pensse pas,vous savez pourquoi?parceque vous êtes des gens perdu,vous êtes dans une confision total,vous êtes comme notre AAROUBI.

    anonyme
    13 décembre 2018 - 19 h 58 min

    « Those who dare to cross the great rivers are not afraid of the small ones. »
    Chinese proverb

    Anonyme
    13 décembre 2018 - 14 h 19 min

    Il sert à faire tomber les masques de tout ceux qui plombent notre pays depuis 1962 et tout les partisans de  » avanciw l’arrière yerhem waldikoum » Et s’hab soutien critique a tout les regimes depuis lindependance  » Et rien que pour ça, on lui est immensément reconnaissant…. Transport Mr Daoud

    Maarouf
    13 décembre 2018 - 14 h 12 min

    @ Souk-Ahras Vous dites : « Je n’ai, à aucun endroit dans mon commentaire, dit ou laissé entendre que KD était audacieux » et plus loin, vous ajoutez : « certaines de ses positions (…), relèvent de l’audace. »
    Qui se contredit, vous ou moi ?

      Souk-Ahras
      13 décembre 2018 - 14 h 48 min

      @Maarouf, cher ami intervenant, j’ai l’impression que vous avez du mal à différencier l’affirmation de la supposition. J’ai abordé ma phrase avec une conjonction qui laisse imaginer une part de doute suivie d’un subjonctif.
      « Quoiqu’il faille » ne me contredit pas du tout.

        Zaatar
        13 décembre 2018 - 21 h 10 min

        @Souk Ahras,

        Salut l’ami, si maintenant il faut aussi faire des cours de Francais ici sur AP, on est alors mal barre. Auquel cas tout echange s’averera inutile, surtout lorsqu’il s’agit d’apporter la contradiction. En y rajoutant l’esprit obtu, la mayonnaise vire obligatoirement a l’acidite.

      Hend Uqaci
      13 décembre 2018 - 15 h 00 min

      SI KD ne cherchait qu’à vous plaire il n’aurait eu besoin d’aucune audace en effet pour écrire comme vous.

      Sans le venin et le fiel que votre tribu a déversés sur KD, je n’aurais vu dans ses écrits à peine qu’une pointe d’effronterie et en témoigne ce que certains d’entre nous écrivent ici à AP. Et qui ne sont que des euphémismes à coté de ce que nous pensons, si nous n’étions pas forcés à la pondération. Car à coté de cela KD me semblait un parvenu.

      Mais depuis que je vous lis à son sujet, pour sûr que KD a dépassé les limites du courage et même de la témérité .

      Et Si si si signor , on peut crier à propos de KD les mots de Danton et de Cambronne réunis !

      DE L’AUDACE, ENCORE DE L’AUDACE, TOUJOURS DE L’AUDACE ! Et M…. !

    Hend Uqaci
    13 décembre 2018 - 13 h 35 min

    @Tmouchentiya

    Vous me semblez oublier, Monsieur , qu »un écrit ne vaut que dans la tête de celui qui le lit. La saga d’Harry Poter de J. K. Rowling s’est vendue à près de 500 millions d’exemplaires et « 50 nuances de Grey » de la cougar  E. L. James. 125 millions. Est-ce de littérature ? ou n’en est-ce pas? Hugo, Balzac , Dostoïevski, Zola, Steinbeck, ne sont pratiquement plus lus.

    Ces deux Dames, contrairement à KD, n’avaient jamais rien écrit auparavant ni rien de tel après (?). Et beaucoup de ceux qui ont écrit beaucoup n’ont été que très peu lus. Combien de lecteurs ont lu B. Traven ? et pourtant Einstein disait que c’est le seul;écrivain dont il emporterait n’importe lequel de ses livres si on le perdait dans une île déserte.

    Un livre n’est rien en soit, son écriture n’est achevée que lorsqu’il est lu. C’est le lecteur qui le finit en lui apportant son propre imaginaire, sa propre culture, son savoir, etc.

    Si KD avait fait allégeance à la Palestine, avait professé sa foi, ou n’écrivait que des odes à papa, à la patrie, vous l’auriez porté aux nues. Pour vous un bon écrivain est celui qui défend vos causes , qui ménage votre refoulé, qui écrit des berceuses qui dorlotent votre mauvaise conscience et qui psalmodie vos litanies . Quitte à ce que ce ne soit que par vous qu’il est lu. KD fait le contraire , il malmène toutes vos rengaines , met son doigt dans votre pathos et ravive vos hantises et vos complexes d’éternels colonisés et par dessus toutes vos jalousies et malgré toutes vos haines, il est lu. .

    Un proverbe de chez nous dit «  yel wa aqerruy-is seddaw thchachit-is. Ce n’est qu’avec votre seul cerveau que vous pouvez appréhender les livres que vous lisez.

    Non, Monsieur, la littérature n’est pas que celle adoubée par les analystes, consacrée par l’académie, pas plus qu’elle n’est celle de l’élite. La littérature est celle qui est lue tout simplement. Sinon Céline à qui en tant qu’homme, pas encore en tant qu’écrivain, on pourrait comparer KD, par la controverse qu’ils suscitent , a été considéré comme un scribouillard par les écrivains légitimes.

    La majorité des critiques littéraires n’a jamais su écrire un livre qui a fait sensation.

    Un Lecteur Lambda
    13 décembre 2018 - 11 h 49 min

    @Boualem Snaoui Votre contribution confirme ce que beaucoup d’entre nous savent déjà. Elle vient compléter de façon précise et quelque peu imagée ce que vos collègues ont déjà brillamment esquissé. D’ailleurs, le personnage a déjà été présenté par Ahmed Bensaada, ce dernier l’a dépeint dans pratiquement toutes ses facettes. La « morale » de Kamel Daoud, sa « pugnacité », son « impertinence » son « audace » diraient certains, son « courage », etc., s’étalent çà et là au gré des chroniques de l’intéressé, de ses déclarations et prises de position politique sur bien des sujets. Il est indéniable que ce personnage a une « aura », il est en apesanteur ; « libre » de tout champ gravitationnel, il évolue dans une dimension autre ; il « pense », il « écrit », il « décortique » nos « errements » et « dissèque » nos conservatismes. Sa « lucidité » n’a d’égale que la force de son « verbe », quant à son caractère « vaillant », il lui a valu nombre de reconnaissances et de gratifications. D’autres ont également « brillé » de mille feux, à l’instar d’un Boualem Sansal, par exemple. L’autoroute du succès les dispense du « péage » de leur conscience. Tout se conçoit et se justifie y compris les pires abominations.

    Vous citez Jean Ziegler, un humaniste de la première heure (qui a accompagné mes lectures depuis tant d’années), un baroudeur de la vie, un intellectuel incisif, une pensée étincelante, d’une probité sans faille…, est-ce pour mieux mettre en exergue cette distance abyssale qui sépare l’idéal révolutionnaire dans ses dimensions humaines de… l’insignifiante posture d’un 3aroubi médiocre en pleine déshérence ?

      Abou Langi
      13 décembre 2018 - 13 h 53 min

      « Vous citez Jean Ziegler, un humaniste de la première heure (qui a accompagné mes lectures depuis tant d’années) ».

      Et c’est surement en lisant Ziegler , qui ne parle que de de Boualem Snaoui que vous avez eu le coup de foudre pour lui?

    Souk-Ahras
    13 décembre 2018 - 11 h 20 min

    @Tmouchentiya bonjour,
    Voilà, honnêtement un exposé étoffé et riche en détails sur l’art d’écrire, de raconter, de comment construire un livre ou une œuvre, comment se faire éditer ou publier…
    Et puis… ? Le charme se rompt, vous vous laissez entraîner dans la complainte du disque rayé. Vous vous projetez déjà à travers un certain avenir incertain de KD.

    « Lorsqu’on écrit, c’est pour raconter des faits vécus ou imaginés, une histoire qui véhicule des idées, provoque une réflexion. »
    N’est-ce-pas ce qu’il fait ? Reconnaissez-lui au moins cette faculté de vous avoir fait plancher sur un commentaire aussi brillant.
    Amicalement.

    Abdelrahmane
    13 décembre 2018 - 9 h 28 min

    Moi j’ai baromètre sensible, fidèle, constant et infaillible, sur ce qui touche à mon pays et ses affaires internes et externes : tous ce que la france supporte et applaudit, je serais contre. tous ce que la france critique et tente de blackouter, je suis pour. Et concernant ce chamel david, je pense que c’est un harki mercenaire de la plume, traitre à son peuple.

      Anonyme
      13 décembre 2018 - 20 h 05 min

      Occupe toi de ton arabité et laisse la littérature li ahliha.

    Zaatar
    13 décembre 2018 - 5 h 43 min

    Tout ce que vous dites est subjectif cher ami. Ce sont vos assertions selon un angle de vision que par honnetete je dirais ne sont pas une verite absolue. En sus vous une succession terminologique pour taper sur quelqu’un, que vous ne connaissez peut etre qu’a travers certains de ses ecrits que peut etre avez vous compris de travers de ce qu’il a effectivement ecrit. Aussi, a votre place, je me serais garde d’avancer de tels propos sur une personne que je ne connais. Par contre ca denote de la personne que l’on est lorsque l’on tient un tel langage. C’est ce que j’ait d’ailleurs sur YB, KN et BS.

    Anonyme
    13 décembre 2018 - 2 h 44 min

    A rien ! il ne sert à rien.. Si Si …..il sert la franc-maçonnerie Francaise,le sionisme…
    kom sansal…il sait que si il veut vendre ses bouquins de » merde » à l international , il faut qu il fasse plaisir à ses maitres israelites.

    Droits Humains
    13 décembre 2018 - 0 h 24 min

    Rien que cet écrit de Daoud est suffisant pour comprendre sa reptation:
    «Le Qatar a réussi à exporter l’image d’un pays où l’on peut dire des choses, où l’on assume les relations internationales, même avec Israël, sans hypocrisie, où la liberté de culte n’est pas qu’une chasse aux casse-croûte et où les droits de la femme sont les plus respectés dans cette région du monde, la révolution Al-Jazeera a fini par ‘’enfoncer’’ encore plus le reste du monde ‘’arabe’’, en en soulignant, par contraste, le calendrier moyenâgeux.»

    Nour Eddine
    13 décembre 2018 - 0 h 05 min

    Kamel Daoud n’utilise pas la langue de bois et dit les choses avec force et aussi élégance.Ce qu’il apporte, c’est une grande lucidité et un regard sans complaisance sur la société musulmane, particulièrement l’algérienne. Il raconte comment il a été attiré par l’islam et ses valeurs. Ensuite, il explique qu’il a horreur du collectivisme, lequel débouche sur l’immoralisme.

    anonyme
    12 décembre 2018 - 23 h 39 min

    Pouvez-vous, messieurs (ou mesdames) de la rédaction nous épargner sa photo, je pense que nous l’avons assez vu !

    Maarouf
    12 décembre 2018 - 23 h 36 min

    @Souk-Ahras
    Je crains, cher ami internaute, que votre lecture n’ait pas saisi le sens de mon propos. Il n’y a aucune contradiction dans mon commentaire.
    Dans la première partie, je réponds en effet à la question que je pose: « De quelle audace s’agit-il ? » je tente à travers les questions de définir ce qu’est réellement l’audace. L’audace n’est pas seulement impertinence. Elle est aussi transgression mais aussi courage, j’ajouterai abnégation. Il est désolant de croire, de penser et d’écrire que kamel Daoud est quelqu’un d’audacieux. Qu’est-ce qui peut laisser croire cela ? Son parcours personnel est sans appel. Il n’a fait que taper sur les faibles, insulter et cracher sur l’Arabe, le musulman, l’Algérien. Il a tout d’un pleutre et d’un lâche ! Et rien d’autre.

    Il se donne un mal fou pour créer l’illusion de la profondeur et de l’originalité là où il y surtout des élucubrations d’une affligeante platitude.
    De la même manière qu’il se donne un mal fou pour créer l’illusion du colonisé affranchi et assumé là où il y a surtout servitude et fanfaronnade.

      Souk-Ahras
      13 décembre 2018 - 10 h 19 min

      @Maarouf bonjour,
      Vous persistez dans la confusion mon ami. Je n’ai, à aucun endroit dans mon commentaire, dit ou laissé entendre que KD était audacieux, j’ai seulement cité Edward Saïd que Snaoui a appelé en grand renfort dans sa déposition contre lui. Vous avez donc extrapolé rapidement à une « valeur » inconnue.
      Par contre, je vous ai donné en réponse la mienne de définition de l’audace, telle que je peux la concevoir. Sachant bien entendu qu’elle ne peut seoir à toutes les convenances. Quoi de plus normal !

      « …Il est désolant de croire, de penser et d’écrire que kamel Daoud est quelqu’un d’audacieux. »
      « … Il a tout d’un pleutre et d’un lâche ! Et rien d’autre. »
      Aïe, aïe, aïe…

      Quoiqu’il faille reconnaître que certaines de ses positions, épargnons-nous tout de même de rentrer dans des développements infinis, relèvent de l’audace.
      Et si je vous disais que son audace première consiste à se faire insulter bassement, (vous le faites vous-même ici même) et à vivre sous la menace constante et rampante des égorgeurs et autres gardiens du temple « obscur » et ce, du lever au coucher du soleil, et même la nuit.
      Hein !
      Vous même et bien d’autres sur ce fil, ne saisissez toujours pas que ceux qui sont désignés comme étant des trolls, ils ne défendent pas KD (il est suffisamment apte à le faire seul), ils s’insurgent contre l’acharnement et l’injure gratuite.
      Ayez l’audace de déconstruire ce qu’il pense et croit sans donner dans la facilité de l’injure.

    ZORO
    12 décembre 2018 - 19 h 09 min

    GRANDEUR ET DECADENCE.
    Sincerement , j ai pitié de voir Zaatar’ ,Hend oukaci ou Qaramazov Souk ahras ,et tant d autres vieillard illuminés qui avaient décidé par suprematie de quitter la terre pour une autre galaxie , trouver enfin en Daoud une raison pour annuler leur depart et s enroler comme soldats dans la troupe de KAMEL LE GENERAL leur enfant, pur produit de l ecole Algerienne que les trolls ne cessent jamais de denigrer.
    SIGNE.ZORO. …Z…..

      Zaatar
      13 décembre 2018 - 7 h 18 min

      En attendant, ce sont les troupes arabes qui sont en train de monter a bord du navire Israel pour une destination qui leur est pourtant inconnue. En attendant notre tour, car comme on pourrait le penser au vu de tous les commentaires demontrant l’implacable efficacite du sionisme, Le General Daoud a pris ses devants, etiquete pour etiquete autant sauver sa peau, qui de surcroit est tout a fait naturel. On verra sur quel appareil embarqueront les YB, KD, BS et vous Don Diego de la Vega.

      Souk-Ahras
      13 décembre 2018 - 8 h 40 min

      Hi Zoro,
      Are you already walking with front leaning bust and arms crossed in back ?
      Late you are chap ! You got stuck on the middle of the stream. Must be difficult for you not to keep up.
      Anyway, today, not only this is a watchword for us, but Zaatar, Karamazov and I, (these oldest guys as you say), we’ve already crossed the river.
      As a friend.

        ZORO
        13 décembre 2018 - 18 h 51 min

        HI SOUK.
        Wish you all the best , be sure that s the safe side of the river.
        SIGNEZORO…Z…

    Anonyme
    12 décembre 2018 - 18 h 47 min

    Quand BHL et finkelkraut soutiennent un arabe, il faut qu’il soit pro-israelien donc anti-palestinien, anti-musulman, anti-algerien et renégat. C’est la surenchère dans l’infamie qui consolidera sa réputation. KD l’a bien compris. Quand ils n’auront plus besoin de lui, il deviendra un « magma » ( le mot est de de Gaulle) infrequentable, comme les harkis en1962.

      Ch'ha
      12 décembre 2018 - 19 h 50 min

      @Anonyme 18h47
      Très bien analysé et résumé.
      Excellente contribution Mr Snaoui.

      Zaatar
      13 décembre 2018 - 16 h 33 min

      En attendant ce sont les arabes qui recoivent la rouste. Et la main du sionisme est partout sans que qui qye ce soit n’arrive a la contre carrer. Au point d’en arriver a ce qui pourrait aboutir a quelque chose des plus naturels, la loi du plus fort est effectivement la meilleure n’en deplaise a tous les racontards d’en bas.

    Bouzid
    12 décembre 2018 - 18 h 34 min

    A QUOI SERT (CE ZÈBRE) KAMEL DAOUD ?
    Réponse :
    ABSOLUMENT A….. RIEN !!! A RIEN DE RIEN…..
    Épargnez-nous sa photo et ses écrits…. oups ! Ses TORCHONS……

    Felfel Har
    12 décembre 2018 - 18 h 23 min

    KD croit avoir trouvé une mine d’or en France, cette France restée coincée dans ses réflexes colonialistes et qui a dû rentrer à la maison comme ce chien penaud, la queue entre les jambes, cette France anti-algérienne à l’extrême. C’est pour elle qu’il écrit! Après tout, il a trouvé refuge (une niche) dans le pays de la liberté d’expression, surveillée du coin de l’oeil toutefois, car il hors de question d’exprimer des idées vite taxées d’antisémites. Les propos islamophobes, quant à eux, font recette.
    Quand on connaît sa versatilité et sa tendance à se retourner comme une crêpe, il ne faut pas alors s’étonner de ses sorties, censées émuler les provocateurs BHL et EZ (l’Olive), pour surenchérir et se faire adopter par un lectorat, bavant de haine dés qu’il s’agit de salir l’Algérie et l’Islam.
    Klebard David (je lui suggère d’adopter ce nom) a certes du talent, mais il met sa plume aux services de causes indéfendables. Du fin fond de sa tombe, son géniteur doit le maudire et sa mère nourricière doit le renier. Quand on a un tel talent, on n’a pas besoin d’être plus anti-algérien que les pieds-noirs et les harkis réunis. Je parie qu’à l’heure actuelle, il essaie de faire avancer les démarches pour obtenir rapidement sa citoyenneté française.

      omar
      12 décembre 2018 - 20 h 36 min

      entirement d’accord avec vous mais de « talent » DAOUD n’en possède pas la moindre once.Retors , calculateur, félon , ivrogne (voir LE monde du 13 avril 2016) lache , certainemnt mais intellectuel je ne crois pas , n’en déplaise aux BHL Finkelkraut et autres trolls qui passent le plus clair à nous en rebattre les oreilles.Quelle honte pour sa famille et pour l’ALGERIE DES GLORIEUX martyrs !!

    Hibeche
    12 décembre 2018 - 18 h 16 min

    Chaque période historique a ses harkis. En ce moment, ils s’appellent Sansal, Daoud, et autres Sifaoui…..Vous avez dit « Daoud est monsieur tout le monde « . Moi je dis, même si je n’aime pas être grossier « Daoud est madame tout le monde « .

    Djazairi
    12 décembre 2018 - 17 h 44 min

    Avant les HOMMES allaient à en europe surtout en france pour travailler afin d’ameliorer leurs situation et faire nourir leurs familles sans qu’ils se melent de la politique de haine et de division et profitent de la générosité de leurs pays d’accueil,parmis lès nouveaux zmagra en france ou en canada je dirai une minorité qui sont honnette,y’en a beaucoup qui sont des tricheurs,bon a rien chez eux juste des perdants et une bande de fainéants qui passent leurs temps dans des cafés de leurs quartiers,pour ce connard de daoud maintenant il ne peut pas faire marche arriere et ecrire des sujets positives ,sa survie dépend de ses écritures anti et qui font plaisir aux gens qui l’ont remplit d’air,je l’ai vu comme par hasard dans une tv Algérienne,j’ai trouvé qu’il n’est pas un grand écrivain,pas du tout un intellectuel,le pauvre peut être il avait passé une adolescence compliqué qui la rendu complexé.

    Anonyme
    12 décembre 2018 - 17 h 30 min

    Benzatat et K.Naimi ont fait des petits.

    Anonyme Utile
    12 décembre 2018 - 16 h 45 min

    A quoi sert Kamel Daoud dites-vous?
    Réponse : à RIEN.

    Souk-Ahras
    12 décembre 2018 - 16 h 35 min

    @Maarouf
    12 décembre 2018 – 12 h 40 min

    « l’intellectuel exilique ne suis pas la logique de la convention mais celle de l’audace » dixit Edward Saïd. (rappel).

    Dans la première partie de votre commentaire, vous répondez globalement à votre propre question. Mais dans la seconde vous vous contredites  et reposez la même question ? Vous semblez être assis entre deux chaises mon ami.

    Vous m’interpellez sur l’audace donc ? Il y en aurait tellement à dire ! Je me suffirai seulement de la réponse suivante que l’expérience de 70 ans de combats tous azimuts m’a enseigné : l’audace, c’est oser apparaître un jour sous des « habits » différents de ceux de la veille, taillés dans la coûteuse et astreignante toile de la transparence pleine et entière.
    Très amicalement.

      Tmouchentiya
      12 décembre 2018 - 19 h 09 min

      Lorsqu’on écrit, c’est pour raconter des faits vécus ou imaginés, une histoire qui véhicule des idées, provoque une réflexion, en un mot on écrit un récit qui a un sens pour le lecteur. On peut écrire aussi pour un même objectif mais sans le support d’une narration, on écrit alors un texte abstrait. En plus d’être cultivé et intelligent, un auteur doit avoir du talent. Ces lapalissades rappelés, qu’en est il des écrits de K. D. ?
      Il semble avoir appris à écrire en publiant des billets dans un journal local. Ces billets ne sont en réalité qu’une mise en forme de discussions de gars autour d’un café ou d’une bière que l’on entend dans tous les lieux où on sert à boire. Passé à l’écriture de livres, K. D. commence par regrouper ce que ses lecteurs avaient déjà lu dans la presse. Donc rien de nouveau. L’étape suivante a été de publier un roman pour lequel beaucoup de publicité a été faite et qui a failli être récompensé par un prix. Mais ça n’a pas marché. Pour quelle raison ? K. D. pense avoir trouvé la réponse. Il faut écrire sur des sujets en provoquant la polémique. Et pour être célèbre il faut être reconnu en Europe et pour ça, un seul sujet est porteur: l’Arabe et l’Islam. Et K. D. se lance et ça marche. Il se retrouve invité par les médias qui ont trouvé le serviteur gratuit de l’insulte qu’ils ne veulent pas prononcer pour ne pas être taxés de racisme. Ils ont trouvé l’Arabe musulman de souche, de service. Et lui, K. D. trouve l’occasion de satisfaire son égo. Il insulte, critique à bras le corps ses coreligionnaires, ses compatriotes en mettant tout le monde dans le même sac. Or dès qu’on généralise, on est dans l’exagération et dans l’erreur. Ceci dit, K. D. a-t-il le talent d’un écrivain. Il est permis d’en douter. S’il en avait, il aurait choisi une autre manière et des sujets plus intéressants pour utiliser sa plume. Mais ce qui plait à K. D. C’est d’être reconnu très vite. Par qui ? Cela n’a pas d’importance. Pas pour très longtemps. Cela n’a pas d’importance. Ses écrits seront oubliés dès que la mode des médias ira sur d’autres sujets. K. D. ne sera pas publié dans La Pléiade ni de son vivant, ni après sa disparition. Il n’enrichira pas la littérature française (puisqu’il écrit en français) et il est douteux qu’un jour, un étudiant fera une thèse sur ses écrits parce qu’ils ne véhiculent aucune idée utile et mis à part la polémique, ils ne provoquent aucune réflexion si ce n’est que ce K. D. regrette certainement de ne pas être né à Saint Germain Les Près et d’avoir un faciès et une silhouette pas très proche de celle d’un Européen, mais il compense cette absence en faisant bombance et en trinquant avec ceux qui rêvent de l’époque des colons qui invitaient à leur table l’Arabe, qui « n’est pas comme les autres » et qui les fait rire…et qui ne comprend pas qu’ils se moquent de lui.

    Rayés Al Bahriya
    12 décembre 2018 - 16 h 32 min

    Une anecdote au sujet De l’athéisme.

    Un athée disait ça :  » je suis athé et c’est pas de ma
    Faute, c’est Dieu qui a voulu ça « .

    El fahem, yefhem…

      Anonyme
      12 décembre 2018 - 17 h 19 min

      Et il a raison cet athée : s6 v39 : « (…) Celui qu’Allah veut [perdre], Il l’égare. Celui qu’il veut [sauver], Il le met sur une Voie Droite.»

    Quebec
    12 décembre 2018 - 14 h 53 min

    …..Bravo Kamel pour tout ce que tu fais et tout ce que tu ecrit…Ici au Québec et au Canada, tu es l’un des rares écrivains et journalistes algériens à être connu de la scène littéraire locale….Si tu as autant d’ennemis, c’est que forcement tu DERANGES….et que tu es dans le droit chemin d’un intellectuel LIBRE et non asservi à qui que ce soit….tu refuses de quitter l’Algérie et ca les derange beaucoup…Parce que tu aurais été parfaitement le Hizb Franca de ces gens la qui doivent te vouer une haine terrible…..Eux ils achetent des appartement à Paris et toi tu vends des livres dans les 5 continents…..Bravo encore une fois et continue comme ça …..Tu es un VRAI algérien………………

    service
    12 décembre 2018 - 13 h 48 min

    certains anonymes ne font qu’un et ne sont pas algeriens , l’histoire nous a appris a les confondres , taper un pseudo prend moin d’une seconde etre anonyme nous rappel les heures sombres qu’a connue notre pays , les gens qui tuent et se terre pour se faire violence des actes qu’ils ont accomplies en dénonçant les autres, ce sont les harkis du moment.

      Anonyme
      12 décembre 2018 - 17 h 17 min

      @Service. Parce que « Service » c’est moins anonyme qu »Anonyme »?

    Karim
    12 décembre 2018 - 12 h 49 min

    Certains faits poussent à s’interroger sur la probité intellectuelle de Kamel Daoud et ce qui motive ses prises de position polémiques. Comme par exemple cet extrait de la lettre que lui adressée le journaliste du NYT, Adam Shatz suite à l’affaire des faux viols de Cologne. Il dit « Pour moi, c’est très difficile d’imaginer que tu pourrais vraiment croire à ce que tu y écrivais. Ce n’était pas le Kamel Daoud que je connais et à qui j’ai consacré un long article. Nous avons beaucoup parlé des problèmes de sexe dans le monde arabo-musulman quand j’étais à Oran. Mais en même temps on a parlé des ambiguïtés de la «culture» (mot que je n’aime pas); par exemple, le fait que les femmes voilées sont parfois les plus émancipées sexuellement. Mais dans tes écrits récents c’est comme si tout l’ambiguïté dont on a parlé – et que, plus que personne, tu pourrais analyser dans toute sa nuance � a disparu. Et dans des publications lues par des lecteurs occidentaux pour qui ce que tu écris n’est que la confirmation de préjugés et d’idées fixes. ».On constate ici clairement l’hypocrisie et la versatilité du personnage. Deuxième exemple : extrait de son discours prononcé à L’IAST (Institute for Advanced Study in Toulouse) Novembre 2108, intitulé « Que faire des identités et des identitaires en Algérie » ou il dit « Mon souvenir de l’identité reste aussi cette hideuse campagne du pouvoir centrale contre l’amazighité. On nous montrait à la télévison, cycliquement, des kabyles brûlant le Coran, insultant la Révolution et les martyrs pour mieux justifier la répression et consolider l’isolation de la revendication identitaire dans cette région. » Un mensonge grossier qui démontre que pour soigner son image de rebelle et « d’intellectuel courageux » fabriqué par le lobby médiatique français sous emprise sioniste, le personnage est prêt à tout, même à mentir pour salir son pays et une partie de sa population.

    Hend Uqaci
    12 décembre 2018 - 12 h 41 min

    Ainsi donc notre Guru du vendredi qui parlait à 2500 personnes, au moins, les vendredis est sorti de sa réserve , c’est le cas de le dire, pour aller jouer les Tartarins des potagers ( Bw adaynine , en berbère tribal) en sortant la grosse artillerie pour braconner les bigots réticents qui lisent AP.

    Sachant ce qui les active ce maestro des tecrirates n’avait pour attraper sont bigot qu’à psalmodier les vielles litanies à quoi mordent leurs disciples conditionnés.

    KD c’est comme « chitane », s’il n’existait pas ils l’auraient inventé. D’ailleurs personne n’a besoin de le lire , ni ceux qui le dénigrent ni ceux qui le défendent: car les contributions de ceux qui l’attaquent se suffisent.

    Ces butindeguerristes considèrent que la langue française est une prise de guerre , un euphémisme sournois pour ne pas dire une arme de guerre prise a Fafa pour la retourner contre elle et contre tous ceux qui la considèrent autrement, comme Sansal ou KD. Pour ces derniers la langue française est une clef pour faire entrer un peu d’oxygène non vicié dan la maison. Ou pour sortir respirer un autre air, tout simplement.

    Lahoum dinouhoum, leurs crédos, ils auraient pu laisser dire , ce KD que personne ne lit. Mais non,djounhoum 3la KD, l’enfer c’est lui.

    Ce courant butindeguerriste s’est carrément fossilisé autour de l’idée qu’un autre usage de la langue française outre que comme arme idéologique pour continuer la guerre sous une autre forme pour la défense , de l’arabo-islamisme, de l’antisionisme, du nationalisme des anciens que l’on peut assimiler à un salafo-nationalisme fanatique est farouchement opposé à toute forme ou d’innovation ou même de distanciation.

    On trouvera donc dans leurs écrits le vocabulaire de la guerre recyclé et toutes les rengaines qui galvanisaient jadis les masses et
    qui par la suite à servi dans le conditionnement de leurs héritiers , dont c ette contributions en est truffée.

    Rappelons-nous donc « la guerre avec la guerre d’Algérie ‘ que KD a commis au NYT et qui n’était qu’une boutade , contre ceux qui continuent à faire croire que la guerre d’Algérie n’est pas finie pour justifier leurs cabales contre tous ceux qui tenteraient une  »intelligence » avec l’ennemi au lieu de continuer à psalmodier les sourates salafo-nationalistes guerrières comme de fidèles héritiers.

    Ils suffit de lire cette contribution pour s’apercevoir comment ces stigmates ont marqué inconsciemment leur langage et polluent l’objet de leur analyse pour l’incriminer.

     « pour séduire les colons jamais guéris, Arabe, qui déteste les Arabes , Netanyahou et Le Pen ,ersatz de Bernard-Henri Lévy,  la traite négrière, des colonisations, la bombe atomique, nazisme  fascisme, orientalistes, Zemmour algérien et ,,,, français nostalgiques de «l’Algérie française», Mahomet, Israël, les Palestiniens ;

    Et je vous en passe !

    Tout le reste c’est que de la dorure !

    Maarouf
    12 décembre 2018 - 12 h 40 min

    De quelle audace s’agit-il ?
    De celle qui consiste à pointer du doigt nos insuffisances et nos tares ? De celle qui nous libère de nos chaines réelles ou imaginaires par la force d’une parole ciselée ? De celle qui nous surprend et réveille notre torpeur et notre léthargie légendaire ? De celle qui, à contrechamps de notre réalité normative, nous laisse entrevoir une autre manière de penser la vie ? De celle qui consiste de prendre à revers nos lâchetés et oser dire non, oser s’opposer à un système mortifère ? De celle qui s’exprime au travers d’une dissidence, d’une résistance, d’une émancipation, d’une transgression ?

    De quelle audace, s’agit-il, ami internaute ?

    Plutôt, l’audace de s’acharner sur un « corps malade », celui d’une nation qui peine à raccrocher les wagons de la modernité. L’audace d’exprimer ses ressentiments à l’égard de ses compatriotes, à l’égard d’une langue dont il s’est naguère abreuvé, d’un pays qui depuis des décennies tarde à trouver un cap.
    De quelle audace, s’agit-il ?

    Anonyme
    12 décembre 2018 - 12 h 20 min

    Kamel Daoud est un géant,les minus qui aboient à ses pieds ne l’empêcheront pas de poursuivre sa carrière du plus grand écrivain algérien le plus talentueux .

    Le miroir ne ment pas
    12 décembre 2018 - 11 h 41 min

    @Souk-Ahras – 10 h 43 min Bravo pour votre réponse à ce Boualem Snaoui que je ne connais ni d’ève ,ni d’adam !

    Remarque : Je ne connais pas ce Boualem Snaoui mais Monsieur Google , je le remercie, nous révèle que c’est un militant du Parti de Gauche en France et donc il doit avoir la nationalité française contrairement à Kamel DAOUD.Ce n’est pas en soi très grave mais çà compte dans la balance de la comparaison entre lui et Kamel Daoud !

      Hend Uqaci
      12 décembre 2018 - 13 h 10 min

      Il fait parti de la mouvance islamo-gauchiste que les gauchistes français en mal de prolétariat considèrent comme une réserve lumpen-prolétarienne électorale.
      Les plus avisés parmi vous connaissent bien les accointances coupables entre ces gauchistes et les islamistes qu’ils considèrent comme des précurseurs idéalistes à l’anticapitalisme moderne comme Hegel l’a été pour le marxisme. Mais SD qui considère que KD est l’idiot utile d’une certaine pensance française n’admettra pas qu’il est lui même un alibi pour ces gauchistes qui pensent que les immigrés est le dernier prolétariat disponible.

      Et comme el harbou khida3a , çà ne le gêne pas d’être leur candidat aux élections.

      Vous comprenez, lui candidat dans des élections françaises, donc français: halal ! KD qui malgré tout est resté Algérien: haram!

    Benali
    12 décembre 2018 - 11 h 30 min

    Tant que séviront ces diffamateurs, responsables de la déchéance de notre pays depuis l’independance qui vomissent de tels articles abjects pour dénigrer un patriote, ce pays ne sortira pas de la nuit. Que dire méchanceté, jalousie, haine du pays et ignorance guident cet être malfaisant et qui obtient une tribune sur ce site. Dommage, nous ne sommes pas sortis de l’auberge.

      Anonyme
      12 décembre 2018 - 12 h 05 min

      Définition de patriote : « Personne qui aime sa patrie et la sert avec dévouement. »
      Le bachagha Boualem était un patriote de quel pays ?

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