Kamel Feniche désigné président du Conseil constitutionnel

Comment (25)

Vroum Vroum ????..
17 avril 2019 - 22 h 24 min
Bon on y arrive lentement mais sûrement ! , donc pour accepter les Démission des deux Mr Belaiz et Bedoui seul le Président Ben Sallah peut le faire , ensuite et seulement après le Président peut démissionner selon la volonté du Peuple , mais jamais l’inverse ! . Et si le Président Ben Sallah et Son Premier Ministre Mr Bedoui et Belaiz ne sont pas content du Peuple alors il faudra qu’ils changent le Peuple qui devra Démissionner . .J’ai confiance en notre ANP , on aime Notre ANP . Dans ces moments on s’accroche à notre ANP , oui notre ANP , notre seconde Famille … .
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aissaoui belkacem
18 avril 2019 - 7 h 55 min
il ne faut pas rever ni se leurer / toute la clique se protege derriere une constitution addaptaé aux besoisn de la meme mafia et encore une fois on change les cuilleres pour faire semblant d’un changement.
désolé car je dois le dire la situation est tellement grave que nous n’avons pas avancé d’un iota.
désolé mais meme le peuple Algérien ne sait pas ce qu’il veut.
j’ai bien expliqué que le changement doit etre radical car il est question de l’avenir des générations futures et de nos richesses nationales dilapidés .
j’ai l’impression que la poudre aux yeux a un effet positif sur les revendications.
maintenant on change les 3 B et apres .
je remarque qu’il n’y a pas de stratégie nationale populaire et qu’on revendique d’une manere dispersé.
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Au suivant
17 avril 2019 - 16 h 42 min
Ni Feniche ni tous ces (…) du pouvoir ! (…)
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Felfel Har
17 avril 2019 - 13 h 48 min
Bensalah a nommé un obligé des Bouteflika, ce qui accrédite la thèse de lapoursuite de la main-mise du clan, malgré son rejet par la population. D’autres constitutionnalistes (comme Madame Fatiha Benabbou), méritaient d’être considérés pour ce poste stratégique, en raison de leur probité morale et leur parfaite connaissance du droit constitutionnel.
Bensalah a râté une occasion en or de prouver qu’il était à la hauteur de sa mission. Visiblement, on lui a taillé un costume trop grand pour lui et il demeure redevable à celui qui l’a nommé à l’APN puis au Sénat. Voilà pourquoi, il doit s’éclipser pour nous permettre d’avancer dans la voie de la démocratie en coupant les ponts avec l’Ancien Régime et ses machiavéliques manigances.
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Anonyme
17 avril 2019 - 13 h 40 min
on ne veut personne qui a eu des lien de loin ou de prés avec le système gaid donne l impression de gagner du temps pourtant on a était assez clair pas de corrompus pas de f.l.n pas de r.n.d
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Kassaman
17 avril 2019 - 12 h 15 min
Au vu des premières réactions, je crois que nous quittons la révolution joyeuse pour nous diriger vers la purge joyeuse. Historiquement, les purges ont toujours été liées au totalitarisme.
L’avantage d’une constitution même imparfaite, même contestée en partie est qu’elle éloigne de l’arbitraire elle reste un fil d’ariane que l’administration actuelle se doit de suivre un minimum sinon c’est le chaos.
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Anonyme
17 avril 2019 - 13 h 16 min
On veut des hommes symboles de neutralité et pas les sbires du régime.
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Anonyme
17 avril 2019 - 11 h 57 min
Il n’y a pas lieu de vouloir ,s’opposer à toute nomination au cours de cette période cruciale. Néanmoins, les nominations à des postes aussi sensibles gagneraient à être soumises au préalable au tamis populaire, pour sonder les algériens et savoir s’ils sont disposés à les accepter.
Puisque l’on s’attend à d’autres démissions ou limogeages de responsables présentement en postes, leurs remplacements devrait être soumis à des consultations préalables, pour éviter tout rejet ou mécontentement de la population.
D’aucuns peuvent penser c’est bien beau tout cela mais comment procéder compte tenu de la limite de temps imparti. Les consultations ou de simples sondages peuvent être entrepris rapidement par le biais de la toile bleu ou des médias.
En outre, les Algériens sont à même de se prononcer, rapidement, lors des marches, sur les personnalités qui seraient proposées soit pour conduire la transition ou occuper des postes de responsabilités durant cette phase transitoire. Par exemple, les manifestants se sont déclarés de manière diligente pour réclamer la démission du président sortant et le retrait de confiance aux trois ou quatre B.
Fils aîné du Commandant de l’ALN; DJOUADI Abderrahmene,du village d’Arous, tombé au Champ de l’honneur en 1957.
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LE PEUPLE
17 avril 2019 - 11 h 41 min
Justement, LE PEUPLE ne veut ni de netan-yaou ou Donald Trump où Angela Merkel où Macron… Il veut un vrai Président issu du peuple et pas désigné par le clan ou ceux que tu cites.
Un Président qui fait son mandat ( au max ses 2 mandats) et qui part sans bousiller l’Etat et nous obliger à perdre un temps fou dans des transitions. Une vraie alternance au pouvoir dans un vrai système DÉMOCRATIQUE ET PAS THÉOCRATIQUE OU CLANIQUE.
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hamidani
17 avril 2019 - 9 h 22 min
Mr Feniche,
Je vous propose an tant que citoyen votre premier challenge si vous l’acceptez bien sur:
– commencer par saisir les 5 millions de signatures qui sont dans l’enceinte meme du palais constitutionnelle; c’est juste pour l’histoire
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Badi
17 avril 2019 - 9 h 02 min
Cette nomination est illégale et non avenue,car celui qui l’a effectuée est lui même illégitime dans le poste qu’il occupe,et par conséquent,monsieur Kamel fenniche est invité a dégager en catimini avant que son nom ne soit ajouté a la liste honnie par le peuple.
A noter que kamel fenniche a été ultérieurement nommé membre du conseil constitutionnel par bouteflika
Publié dans Liberté le 28 – 07 – 2016
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé hier à la signature d’un décret présidentiel portant nomination de trois nouveaux membres du Conseil constitutionnel, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.
Il s’agit des membres suivants :
– Mohamed Habchi, vice-président du Conseil constitutionnel, désigné par le président de la République ;
– El-Hachemi Brahmi, membre du Conseil constitutionnel, élu au sein de la Cour suprême ;
– Kamel Feniche, membre du Conseil constitutionnel, élu au sein du Conseil d’Etat.
La nomination de ces trois nouveaux membres intervient conformément à l’article 183 de la Constitution qui a élargi la composition du Conseil constitutionnel de 9 à 12 membres, précise le communiqué de la présidence de la République.
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Anonyme
17 avril 2019 - 8 h 25 min
Remplacer un complaisant à outrance par un autre qui aurait des antécédents de tortionnaire ne sera certainement pas un facteur d’apaisement à la colère de la rue et une réponse convenable et adéquate aux revendications de millions d’Algériens.
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Kenza
17 avril 2019 - 8 h 24 min
On ne connait pas ce Kamel Feniche, j’espère bark que ce n’est pas un ptit toutou kima Balaïz kanou deryinou Fe Niche wel youm khardjou3 bech idjibou3oulna…
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Mir
17 avril 2019 - 7 h 48 min
Bon, du progrès ! on est passé directement du B au F. Vivement le Z.
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Moustakbel
17 avril 2019 - 7 h 35 min
Un vendu peut en cacher un autre!!! qui est ce Mr Feniche, c’est aussi un membre de la constitution serpillière créé par les Bouteflika, nous voulons des hommes integre et ils n’ont aucun lien avec le clan d’oujda, si en veut soigner notre mal il faut se débarrasser de toutes ses racines
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Farida
17 avril 2019 - 6 h 57 min
Ils vont tourner autour du pot jusqu’a ce qu’il leur sera trop tard de se reconcilier avec le peuple.
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Nora
17 avril 2019 - 12 h 49 min
Ils ne changent jamais malgrė la gravitė de la situation. Ils changent les têtes mais toujours puisėes de leur panier à crabes. Un vieux par un autre! Les jeunes soit el hit, soit la hargua ou la retraite!!!!
Bouhef est content, sa relève ‘bosse’ bien. Maudit le jour ou il est rentrė de son dėsert! Il ne doit jamais être enterrė chez nous!
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Anonyme
17 avril 2019 - 5 h 17 min
Pourtant on nous a dit que le chef de l’état par intérim avait des pouvoirs trés limités,le voila qui remplace un B par un F dans un reflexe de regeneration du systeme et de défiance au peuple pour maintenir celui ci loin de tout pouvoir de décision(défiance et mépris qui est l’essence même du systeme mis en place depuis 20 ans) Vive l’Algerie ,Vive le Peuple,Vive L’ ANP engagée aux coté du peuple pour sauver le pays de la confiscation.
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salim A
16 avril 2019 - 22 h 59 min
La partie d’échecs continue. Ce n’est pas la démission ou le remplacement d’un B par un autre qui est recherchée. La partie à l’origine de l’appel du 22 Février, qui reste encore tapie dans l’ombre, a un autre agenda et avec l’aide du peuple, elle réussira à provoquer l’effondrement de l’état.
Pour ceux qui peuvent comprendre, ce n’est pas l’effondrement du régime qui est visé comme objectif mais l’effondrement de l’état.
En attendant, prenez soin de vos proches, les semaines à venir vont être dures.
Merci
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Cachir
17 avril 2019 - 7 h 45 min
L’effondrement de l’état est déjà là grâce à ton Fakhamatouhou qui est parti et laissé le pays sans queue ni tête alors que dans d’autres pays normaux la transition se fait normalement par l’alternance au pouvoir. Le peuple ne veut plus revivre ça et veut se doter d’un vrai Etat qui résiste aux Hommes et aux Cachisristes.
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salim A
17 avril 2019 - 13 h 28 min
Ce n’est pas parce que quelqu’un n’est pas d’accord avec tes opinions qu’on le traite de tous les noms. Je pense que cette façon de faire est l’apanage du régime précédent.
Lorsqu’on se considère démocrate, on se doit de respecter des principes élémentaires dont le respect de l’opinion d’autrui.
C’est le premier principe à apprendre dans la deuxième république si vous voulez qu’elle dure dans le temps.
Merci
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Kenza
17 avril 2019 - 8 h 54 min
Au large oiseau de mauvaise augure !
Vous et vos maîtres ne faites jamais rien se constructif. Vous ne savez que détruire, diviser, piller, mentir, écraser le faibles….et quand vous êtes acculés, soit vous menacez soit vous faites tout pour décourager les gens encore debout et qui se battent pour leur droits, la justice et la liberté….
Prend soin de la chkara et du cachir, les semaines à venir seront dures pour les traîtres et les voleurs du clan mafieux au pouvoir et pour tous ses valets.
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salim A
17 avril 2019 - 13 h 50 min
Merci de ne pas utiliser des insultes pour répondre à des commentaires qui ne contiennent pas des insultes.
Si l’on se considère démocrate, on se doit de respecter les opinions des autres. Sinon, on retombe dans les mêmes travers qu’auparavant.
Pour votre information,en 1999 à l’élection de votre président précédent, j’ai pris mes affaires et a quitté le pays. J’avais déjà vu assez de tueries, d’enfants calcinés et de massacres collectifs pendant la guerre civile. Ce n’est pas moi qui a mis le président, que tout le monde applaudissait jusqu’à récemment, au pouvoir.
Je ne mange pas de cachir parce que je suis végétarien et je tiens à ma santé. Je ne sais pas si vous pouvez saisir le sens de la phrase précédente. Relisez la plusieurs fois et vous allez comprendre.
J’aime lire et surtout comprendre l’histoire car elle est un éternel recommencement.
Si pour vous, je suis un oiseau de mauvaise augure, ainsi soit il. Mais j’ai vécu pas mal d’expérience à travers le monde et je ne suis pas né de la dernière pluie.
Je n’espère que le bien pour ce pays même si je n’y vis plus depuis de très longues années.
Pour terminer et peut être une petite leçon d’histoire: en 1815 alors que le dey Omar était au summum de la cruauté envers la population, des confréries religieuses à travers le territoire firent des prières collectives à plusieurs reprises et ils demandèrent au bon dieu de leur envoyer quelqu’un pour les délivrer de ce dey.
Certains demandèrent même qu’un étranger puissent le faire en autant que le cruel dey soit déposé.
Leurs vœux furent apparemment exaucé puisqu’en 1830, le pays fut occupé pour plus de 132 ans par un occupant étranger. Plus cruel que le dey, à voir. Pour la référence historique (livre) laisser un message et je vous la fourni. Sinon, wiképédia est votre meilleure amie.
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Est ce qu'il savent ce qu'ils veulent. !!!!!
17 avril 2019 - 11 h 22 min
@ : Salim A
16 avril 2019 – 22 h 59 min
Entièrement d’accord avec toi.
J’ai la très net impression que nous nous dirigeons droit vers l’effondrement de l’état algérien.
Nous avons à faire à un peuple qui est manipuler par les réseaux sociaux.
Ceux qui sont derrière leurs claviers sont tout sauf algériens.
Même si GAÏD SALAH leur met au pouvoir de l’Algérie netan-yaou ou Donald Trump où Angela Merkel où Macron ils ne seront pas d’accord.
Moi j’appréhende le pire pour l’Algérie.
Je prie Allah que je me trompe.
Les trois B viré il faut avancer par trouver des hommes qui assureront la transition jusque là nomination d’un président choisi par le peuple a l’humanité.
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Etat de Droit
17 avril 2019 - 11 h 54 min
De quel Etat parles tu ? de cet Etat laissé par Bouteflika ?
On n’en veut pas de cet Etat de clans maffieux. On veut un vrai Etat Démocratique qui continue à marcher malgré une démission d’un Président ou un changement de Président par le vote. un Etat de Droit.
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