Trois éléments à retenir de l’annonce de la candidature du président Bouteflika

pourquoi
Le président Abdelaziz Bouteflika. PPAgency

Par Karim B. – Le premier communiqué de la présidence de la République annonçant la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat était en soi, bien que sibyllin et avant la diffusion du message complet, révélateur de ce que sera l’après-avril 2019.

Si le président Bouteflika est réélu, il organisera la conférence nationale qui avait été annoncée par l’alliance présidentielle dans la perspective, au départ, d’une prorogation du mandat actuel du chef de l’Etat. L’initiative a donc été maintenue, seule la forme a changé. En effet, l’élection qui devait être reportée a fini par être programmée à la date prévue de sorte à faciliter au président Bouteflika l’initiation du grand chantier politique qu’il compte mettre en œuvre une fois élu.

Selon des sources concordantes, le Président sortant s’est fixé comme objectif prioritaire le passage du témoin à une nouvelle classe politique, en droite ligne avec son discours du 8 mai 2012 à Sétif. Il est fort probable que cette conférence, à propos de laquelle Bouteflika a insisté sur le fait qu’elle sera «inclusive», prépare le terrain à une révision profonde de la Constitution qui pourrait poser les jalons d’une deuxième République.

La tenue de cette conférence pourrait également signifier que le cinquième et dernier mandat du président Bouteflika serait écourté. Cette probabilité est d’autant plus plausible que le chef de l’Etat avait souhaité, avant de se présenter à sa propre succession, ne pas rempiler en raison de sa maladie. Des sources informées ont expliqué à Algeriepatriotique que le contexte dans lequel évolue la situation politique du pays nécessitait que le président Bouteflika soit le garant des réformes qu’il s’est lui-même engagé à entamer.

Les circonstances ayant retardé ces dernières, ce sera à lui de les mettre en œuvre pour permettre à son successeur de diriger le pays en étant libéré de toute contrainte qui pourrait entraver l’avènement de l’Etat civil et l’instauration d’une démocratie définitivement consacrée dans la nouvelle Constitution.

K. B.

Comment (102)

    Dahmane
    11 février 2019 - 10 h 28 min

    La seule chose a retenir est qu’on est victime de colonialisme d’un type nouveau et plus dangereux car ilest parmi nous.

      Remarque
      11 février 2019 - 12 h 09 min

      La vengeance des veuves de chouhada en les excluant des logements sociaux pour se venger de leurs maris confirme vos dires.

    Dahmane
    11 février 2019 - 7 h 44 min

    Salam lkhawa,
    On commente trop (peuple, opposition etc…). Il y a ni l’un ni l’autre dans notre chère pays. Pour une boîte de chocolat ils se rallient à n’importe Quel envahisseur.
    Vous pensez que cette génération va relever le défi ? Hamdoulah qu’elle n’a pas existé avant 1962.
    Le vrai peuple est, soit exilé ou retiré complètement du quotidien.
    Le reste est importé dans des containers. Ça va rester comme ça et celui qui bouge c’est la matraque.
    La preuve, quand je vois chaque fin de journée une chaîne interminable devant l’ONALAIT DBK (Tizi-Ouzou) pour quelques sachets de lait, je me dis que c’est la continuité dans la continuité.

      Moh
      11 février 2019 - 9 h 30 min

      Nos responsables sont protégés par leur justice si jamais un citoyen déposerait plainte contre l’un d’eux même avec des preuves c’est lui qui sera condamné a de lourdes peines de prisons.

      Rachid
      11 février 2019 - 12 h 06 min

      Bonjour Da Dahmane,

      Je suis d’une petite ville de l’extrême est de l’Algérie nous souffrons même du manque d’eau et le lait n’en parlons pas, il y a des coins où les gens vivent encore comme a l’époque coloniale malgré le lourd tribut payé pour l’indépendance de notre pays.
      Un grand bonjour a nos compatriotes de la Région qui a enfanté des héros comme le colonel Amirouche et des centaines de milliers d’autres.

    Rabah
    11 février 2019 - 7 h 38 min

    La Honte !

    Anonyme
    11 février 2019 - 7 h 32 min

    Ya Allah encore un 5ieme mandat … que peut il faire en 5 ans ce qu il n as pu faire durant les 20 années passées. Wellah un grand probleme

    Hamid
    11 février 2019 - 7 h 28 min

    The absurdity of the 5th term is near-comic..This is just an extension of power and control by the oligarchs who surround President Bouteflica ..We all kmow that he does not exercise power .I really pity him when I see images of him sitting in a wheelchair tii frail and sickly , staring with mouth agape and speechless.If Mr Bouteflica didn’t exist , would I invent him ? I certainly would .Love him or loathe him , he’s our president .I believe he would have gone some time ago were it not for Algeria and it’s Algeria that matters most to him to the detriment of his ill-health .We have to recognise that he helped assert Algeria on the world stage when he took power in 2003 .He’s a very able ; competent public servant , but sadly his last years have been dogged with ill-health .Under the current situation ,he can’t carry out his presidential duties and I think he should retire from politics .I wish him well .That’s my opinion , and tahia ElDzair as always !

    Desobeissance civile
    11 février 2019 - 7 h 11 min

    L’unique chose claire est que le régime criminel ne cèdera jamais de bon gré

    Blakel
    11 février 2019 - 1 h 31 min

    En résumé, un 5e mandat, avant tout pour gagner du temps et pouvoir transmettre le pouvoir à un homme sûr et de consensus, qui les préservera des poursuites judiciaires et des règlements de comptes, accompagné de quelques réformes (réelles ou de façade ?) pour calmer la population.

    Jamais
    11 février 2019 - 0 h 02 min

    Il ne y aura jamais de 5 ème mandat je dis bien jamais!!!!!

      Comment allez-vous agir?
      11 février 2019 - 8 h 04 min

      Quelles sont vos propositions

      Anonyme
      11 février 2019 - 23 h 17 min

      Jamais : C est juste pour faire le 100 éme commentaires lol et j en profite pour te répondre en meme temps donc il faut jamais dire: fontaine , je ne boirai pas de ton eau .Hé oui enfin il faut jamais dire jamais car on est certains de rien et pour qui que ce soit tous comme on est .

    kamal
    10 février 2019 - 23 h 45 min

    Je viens de lire la version en arabe de la déclaration, moi je retiens ce qui suit:
    – il y a une seule proposition qui est de tenir une conférence nationale qui est dans son principe une remise en cause flagrante de tout l’édifice « démocratique » et institutionnel (apc, apw,apn, senat) qui a été mis en place durant les dernières années.
    Sincèrement, je ne pense pas que c’est le candidat qui a été à la source de cette déclaration, je garde de lui l’image d’un homme politique très sharpen.

    Anonyme
    10 février 2019 - 23 h 35 min

    Finalement Matabeche Djnanou nous a eu sur toute la ligne et nous a bien caché son jeu !
    Et il caresse même l’espoir de s’y mettre dès l’annonce des résultats des élections transparentes, libres et démocratiques d’avril 2019. Il va très vite s’atteler à faire de notre pays une véritable Djena fi el-ardh et une puissance économique mondiale que le monde entier nous enviera, y compris les puissances actuelles… et tout ça en l’espace d’un seul mandat !
    Un mandat qui déterminera la durée des mandats suivants et que fixera la nouvelle Constitution, revue et recorrigée qu’il va, encore une fois, réviser à tête reposée. Après tout, qu’est-ce qui presse ? Matabech Djnanou a toute l’éternité devant lui !

    rabah
    10 février 2019 - 23 h 18 min

    Qui a parlé au nom de Bouteflika?
    Comment un homme victime d’un AVC sévère peut-il s’ exprimer pour dire sa volonté de se porter candidat à un 5ème mandat présidentiel?
    A-t-il parlé? Non
    A-t-il écrit de sa main? Impossible.
    Comment a t-il fait pour exprimer son programme pour ce 5ème mandat?

    Je connais un gars qui travaillait à la mairie et qui a été victime d’un AVC. Il a été déclaré invalide et touche une pension.
    Comment alors une personne qui vit dans le même pays, avec les mêmes règles et victime du même type de traumatisme peut vouloir diriger un état?

    Anonyme
    10 février 2019 - 23 h 05 min

    Il n’ y a aucun doute l’Algérie est infestée mais par qui ? parce que véritablement il y a un gros problème.

    Alain PIC
    10 février 2019 - 22 h 57 min

    Mes Respects Monsieur Karim B. Généralement vos analyses sont frappées de clarté-netteté et vos textes sont assortis de conclusions. Cette fois-ci, pour la 5ème Bataille des Oligarques- Prédateurs, vous avez fait la sourde oreille et vous avez passé sous silence «  » »l’essentiel recherché dans le texte de candidature de Boutefliga » » » du moment que vous affirmez que ledit mandat n’ira pas à son terme. Cet essentiel occulté, sciemment ou non !!!!!, est que cette caste au pouvoir demande au peuple Algérien, à travers cette 5ème KHOURDA, de lui accorder un délai permettant à la Famille Royale de libérer le Palais « El-Mouradia » vers un autre Palais aux anges «  » »SANS LAISSER DES PLUMES » » » tout en prenant le soin de loger les U.S, FAFA, Great B, ISRAËL, et autres DAECH à nos frontières SUD, EST et OUEST. Et, le Peuple Algérien et son Algérie «  »AU DIABLE » ». Alors, Non et Non et Non, plusieurs fois NON: l’Algérie ne sera ni Lybia, ni Sourya, ni Irak, ni Afghanistan, ni quoi que ce soit. Donc: il n’y aura pas de 5ème, il y a le PEUPLE ALGERIEN et son ANP: les DEUX sont solidaires et DEBOUT.
    Cher compatriote Karim B, reprenez votre analyse et y inclure vos conclusions, comme à l’accoutumé, pour vous détaxer de cette caste…

    Ayweel
    10 février 2019 - 22 h 33 min

    Ceux qui ont déclaré le premier novembre 54 ont fait rentré l’Algérie dans l’histoire des nations et ceux qui ont annoncé le 5ieme mandat ont fait sortir le peuple algérien de l’histoire des peuples.

    Anonyme
    10 février 2019 - 22 h 25 min

    Il y a toujours une parade et meme contre eux et sans effusion de sang pacifiquement . je la donnerai deux mois avant les élections en mars 2019 lol . ils veulent jouer avec leur propre peuple et avec des dés pipés d avance alors jouons avec eux mais en utilisant les mêmes méthodes  » la triche » il faut utiliser les mêmes armes pour les combattre sinon c est perdu d avance donc à arme égale . faites vos jeux m’sieur dames ! On m a toujours dit la meilleure arme c est l esprit . C est pas contre Bouteflika mais juste ce qui jouent avec la santé du président et avec le peuple algerien et veulent ainsi s accaparé du pouvoir à vie .

      Anonyme
      11 février 2019 - 7 h 01 min

      Tout a fait…utiliser les memes regles de jeux qu eux….garder le calme …reflechir et declarer ses cartes 2 mois avant les elections…inutile de s emporter ni de paniquer…a l opposition credible de s organiser et s entendre sur un seul candidat ou une seule candidate…..du calme …prenez une chaise et un the et regardez le cirque de loin ..sans intervenir jusqu a 2 mois avant les elections

    Anonyme
    10 février 2019 - 22 h 13 min

    Calmez vous et arretez le delire:il y a une possibilite de presenter un candidat unique de l opposition et d aller en masse voter celui qui vous voulez elire comme prochain president….voter contre Bouteflika ou voter pour le candidat unique de l opposition….les jeux ne sont pas completement faits …tout dependra du peuple et de faire son choix….

    Anonyme
    10 février 2019 - 22 h 11 min

    Calmez vous et arretez le delire:il y a une possibilite de presenter un candidat unique de l opposition et d aller en masse voter celui qui vous voulez elire comme prochain president….voter contre Bouteflika ou voter pour le candidat unique de l opposition….les jeux ne sont pas completement faits …tout dependra du peuple et de faire son choix

    Bouzorane
    10 février 2019 - 22 h 09 min

    Il faut reconnaître qu’en terme de chaos et de décadence, nous avons toujours été précurseurs!
    1er pays africain à subir la colonisation européenne.
    1er pays à sacrifier 1.5 millions de ses enfants pour l’indépendance (alors que tous les autres pays ont recouvert leur indépendance pacifiquement et à moindre frais)
    1er pays à basculer dans la guerre civile dans les années 1990
    et aujourd’hui, 1er pays gouverné pendant un quart de siècle (au moins, pour l’instant) par un fantôme

    Vangelis
    10 février 2019 - 21 h 46 min

    Faut-il accorder crédit à ces projets ? A priori, non !

    Le régime a habitué les algériens à ses mensonges. Qu’il s’agisse de projets économiques ou politiques il a toujours blousé les citoyens par des promesses sans lendemain. Il ne va donc pas changer ce coup là.

    Rappelez-vous qu’en 2012 et son « fameux » tab jnanou qui ne l’a pas empêché de rempiler pour son 4ème mandat en dépit de son AVC que son propre médecin, assermenté pourtant, considérait comme peu handicapant.

    Sa maladie s’étant aggravée, il ne s’empêche pas, ou du moins son entourage immédiat, de vouloir continuer à être assis sur un fauteuil à roulettes et prétendument diriger l’Algérie.

    Voyez-vous, il suffit de seulement lire l’histoire du pays depuis le début de sa guerre de libération pour voir que déjà, ils se battaient pour le pouvoir et le FLN, pour ne pas le nommer ne veut en aucun cas céder un pouce de sa mainmise sur le pays. Venir nous dire qu’il veut passer la main, c’est à coup sûr assurer la relève par un du sérail et des siens et personne d’autre. Les colons agissaient ainsi, ils sont suivis à la lettre par les prétendus libérateurs qui ne se soucient que de leurs propres intérêts et pas le moins du monde de ceux du pays.

    Anonyme
    10 février 2019 - 21 h 33 min

    Il faut se barrer la route a Saïd bouteflika

      Anonyme
      11 février 2019 - 9 h 41 min

      on ce moment c est boutef qui barre toute les routes en abusant de son pouvoir

    Chibl
    10 février 2019 - 21 h 20 min

    il essayent juste de nous faire peur, il y a un tas de moyens de faire barrage a cette candidature, faire une gréve générale de 8 jours comme nos parents, avec mot d’ordre non a BOUTEFLIKA ET GAID SALAH, c’est notre pays pas le leur, a bon entendeur salut.

    صالح/ الجزائر
    10 février 2019 - 21 h 01 min

    « Le chef de l’Etat avait souhaité, avant de se présenter à sa propre succession, ne pas rempiler en raison de sa maladie » , mais la politique de alaa karchou yakhli archou , de l’alliance de la mangeoire , a prévalu encore sur les intérêts suprêmes de la pseudo RADP . Certes qu’après avril 2019, sera différent, mais comment? Dieu sait mieux.
    Ils ont fait de l’Algérie une risée des autres nations , même pour les pays pauvres et sous-développés, qui ne pesait pas gros dans le passé récent .

    MELLO
    10 février 2019 - 21 h 00 min

    Un seul élément à retenir, c’est encore du pipô. Ils ont comme habitude de promettre , mais les promesses sont réalisées : Il avait promis de ne jamais officialiser la langue Amazighe, et pourtant quelques années après on a eu tout le contraire. Il avait promis la reconnaissance de toutes les religions présentes en Algerie en 1999, vingt ans après , aucune religion n’est reconnue, sauf l’Islam . Mais dans tout ce scénario, on annonce la candidature de Bouteflika , de quel Bouteflika il s’agit ? Un grand point d’interrogation.

      Anonyme
      10 février 2019 - 22 h 31 min

      En tous cas, ce n’est certainement pas le Bouteflika qu’on connait. Sa touche ne transparait nulle part.
      C’est même certain, parce que le vrai Bouteflika, rusé, malin et réactif, n’est pas connu pour être aussi insipide et naïf (et je reste poli) que ce qui ressort du message qu’on lui attribue.
      Non. L’auteur (ou devrais-je plutôt dire les auteurs ?) de cette «lettre-programme», ne peut définitivement pas être l’actuel président de la République. C’est catégoriquement impossible.

    Vous allez me détester, voir me haïr mais j'assume!
    10 février 2019 - 20 h 56 min

    J’ai envie de polémiquer, de créer de la passion et voir de la réflexion! Croyez vous que les partis comme le FFS, RCD, PT, MSP, Djaballah, TAJ, TEH,… peuvent accéder au pouvoir et si OUI être en capacité de gouverner le pays? Sincèrement, moi je crois que NON! Ils ne pas représentatives du pays, trop désunis voir ils sont antinomiques pour présenter un candidat unique, leurs programmes sont bien souvent décalés des aspirations de la population Algérienne. Alors quid de Bouteflka? OUI, il fait le consensus dans l’Algérie actuelle profonde, rurale, industrielle, administrative et voir au sein d’une certaine élite militaro-socio-économique (Politiques, Oligarques, Militaires, Culturelle, ….). C’est triste à dire mais ce sont les faits et la réalité d’aujourd’hui. Il est le seul même dans son état physique actuel à pouvoir faire bouger les lignes quoi que l’on en dise. Que l’on aime ou pas Bouteflika, cet homme est rentré dans l’histoire de notre pays avant même d’avoir été Président: son passé de résistant, plus jeune MAE au monde et sa diplomatie avant gardiste de l’époque, son discours à l’ONU, … ect. Il marquera encore plus l’histoire par ces années passées à la Présidence de notre pays. Durant les dernières 20 ans, il a été l’homme qui a fait avancés des projets sociétales comme : la reconnaissance de Tamazight, la réconciliation nationale, la place des femmes au sein de notre société (même si il reste un long chemin à faire), la modernisation de notre armée, la diplomatie et le retour de l’Algérie sur la scène internationale après les années noires du terrorisme, « un peu plus d’Etat Civil » (reste encore du chemin à faire), les infrastructures,…; ect. Si il est élu, ce que je ne doute pas, il est le seul à encore pouvoir casser des tabous aux niveaux sociétales, Economiques et politiques. Son challenge sera d’intégrer les jeunes à prendre la relève, donner une vrai place et leurs droits aux femmes, de focaliser les militaires sur leurs fonction régaliennes uniquement, de faire rentrer l’économie algérienne dans la normalité internationale et sortir du « tout hydrocarbure », d’asseoir une bonne fois pour toute un Etat de Droit, d’apaiser la société algérienne de ces aspects schizophréniques (sur la religion, l’identité, l’éducation), d’assurance un secteur bancaire digne de ce nom, d’intégrer l’informel dans l’économie, de stopper la gangrène de la corruption…ect. Il est le seul à pouvoir réussir ces changements, faire cette restructuration de notre écosystème compliqué afin de pouvoir vivre dans un pays apaisé, sécurisé, ouvert et moderne A CONDITION DE S’ENTOURER DE TALENTS AVEC UN GRAND SENS DE L ‘ETHIQUE, DE L’ETAT ET DES PATRIOTES. A défaut nous irons vers le chaos

      Kenza
      11 février 2019 - 11 h 09 min

      Vous voulez dire, Bouteflika ou le chaos. C’est à dire, il n’y a plus d’hommes dans ce pays. Pas même un seul pour pouvoir diriger le pays.
      « Le culte du zaïm », voilà tout le drame de notre pays. J’espère qu’après Bouteflika nous seront arrivé au bout de ce délire…

        Anonyme
        11 février 2019 - 14 h 20 min

        Non, vous m’avez pas bien compris! Je reformule. Si un changement profond ne se fait pas dans la prochaine mandature présidentielle qui sera une période de transition, de mutation et de restructuration socio-politico-économique, alors là se sera le chaos! J’espère avoir mieux précisé ma pensée.

      MELLO
      11 février 2019 - 18 h 03 min

       » Encore et encore du chemin à faire … » tel est votre appréciation sur tous les sujets traités par votre fakhamatou. S’il y a un long chemin à faire , c’est qu’au final, il n’à rien fait. Reprenons point par point :
      – Tamazight ? Ce n’est pas lui , c’est la rue et encore un long chemin reste à faire.
      – réconciliation nationale ? Tout est à refaire sur ce sujet.
      – la place des femmes : il y a combien de femmes au gouvernement ? . Insignifiant .Quant à l’APN ,ce n’est qu’ un décor.
      – modernisation de notre armée : ce n’est pas le matériel qui modernise une armée , c’est son organisation et lorsqu’on voit un général major ( retraité ) se porter candidat , c’est qu’il y a du louche.
      – la diplomatie , elle est en panne malgré les bonnes volonté d’un Message. Plus aucun président ne vient en visite officielle en Algérie.
      – les infrastructures , que du gâchis ,projets interminables et hors normes. Que du rafistolage sur l’autoroute Est Ouest.
      – Passer le relais aux jeunes ? J’en doute puisqu’en vingt ans d’exercice aucun jeune n’à été nommé ministre. Et quel jeune pourrait prendre le pouvoir aujourd’hui ?
      – apaiser la société algérienne schizophrènique ? Le seul moyen d’apaiser cette société c’est de partir et quitter le pouvoir.
      – La corruption ? Elle est venue en ces vingts dernières années , durant les quatres mandats.
      Non, on ne peut pas faire du neuf avec du vieux. Il avait toutes les capacités physiques et intellectuelles pour faire , mais maintenant …..

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