Election présidentielle : le président Bouteflika convoque le corps électoral pour le 18 avril 2019

Bouteflika
L'ex-président Abdelaziz Bouteflika. New Press.

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé un décret présidentiel convoquant le corps électoral pour l’élection présidentielle qui se déroulera le 18 avril prochain, indique ce vendredi un communiqué de la présidence de la République répercuté par l’APS.

«En application de l’article 136 de la loi organique relative au régime électoral, Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a pris ce jour (vendredi) un décret présidentiel convoquant le corps électoral pour l’élection présidentielle qui se déroulera le jeudi 18 avril 2019», précise le communiqué en question.

Le communiqué de la présidence de la République ajoute que «le même décret dispose, également, une révision exceptionnelle des listes électorales qui s’effectuera du 23 janvier au 6 février 2019».

La décision de la présidence de la République vient ainsi mettre fin à une période de rumeurs alimentées par différentes sources tantôt sur un report des élections, tantôt sur une révision de la Constitution. L’élection présidentielle aura donc bien lieu le 18 avril.

S. S.

Comment (16)

    ROUINA
    19 janvier 2019 - 19 h 16 min

    Je n’ai pas bien saisi , QUI a convoqué le corps électoral ???!!!

    ali
    19 janvier 2019 - 11 h 18 min

    Ce qui est sur, dans le système lui même existe aujourd’hui plus qu’hier une guerre de succession sans relâche. Dire, combien les appréhensions de la reconduction sont ténébreuses et fantomatiques. Une stratégie diabolique qui sert en premier lieu les intérêts des grandes puissances au détriments de l’intérêt national. En premier lieu aussi, ces intérêts vont directement et sans détour à la France qui n’acceptera jamais l’éloignement de l’Algérie de son environnement contingent et poursuivra toujours sa politique avide. Là, les choses sont claires, ce qui ne l’est pas c’est d’entendre les refrains en continu des pseudos nationalistes qui n’arrêtent pas de nous marteler avec tout ce qui retient l’attention vis à vis de la glorieuse révolution 1954-1962 avec leur fameux légalité révolutionnaire (الشرعية الثورية), ils l’ont fait ériger en sacro- saint concept qui symbolise leur abnégation justifiant ainsi la main mise sur le pouvoir sans partage. Quand sera l’indépendance ?

    Hna fi hna !
    18 janvier 2019 - 21 h 24 min

    Ils jouent avec le feu !
    Tout le monde sait que ce n’est pas Lui qui…
    pourquoi ce mystère si les consciences sont nettes?
    Dîtes nous qu’il y a une sorte de directoire et puis basta.
    Ce qu’en pense l’occident (faux moraliste) avec ses deux poids deux mesures on s’en danse.

    Anonyme
    18 janvier 2019 - 18 h 57 min

    Le portrait de Bouteflika datant des années 90 va récolter 98% du vote populaire et démocratique.

    Rabah
    18 janvier 2019 - 18 h 12 min

    Une election fantome sur des « candidats » fontomes. Et ils osent parler d’elections sans rougir. Savent ils qu’ils y a un peuple ? Mais ils assument que ce peuple va voter sur du vide.

    Mir
    18 janvier 2019 - 17 h 50 min

    Cela veut dire tout simplement que le Cabinet Noir a trouvé la solution pour garder le pouvoir. Boureflika 5 ou son frère ou sa tante c’est kif-kif. Le système reste en place. Vous avez déjà connu une élection non jouée d’avance où l’organisateur n’est pas sûre de gagner ? On va encore perdre 5 ans, le temps de siphonner la Rente. Ou de trouver l’héritier.
    On est maudits !

    Anonyme
    18 janvier 2019 - 17 h 29 min

    si un jour le PEUPLE lui prenait envie un jour de s’émanciper de cette situation ubesque et de réclamer,des comptes,a coup sur,le pouvoir si c’etat possible,il n’hésiterait pas a changer de peuple par,un peuple plus docile que l’ancien !! PS=cuturellement ils ont quand meme réussi,le peuple combattant d’avant 62 ,n’ a rien a voir avec l’actuel,a qui on lui fait avaler des couleuvres depuis des décennies

    Anonyme
    18 janvier 2019 - 17 h 20 min

    si un jour le PEUPLE lui prenait envie un jour de s’émanciper de cette situation ubesque et de réclamer,des comptes,a coup sur,le pouvoir si c’etat possible,il n’hésiterait pas a changer de peuple par,un peuple plus docile que l’ancien !!

    elhadj
    18 janvier 2019 - 17 h 06 min

    dans une république qui se respecte ou en tente d ériger une certaine démocratie ce n est pas a quelques semaines avant le scrutin que les citoyens ont la liberté de choisir le candidat qui sied au pays en capacité de le diriger selon un programme bien vulgarise.le fait que la société est tenue a la marge du fait que les médias, les partis d opposition ne peuvent participer en principe une année a l avance a la mobilisation des citoyens on est enclin a croire qu il n y a pas de démocratie participative ni pouvoir porter le choix sur d un candidat subitement déclaré dont on ignore le programme et ses capacités.cependant, le pays aspire effectivement a un réel changement de gestionnaires pour être nécessairement redresse.

    Anonyme
    18 janvier 2019 - 15 h 40 min

    existe t il des électeurs en Algérie ?l urnophobie est devenue la règle pour le peuple algérien ! votez pourquoi ! pour des trafiquants de cocaïne ? votez pour une clique au pouvoir qui a fait fuir la crème de l Algérie ? votez pour ceux qui ont forcè les jeunes harragas à l exil ? Votez pour une dictature militaire de vieillards ? Votez pour une administration d énarques de fraudeurs aux différentes élections ? Votez pour des promesses non tenues ? Votez pour des coups tordus et des coups bas à la veille de chaque élection (attentats ) de la part du systeme ? votez pour ceux qui ont dilapidez et transférer l argent du peuple algérien vers l étranger ? CE JOUR DE VOTE EST UN CAUCHEMAR POUR LE PEUPLE ALGERIEN ET IL N Y PENSE MÊME PAS !

      Anonyme
      18 janvier 2019 - 16 h 10 min

      Mon droit c est d aller voter et choisir l homme ou la femme qui aura le merite de transformer l Algerie en une veritable republique populaire et democratique….Combien de dictature ont ete exterminees par la volonte du peuple….combien de dictateurs ont ete balayes et pris la fuite grace a la volonte populaire….meme les regimes totalitaires indetronables dans les republiques sovietiques ont ete dissous grace aux peuples et sont devenus des democraties a part entiere.
      Vous n etes qu une petite nature qui a peur du changement car vous etes de ceux qui profitent de ce regime de corrompus et qui en tire des privileges de toute sorte….que vous le voulez ou pas le changement est a nos portes et personne ne l arretera…..

        Anonyme
        18 janvier 2019 - 17 h 26 min

        Ce n est pas seulement un droit d aller voter mais c est un devoir supreme d aller voter quand la Patrie est en danger,et nos compatriotes en sont conscients que c est le plus important vote depuis l independance de notre pays et c est en masse qu ils iront voter…car c est au peuple de choisir celui ou celle qui le gouvernera …

    CASBAOUI
    18 janvier 2019 - 15 h 39 min

    A présent, « ILS » ne se gênent même plus. Qui a vu Abdeka signer ce fameux (fumeux) décret « présidentiel » ?
    PERSONNE !
    La question : QUI A SIGNÉ A SA PLACE…!?
    Réponse : THE GHOST….!!!
    On est en plein film d’horreur : THE MOMMY RETURNS….
    Ahachmou ya dine rab ! Rakou bahdaltouna maâ ledjnass….. Ç SUFFIT !!!!!

    Chaque peuple a sa propre productivite'
    18 janvier 2019 - 15 h 29 min

    L’ islamisme d’ État à produit une masse sans âme commune sinon celle de la oumma, mais elle est ligotée au culte de la force, qui reproduit sa propre oppression. Tous savent qu’ on votera pour eux tous attendent le miracle, dans cette fissure y réside le régime qui élargit l’ ouverture de la plaie selon ses besoins. La charia à l’ école et l’ arabisation ont produit ce qu’on pouvait attendre de ces investissements.

    Rabah
    18 janvier 2019 - 14 h 05 min

    Maintenant c’est au tour des URNES SANS CANDIDATS !!!!
    Voter sur du vent ou des fontomes qu’on ne voit pas ?
    Il nous prennnent pour des imbeciles.

    Citoyen Karim
    18 janvier 2019 - 13 h 00 min

    Un peuple est l’émanation d’une conscience politique collective.

    Une conscience politique collective est, d’abord, la conséquence de l’enrichissement de l’esprit de l’individu rendu créatif, ensuite, la jonction de cet individu avec d’autres de ses semblables aux temps propices aux grands changements.

    Une conscience politique qui soit pérenne et constructive sur des générations, est constituée de faits historiques avérés loin de toutes mauvaises mythologies qui soient inventées par les illusionnistes dans les laboratoires des organisations gouvernementales au service exclusif des lobbys financiers. Une conscience qui, ordonnée convenablement sous la forme d’un récit linéaire, donne un sens valable et solide et, crée le mouvement à même de libérer les populations du joug de la domination par l’infime minorité sur la grande majorité.

    Nous avons, nous Algériens, reçu un précieux legs de nos aïeux qui forme en soi la matière première de qualité morale pour une conscience politique nationale si on sait comment lui donner vie dans le sens juste, qui servirait comme un des phares aux nouvelles consciences politiques collectives émergentes. Nous possédons une terre et nous avons une formidable histoire millénaire qui plus est universelle.

    De très grands moments s’ouvrent à nous et nous ne pouvons que monter vers le haut pour peu qu’on se mettra d’accord sur la manière de gérer intelligemment la situation qui nous attend à partir d’un certain vendredi. Il ne s’agit pas d’en faire beaucoup sur un temps long, juste ce qu’il faut au moment où il le faudra.

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