Le général à la retraite Toufik convoqué par le tribunal militaire de Blida

Comment (4)

    Anonyme
    11 mai 2019 - 14 h 21 min

    Attention, à « la contre révolution », on oublie vite, et on se perd dans les sentiments, les passions, Les émotions, et les polémiques qui veulent se faire justice,et supplanter ainsi la JUSTICE, Et l’ETAT de DROITS, laisser la JUSTICE faire son travail librement, et en toute indépendance Seule une JUSTICE crédible indépendante, et au dessus de tous, et de tout peut statuer sur tel où tel cas, Tout en veillant à préserver les droits fondamentales des accusés, Le respect des personnes mise en cause, sans règlements de comptes inutiles, contreproductifs, Expéditifs, et extra judiciaires qui nuisent à l’Algérie, à ses institutions, et au Hirak démocratique, et civilisé Il faut reconstruire, à nouveau, un ETAT de DROITS avec des institutions fortes, et démocratiques, Et non un état dans un état, un état d’une personne, où un état de clans occultes, et secrets qui ont mené le pays en otage, aux blocages, et à la paralysie,bureaucratico-institutionnels, Et tout droit vers la faillite d’un pays, connu pour etre riche, et plein de potentialités (quels contrastes?!,…) L’esprit de JUSTICE, et de TRANSPARENCE doit etre la règle de conduite Des jeunes, et nouvelles institutions démocratiques

    Anonyme
    11 mai 2019 - 1 h 27 min

    Le peuple algérien veut construire de nouvelles institutions démocratiques, et transparentes
    Où la JUSTICE au dessus de tous occupera une place prépondérante, et de choix
    Loin d’un système policier secret répressif, où l’arbitraire, les dépassements, les violations des droits de l’homme les plus élémentaires soient bannies à jamais de la mémoire des algériens traumatisés
    Reconstruire une nouvelle république démocratique, et populaire,
    Et réhabiliter le GPRA des démocrates, éclairés,modérés, populaires, et sages les défunts Moudjahidines
    Ferhat Abbas, et Benyoucef Benkhedda éliminés injustement, et illégalement par un putsch militaire
    Du clan militaro-sécuritaire-bureaucratique-« socialiste utopique » de Oudjda, en Septembre 1962
    Remettre en marche, le pays en crise, au travail un peuple humilié, et marginalisé, et l’économie en faillite
    Tout à réformer, et tout à refaire dans ce pays avec des institutions crédibles, et démocratiques

    UMERI
    7 mai 2019 - 23 h 20 min

    Dans les pays démocratiques, qui se respectent, les hommes et les femmes, civiles ou militaires, qui ont mené a bien, dans leur mission, de lutte anti terroristes, sont honoré, par leur peuple, a travers les institutions de l’ Etat. Chez nous, c’est l’inverse et c’est malheureux de le dire, on les met aux bancs des accusés. Cette manière de procéder, démoralisera, les meilleurs éléments,les plus engagés pour servir leur pays. Les accusations gratuites, dont il est l’objet, a savoir, la responsabilité dans la mobilisation des citoyens, prouvent que le pouvoir actuel, méprise et sous estime les capacités du peuple a se mobiliser par lui même, sans apport extérieur.L’ avenir nous le dira et si l’élection du 4 juillet se déroulera, sans contrainte.

    Dick
    6 mai 2019 - 9 h 15 min

    Gaid Walsh crois bien qu’il resterais pour l’éternité au poste de chef d’état major. A 80 ans il te reste combien d’années à vivre ou au poste de chef d’armée alors pense bien à ce que tu es entrain de faire car ton you’re viendrais. …

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