Le dilemme Ghediri

Ghediri candidature
Le général à la retraite Ali Ghediri. D. R.

Par Bachir Medjahed – Le pouvoir peut-il neutraliser la candidature du général à la retraite Ali Ghediri ? Même si, dans les faits, nous n’en sommes pas encore à la rupture, il n’en demeure pas moins que pour la première fois depuis l’indépendance, c’est une éventualité qui commence à prendre forme dans la mesure où un haut officier à la retraite présente sa candidature en direct en dehors des institutions, comme l’armée et les partis politiques.

Nous sommes devant une situation compliquée. Serait-il possible que, pour la première fois, ceux qu’on nomme les «décideurs faiseurs de présidents» vont perdre la main sur le processus de désignation du candidat à faire immanquablement «élire» et donc à se faire exclure dorénavant de ce champ de compétences ?

Est-ce la fin du système ou d’un système ou, alors, une entrée réelle dans une deuxième République ? Du fait qu’à ce jour nous nous posons toujours la question de savoir comment se prend la décision au sommet de l’Etat et que la réponse reste vaine, entrons-nous, cette fois, dans une clarté constitutionnelle ?

Il resterait encore la possibilité pour le pouvoir de chercher les moyens de neutraliser la candidature du général à la retraite car, quand bien même celle-ci pourrait être qualifiée de constitutionnelle, on trouvera toujours les moyens de faire parler la Constitution autrement. Il appartiendra aux moyens de force de trancher en ayant la suprématie du «rendre-raison».

Il est certain que les enjeux ne seront pas seulement ceux de passer-la-main ou ceux de se saisir uniquement du pouvoir. La campagne électorale sera celle de la perestroïka. Tout sur la table sans des dessous de table.

B. M.

 

 

Comment (28)

    HOUMTY
    21 janvier 2019 - 23 h 32 min

    SALAM L’KHAWA…. Tous ensemble UNI derrière notre futur PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE,
     » » » Ali GHEDIRI PRÉSIDENT  » » »’ UN HOMME INTEGRE, une mire pour notre JEUNESSES et leur FUTUR.. TAHYA L’DJAZAÏR notre MÉRE PATRIE et QU’ALLAH protége notre glorieuse A.N.P

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 22 h 42 min

    Un grand défi, pour changer, moderniser, et réformer le pays qui demandent union, solidarité,
    Légitimité populaire, sens d’organisation, compétences, vision stratégique à long terme, patience, modération
    Et sagesse
    Difficile, mais pas impossible, quand on est un peu autoritaire, compétent, ouvert, et populaire
    Bon courage, bonnes réussites

    Mouloudia
    21 janvier 2019 - 20 h 03 min

    Il y a 2 obstacles majeurs…le premier..un peuple qui ne sait ce qu est la constitution..qui ne l a jamais lue..et qui ne sait meme pas lire..un peuple qui ignore tout de ses devoirs. Jusqu a sacrifier des h generations de jeunes ses propres enfants.en votant en masse pour ses propres bourreaux juste par satisfecit et pour perpetuer une vie faite de donations et de couffins ramadan….le deuxieme obstacle? Il n y aura jamais de 2eme republique ni un president a meme de remettre debout le pays..l instruction..la justice..et la sante..il n y a jamais eu un candidat qui a parle de justice..celui qui le fera raflera la mise c est une certitude.. et monsieur ali..a t il parle de justice..?..c est la qu on peut federer un peuple..la justice..rien que la justice..le rapatriement des milliards voles dans les caisses de l etat et le rajeunissement des equipes qui dirigent le pays..mais quel est l homme qui parlera de cette justice? Commencons par la..enfin..bouteflika se representera..il sera elu..par qui..comment..c est la justice actuelle qui le dira..entretemps..le pays coule..et les nantis des hautes sphetes continueront de narguer un peuple qui en matiete d independence n a vu…que wallou

      AISSA
      21 janvier 2019 - 21 h 54 min

      LA POLITIQUE EST UNE SCIENCE . ON NE PEUT PAS IMMAGINER TOUS LES ALGERIENS MAITRISER L ART DE LA PRATIQUER OU DE LA COMPRENDRE. PAR CONTRE C EST DE LA FAUTE DE TOUS CES GENS QUI SE DISENT DE L OPPOSITION QUI NE SAVENT PAS COMMUNIQUER POUR CONVAICRE CAR EUX MEME NE SONT PAS CONVAICU. L ART DE FAIRE DE LA POLITIQUE C EST DE SE MOUILLER LA CHEMISE COMME DANS UN MATCH DE FOOT. C EST D AVOIR UN PROJET CREDIBLE ET DE REUNIR AUTOUR DE SES IDEES. IL FAUT ALLER VERS LE PEUPLE ET PORTER SON MESSAGE AVEC FORCE ET CONVICTION. IL FAUT SEDUIRE EN RESTANT MODESTE.
      IMMAGINER QUE CEUX QUI FONT DES RECHERCHES POUR VAINCRE LES MALADIES , POUR CONQUERIR L ESPACE , POUR CREER L INTELLIGENCE ARTIFICIELLES ,S ILS SE DISAIENT C EST TROP DURE ON N ARRIVERA JAMAIS , ALORS IT WILL BE JUST VAIN. IL FAUT ETRE TEMERAIRE ET RESOLU ET CROIRE EN SON PROJET POUR REUSSIR. IL N EST PAS IMPOSSIBLE DE CHANGER LE SYSTEME SI TOUT CEUX QUI ONT UN PEU DE CONNAISSANCE SE METTAIENT A FAIRE UN PEU DE PEDAGIE DANS LEURS QUARTIERS,VILLAGES…EXT. IL FAUT FAIRE UN TRAVAIL DE BASE ET SANS RELACHE. LES ALGERIENS DOIVENT ETRE PERSUADES CHACUN A SON NIVEAU DE L IMPORTANCE D UNE ALTERNACE PACIFIQUE . C EST POUR CELA QUE JE CROIS QUE GHEDIRI EST CAPABLE DE CONQUERIR LE COEUR DES ALGERIENS .IL FAUT QU IL SE METTE EN BON MILITAIRE EN MODE COMBATIF POUR PORTER UN MESSAGE D ESPOIR ETR DE RENOUVEAU POUR LES CITOYENS ALGERIENS .ECOUTEZ ATTENTIVEMENT CE QUE CE CANDIDAT VA VOUS DIRE ET SOUTENEZ LE.

        MELLO
        27 janvier 2019 - 20 h 04 min

        La politique n’est pas un art, c’est le quotidien de la vie. Mais ce pouvoir nous fait croire que la politique n’est pas à la portée de tous, FAUX. Pour ce faire, ce pouvoir boucle et ferme tous les espaces de communication pour l’opposition , pas seulement, il utilise tous les canaux de l’État pour diviser et anéantir cette opposition. Si ces partis d’opposition participe aux diverses élections ( APC-APW et APN) , c’est parcequ’ils trouvent l’occasion de s’exprimer et d’exprimer leurs doléances.

    Une Chance À Ne pas Rater
    21 janvier 2019 - 19 h 14 min

    La candidature de ce monsieur est une chance unique, à ne pas rater,et peut-être même un petit coup du destin. Maintenant c’est au peuple de jouer cette carte maîtresse, et de démonter sa maturité. Veut-il un changement sous une 2eme république, ou veut -il éternellement vivre sous le joug d’une oligarchie repoussante qui prône le slogan de la continuité. La balle est dans le camp du peuple, il faut qu’il se réveille de sa trop longue léthargie,et qu’il s’impose,sans violence et avec légitimité.
    P.S. Le peuple c’est nous tous.

      anonyme
      22 janvier 2019 - 0 h 25 min

      @Une Chance À Ne Pas Rater
      21 janvier 2019 – 19 h 14 min

      Vous dites le peuple
      il n’est pas maitre de son destin et que les urnes sont rentre les mains d’une administration moribonde au service de ceux d’en haut
      Depuis quand les urnes ont été propres?
      Un conseil à ces corrompus fraudeurs gare à vous on a plus que marre

        Sididaoud
        13 février 2019 - 1 h 42 min

        Les urnes et les camions poubelle des mairies et les sous préfecture mieux ou se cache les urnes pleines de bulletins au nom du système…il est absolument nécessaire que les urnes restent dans les écoles sois la surveillance du peuple.. jusque minuit.

    Antisioniste
    21 janvier 2019 - 19 h 04 min

    C’est maintenant ou jamais, quand on sait il est déjà trop tard en général, mais la maintenant et pas demain, on a une petite fenêtre de faire ce changement que nous voulons, si nous le voulons vraiment.
    Les parties politique les associations sans en exclure aucune doivent se mobilisé avec le peuple pour atteindre et réalisé ce changement qui parait ou semble impossible à réaliser pour chacun de nous et même pour moi compris dans le tas que nous somme. Oui nous ne sommes pas encore un peuple au sens vrais et réel du terme nous somme juste un tas de viande sur patte bourrer d’égoïsme, clouer par nos peurs et nos craintes, assailli par nos doutes et notre ignorance, mais nous avons la et maintenant une chance, une seule de changer tous ça et devenir un vrai peuple libre lucide organisé et producteur non pas de patate et de légumes, de tv ou de Smartphone, mais d’hommes et de femmes capable de faire la différence et de prouver que le changement est non seulement possible mais qu’il est là à notre porté, et nous n’avons que deux choix possible, le saisir ou le regarder passer.
    Monsieur Ali Ghediri s’est présenté à nous comme un citoyen et non comme un général, il nous a fait part de son intention et décidément son discours nous a plu, du moins en ce qui me concerne, et manifestement il semble qu’il y’une sorte non pas de consensus à son sujet, mais disant qu’il suscite un débat positif et intéressant en gros. Je pense que c’est de cette façon que nous tous percevons les choses, mais je tiens à vous faire remarquer que c’est bien plus que ça à mon humble avis. Monsieur Ali Ghediri est une opportunité unique qu’on devrait saisir avec intelligence organisation et détermination, sauf si on décide de la regarder juste passé comme je l’ai déjà dit précédemment. Notre nature a une tendance guerrière, c’est un fait nous somme des algériens, mais on doit aussi comprendre et apprendre qu’il existe plusieurs façon de faire la guerre que par la violence et le foncer dans le tas, En plus le plus important il ne s’agit pas de faire la guerre mais plus de la gagner, et je vous le dis sans rentre dans les détails qu’avec ce monsieur on peut gagner.

    Tredouane
    21 janvier 2019 - 18 h 52 min

    J’estime que c’est l’expression mème de la majorité silencieuses ,cette acte de candidature de ce Mr ,il peut être perçu comme une gifle pour réveiller les consciences,je parle toujours de l’acte ;ici je ne donne pas mon avis sur la personne,car j’estime que l’acte est plus fort dans le sens politique dans le sens ou le débat est grand ouvert loin des politiques des pseudo partis qui n’apportent rien.
    J’estime aussi je persiste et j’insiste encor une fois pour dire que l’opinion du Militaire Politisé dois être au cœur de la politique de défense globale,d’où tout l’intérêt de la liberté d’expression sous réserve des questions purement secret défense.
    Je pense que c’est une occasion qui se pressente à notre élites silencieuse et/ou marginalisé pour constituer un barrage solide face au népotisme et l’oligarchie,le peuple ne demande que cela.

    Tarass Boulba
    21 janvier 2019 - 18 h 42 min

    Cher compatriote @Anonyme – 18 h 07 min, vous avez tout à fait raison ! Les deux cas (hypothèses) que vous citez sont tout à fait plausibles et çà tient la route comme raisonnement ! Cependant, il y a une troisième hypothèse qu’on se doit d’envisager, c’est l’attitude de défi de Ali Ghediri envers l’Etat Major de l’armée et le pouvoir. Ceux-ci ne l’ont pas ménagé du tout quand il a fait sa célèbre lettre si vous en souvenez. La manière dont il a été éconduit, rabrouer violemment, remis en place par Gaid Salah alors que sa lettre n’avait rien de vraiment grave, ni de malintentionné, l’a poussé à réagir en défiant l’oligarchie pour se porter candidat ! La personnalité de Ali Ghediri est de cette trempe là. Sa personnalité n’exclue pas du tout une réaction de ce type ! Il est capable de réagir de cette manière. Je pense que cette troisième hypothèse tient aussi la route autant que les vôtres !

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 18 h 07 min

    la candidature du général major en retraite pourrait vite trouver son explication, voire ses motivations. Je pense que nous pourrions avoir sous peu deux explications. soit il est sur les starting-blocks pour « donner » du crédit au prochain scrutin si le président Bouteflika se décide à se présenter. souvenons nous de 2004 où M. Benflis a joué naïvement le « gros » lièvre au point où certains ont cru qu il allait l emporter. soit il est le candidat caché du système dans le cas où Boutef décide de ne pas rempiler,au grand dam de ceux et celles qui se sont servis royalement et ………avec des Poclains ces dernières années . comme l enfant de la muette a affiché les couleurs d’emblée : la deuxième république, le système pourrait sauver les meubles et donner de l espoir aux algériens qui ne savent plus à quel « malsain « homme politique » se vouer . wait and see

    MELLO
    21 janvier 2019 - 17 h 13 min

     » il n’y a de bataille perdue que celle que l’on ne mène pas  » semble être la devise de Ali Ghediri qui a décidé de se lancer dans la bataille. Il sait que la bataille sera rude avec cette administration qui a broyé tant de militants et de patriotes. Il sait que se lancer sans l’apport des faiseurs de présidents ( NDLR l’armée ) et en étant en porte à faux avec le Chef d’État major, sa candidature sera comme cet OS coincé dans la gorge du chien dont l’intervention nécessitera une révision quasi certaine des lois en vigueur. L’élasticité des lois et décisions est une oeuvre artistique des décideurs . Tout cela, Ali Ghediri , Magistère en Relations internationales , Docteur d’État en sciences politiques qui complètent sa formation militaire de Général Major, il connaît tous les arcanes de ce système et comprend bien la difficulté d’accéder à la magistrature suprême.
    L’avenir nous le dira. Mais, mais il répond à toutes les conditions constitutionnelles de candidature.

    AISSA
    21 janvier 2019 - 16 h 58 min

    Nous avons en Ali Ghediri une opportunite inesperee.
    c est officier a la retraite issu de l armee Algerienne est peut etre l homme providentiel que nous attendons.
    son experience durant sa carriere dans le systeme Algerien le rend credible dans la mesure ou il sait parfaitement ce qui ne va pas et qu elles sont les reformes a introduire pour graduellement faire evoluer la gouvernance vers la transparence et l equite. commencer par mettre les hommes qu il faut la ou ilfaut ..redonner un elan dynamique et inspirationel a toutes les forces vives de notre pays. mettre l interet commun en priorite dans toute initiative citoyenne ou etatique.reorganiser l administration en injectant du sang neuf et moderne . creer des commites citoyens benevoles pour des debats et suggestion . tout le monde doit se sentir concerne et parti prenante.
    creer des assemblees de wilaya avec un chef executif par voie electorale.
    donner aux maires une veritable autonomie dans la gestion des affaires de leur communes
    decentraliser la gestion economique et territoriale.l etat doit uniquement jouer le role de supervision et de regulateur .
    il faut creer une veritable competition entres les regions.
    mr Ghediri en tant qu ancien militaire possede la dicipline et la pertinance.
    son eloquence et sa vision dans ses dernieres lettres sont des signe qui ne trompe pas.
    j espere qu il va d ores et deja se mettre a l oeuvre en allant a la rencontre des forces vives pour expliquer
    son projet .je lui souhaite une campagne dynamique et productive et j espere qu il saura convaicre.

    Lecteurs et contributeurs de AP
    21 janvier 2019 - 16 h 58 min

    Je ne rate pas un jour sans lire Algérie Patriotique, un forum qui devient, à mon sens, de plus en plus intéressant à suivre vu la diversité des opinions ! Je tiens à remercier le haut degré de conscience, de connaissance, d’analyse, de lucidité et d’amour du pays de beaucoup d’internautes, lecteurs de AP.

    Je pense que, si on évite de nous exprimer entre nous par des injures, des insultes de bas de gamme ou des comportements racistes et régionalistes primaires, ce forum prendra de plus en plus d’importance ! Ya el khaoua, chers internautes algériens (kabyles, arabes, mozabites, targuis, chaouis, musulmans, chrétiens croyants, non croyants, agnostiques, athées…) vous avez tous comme vous êtes le droit de donner votre avis, de défendre vos idées, vos thèses mais faîtes-le d’une manière civilisée, non vulgaire et quand c’est possible d’une manière argumentée, sinon çà porterait préjudice à ce support d’expression libre qu’est AP ! On en veut à gogo de la démocratie et des débats libres ! On peut même critiqué, interpellé les contributeurs, les auteurs d’articles, directement, up to date et sans ménagement et c’est quand même publié ! C’est ainsi qu’on aime l’Algérie. Ne faisons pas comme le FLN de 62 qui nous a pourri la vie durant 57 ans !

    NB : Plus on est « adulte » dans nos réactions, dans nos propos et plus le forum gagnera en … épaisseur ! Je ne brosse pas le gestionnaire d’AP, mais c’est l’évidence même. Moi en tout cas j’apprends beaucoup de choses de la part des internautes et des auteurs d’articles ! Merci à vous !

    Tarass Boulba
    21 janvier 2019 - 16 h 00 min

    Pour moi, il n’y a ni dilemne,ni ammi ali ! Je pense que dans le cas où les partis dits d’opposition (comme le FFS, PT, PST, RCD, JIL JADID et El Mouwatana, le parti de Nekkaz, ainsi que ce qu’on appelle les démocrates qu’ils soient dans une association ou qu’ils soient des anciennes personnalités politiques qui se sont mises de côté pour « x » ou « y » raisons) ne présentent pas un seul candidat UNIQUE COMMUN, il vaut mieux voter pour le général à la retraite Ghediri en exigeant de lui qu’il va réellement s’engager pour le vrai changement en cas d’élection. Sinon on le déglingue dès qu’on constate le contraire ! On ne fera plus comme avec Bouteflika qu’on a cru alors qu’il a trahi le peuple ! On sera plus « expressifs » pour ne pas dire autre chose ! Ghediri, si tu as la chance de passer, si tu fais comme Boutef, sache que le peuple déjà très fatigué, ne sera plus indulgent et il faut t’attendre à des colères violentes pas possible si tu trahis à ton tour la confiance du peuple ! Promis !

    Je dis bien que la meilleure solution est de « voter pour Ghediri » dans le cas où il n’y a pas de proposition de candidat commun qui représenterait ce qu’on appelle les forces démocratiques pour le changement ! En effet, les partis politiques que j’ai cités plus haut n’ont aucune chance de passer au deuxième tour s’ils se présentent seul, c’est l’évidence même et çà crève les yeux ! Ils n’auront aucune chance, c’est « du r’aasmi » comme on dit. Il ne faut pas sortir de Saint-Cyr pour faire cette conclusion ! Avec un « front » atomisé, ils ne réussiront pas à gagner les élections et donc les chances pour voir réaliser leur souhait le plus cher (le changement de système) s’amenuiseront et même ne se réaliseront pas !

    al hadi
    21 janvier 2019 - 14 h 59 min

    allez pour la construction d’une
    2eme République portons monsieur Ali Ghediri. que les jeunes le portent pour la concrétisation. c’est un enfant du peuple. Ghediri président.

    Karamazov
    21 janvier 2019 - 10 h 32 min

    Moua j’attends toujours de savoir combien de divisions , Mon Général pourra aligner sur le champ et ce qu’il fera face aux zaouias qui présenteront chacune son candidat. Et combien de lièvres, combien de hyènes, et de dindons face au candidat du Système. Pour l’heure il est trop tôt pour me faire un nouvel avis qui me fera changer de conviction. Et en tous cas je me méfie des hommes providentiels. On sait ce que celui d’il y a 15 siècles nous a apporté.

      Antisioniste
      21 janvier 2019 - 17 h 40 min

      @Karamazov
      il lui faudra toute les divisions et Joukov pour les mener

    Abou Stroff
    21 janvier 2019 - 10 h 21 min

    analysons concrètement la situation concrète de notre pays.
    je pense que nous avons une opportunité inouïe de dépasser le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation auquel la politique de bouteflika, comme homme de pouvoir (par opposition à un HOMME d’ETAT), a permis d’atteindre des sommets, dans la corruption et la prédation, jamais égalés.
    la condition de réalisation de cette opportunité est facilement identifiée: que ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre agissent pour que bouteflika ne se présente pas pour un cinquième mandat.
    la non candidature de bouteflika permettra de mettre toutes les chances de réussite du côté de Ali Ghediri qui représente, contrairement à d’autres (les candidats qui trainent des casseroles et/ou les lièvres traditionnels et les islamistes qui représentent, de fait, le monde ancien qui ne veut pas mourir), le monde nouveau (un monde basé sur le travail, en général et le travail productif, en particulier) qui a du mal à naître.
    PS1: la candidature de bouteflika « fermera le jeu » puisque h’mida erracham sera de fait, h’mida el le3ab) et ne fera que retarder l’implosion ou l’explosion d’un système condamné, historiquement. il est inutile de souligner que ceux qui paieront le prix de l’explosion ou de l’implosion ne seront certainement pas les puissants du moment présent.
    PS2: en quoi la commission présidée par derbal serait elle indépendante si tous les membres de cette commission sont, dans les faits, des clients de l’actuel fakhamatouhou?

      Abou Langi
      21 janvier 2019 - 12 h 46 min

      « PS1: la candidature de bouteflika « fermera le jeu » ».
      En attendant pour ne pas gâcher le jeu , et pour que tout les participants se disent qu’ils ont vécu des instant formidables, je suppose que Fakhamatouna attendra le dernier moment pour siffler la fin de la récrée. A moins que ….

    lhadi
    21 janvier 2019 - 9 h 58 min

    Les gesticulations de surface style « barakat » ne pourront jamais atteindre le renard de la politique qui a bâillonné tous les coqs, plumé les poules et volé les oeufs.

    Sans rapport de force, les gardiens du temple Algérie n’accepteront jamais un renard libre dans leur poulailler !!!

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Djeha Dz.
    21 janvier 2019 - 8 h 44 min

    Pour un système totalitaire, tout est permis. Les lois sont très élastiques ou même ignorées. La raison du plus fort, faisant loi.
    L’hypothèse de disqualifier Mr Ali Ghédiri, autrement que par les urnes, ne comporterait elle pas beaucoup de risques pour un système dont la légitimité et la crédibilité sont déjà très discutables.
    Tout, dépendra, à mon avis, de la campagne de Mr Ali Ghédiri et de son programme et de son charisme.
    Au point où nous en sommes, entre un Bouteflika finissant et son système corrompu, et un Ghédiri beaucoup plus jeune et déterminé d’édifier une deuxième République, mon choix et vite fait.
    Le peuple est loin d’être naïf, son apparente passivité peut se transformer à tout moment en une force surprenante, pour changer l’ordre des choses.
    Il sera plus sage pour tous de faire passer le choix du peuple et l’intérêt du pays au-dessus de l’intérêt du système et de sa caste.

    Soyons sérieux !
    21 janvier 2019 - 8 h 30 min

    Vous nous prenez pour des gogos! Le système est encore verrouillé et pour longtemps. Hadj Moussa ou Moussa Hadj sont les 2 alternatives. Le combat est à l’intérieur d’un même clan, arrêtez de nous leurrez!!!

    Zaatar
    21 janvier 2019 - 8 h 29 min

    H’mida c’est H’mida. Celui qui n’est pas avec H’mida est contre H’mida. Avec cela tirez en toutes les conséquences possibles et imaginables et vous serez dans le vrai.

    S.O.S
    21 janvier 2019 - 8 h 15 min

    La balle est dans le Camp du peuple, c’est l’occasion où jamais, soit choisir entre une vraie démocratie et une vraie république,ou choisir la continuité la jungle et la République Bananiere,avec la destruction du pays et la régression sur tout les domaines,en vingt ans le Vietnam est devenue exportateurs et dépendant de ses ressources, nous en vingt ans on est devenu une jungle,ni lois,ni foi,ni règlement,ni Wallou, seul régime ou monde qui ferme les yeux sur la corruption et l’injustice, cela veut dire ceux qui dirigent sont des Hors la loi

      anonyme
      21 janvier 2019 - 10 h 45 min

      Tu as trop d’égard vis à vis des peuples. Les peuples, par définition, sont c…s ! S’ils étaient intelligents, ils ne seraient pas tous dirigés par de veules incompétents. C’est l’argent qui dirige le monde, pas les peuples.

        Nasser Nasro
        21 janvier 2019 - 13 h 06 min

        @anonyme
        tout a fait d’accord, le BILDERBERG – Francs maçons – commission trilatérale. Voilà ceux qui dirigent le monde, les plus riches de la terre.
        François Fillon confia à Philippe de Villiers en 2015 à propos du groupe Bilderberg : « Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent ! ». Si le bilderberg dirige la france, qu’en est il pour l’algerie, la France et l’arabie seoudite ne sous-traitent pas pour le compte de Bilderberg? n’est il pas légitime de se poser cette question?

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