L’armée face au rejet d’une présidence intérimaire issue du Parlement

Elections Parlement
Gaïd-Salah avec les présidents contestés des deux chambres du Parlement. PPAgency

Par Hani AbdiLa réunion des deux chambres du Parlement pour déclarer la vacance définitive du pouvoir et désigner le Président intérimaire s’annonce d’ores et déjà inutile. Totalement rejeté par les Algériens, sortis massivement pour le septième vendredi de suite, ce mode de désignation du Président intérimaire prévu par la Constitution ne va pas régler la crise en ce sens qu’il permettra à des figures symbolisant le régime Bouteflika d’être aux manettes de la période de transition. Chose totalement refusée par la rue mais aussi par les partis et personnalités de l’opposition.

Même ceux qui soutenaient la proposition du chef de l’état-major de l’ANP d’appliquer l’article 102 de la Constitution demandent aujourd’hui de se limiter à la déclaration de la vacance définitive du pouvoir et de sortir ensuite du cadre strictement constitutionnel pour suivre et répondre à la volonté populaire d’aller vers la rupture totale avec le système.

C’est le cas d’Ali Benflis, président de Talaie El-Hourriyet, qui estime plus que nécessaire d’écarter, comme l’exige la rue, toutes ces figures du système Bouteflika et d’aller vers une courte période de transition n’excédant pas six mois. Benflis, comme d’autres partis, considère inacceptable d’aller vers des élections avec l’actuel gouvernement, avec l’actuel président du Conseil constitutionnel et avec un président intérimaire issu d’une institution illégitime. Pour lui ainsi que pour plusieurs autres partis, il faudra désigner une présidence individuelle ou collégiale qui aura la possibilité de légiférer et de nommer un gouvernement technocrate consensuel.

Pour garantir des élections honnêtes et transparentes, il faudra aussi, comme le veulent les partis de l’opposition, revoir le code électoral et installer une commission nationale indépendante d’organisation et de déclaration des résultats des élections.

Le rejet donc de toute désignation du Président intérimaire à travers le Parlement risque de brouiller les cartes au chef de l’état-major de l’ANP qui croyait avoir trouvé la solution dans le cadre constitutionnel. Ahmed Gaïd-Salah est désormais face à ce rejet d’une présidence intérimaire issue du Parlement.

Autrement dit, même si l’on change Bensalah par un autre sénateur du tiers présidentiel, la crise ne sera pas dépassée.

H. A.

Comment (68)

    Nasser
    8 avril 2019 - 22 h 17 min

    La « rue » , à notre sens et observation, n’a rien dit de cela aussi précieusement! Et le chef d’Etat-major , et donc l’Armée n’est pas face à la rue! Ce n’est pas dans les prérogatives de l’Armée de par la Constitution! Pourquoi s’échiner à vouloir impliquer l’Armée? C’est des interprétations comme beaucoup d’autres qui se font en donnant des propositions « au nom de la rue »….

    Sauf démission de M Bensalah….
    Ne jamais sortir du cadre Constitutionnel.
    Ce serait un grave précédent qui coûtera cher, car il ouvrira la voie aux abus et aussi au tripatouillage de la future Loi ! On se verra alors non crédible par nos partenaires !
    La Constitution se change par référendum populaire et non par des avis et pressions, voire sous le coup de la colère !
    On fait avec ce que l’on a comme Constitution, car elle contient la solution !
    La Constitution oblige le président du Conseil de la nation d’assurer l’intérim en l’occurrence M. Bensalah, Celui-ci est en effet un maillon du système ! Il n’est pas aussi « dangereux » qu’on le croit ! Il fera, lui-même, ce que le peuple avec l’aide de l’armée lui diront de faire, sinon il se retire ! Point !
    C’est de l’irresponsabilité de dire que la solution est dans un cadre « hors-Constitution »! C’est faire exactement ce qu’ils ont fait et qui nous a mené à cette situation chaotique !
    Le prochain Président, véritablement élu, se chargera légalement de la corriger.
    Pour l’heure, il est urgent de changer au plus vite la loi électorale dans sa globalité – en y introduisant des mécanismes rigoureux de contrôle – avec le concours de juristes connues pour leur probité en consultation avec les partis, les associations et des personnalités indépendantes !

    Vangelis
    8 avril 2019 - 20 h 12 min

    Mais pourquoi diable l’armée et plus particulièrement son état major s’est impliqué dans cette révolution algérienne ?

    Les algériens ont amené le régime incarné par fakhamatouhoum à faire dégommer cette figure néfaste pour le pays. L’état major n’a fait que sauter dans le train en marche pour se faire passer pour le sauveur et s’immiscer dans la destitution du raïs qui de toute façon devait l’être devant l’ampleur du mécontentement des algériens qui se sont en fait révolté contre ce système.

    L’armée doit dégager du champ politique et laisser les algériens s’organiser pour refonder le pays et lui conférer la place qu’il mérite autre que celle qui est la sienne actuellement avec la complicité de cette armée qui auparavant n’a pas levé le petit doigt laissant les clans qu’elle connaît faire n’importe quoi et même présenter une candidature à un 5ème mandat.

    Venir maintenant nous dire qu’elle doit donner son mot à dire pour dégommer tout le système est une mascarade car elle a été partie prenante par laxisme et complicité dans toutes les magouilles de ce régime.

    Que cette armée reste dans ses caserne et que son état major s’occupe à assurer la défense et la surveillance du territoire comme le font les armées modernes.

    karimdz
    8 avril 2019 - 18 h 53 min

    La continuité des institutions doit se poursuivre, et pour l heure nous n avons que cette constitution. Il faut donc s armer de patience, Bensalah ne sera que président par intérim, le temps de préparer les élections présidentielles, puis législatives, et ce sont nos futurs élus, qui rédigeront une nouvelle constitution qui sera soumis par référendum au peuple.

    Pour ma part, quand bien meme bensalah appartient au système, c est pas cela qui va mettre fin aux aspirations du peuple, il sera président juste pour la forme, et ne décidera rien de son chef.

    Il faut éviter le vide juridique comme beaucoup l ont compris, et permettre au pays de se diriger vers le changement, sans casse.

      Kouder Belala
      8 avril 2019 - 21 h 37 min

      ça se voit que tu n’as RIEN compris aux enjeux qui se pose au peuple à moins d’Être un membre de ce système MAFIEUX pour acquiescer à cette feuille de ROUTE proposer et toute tracée pour garder le système TEL QUEL et le malheur sous leur JOUTE!!!!FAKO BICOUME YA SAHBI???YETNAHOU GA3

        karimdz
        9 avril 2019 - 19 h 10 min

        J ai le droit en tant qu algérien d avoir une opinion différente de la tienne, cela s appelle la démocratie, on voit quel genre d idées toi tu véhicules…

        Pour moi, il faut éviter le vide politique, c est ce qu il y a de plus pire.

        Comment veux tu préparer l alternative et les élections, s il n y a plus de pouvoir fusse t il intérimaire?

        bensalah partira comme bouteflika et le système sera fini, mais faisons les choses dans les règles, et pas n importe comment, tu veux pas investir el mouradia et t incarner nouveau président pendant que tu y es…

    ANONYME 1
    8 avril 2019 - 10 h 11 min

    C’est le président le plus pourri que les algériens eurent à supporter.
    Et jamais vol, trafiques, corruptions et magouilles n’eurent lieux avec les autres présidents comme ce président qui a un comportement qui frise la trahison vis-à-vis de l’Algérie et des citoyens.

    Hchicha Talba M'iicha حشيشة طالبة معيشة
    8 avril 2019 - 9 h 58 min

    On a tous voté de par le passé à propos de la constitution actuelle (+ ou -). Il y a des articles dans cette même constitution qui devraient gérer cette situation pour éviter le vide juridique.
    Néanmoins, il faudrait éviter de se faire coiffer au Poteau par une force influente, quelle qu’elle soit.

    Quant à nommer un intérimaire dans le present immédiat, il faudrait, je crois, accorder nos violons.

    A bonne entendeur,,

    Lghoul
    8 avril 2019 - 9 h 06 min

    On voulait nous faire avaler brahimi, il est retourné chez lui a paris pour rejoindre ensuite ses quartiers royaux a la court du roi de jordanie a amman
    On nous vantait 24H/24H « lamamra » et surprise surprise, pendant que le pays est en pleine ébullition comme un volcan, il est est apperçu et pris en photo a l’aéroport de paris charles de gaulle hier le 7 avril 2019.
    Si tous ces gens propres étaient propres ou « nationalistes », comme certains khorotos prétendent, POURQUOI alors QUITTENT ILS LEURS PAYS ????
    Que tous ces idôlatreurs de la dernière pluie nous répondent pas et nous expliquent dans ce cas ?
    Si haddad, khelil et bouchouareb sont propres, pourquoi se sont ils enfuis du pays ? Mais la justice du peuple les rattrapera tous.

    Non
    7 avril 2019 - 22 h 11 min

    @Lili oukane Mais je disais ke la vérité …. Pas besoin d’histoire

    Anonyme
    7 avril 2019 - 20 h 45 min

    Ia meilleure solution c est l armee qui doit s emparer de gerer la transition de 90 jours de declarer l etat d exeption et de dissoudre les deux chambres…de nommer un gouvernement de technocrates pour expedier les affaires courantes et d organiser les elections transparentes par l entremise d une haute instance independante des elections.L armee assurera la securisations du deroulement des elections presidentielles et legislatives…
    une fois le president et le parlement elus et installes l Armee regagnera ses kasernes…….

      Anonyme
      8 avril 2019 - 10 h 23 min

      .C est le seul moyen pour aller vite…le temps joue contre la revolution mais en faveur de la mafia du clan Bouteflika…
      Donc a l armee nationale de gerer la transition pour imposer pour forces majeures des mesures d exception .. suspendre la constitution et dissoudre les deux chambres et former un gouvernement de technocrates pour gerer les affaires courantes de l Etat..jusqu aux prochaines elections dans les 90 jours..elections presidentielles et legislatives …puis l armee regagne ses casernes une fois les institutions auront pris leur place…plus de temps a perdre..

    Le Bon Peuple, les Brutes et les Truands
    7 avril 2019 - 19 h 59 min

    L’actuel Conseil Constitutionnel rappelle le commissariat de police d’une ville du sud des États-Unis pendant la période de la ségrégation raciale. Le commissaire, shérif le jour, se rendait le soir aux réunions du Ku Klux Klan .
    Un jour, un Blanc planta un couteau dans le ventre d’un Noir qui ramassa l’arme et se précipita, titubant et perdant abondamment don sang, dans le commissariat. Le shérif qui avait vu toute la scène s’empressa d’arrêter le Noir et l’inculpa pour PIRT D’ARME PROHIBÉE. Toutefois il l’envoya menotté pour être soigné a l’hôpital de la prison.

    Nasser
    7 avril 2019 - 19 h 40 min

    Tous les partis politiques sont également inutiles car facteur de blocage et de désordre!!
    L’article pointe un « choix du peuple ». Non, c’est les partis et certaines personnalités qui ont fait ce « choix »
    Ceux qui ont crié cela ne sont qu’une poignée « partisans » affiliés à des forces souterraines!
    Ces forces redoublent d’effort pour mener à l’impasse qu’ils souhaitaient en refusant le 102!
    La manipulation et la subversion battent leur plein dangereusement ces derniers temps!

    Nous pensons que c’est le moment pour l’Armée d’assurer la phase « d’interim » et de transition!
    – en désignant ceux qui doivent gouverner
    – en procédant à la dissolution de tous les partis
    – en initiant une nouvelle loi électorale et de nouvelles règles pour la création des partis!
    Ils diront ensuite que c’est « anticonstitutionnel » après n’avoir cessé de proposé de tordre la Constitution par leurs propositions hors Constitution, illégales et par leur rejet de l’article 102!

    Maboul
    7 avril 2019 - 18 h 37 min

    Il y a 40 millions d algeriens٤40 millions de constitution mais malheureusement il y a qu une seule algerie… Alors essayez de trouver une solution…!!!

    Anonyme
    7 avril 2019 - 18 h 36 min

    MOI JE CONSEIL A TOUTE LES FAMILLES AYANT PERDU UN MEMBRE NOYER DANS LE MÉDITERRANÉE OU DÉCÉDÉ A L ETRANGER PENDANT LES TENTATIVES D’ÉMIGRATION CLANDESTINE DE PORTER PLAINTE CONTRE TOUT LES FONCTIONNAIRES EN EXERCICE DES GOUVERNEMENTS SUCCESSIFS SOUS LA PRÉSIDENCE DES BOUTEF POUR ASSASSINAT PAR NÉGLIGENCE,,ou autre forme d accusation, IL EST RECOMMANDER DE CRÉE UN ASSOCIATION AVEC L APPUI DE CONSEILLERS JURIDIQUES ,,, par contre il est inutile de vous précipiter attendez que nouveau système s installe mais que cela ne vous empêche pas de commencer a préparer Ves dossiers,,, et que les magistrats n auront aucune indulgence,,,a juste mérite
    Que le TOUT PUISSANT vous vienne en aide

    Ayweel
    7 avril 2019 - 18 h 28 min

    Il est temps de mettre tous les algériens dos au mur, il est temps que l’armée fixe un délai, pas au delà d’une semaine, pour le peuple algérien à ce que leur mouvement fasse ressortir leurs propres représentants pour former une présidence collégial, pour ainsi ne pas donner le temps aux services étranger d’élaborer leurs plans visant la déstabilisation de notre pays par le biais de leurs agents vivants en Algérie en manipulant le peuple. Les premiers signes commencent déjà à apparaître, des gens se sont accaparés des logements sociaux en construction à draa ben khedda et dans d’autres regions, de même aussi à Constantine d’autres, en 48h ils ont érigé des milliers de bidonvilles, l’objectif étant clair. Quel est la différence entre un voleur d’une banque et un voleur d’appartement ? Les deux font partie de alissaba.
    Si ce mouvement inattendu a pris de vitesse les services spéciaux étrangers, sa durée dans le temps peut se retourner contre nous le peuple. L’armée doit savoir que tout ce qui émane de l’APN des cadenas est illégitime, donc comme elle a exigé la démission de bouteflika elle doit aussi exiger des représentants du Hirak, à défaut de non désignation l’armée prend ses responsabilités en commençant par dissoudre tous les partis politiques et choisir les membres de la constituante parmi les algériens intègres, qui ne font parti d’aucun parti ou association avec un bagage scientifique acceptable, sous la direction de six sages les plus sages de ce qu’on a comme sages du nord est, nord centre, nord ouest, sud est , sud centre et sud ouest. C’est de cette manière que l’Algérie pourraitfaire ses premiers pas de la deuxième République et le peuple et l’armée resteront khaoua.

    Si MESSAOUD
    7 avril 2019 - 17 h 52 min

    Le soleil il se lève à l’est et il se couche à l’ouest, si aussi simple comme bonjour

    Anonyme
    7 avril 2019 - 17 h 12 min

    Le Moudjahid Lakhdar Bouragaa accuse gravement Bedoui et Loukal
    mais es que Bouragaa a saisie la justice qui mènera une enquête avec des arguments preuves et témoignage a renforcer les accusations ou alors c est juste histoire de passer a la télé

      Vox Populi Vox Dei
      7 avril 2019 - 19 h 35 min

      La justice? Tu rigoles . Jusqu’à l’élection du président, toutes les prérogatives sont exercées par le peuple souverain. Si tu n’as pas compris cela, c’est que tu es du système.

      Anonymalgérien
      7 avril 2019 - 19 h 45 min

      La justice de Louh , de Belaiz ? Ces 2 se sont relayés et se sont remplacés à l’intérieur puis a la justice. Le second qui revenait d’un très long séjour à l’hôpital deAin-Nadja/Seine, est resté dans la salle d’attente comme conseiller. Suite au décès du ministre passe-partout Medelci (en 20 ans il gut: commerce, finances, affaires étrangères, puis Conseil Constitutionnel.
      Le conseiller proposa alors à l’extrait constitutionnel la meilleure candidature qui fût: la sienne.

    Mir
    7 avril 2019 - 17 h 10 min

    Arrêtons de rêver en croyant que ces gens là ( les 3B ou 4B ou 150B) vont démissionner et écouter le peuple. Ils sont formatés pour n’écouter que leur Maître. La démission ne fait pas partie de leur logiciel. Ils ont besoin d’être virés pour partir. Alors la seule question qui se pose est : Gaid Salah va-t-il les virer avant Mardi ? je l’espère, car sinon on entrera dans une phase très critique : l’Armée face au Peuple.

    Sprinkler
    7 avril 2019 - 16 h 55 min

    Oint de l’article 102, le régime est à l’article de la…mort, et pour tout linceul cette Constitution dont El Mouradia a fait son paillasson…À moins que ces dernières volontés n’inclinent pour l’incinération, alors il finira dans…l’urne, le peuple en répandra les cendres sur ces 57 années de malheurs –  » agrémentées  » d’une décade de terrorisme – commencées avec Boumédienne (EMG/MALG), et qui s’achèvent avec Bouteflika !

    Chelabi
    7 avril 2019 - 16 h 51 min

    Quelqu’un, ci-après, a eu raison de souligner que Gaid Salah nous servait 2 discours par semaine. J’ajouterai qu’en guise de discours, c’était plutôt un chapelet de lieux communs déclinés d’une audience militaire à l’autre.
    Aujourd’hui, que le pays se ramasse dans un cul de sac constitutionnel, on ne l’entend guère. Et pour cause! Il ne sait pas comment faire. Et ça nous le savions depuis le 1er jour. Et nous le répétons tous les jours. Et nous le répéterons à l’infini, jusqu’à ce qu’il l’entende et qu’il se retire du jeu politique.

    ripper
    7 avril 2019 - 16 h 13 min

     »Pour lui (Ali Benflis) ainsi que pour plusieurs autres partis, il faudra désigner une présidence individuelle ou collégiale qui aura la possibilité de légiférer et de nommer un gouvernement technocrate consensuel. »
    Le problème est dans le qui désigne qui et pourquoi désigner l’un et pas l’autre ?
    Les FFSistes veulent prendre les rennes après un vidage complet et une désertification de la scène politique, les nationalistes style Benflis se voient en meilleure position car ayant la cote avec l’oligarchie actuelle, d’autres ne jurent que par Ahmed Taleb El Ibrahimi le considérant à égale distance de tous les pans de la société algérienne etc.
    Pour assurer une stabilité ne serait-il pas mieux de continuer avec la procédure actuelle, quoi qu’il en coutera, il s’agit de changer un mode de gouvernance et le rendre plus juste et transparent et non les seuls personnes, n’est-ce pas !

      Mir
      7 avril 2019 - 17 h 21 min

      Sommes nous condamnés à tourner en rond et à recycler à l’infini nos vieux hommes politiques? Benflis, Zeroual, Taleb Ibrahimi… mais c’est avec ces vieux qu’on fera du neuf ? quel manque de confiance en l’avenir ! je préfère un jeune comme Tabou, ou une Femme comme Assoul pour tourner la page. Nous devons faire confiance à la nouvelle génération et arrêter de nous tourner vers le passé pour construire l’avenir.

    Anonyme
    7 avril 2019 - 15 h 08 min

    Le peuple massivement leur a demandé de dégager, qu’attend-ils pour déposer leur démission : c’est tous les membres du clan d’Oujda qui doivent disparaitre de nos institutions gouvernementales, de nos wilayas, de nos mairies et j’en passe. Bensalah Bédoui, Balaïz se comportent comme leur acolyte Bouteflika, ils s’accrochent au pouvoir même désavoués et renvoyés par des millions d’algériens, d’où nous sort cette race maudite qui ignore les demandes peuple, c’est bien évidemment la mauvaise graine marocaine qui s’est appropriée l’identité algérienne pour instaurer une monarchie à la marocaine en Algérie, mais en vain pour eux leurs plans sont tombés à l’eau. Dire que ces gens ont gouverné et gouvernent encore l’Algérie en voulant s’imposer dans la transition. Bensalah bédoui, bélaïz et tous autres naturalisés doivent démissionner immédiatement comme l’ordonne le peuple.

    Plutôt une révision constitutionnelle !
    7 avril 2019 - 14 h 56 min

    Cher compatriote @MELLO – 7 avril 2019 – 13 h 06 min . Absolument d’accord avec toi sauf pour la Constituante ! Je sais que vous au FFS vous restez toujours sur la position de notre grand Da El Hocine (qu’il repose en paix) mais cette option était valable à l’indépendance ou au lendemain de la mort de Bouteflika (qu’il repose en paix) ! Aujourd’hui vaut mieux opter pour une « révision de la Constitution » sous la conduite de juristes, de constitutionnalistes qu’il faut soumettre après au référendum populaire!

    Ya kho, avec tout mon respect, attention à la Constituante qui peut s’avérer d’un grand danger politique, qui risque de nous faire perdre du temps dans des palabres incessants et qui va réveiller nos vieux démons identitaires, linguistiques, religieux, culturel dans notre pays , pays désormais admis comme étant multi multiculturel ! On en a déjà parlé entre nous par AP interposé !

    PS : l’organisation détaillée administrative et territoriale du pays est une autre paire de manche à envisager une fois les institutions et les instruments constitutionnels de la transition véritablement installées ! Bon courage et mes respects !

      momo
      7 avril 2019 - 15 h 40 min

      Je pense que le peuple et les partis ont mûri et les questions religieuses et identitaires sont apaisées, c’est pourquoi la constituante n’est pas à écarter. De toute façon si ces 2 questions ne sont pas réglées, même avec une révision, il y aura des divisions.
      J’espère que nous saurons rester unis et ne pas tomber dans leur piège de la division.

    Zaatar
    7 avril 2019 - 14 h 21 min

    Un slogan pour vendredi prochain:
    بن صالح يالمروكي ممنوع عليك العهدة

      Zaatar
      7 avril 2019 - 19 h 19 min

      Je n’ai jamais écris cela. D’autant plus que je ne connais rien de l’arabe, encore moins l’écrire. A ce quelqu’un qui écrit sous mon pseudo, merci d’en choisir un autre, je pourrais même t’en recommander si tu n’en trouves pas.

        Zaatar
        8 avril 2019 - 14 h 13 min

        Je ne vous ai pas permis de me tutoyer. Je ne vous connais pas. C’est à moi que revient la primauté de ce pseudo et ça me désole de vous voir prétendre la paternité. Ayez l’obligeance de choisir un autre. Merci

          ZORO
          8 avril 2019 - 15 h 58 min

          Ce qui est sur ,c est que le vrai Zaatar aime et maitrise l arabe il a meme choisi un pseudo arabe.
          SigneZORO. ..Z….

      Anonyme
      9 avril 2019 - 3 h 04 min

      Que le vrai zaatar fasse un pas en avant, leve la main et jure qu’il est le vrai zaatar.

    Vox
    7 avril 2019 - 14 h 05 min

    L’armée doit être tenue éloignée des enjeux politiques. Son rôle premier est de veiller à la sécurité de la nation, ses biens,et à la sécurité du peuple. Ses prérogatives sont clairement citées et definies dans l’article 28 de la constitution.

    saad odhar
    7 avril 2019 - 13 h 59 min

    les quotistes (partis d’opposition qui souscrivent au quotas de deputés ) esperent que le moment de souscrire aux quotas de portefeuilles ministeriels ,est venu.les alliés du regime ,comptent avec un petit retournement de vestes , recuperer leur places.
    quant aux ambitieux ,ils croient qu’il suffit de paticiper à pousser Boutef , arreter qiqs oligarques soufifres ,
    et KDS pour recuperer completement la donne.

    Anonyme
    7 avril 2019 - 13 h 25 min

    Bensalah ne doit pas être autorisé à faire cette transition. Il n’a pas la carrure pour cette mission.

    Pour trois raisons :
    1 – il n’a jamais eu sa voix personnelle et de ce fait n’a pas habité sa fonction. Son poste état un apparat au regard de comment il a « assumé » ce poste;
    2 – il est un des proches fidèles de Bouteflika et de son système, il ne mérite donc aucunement notre confiance car il protégera son clan et ne fera que la même chose que sous Bouteflika;
    3 – il est algérien par naturalisation et non par ses parents, il faut donc respecter la constitution qu’ils n’ont jamais respecté et ne donner les postes à responsabilité qu’à des algériens de souche. Les naturalisés sont des naturalisés, pas des algériens. Ce sera une question à aborder dans les mois suivants. Il est clair désormais que du ménage doit être fait, notamment pour ces marocains naturalisés algériens qui ont pris le pouvoir dans notre pays depuis l’indépendance. Le clan d’Oudja doit être neutralisé : ils ont pourri nos vies.

    MELLO
    7 avril 2019 - 13 h 06 min

    Jusqu’a l’article 102, accompagné des articles 7 et 8 , la Constitution à été respectée. Au delà , cette Constitution doit être mise au placard, et respecter le message du peuple. Concevoir une présidence collégiale qui nomera un gouvernement intérimaire sur une période transitoire. Organiser une assemblée nationale constituante , représentée par des délégués de 48 wilayas , à l’effet de rédiger une nouvelle constitution pour cette deuxième république.
    Cette nouvelle république aura un nouveau cadre avec des institutions et administrations élues à tous les niveaux: en finir avec le poste de wali qui sera remplacé par le PAPW qui aura pour mission de gérer la wilaya, comme le PAPC qui gère la commune. Le poste de chef de Daira, poste créé par le colonialisme français , le sous préfet, sera aussi supprimé. C’est ainsi que la masse salariale de l’administration sera revue à la baisse.
    La justice ne sera plus sous la responsabilité d’un ministère, puisqu’il est indispensable qu’elle soit indépendante de l’exécutif. Un haut conseil à la magistrature sera élu par l’ensemble des magistrats, se chargera de gérer l’institution.
    C’est ainsi pour La religion , le sport, la culture qui n’auront pas besoin de ministère , puisque ce sont des fonctions spécialisées et seuls les acteurs peuvent décider de leur organe de gestion.

      Ben Alilam
      7 avril 2019 - 16 h 11 min

      Sauf l’idée de constituante qui reste à peaufiner, tout le reste encadre bien l’image d’une cité démocratique émancipée. Merci.

        MELLO
        7 avril 2019 - 22 h 57 min

        Effectivement, la notion de constituante , indispensable pour concevoir une nouvelle constitution à l’image de cette grande nation , doit être bien réfléchie et affinée. Maints circuits peuvent être empruntés pour sa composante:
        – Représentants de partis, de syndicats’, des associations.
        – représentants par wilaya
        – représentants par classe fonctionnelle : juges-avocats-universitaires-experts en sciences sociales, politiques et économiques.
        – …..
        L’essentiel c’est le niveau intellectuel qui doit primer afin de comprendre le sens de la constitution.

          Anonyme
          8 avril 2019 - 16 h 14 min

          @ Mello
          c est la mauvaise voie…une constituante de representants des wilayas,partis,syndicats ,associations,juge,avocats…..ils finiront par se disputer en long et en large car les emotions vont l emporter,l un veut que la porte ouvre a gauche,l autre a droite et l autre ne veut pas de porte mais un porte fenetre……etc.Et puis une constitutions ce n est pas une tarte aux fraises a confectionner…c est la colonne vertebrale d un Etat de droit…Non ya Mello….c est l affaire d un college forme de nos meilleurs experts (20 au minimum ) en droit constitutionnel pour rediger une constitution digne du 21 eme siecle qui sera le miroir des aspirations du peuple Algerien… Nos professeurs de droit constitutionnel mettront leur competence au service de notre Algerie

    Karim
    7 avril 2019 - 13 h 02 min

    Gaid Salah ne pourra absolument rien faire pour plusieurs raisons.
    D’abord il a participé au coup d’état constitutionnel en 2009 puis à valider la candidature ridicule de l’homme malade en 2014.
    Pire encore, le chef d’état major a même accepté la honte ultime, le 5ème MANDAT!
    Les affaires de ses proches, selon la presse et les réseaux sociaux, sont d’énormes casseroles que traine cet homme de 79 ans dans un pays de jeunes…
    Comme dit le slogan lui étant dédié, « Sergeant Garcia ne peut, en l’espace d’un mois devenir Zorro ».
    Le pouvoir aurait pu perdurer en mettant un de leurs hommes à la place de fakhamatouhou et continuer intelligemment à diriger l’Algérie sans que l’écrasante majorité ne trouve à redire.
    Si la grande muette qui est devenue une pipelette, ces dernières semaines, veut garder cette image de dernier rempart contre le vide institutionnel ou le chaos, elle sait ce qu’elle lui reste à faire.
    La démocratie occidentale sera la mort de l’Algérie souveraine, alors bougez vous vite au noms des valeurs nobles que nos ancêtres nous ont transmis.
    Seul une bonne gestion économique et financière assurera de longs moments paisibles à TOUS, alors mesdames et messieurs au travail.

    Mir
    7 avril 2019 - 12 h 48 min

    Maintenant qu’on a besoin d’entendre notre Général. Il se fait de plus en plus silencieux. Il ya quelques mois il nous servait 2 discours par semaine.
    Alors mon Général, on fait quoi maintenant que Boutef est parti ?? Éclairez nous svpv !

    Message poli à notre ANP !
    7 avril 2019 - 12 h 36 min

    Bonjour chers compatriotes citoyens

    Message gentil et poli à notre armée :

    On aimerait bien que pour une fois depuis 1962, notre ANP accompagne la démocratie dans le bon sens, d’une manière positive en écoutant la rue. Il faudrait très vite que Gaid Salah et le reste de l’Etat Major donnent des signes qui vont vers cette dynamique. Il faut qu’ils comprennent que dès que l’Algérie commence à être mise sur les rails de la démocratie, l’ANP doit reprendre très vite son vrai rôle constitutionnel à savoir, singulièrement, celui de ne pas faire de la politique !

    Il faut en urgence que l’armée donne des signes dans ce sens sinon la rue demandera encore le «vendredire » prochain à « Gaid and Co » de dégager eux aussi, ce qui n’est pas souhaitable ! Là, çà va être autre chose et il ne faut pas trop pousser la rue à aller vers çà, surtout qu’on sait qu’elle en est désormais capable. Nous on aime profondément notre armée, on est à ses côtés quand elle joue son vrai rôle : défense du territoire, défense de la souveraineté nationale, garant de la paix civile et respect des droits du peuple algérien dans toutes ses composantes ! Il faut que l’armée entende la rue !

    Bon courage à vous et à l’Algérie

    Souk-Ahras
    7 avril 2019 - 12 h 24 min

    Le peuple algérien, ainsi que le monde entier d’ailleurs, est témoin du serment que Gaïd Salah, au nom de l’ANP, lui a prêté le 26 du mois écoulé.Techniquement et moralement parlant, il ne peut plus le renier. Des effets ont suivi. D’autres sont à venir logiquement.
    Nous pouvons dores et déjà nous féliciter que le sinistre Tartag et sa police politique sont mis sous tutelle du haut commandement des forces armées.
    Cette semaine verra peut-être une avancée probante dans la manière dont sera conduite la transition, en écartant toute possibilité aux « dégagés » de la driver à leur convenance.
    Gaïd Salah a fait serment au peuple au nom de L’ANP qui compte dans son haut commandement une majorité de jeunes officiers supérieurs progressistes.
    Je n’aime pas trop voir « le treillis » s’occuper des affaires civiles, ce n’est pas son rôle dévolu, mais force est de reconnaître que Gaïd Salah est un fin tacticien. Il saura faire une fois que le mandat légal de Bouteflika prendra fin.

    Kenza
    7 avril 2019 - 12 h 23 min

    Où étaient-ils tous ces gens là qui aujourd’hui s’évertuent à ne pas sortir du cadre constitutionnel quand notre constitution, à maintes reprises, était victime d’une tournante de la part de fakhamatou3ou et ses larbins, à leur tête le président du conseil constitutionnel lui-même?
    Comment ça se fait que ces gens là trouvent normal que les violeurs de notre constitutions puissent être aujourd’hui considérés à être les seuls habilités à nous maintenir dans un cadre légal et légitime en respect à la constitution?
    C’est tout juste s’ils ne nous disent pas qu’en voulant se débarrasser des 4 B violeurs de la constitution , le peuple sort du cadre constitutionnel et, de ce fait……viole la constitution ! Ne nous ont-ils pas dit lorsque la peuple a voulu se débarrasser du premier B, le violeur en chef de la constitution Bouteflika, qu’on sortait du cadre de la constitution et que la seule façon légitime d’avoir la président qu’on voulait c’est d’aller voter? ( c’était avant que Boutef ne viole pour la énième fois la constitution en annulant les élections ). N’a-t-on pas vu les complices voire les concepteurs de la fraude massive venir sur les plateaux TV nous chanter la vertu de la démocratie, d’élections transparentes…et la nécessité de passer par les urnes afin de rester dans la légalité et la légitimité?
    En fait, avec ce souci de la légitimité constitutionnel, ils continuent à nous faire tourner en bourrique, ce qui fait qu’on ne finit pas de tourner en rond….de quoi avoir le tournis…tout ça, à cause de la tournante dont a été victime notre constitution !

    Alors, SVP, maintenant que le pot aux roses de toutes leurs magouilles et leurs méfaits est dévoilé au grand jour, arrêtons de tourner autour du pot. Tournons la page de cette constitution illégitime et retournons vers la légitimité et la légalité en écoutant les deux seules forces aujourd’hui légitimes et encore debout: LE PEUPLE accompagné par l’ANP !

    Perso, j’estime que cette constitution est à mettre à la poubelle en même temps que les 4B et tous les autres traîtres…ils nous ont fait perdre 20 ans, ne leur donnons pas la possibilité de nous faire, encore, perdre du temps !

      Kenza
      10 avril 2019 - 10 h 12 min

      Voilà pourquoi il veulent rester dans le respect de LEUR constitution: On tourne en rond et ils nous font sortir un des leurs, le traître Ben Salah avec la bénédiction de tous les traîtres, les voleurs, les khobzistes de la coalition au service de la mafia au pouvoir !
      Ghoul, le traître, le plus grand voleur de tous les temps nargue le peuple et vient nous dire que Ben Saleh est notre président par la force du droit constitutionnel…une constitution qu’ils ont maintes fois violée ! Et Bedoui l’autre traître qui se sent revigoré pour sortir ses hommes pour réprimer un peuple qui manifeste pacifiquement et refuse cette HAUTE TRAHISON contre l’Algérie et son peuple !

    AL AÂSSIFA
    7 avril 2019 - 12 h 17 min

    Mon Général,
    Ecoutez, svp, la voix du peuple ! Nous ne voulons pas qu’un marocain remplace un autre marocain. C’est claire… Nommez, aujourd’hui, ou au plus tard demain un VRAI ALGÉRIEN FILS DU PEUPLE à la place de ce maroqui. Merci, mon Général.

    MELLO
    7 avril 2019 - 12 h 06 min

    La crise ne peut disparaître d’un coup de baguette magique, le mal est profond. Le système dont celui de Bouteflika a fait le vide , non seulement autour de lui , mais ils ont tout brûlé. Sur un terrain brûlé et ravagé par ces flammes d’un brasier , rien ne peut repousser du jour au lendemain . La société civile à subi les affres de la disparition , les affres de l’exil, les affres de tuerie, que reste il de cette société civile ? Que reste t il des opposants, qu’ils soient affiliés à des partis ou non , ils sont  » grillés  » et écartés du politique. Les jeunes ont subi une depolitisation totale, ils ne croient plus en personne : ni partis du pouvoir ni partis d’opposition .
    Aujourd’hui , le peuple cherche ses représentants , puisque l’opposition à été écartée. Écartée ? Oui par ce pouvoir qui a planifié cette disqualification. Le peuple est tombé dans le jeu du pouvoir qui a laminé cette opposition . Aujourd’hui, ce sont ces opposants , bien structurés, qui auraient pu représenter cette rue, mais le pouvoir a fait le vide. Donc, on ne peut pas se limiter aux slogans de la rue, si des Elites volontaires ne passent pas devant pour aller représenter cette rue. Il existe des figures emblématiques qui ont accompagné les manifestants, qui peuvent se rencontrer, à l’image de ceux qui avaient déclenché le 1 er Novembre 1954, pour aller rencontrer les décideurs du moments , afin d’assurer la présidence intérimaire.
    Des noms existent , des personnalités existent , on les prie de prendre des initiatives.

    Anonyme
    7 avril 2019 - 11 h 57 min

    Il faut denoncer a l opinion nationale tous les abus qu ils ont commis sur les compte de la Nation Algerienne
    Ils ne faut plus faire le choix des 2 chambres…cela ne coute que de l argent ,apres tout un parlement elargi est largement suffisant…Le conseil de la Nation n est qu une maison de retraite pour des priviligies du pouvoir,sans aucune utilite on peut bien s en passer…

      MELLO
      7 avril 2019 - 13 h 09 min

      Oui, d’accord pour la suppression du conseil de la nation , puisque les missions dévolues peuvent être exécutées par l’APN.

        Ayweel
        7 avril 2019 - 17 h 25 min

        Il est temps de mettre tous les algériens dos au mur, il est temps que l’armée fixe un délai, pas au delà d’une semaine, pour le peuple algérien à ce que leur mouvement fasse ressortir leurs propres représentants pour former une présidence collégial, pour ainsi ne pas donner le temps aux services étranger d’élaborer leurs plans visant la déstabilisation de notre pays par le biais de leurs agents vivants en Algérie en manipulant le peuple. Les premiers signes commencent déjà à apparaître, des gens se sont accaparés des logements sociaux en construction à deraa ben khedda et dans d’autres regions,de même aussi à Constantine d’autres, en 48h ils ont érigé des milliers de bidonvilles, l’objectif étant clair.
        Quel est la différence entre un voleur d’une banque et un voleur d’appartement ? Les deux font partie de al-issaba.
        Si ce mouvement inattendu a pris de vitesse les services spéciaux étrangers, sa durée dans le temps peut se retourner contre nous le peuple. L’armée doit savoir que tout ce qui émane de l’APN des cadenas est illégitime, donc comme elle a exigé la démission de bouteflika elle doit aussi exiger des représentants du Hirak, à défaut de non désignation, l’armée prend ses responsabilités en commençant par dissoudre tous les partis politiques et choisir les membres de la constituante parmi les algériens intègres, qui ne font partie d’aucun parti ou association avec un bagage scientifique acceptable, sous la direction de six sages les plus sages de ce qu’on a comme sages du nord est, centre, nord ouest, sud est, sud centre et sud ouest. C’est de cette manière que l’Algérie pourrait faire ses premiers pas de la deuxième République et le peuple et l’armée resteront khaoua.

    Rabah
    7 avril 2019 - 11 h 53 min

    Bien, bien, nous y sommes la voie de la démocratie apparaît doucement, timidement mais je la vois. l’espoir fait vivre et comme le dit si bien la chanson du regretté Gilbert Bécaud « …Et maintenant que vais-je faire.. », comment sera fait l’Algérie de demain, toujours les mêmes mauvais réflexes, les futurs responsables répéteront-ils la même hérésie ou plongeront-ils le peuple vers la frénésie? L’ avenir nous le dira si Dieu le veut..

    TARZAN
    7 avril 2019 - 11 h 16 min

    certains voleurs du système préparent leur fuite vers l’étranger, que l’algérie avertissent les pays qui les accueils que leur extradition sera exigée faute de quoi les relations bilatérales seront coupées. et que les voleurs devront rendre tout l’argent volé et prison à vie tant qu’il ne restituent pas le biens du peuple algérien. leur famille aussi seront poursuivies car c »est trop facile de détourner l’argent du peuple algérien et mettre tout au nom des épouses et rejetons! la justice devrait enquêter sur toute personne soupçonnée de fraude et détournement mais bien sûr les preuves d’accusations doivent être concrètes et on doit faire comme toutes les démocraties que les gens qui ont des biens doivent justifier l’origine de leur fortune, faute de quoi il y a tricherie et détournement. c’est comme ça qu’on doit restaurer la confiance avec le peuple. il faut que les richesses du pays soit partagée entre algériens, et une partie pour les pays amis dans le besoin comme la palestine, sahara occidental et pays africains notamment nos voisins immédiats à part le maroc notre ennemi de toujours et traitre de toujours

    Ali +
    7 avril 2019 - 11 h 02 min

    Comment puisse donner une haute fonction à un spolieur de terrain public, un président de Sénat imposé par des traitres de la république, tout les hommes et les femmes travaillant avec le clan d’oujda ne doivent pas figurer sur les listes des. Nouveaux dirigeants choisis par le peuple et pour le peuple

    Clovis
    7 avril 2019 - 10 h 54 min

    Cher Bouzorane vos propos, dits certes avec beaucoup de passion, sont un resume vrai de ce qui doit etre dit. On pourrait developper mais cela a ete fait dans d’autres commentaires d’autres contributions, l’essentiel est que la finalite soit l’Algerie une et indivisible sans influences etrangeres qu’elle soit pan-arabique, arabo islamiste, berbero federaliste ou autre. L’algerie berbere algerienne (excusez la repetition), sans renier l’apport de la culture arabe, musulmane avec l’islam de nos aieux tolerant et humaniste sans influence retrograde et salafiste, n’autorisant aucun parti « islamique », moderne, ouverte, et protegeant tous les algeriens et toutes les algeriennes sur un meme pied d’egalite, devrait etre notre ideal. Le volet politique institutionnel de votre commentaire ( gouvernement provisoire, dissolution du parlement du senat …) est egalement souhaitable.

    Tous les anciens du système dehors .
    7 avril 2019 - 10 h 36 min

    MoI personnellement je suis d’accord avec le peuple et Ali Benflis.
    Les anciens du régime et le clans des marocains dehors.
    Ont ne peut jamais faire un gouvernement d’hommes intègrent et patriotes avec d’anciens corrompue et que plus ai ne sont pas algériens .
    Moi je propose Ali Benflis ou Liamine Zeroual ou un le conseiller de Ali Ghediri celui qui a démissionné .
    J’ai oublié son nom il avait prévenu la presse que les voleurs affairistes étaient en train de vider leurs comptes devises pour pour fuir à l’étranger.
    Qu’il avait prévenu par le directeur général de la BNA de ces fuites de capitaux.
    Ce qui a permis plusieurs arrestations et de bloquer tout les retrait d’argent devises important.

    daro
    7 avril 2019 - 9 h 34 min

    Elections présidentielles pour élire un nouveau dieu!! NON merci… il faut changer de régime, plus jamais le régime présidentiel…Peut être le plus simple est d’élire des instances transitoires pour trois ans et ce après une déclaration constitutionnel définissant cette transition et ses délais. Primo le président élu pour 3 ans a le rôle de convoquer des élections d’une constituante, qui proposera une nouvelle constituions et il organise un referendum. et sur la base de cette constitution on reconstruit les nouvelles institutions après cette période transitoire.. comme ça on se débarrasse d’une manière définitive de ce régime présidentiel

    Pr Nadji Khaoua
    7 avril 2019 - 9 h 32 min

    Bonjour Monsieur Bouzorane,

    Je vous approuve totalement. Il faut à la nouvelle gouvernance qui tente de se mettre en place, d’abord un socle ultra nationaliste. Seule l’Algérie, sa population et ses propres intérêts collectifs comptent, en dehors de toute autre considération faussement géostratégique ou régionale.
    Nous sommes Algériens, avant toute autre considération qu’elle qu’elle soit.
    Le système politique 1962 – 22 fevrier 2019 doit être détruit méthodiquement dans des symboles, ses hommes et toutes leurs politiques.
    Une instance collégiale formée de 3 à 5 (pour plus d’efficacité et de gain de temps) personnalités intégres et compétentes dans leurs domaines doit être proposée à la population. Ces personnalités indépendantes de tous les pouvoirs politiques existent par milliers.
    C’est à cette instance de diriger et coordonner la suite des changements. Tous les pouvoirs présidentiels doivent lui être accordés sans restriction aucune.
    Ensuite, une fois le processus du changement vers la 2ème République enclencher, le premier secteur à être assaini des corrompus et des incompétents serait celui de la justice, pour obtenir un nouvel appareil judiciaire former de personnes intégres qui puisse s’auto-saisir contre les têtes de l’ancien système de la prédation, sans aucune autre considération que la Loi et rien que la Loi.
    A partir de la, le nouveau pouvoir pourra tracer de nouvelles politiques économiques, sociales, culturelles, internationales.

    Pr Nadji Khaoua

      SI KOUIDER BOUNETEF
      8 avril 2019 - 5 h 49 min

      Monsieur Khaoua, La première chose à faire serait la réforme de l’école, pour défendre une démocratie il faut élever le niveau intellectuel du peuple et non l’abrutir comme c’est le cas, la destruction de l’école avait commencé il y a de cela un demi siècle, l’arabisation non réfléchie de la société avait fait et fait toujours des dégâts incommensurables, l’école est un lieu d’éveil, de socialisation, d’apprentissage et non d’endoctrinement, abêtir les enfants d’aujourd’hui c’est détruire la société de demain, combien de hauts cadres dont leur Algérianité ne souffre d’aucune ambiguïté, à la question, pour quelle raison aviez-vous immigré, la première réponse fut l’avenir de mes enfants, l’immense majorité des Algériens est consciente que l’éducation Nationale est une machine à échec, combien font donner des cours particuliers à leurs enfants, comme ils disent pour les sauver, est-ce normal que l’école de la République n’assume plus sont rôle? enfin, vouloir imposer la prière à l’école n’est qu’une première étape et si il réussissent la deuxième serait de faire ânonner à nos enfants les versets coranique à longueur de journée pour leur ôter tout esprit critique, la religion relève de la sphère du privé elle doit être transmise au sein de la cellule familiale comme ça toujours été le cas, nous ne sommes pas plus mauvais musulmans que les autres.

    Non
    7 avril 2019 - 8 h 56 min

    Les algériens sont pas prêts pour la démocratie ils sont trop raciste

      Lyes Oukane
      7 avril 2019 - 9 h 38 min

      @ Non . Traiter tout un peuple de raciste est la preuve évidente que tu n’es qu’un pauvre minable . Ton affirmation est de la même trempe que ceux qui annoncent fièrement que les noirs sentent mauvais ou que les Roms sont tous des voleurs . Hitler pensait comme toi . Les gens de ton acabit êtes la lie de l’humanité .

      La démocratie serait signe de non racisme ?

      Le pays tant vanté ,pris en exemple planétaire pour sa démocratie serait les USA . Pourtant , chaque année près d’un millier d’afro américains sont tués par la police sans que celle-ci ne soit dérangée par la justice .

      Le Washington Post a recensé 987 afro américains tués en 2017 par la police . 963 en 2016 .995 en 2015 !

      Combien de subsahariens tués en Algérie ? Si tu es honnête avec toi même tu chercheras la réponse mais comme tu es loin de l’être , tu n’en feras rien .

    Bouzorane
    7 avril 2019 - 8 h 55 min

    « une présidence individuelle ou collégiale qui aura la possibilité de légiférer… » :
    – nomination d’un gouvernement provisoire
    – dissolution du parlement et du sénat
    – dissolution de tous les partis politiques.
    – N’accorder l’agrément qu’à des partis patriotes qui n’ont aucune connivence avec l’étranger, aucune volonté de mettre l’Algérie sous tutelle étrangère : les partis islamistes dits « modérés » seront définitivement interdits. Les partis nord-africanistes revendiquant une soi-disant appartenance berbériste commune avec des pays étrangers seront également interdits
    L’Algérie n’a raucune appartenance commune avec aucun pays.
    La seule appartenance de l’Algérie, c’est son Algérianité.
    L’Algérie est berbère, certes, elle surtout Algérienne et Algérianiste!
    Seule l’Algérie compte. Seule l’Algérie existe.
    Ceux qui défendent l’identité amazighe de l’Algérie, c’est tout à leur honneur, à condition qu’ils le fassent dans un cadre strictement National et Nationaliste. Celui qui voit les choses autrement, n’est en rien différent des arabo-islamiste qui veulent eux-aussi mettre l’Algérie sous tutelle étrangère. De la même façon, l’Algérie musulmane doit vivre son islam dans un cadre National et Nationaliste.
    Une trahison reste une trahison. Une tutelle reste une tutelle, qu’elle soit « monde arabo-musulman » ou « afrique du nord », c’est exactement la même trahison.
    Pour une idéologie Ultra-Nationaliste qui défend l’Algérie, toute l’Algérie, rien que l’Algérie!

      Anonyme
      7 avril 2019 - 21 h 40 min

      @Bouzorane
      Excellent commentaire, vous êtes un vrai patriote.

    Lghoul
    7 avril 2019 - 8 h 46 min

    Un grand fourgon de la police doit attendre 95% de ces gens du parlement a leur sortie. C’est la seule solution pour le pays et cela doit etre juste un « amuse gueule » avant que les choses serieuses commencent. Plus ils deviennent sourds et aveugles, plus la justice du peuple sera severe.

    nectar
    7 avril 2019 - 8 h 37 min

    Avec de vieux chiffons, en plus, usés à force de servir de serpillière, on ne peut faire du neuf. Pour gagner en temps et en confiance du peuple, il faut aller vite et bien avec de nouvelles têtes et surtout jeunes et qui puissent être en mesure de nettoyer les écuries d’Augias..Monsieur le général, un escalier se balaie d’en haut en bas, avec des personnes capables de le faire et sans concession aucune pour les tenants de la misère et l’enrichissement illicite (FLN, RND et tous les partis morpions qui tournent autour et leurs relais dans toutes les institutions et les rouages de la société)..C’est les travaux d’Hercule pour arriver à éradiquer les maux qui rangent la société…

    SI EL WALI
    7 avril 2019 - 7 h 50 min

    Est-ce-que ces deux chambres ont respecté la constitution auparavant Non et Non,lorsque les traitres Marocains violaient cette constitution les corrompus fraudeurs de ces deux chambres suivaient comme des brebis;c’est leurs tour de subir l’injustice;pour info Mr Bensalah à les mains très très sale;il faut qu’il rende la terre spolie au peuple Algérien et l’argent mal acquit

    Zaatar
    7 avril 2019 - 7 h 30 min

    Il y a eu un coup de balai certes, mais comme tout le monde le voit le peuple réclame qu’on passe l’aspirateur. Pas un grain ne devra rester, pas un poil et pas même l’odeur de cet ancien système. Les choses sont claires, l’ANP devrait faire le nécessaire, je dis bien l’ANP pas nécessairement Gaid Salah.

    AmiAhmed
    7 avril 2019 - 6 h 44 min

    Le plus dur c’était de convaincre Bouteflika à mettre un terme à son mandat, maintenant il faut donner un bon coup dans l’intérêt de la nation et répondre favorablement à la demande des Algériens comme promis avant et 8 sans arrières pensées comme par le passé pour regagner la confiance du peuple,et remettre le pays en ordre de marche, il y va de l’intérêt de tous, à bon entendeur, salut!

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