Mise en garde du ministre de l’Intérieur : le pouvoir craint-il des troubles ?

Bedoui langage
Noureddine Bedoui, ministre de l’Intérieur. PPAgency

Par R. Mahmoudi – Le gouvernement commence à adopter un langage plus ferme et plus offensif à mesure que s’aiguise, sur les réseaux sociaux et dans la rue, la campagne anticinquième mandat et menace de déborder pendant la campagne électorale. Ce qui fait craindre des perturbations sérieuses en cas d’affrontements entre camps rivaux ou d’émeutes si les forces de sécurité interviennent.

Le ton a été donné, hier mercredi, par le ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, qui a sévèrement mis en garde contre «toute tentative de sabordage de la présidentielle» et menacé d’agir contre les «ennemis de l’Algérie» qui, selon lui, «parient sur le fiasco du rendez-vous électoral», en considérant que le scrutin du 18 avril prochain «focalise les regards au plan international».

Plus offensif encore, le ministre de l’Intérieur prévient que «les enfants d’Algérie sauront, ensemble et partant de leur fidélité aux sacrifices des martyrs de la glorieuse Révolution et du devoir  national, faire barrage à toutes les manœuvres car convaincus qu’ils n’ont pas le droit à l’erreur», en appelant «tout un chacun à assumer ses responsabilités pour la préservation des acquis réalisés en matière de sécurité et de stabilité et faire face aux enjeux sécuritaires et économiques».

Ces mises en garde du ministre de l’Intérieur recoupent avec celles lancées la veille par le chef d’état-major de l’ANP, lors de sa visite dans la Ve Région militaire (Constantine). Prenant à partie les opposants au cinquième mandat, le général Gaïd-Salah les qualifie d’«ingrats» et les accuse d’avoir des desseins «hostiles» et des discours «pleins de haine», de ne pas mesurer «le poids de la stabilité et de la sécurité de l’Algérie» et de ne pas considérer «le devenir du peuple algérien combattant, qui a su déjouer toutes les manœuvres et manigances et faire face à l’hostilité de certains ennemis de l’intérieur et de l’extérieur».

Usant des mêmes termes, le chef d’état-major a insisté, à ce titre, sur l’expression «ennemis de l’intérieur et de l’extérieur» qui, a-t-il dit, aspirent à «faire de l’Algérie et de son peuple, qui est, et restera, attaché à l’esprit de Novembre (…) les otages de leurs intérêts abjects et de leurs ambitions sordides». Et de poursuivre : «Le peuple, qui a réussi à mettre en échec les manœuvres méprisables du colonisateur français, en dépit de tout ce qu’il a pu endurer (…), est un peuple digne de perpétuer le message de ses aïeux et de prendre la responsabilité de préserver leurs legs», a-t-il soutenu.

«Un peuple d’une telle conscience et d’un tel discernement, ajoute-t-il, n’a jamais été, et ne pourra être, une proie facile entre les mains de ceux qui se nourrissent de rêverie et d’illusion, qui sont prêts à vendre la sécurité de leur pays et la stabilité de leur patrie au prix de leurs intérêts, sacrifiant, sans scrupule, l’Algérie et le futur de son peuple».

R. M.

Comment (100)

    Anonyme
    15 février 2019 - 16 h 16 min

    Mais vous êtes qui pour menacer le peuple algérien et d’oser, en plus, le traiter d’ennemi ?!
    Je me pose très sérieusement la question suivante :
    Est-ce qu’un véritable algérien, haut responsable de surcroit, peut se permettre de menacer son propre peuple et de le traiter d’ennemi ? Mais qui est véritablement l’ennemi de qui au fond ?!
    A ces niveaux de responsabilités, dans les coutumes des gouvernements qui se respectent, on présente ses excuses et on démissionne sur le champ, pour éviter de subir le déshonneur du limogeage et de la sanction exemplaire, si ce n’est l’obligation de s’expliquer devant le Parlement voire devant la justice et ses tribunaux.
    Malheureusement, au pays des mandats à vie, les mœurs sont toutes autres. Le haut responsable a de toute évidence tous les droits d’insulter et de menacer le peuple sans la moindre conséquence.

    OmarB
    15 février 2019 - 15 h 38 min

    La peur a change de camp. Vous serez tous jetes a la mer, c.a.d la poubelle de l’histoire.

    anonyme
    15 février 2019 - 5 h 48 min

    Ya si El Gaid vous avez dit à plusieurs reprises que l’armée reste en dehors du politique, alors pourquoi se ranger du coté du clan
    Le peuple a décidé de prendre son destin en main et vos menaces confirmées ne nous font pas peur
    Ce peuple a été exemplaire et a fermé les yeux sur 20 années de corruption et de médiocrité à tous les niveaux, maintenant il dit ça suffit

    Dz213
    15 février 2019 - 3 h 07 min

    Droit de vote=droit de liberté=droit de désaccord=droit de critiqué=droit de s’exprimer=droit de choisir=droit de s’abstenir=droit de demandé dès comptes= droit de dénoncé,ya naaassssss,nous sommes Algériens nous voulons le changement ,nous voulons le bien pour notre pays,maRaneche tamaine fikoum ou fi edenia,nous voulons revenir à notre propre culture,y’en à marre de cheb koukou et chaba cabaret,nous voulons voir notre jeunesse exemplaire pas commes des lotes, jeunesse violente,méchante et non éduqué,nous voulons voir notre pays propre,nous voulons voir une justice au dessus de tout le monde,nous voulons voir de l’ordre,nous voulons un changement radical,yabourab habitni nkoulek on ne veut plus voir les mêmes geules se moqué de nous,khlass y’en marre de voir l’ugta avec sidi said le fln et le rnd nous représenter,le fce avec Ali et les 40 beznassi,amar ghoul avec les partis de 3eme division, les chiyatines avec des gros culs et tous arabisants,nous ne voulons pas voir
    un peuple nerveux ,malade,dépressif,mwassess, et même parfois complice dans la corruption, ya si Medoui ça nous fait mal quand on voit les caricaturistes,les humouristes et les autres medias se moqué du président qui est avant tout un Algérien.

    Nasser
    15 février 2019 - 1 h 04 min

    Je suis contre le 5ème mandat, mais il a constitutionnellement le droit de se porter candidat!…les mouvements de foule et les commanditaires contre ce qui est légal doivent être sévèrement punis!

      Farida
      15 février 2019 - 10 h 01 min

      Pas d’accord du tout. Que dit alors la constitution sur un candidat qui ne peut pas vacer a ses occupations pour cause de maladie ? Comment alors a-t-il « constitutionnellement le droit », quand cette meme constitution est PIETINEE a maintes reprises ?
      Soit vous n’avez pas lu le contenu de la constitution ou vous faites semblant de ne pas la comprendre.

      Anonyme
      15 février 2019 - 14 h 30 min

      quelle constitution? celle qui a ete trafiquée,? et quel conseil constitutionnel,? celui qui nous dit que le sujet est apte malgrè un avc et une perte totale d’autonomie ? qui accepeterait de s’embarquer dans un avion dont le pilote vient de subir une attaque cardiaque?

    Anonyme
    14 février 2019 - 23 h 35 min

    Pas avec Sergent GARCIA

    Anonyme
    14 février 2019 - 22 h 50 min

    La menace, acte irréfléchi et méchant.

    Anonyme
    14 février 2019 - 22 h 32 min

    Ne vous accaparez pas de ce qui ne vous appartient pas l Algérie ; la souveraineté appartient au peuple algerien et il est le seul a décider de son destin Mr le ministre ou qui que ce soit dans ce pays ou ailleurs dans le monde .

    Noboutef
    14 février 2019 - 22 h 26 min

    Oujda out! c’est tout!

    Anonyme
    14 février 2019 - 22 h 18 min

    Rien ne peut les faire réagir autant qu’homme censé. J’ai entendu tout à l’heure SIDI Saïd appeler les travailleurs à soutenir boutef. De quel droit ose-t-il le faire.il est président d’un parti politique. Mais c’est un grave dépassement ou est la dite commission de surveillance des élections. Mr bédoui L’Algérie appartient aux algériens et tous les algériens si ces derniers vous disent non donc c’est non vous ne pouvez rien changer et vous n’y arriverez jamais car retour à la case départ est obligatoire mina echaab wa ila echaab..
    Comment pourrez vous s’attaquer et menacer tout un peuple. Comment un ministre nommé et designe par un président élu par le peuple puisse oser menacer le même peuple…..

    Anonyme13
    14 février 2019 - 22 h 14 min

    Algérie 2019 neuve.

    Anonyme
    14 février 2019 - 22 h 07 min

    Que reste t’il quand des étudiants sont égorgés dans les universités (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est est de ce pauvre étudiant étranger égorgé pour un simple smartphone (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est il des tonnes de cocaines et psychotropes qui tuent nos enfants (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est il de la corruption qui règne en maitre (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est il de nos hôpitaux devenus mouroirs où les agressions sont monnaie courante (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est de ces pauvres harragas livrés aux dents de la mer (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est il de ces milliers de jeunes en chomage depuis des lustres (wine rahi dawletkoum)
    Qu’en est il des pauvres retraités que vous traitez comme des chiens et qui se lèvent à 4 h du matin pour percevoir leur minable pension
    Qu’en est il du benaamisme où seuls ceux qui ont flen bien placé pour recrutement
    Qu’en est il de vos amis « dépités » et sénateurs de festi qui touchent des sommes colossales alors que le peuple vit au jour le jour
    Qu’en est il de votre progénitures qui étudie et se la coule douce à l’étranger tandis que nos écoles et universités sont infestées de drogue et où le savoir a déserté
    Qu’en est il, qu’en est il ……………………………
    Par contree pour mater le peule vous nous sortez toute votre artillerie
    Dégagez un point c’est tout, el hadra ghir ziyada

      MELLO
      15 février 2019 - 12 h 56 min

      Merci, tout un programme de déstructuration de la Nation Algérienne, c’est leur programme ! .

    Manifs Oran-Bordj Bouarreridj ......
    14 février 2019 - 21 h 44 min

    Les algériens en colère contre la répétition des mandats, menacés ou pas les jeunes sont dans la rue.

    anonyme
    14 février 2019 - 21 h 38 min

    Waooo Même le « general de division » nous menace
    Pas de president invisible sourd et muet (Allah ichafi) telle est notre réponse
    Chaouis Arabes Kabyles Targui Mozabite unissons nous, nous sommes tous Algeriens
    Ce pouvoir a joué sur la division du peuple pour rester maitre à bord
    Barrons leur la route

    ANONYMA
    14 février 2019 - 21 h 22 min

    a partir d’aujourd’hui je ne critique ni la france ni israel ni le maroc ni qui de ce soit parce le mal est en nous et le mal c’est vous et c’est vous qui mettez l’algerie en danger et pas les autres comme vous les appelez ennemies intérieur ou extérieur
    HONTE A VOUS

    AISSA
    14 février 2019 - 21 h 09 min

    je constate a travers tous les life de Nekkaz et de ghani Mahdi que le peuple Algerien est mature et qu il apprecie la paix . on ne voit ni bousculade , ni heurt ni violence on voit le peuple amer et decu de vous monsieur le ministre.
    a moins que c est pour creer la pagaille vous n avez pas besoin d envoyer vos flics . il y a la securite sans vous .c est toujours vous qui manipulez les masses.
    laissez juste les gens tranquiles et votez pour qui ils veulent et vous constaterez qu il n y a pas lieu de paniquer il n y a pas d ennemi a l interieur a part ceux qui on peur de perdre leur privileges.
    jouez fair play et vous n avez rien a craindre

    La Vérité
    14 février 2019 - 20 h 59 min

    Si jamais il y aura des problèmes ce sera sans aucun doute à cause d’un mandat de plus.

    Sid
    14 février 2019 - 20 h 38 min

    Cet (…) ose venir nous menacer nous Algériens fières et enfants de Ben mhidi, amirouche et Ben Boulaid? Notre réaction va être à la mesure de notre colère ya sid el wazir de niveau des républiques (…) ! Ne vous méprenez pas, notre long silence n’a jamais signifié notre indulgence vis-à-vis de ce pouvoir de (…) que vous représentez à la perfection. Nous n’avons et nous n’allons guère oubliez lo moment venu ce que vous avez fait de notre chère patrie ! Non seulement vous allez le (…), mais vos noms et votre déscendance seront maudis des générations durant.

    Anonyme
    14 février 2019 - 20 h 34 min

    Vous êtes désarçonné Monsieur Bedoui ainsi que Gaid et le pouvoir ? La seule réponse que vous avez c’est la menace de répression. Vous voulez tirer sur la foule ? Vous ne faites que confirmer ce que le peuple pense de vous et ce que vous êtes. En plus avez peur. INFO : Les campagnes pour les élections auront lieu dans les musées, vous aurez des portraits de candidats même morts ou presque, ça sera une première dans le monde. Vous êtes avant-gardistes dans la connerie, pauvre système. Vous êtes une menace pour l’Algérie. Laissez passer le texto svp. Merci à AP.

    ⵜⵉⴼⵔⴰⵏ
    14 février 2019 - 20 h 33 min

    Le pouvoir ne veut pas reconnaitre l’évidence, les algériens rejettent ce cinquième mandat avec mépris,ce clan n’ a pas trouvé jusqu’à maintenant d’adversaire capable de lui filer une toise et cet adversaire existe c’est le peuple qui en a ras le bol d’être considéré comme un mineur. Le clan s’agite, la crainte de perdre le pouvoir le rend féroce surtout si son adversaire est déterminé à ne pas se laisser intimider par ses manœuvres déloyales. Ce système est appelé à disparaitre parce qu’il a violé l’esprit de Novembre, vive l’Algérie débarrassée de cette classe qui a enfoncé le pays dans la corruption.

    Anonyme
    14 février 2019 - 20 h 10 min

    Ce système (…) a tellement causé du mal à l’Algérie et à son peuple, depuis plus de 20 ans la situation s’est empirée avec l’arrivée de Bouteflika dans les chars de l’armée, un système (…) qui s’impose au peuple depuis l’indépendance de l’Algérie. Le clan au pouvoir sait très bien qu’il devra répondre de ses actes si il y avait changement de système c’est ce qui explique que ce clan et sa clientèle s’accrochent au pouvoir contre vents et marrés, c’est l’instinct du désespoir que les gens du pouvoir manifeste dans ces menaces adressées au peuple, ils savent qu’ils s’en sortiront pas ils ne seront à l’abris nulle part dans le monde.

    RRR
    14 février 2019 - 20 h 06 min

    le fait de proférer ces déclarations de menaces , qui par ailleurs ne nous font pas peur , vous étes tous (…) , alors si vous irez jusqu’à utiliser l’ANP contre le peuple là c’est plus grave.

    Anonyme
    14 février 2019 - 19 h 58 min

    Les gens du pouvoir ne se font pas confiance entre eux, la preuve en est qu’ils n’ont pas été capables de trouver un remplaçant à Bouteflika, un système sans scrupule prédateur qui s’est approprié de l’Algérie et tous les pouvoirs et ce contre la volonté du peuple. Le fait qu’ils ne se font pas confiance, les gens du système maintiennent Bouteflika par la force et surtout contre la volonté du peuple. Ce système mafieux expose l’Algérie au plus graves dangers.,

    BAKHEYI
    14 février 2019 - 19 h 28 min

    Panique à bord.

    Anonyme
    14 février 2019 - 19 h 11 min

    Bedoui, Gaïd ou Saïd and Co… Vous n’êtes pas le peuple et personne ne vous a élu pour vous permettre ainsi de le sermonner comme on sermonne un petit gamin. Vous n’êtes rien du tout sans le peuple. Alors, ayez un peu de décence et apprenez à mesurez vos paroles. Vous devez respecter les algériens et leur volonté. S’ils ne veulent pas d’un honteux et dangereux cinquième mandat pour fakhamaouhou (dans l’incapacité totale de présenter sa propre candidature aux algériens et qui veut, en plus, être élu haut la main par une fraude généralisée sans mener sa campagne électorale à travers le pays !) c’est leur volonté. Et seule leur volonté doit primer avant tout, avant quiconque et malgré vous.
    Cesser donc vos inadmissibles menaces à peine voilées à l’encontre de la majorité des algériens qui ne veulent pas que leur pays leur soit volé et subtilisé par des forces inconstitutionnelles.
    Et ce sont ceux qui sont pour un tel holdup qui sont et seront justement les ennemis déclarés de l’Algérie et du peuple algérien.
    Alors, que chacun assume l’entièreté de ses responsabilités, de ses paroles, de ses décisions et de ses gestes.

    Anonyme
    14 février 2019 - 19 h 09 min

    La Révolution et les Valeureux Chouhadas sont trop sacrés pour servir de fonds de commerce. Basta basta.

      Anonyme
      14 février 2019 - 19 h 49 min

      Notamment lorsque leur combat et leur sacrifice ont été trahis !
      Pour s’en convaincre, il suffirait simplement de se poser la question suivante : Est-ce qu’un chahid serait aujourd’hui pour un 5ème mandat consécutif de fakhamatouhoum wa hachiyatouhou ?

    Anonyme
    14 février 2019 - 19 h 00 min

    En changeant le chef de la police pour matter le peuple qu’ils menacent toute honte bue, dénote clairement qu’ils ont l’intention de s’accrocher avec la force, au pouvoir contre la volonté du peuple. Ils se préparent à toutes les éventualités, parce qu’ils n’ont pas la conscience tranquille. Sinon pourquoi changer un chef de police à quelques semaines des élections.

    Erracham
    14 février 2019 - 18 h 56 min

    Ces avertissements cachent mal la panique qui s’est emparée du gouvernement. Il sait que si le peuple descend dans la rue, ce sera un tsunami qui emportera tout le régime, armes et bagages. Ils vont apprendre à leurs dépens que le silence d’un peuple meurtri nourrit une colère sourde et, quand il l’exprime dans la rue, elle fait l’effet d’une arme de destruction massive.

    Anonyme
    14 février 2019 - 18 h 53 min

    L’armée issue du peuple au côté du peuple contre la mafia et la dictature au pouvoir depuis 20 ans.

    Anonyme
    14 février 2019 - 18 h 51 min

    Laissez Bouteflika mourir en paix il est inapte depuis 10 ans de gouverner, il est dans un état critique, qui se cachent derrière lui pour l’imposer au peuple pour leurs viles intérêts personnels. Le peuple sait que Bouteflika est gravement malade il ne dirige plus le pays depuis plusieurs années, le peuple veut du nouveau un président qui s’adresse à eux, un président qui défend les intérêts du pays, qui se déplace à l’étranger, un président élu par le peuple. Le peuple ne veut plus de cette mafia dictatoriale qui est au pouvoir contre sa volonté qui pille humilie le peuple, le méprise, l’empêche de s’exprimer de choisir ses dirigeants. Bouteflika n’a jamais été élu par le peuple, personne ne vote pour un malade qui n’est pas capable de s’adresser à lui. Dégagez avant que le peuple ne le fasse, nous n’avons pas peur de vous. Le chef de l’armée et ses souffrifres n’ont pas le droit de menacer le peuple en lui agitant le spectre du chaos et du retour de la décennie noire c’est immoral.

    Le Haut commandement de l'armée et l'UGTA sont des partis politiques !
    14 février 2019 - 18 h 33 min

    Cher internaute @Kazey – 18 h 18 min , ce n’est pas seulement Gaid Salah qui prend partie d’une manière flagrante pour Bouteflika. Le Haut commandement de l’armée devient de ce fait un parti politique (référene: la récente campagne de Gaid Salah à Constantine qui a fait l’éloge de Boutef et son programme, alors qu’il dit que l’armée ne fait pas de politique.

    Il y a aussi l’UGTA qui a toujours pris partie pour Boutef et qui est donc elle aussi un parti politique ! En effet, aujourd’hui même Abdelmalek Sellal ,Directeur de campagne de Boutef, va rencontrer le directoire et les fédérations de l’UGTA et au siège même de la Centrale syndicale.

    FELLA
    14 février 2019 - 18 h 30 min

    NON….. ya SI BEDOUI ! On ne menace JAMAIS le PEUPE ALGÉRIEN de la sorte et comme vous le faites. Vous vous trompez lourdement sur ce peuple dont vous ne connaissez absolument RIEN de sa propre nature.
    LE PEUPLE ALGÉRIEN PEUT SE PRIVER DE TOUT ! ABSOLUMENT DE TOUT…! SAUF DE SA PROPRE LIBERTÉ !!!

    Spleen DZ
    14 février 2019 - 18 h 23 min

    Arrêtez de faire peur au peuple vous avez commencer à lui faire honte! La honte excessive n’est pas facilement supportable. « J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. » Nelson Mandela. A mon humble avis, le peuple lorsqu’il n’a rien, il n’a rien à perdre. Jusqu’à quand ce cauchemar?

    Kazey
    14 février 2019 - 18 h 18 min

    Un chef d’état major, qui prend partie pour un candidat durant des élections!!!?? Du jamais vu!!! Les enfants de l’Algérie ne sont pas des ingrats, ils ne veulent tout simplement pas d’un cinquième mandat !!!!!! Arrêtez de parler en notre nom bande d’hypocrites!!!!!! Vous menacez les algériens de rendre l’Algérie comme la Lybie ou la Syrie si on accepte pas le 5eme mandat! et vous osez nous parler des enemis de l’Algérie! C’est vous les enemis de l’Algérie! Vous êtes les seuls a être satisfait de cette corruption et ce K.O sociale, politique et économique que subi notre pays, Rabi wkilekoum Inchallah!!!

    Kaz
    14 février 2019 - 18 h 14 min

    Un chef d’état major, qui prend partie pour un candidat durant des élections!!!?? Du jamais vu!!! Les enfants de l’Algérie ne sont pas des ingrats, ils ne veulent tout simplement pas d’un cinquième mandat !!!!!! Arrêtez de parler en notre nom bande d’hypocrites!!!!!! Vous menacez les algériens de rendre l’Algérie comme la Lybie ou la Syrie si on accepte pas le 5eme mandat! et vous osez nous parler des enemis de l’Algérie! C’est vous les enemis de l’Algérie! Vous êtes les seuls a être satisfait de cette corruption et ce K.O sociale, politique et économique que subi notre pays, Rabi wkilekoum Inchallah!!!

    marri
    14 février 2019 - 18 h 03 min

    Ces bonshommes commencent à avoir les chocottes, ils sentent les premières effluves des vents nauséabonds qui se lèvent contre eux. Ce ministre, peu connu il y a peu, a vite appris les leçons de la dictature. Il menace pour , selon lui, prevenir la tempête qui risque de les emporter lui, ses maîtres et ses complices, à jamais. Il devra plutôt nous informer, lui chef de la police, à qui appartiennent les camions qui ont empêché Mr Ghediri d’aller au cimetière. Qu’il fasse d’abord son boulot.
    Le chef de l’armée quant à lui il fait la tournée des casernes pour s’assurer la fidélité de ses troupes qui ne sont que des enfants de l’Algérie profonde et qui se sont engagés que pour manger un quignon de pains dignement. Son parti-pris en faveur du système dont il fait parti est éloquent. Il ne s’interdit pas de parler mais veut interdire de parler aux militaires dont la voix est contraire et dissonante à ses oreilles de peur qu’ils soulèvent des vagues qui peuvent se transformer en tsunami et les emporter tous ad patres , en enfer.
    Quant aux valeurs de novembre et aux valeureux martyres arrêtez de les citer, vous les faites mourrir une deuxième fois, et il n’y a plus beaucoup de gogos en Algérie pour vous croire tant cet argument est usé car vous l’avez usé, n’est-ce pas?

    Oran se révolte
    14 février 2019 - 18 h 01 min

    Des manifestants crient Bouteflika dégage !

      Algerienne
      14 février 2019 - 21 h 35 min

      Oran se révolte

      Bordj Bouerridj aussi

      Anonyme
      14 février 2019 - 21 h 42 min

      Pas seulement Bouteflika c’est toute cette caste qui doit dégager

    NON AU 5eme MANDAT
    14 février 2019 - 17 h 06 min

    c’est le branle bas de combat et les troupes sont en alerte rouge pour tirer sur le peuple c’est ce que laisse entendre ce sinistre ..alors preparez vous non au 5 eme mandat quelque soit la situation.

    Lampda Chawi
    14 février 2019 - 16 h 37 min

    A propos des menaces éventuelles venant des réseaux sociaux : que peut l’Algérie contre ces armes de destruction massive quand a en mémoire les déconvenues qu’ont connues les USA lors des dernières élections présidentielles.

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